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L’Undertaker rallie le camp de Donald Trump, Kane aussi

Donald Trump est un drôle de personnage. Qui aurait eu toute sa place près des rings de catch, participant à des storylines (histoires scénarisées) comme il l’avait fait lors de Wrestlemania 23, la « bataille des millionnaires » en 2007 contre Vince McMahon.

Dans une nouvelle vidéo TikTok, on aperçoit Donald Trump, candidat à la prochaine élection à la présidence des Etats-Unis, avec The Undertaker, légende vivante du catch US, et Kane, ex-catcheur lui aussi, fidèle acolyte du Taker, présenté comme son frère à la WWE. Ce qui n’est pas le cas dans la vraie vie.

Sur cette vidéo, on peut lire « L’Amérique en dépend« . À 18 jours du vote, le candidat des Républicains est venu enregistrer « Six Feet Under with Mark Calaway« , le podcast de The Undertaker. Il sera disponible aujourd’hui sur YouTube, Spotify ou Apple podcasts.

À noter que les choix politiques de l’Undertaker ou de Kane ne sont pas forcément ceux de TOUS les catcheurs. Oui, à 71 ans, Hulk Hogan reste un proche de Donald Trump. Mais un autre ex-catcheur devenu comédien, David Bautista, a lui publiquement pris parti pour Kamala Harris.

Lors d’un récent meeting, en guise de gros clin d’oeil, et avec un sens certain du show, Donald Trump a débarqué sous l’air de la musique d’entrée mythique de l’Undertaker…

Mal à l’aise, Donald Trump refuse un second débat contre Kamala Harris

« Quand un combattant perd un combat, c’est lui qui insiste toujours pour une revanche« … Donald Trump insinue ce jeudi soir qu’il a remporté le débat télévisuel face à Kamala Harris. Et l’ex-Président des Etats-Unis refuse donc tout nouveau duel épique devant les téléspectateurs.

« Les sondages montrent clairement que j’ai gagné le débat contre la camarade Kamala Harris ». Donald Trump n’en est plus à une sortie médiatique rocambolesque près. Ce jeudi soir, dans une publication sur sa plateforme Truth Social, il annonce qu’il refuse de participer à un second débat télévisé face son adversaire démocrate.

Il parle même de « troisième débat« , « il n’y en aura pas ». Le candidat républicain inclut en fait son échange télévisé face à Joe Biden au mois de juin…

Sur la défensive pendant la majeure partie du débat présidentiel, Donald Trump fait donc le dos rond, à haute dose de mauvaise foi. Une tradition chez lui. « KAMALA DEVRAIT SE CONCENTRER SUR CE QU’ELLE AURAIT DÛ FAIRE AU COURS DES QUATRE DERNIÈRES ANNÉES. IL N’Y AURA PAS DE TROISIÈME DÉBAT!« , insiste-t-il, dans son message écrit en lettre capitale sur Truth Social.

Donald Trump dans les cordes ? Ce sont les urnes qui le diront. Mais d’après les derniers retours, en effet, Kamala Harris semble avoir marqué des points. Même dans le camp Républicain, certains proches de Donald Trump ont admis qu’il n’avait pas été bon. C’est dire.

Le débat a été vu par près de 80 millions d’électeurs, sans compter les extraits sur les réseaux sociaux. De quoi faire basculer les USA du côté de Kamala Harris ? Réponse le 5 novembre.

10 jours après la tentative d’assassinat contre Donald Trump, la directrice du service secret démissionne

Le tir raté sur Donald Trump a fait une autre victime. Professionnelle, cette fois. Si le candidat à la Maison Blanche a été blessé à l’oreille, en Pennsylvanie, la directrice des Services Secrets, elle, a dû démissionner.

