France-Italie (1-3), Ligue des Nations : Les réactions de Didier Deschamps, Antoine Griezmann et Bradley Barcola

07 septembre, 2024 / Thibaud Vézirian

Forte déception chez les Bleus après une telle contre-performance à domicile. L’équipe de France de Didier Deschamps ne s’attendait pas à une défaite (1-3) face à l’Italie pour entamer sa campagne 2024-2025 de Ligue des Nations. Les réactions.

Bradley Barcola : « On a très bien commencé. Au fur et à mesure, je pense qu’on a relâché nos affaires et on a pris ces buts. On a été mis en difficultés par ce bloc bas. J’ai bien commencé, j’ai senti que le bloc reculait, faisait des prises à doigt ou à trois. Ça nous a gêné, moi et Michael (Olise). Des points positifs ? J’ai marqué mon premier but en équipe de France, en plus à Paris. On ne peut pas enchaîner deux défaites de suite, on va bien se préparer pour lundi (face à la Belgique). »

Antoine Griezmann (sur TF1) : « Ils ont été meilleurs, on n’a pas été bons dans le pressing, ni défensivement. Bien travailler et revoir ça tactiquement. Comment l’expliquer ? Je ne sais pas. Pourtant, on avait bien commencé, beaucoup d’envie et un bon pressing. On n’a pas su s’arranger tactiquement quand leur défenseur central est venu à l’intérieur en jouant 6. On a eu du mal sur cet aspect là tactiquement et ça nous a posé beaucoup de problèmes. »

Didier Deschamps : « Il faut être factuel. On a bien débuté, on a fait de bonnes choses. Mais on a pas eu la capacité à maintenir sur tout le match. Dans l’effort et le contre-effort, on a eu un adversaire qui nous a fait mal, nous a perforés sur des erreurs de notre part. C’est le haut niveau. Même si je savais très bien avant le début des rassemblements qu’avec la situation des un et des autres, on est loin d’être à notre maximum individuellement. J’ai eu des erreurs individuelles et collectives. C’est une question de placement. Dans les duels dans la deuxième partie de la première période, on en a perdu un peu trop, on a fait des erreurs à la récupération pour la reperdre derrière. C’est donner des munitions à l’adversaire. Maintenir l’adversaire sous pression pendant 90 minutes, on n’en avait pas les moyens. Mais dans ce cas là, il vaut mieux être plus bas et compact.« 

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