Auditionnée lundi au Congrès après la tentative d’assassinat sur Donald Trump, Kimberly Cheatle n’a pas tardé à démissionner de son poste. Le Secret Service a « échoué » dans sa mission de protéger Donald Trump, visé le 13 juillet en Pennsylvanie par le tir d’un homme allongé sur un toit avoisinant, a assuré Kimberly Cheatle devant les parlementaires.

Beaucoup de griefs lui étaient reprochés : que ses services n’aient pas participé à la réunion préparatoire au meeting de Donald Trump, que les gardes du corps étaient inexpérimentés et trop petits, qu’elle n’ait participé à aucun debriefing, notamment.

Le « fusible » Kimberly Cheatle vient de sauter, avouant là « de graves défaillances » du système de défense des personnalités haut placé américaines.

Un aveu d’échec qu’elle explique dans un communiqué. Même si « cet incident ne définit pas les service secrets américains », elle explique que « nous sommes une organisation basée sur l’intégrité et composée d’individus d’un exceptionnel dévouement et de grand talent. »

« Je ne souhaite surtout pas que ma démission soit une distraction médiatique et nous éloigne du grand travail que chacun fait pour réaliser notre mission vitale », ajoute-t-elle.

Après plus de 30 ans dans les services de protection de l’Etat, elle assure « ne pas avoir hésité un seul instant à démissionner » suite à ce fiasco.

« Dans mon parcours, j’ai affronté des criminels… » Kamala Harris allume Donald Trump

La campagne à la présidence des Etats-Unis prend une toute autre tournure. Depuis le retrait de Joe Biden, Kamala Harris représente un vent nouveau pour les démocrates. Et ses dernières déclarations montrent qu’elle est prête pour le combat face à Donald Trump.

« Dans mon parcours, j’ai affronté des criminels en tout genre ». C’est dit. Avec le sourire. Kamala Harris n’a pas sa langue dans sa poche. Et sans le nommer, elle vise bien sûr Donald Trump.

Avec déjà tous les soutiens nécessaires pour remporter l’investiture démocrate, Kamala Harris veut ratisser encore plus large : « One team, one fight », une équipe, un combat, la candidate de 59 ans bouscule tous les sondages et fédère. Rien à voir avec le spectacle de désolation devant certaines scènes gênantes de Joe Biden ces dernières semaines.

Ancienne procureure de Californie, Kamala Harris n’a pas peur : « Dans mon parcours, j’ai affronté des criminels en tout genre ». Les soucis réguliers de Donald Trump avec la justice sont un atout pour elle. Kamala Harris appuie là où ça fait mal. « Des prédateurs qui ont maltraité des femmes, des fraudeurs qui ont dépouillé des consommateurs, des tricheurs qui ont enfreint les règles pour leurs propres gains… Je sais à quel type de personnes appartient Donald Trump ».

En une seule journée, Kamala Harris a bénéficié de plus de 100 millions de dollars de dons pour sa campagne (ABC News).

Course à la Maison Blanche : Hillary Clinton, soutien de poids pour Kamala Harris

Un soutien de taille pour Kamala Harris dans la course à la Maison Blanche. L’ancienne candidate démocrate Hillary Clinton lui prête main forte. Depuis l’annonce du retrait de Joe Biden de la course à la présidentielle, Kamala Harris, vice-présidente actuelle, semble être la candidate idéale des démocrates.

Avec le soutien de plus de 500 délégués démocrates, Kamala Harris, 59 ans, se positionne déjà comme la candidate idéale des démocrates pour affronter Donald Trump. Ce lundi après-midi, elle a reçu le soutien actif d’une ancienne candidate (malheureuse) à la présidence des Etats-Unis : Hillary Clinton.

Dans un tweet qui totalise déjà près d’1M de vues, Hillary Clinton écrit : « Je connais Kamala Harris depuis longtemps. Cette brillante procureure plaidera contre le criminel condamné Donald Trump et contre le programme du Projet 2025 visant à nous priver de nos libertés. Mais elle ne peut pas le faire seule. Devenez partie intégrante de cette campagne historique dès aujourd’hui. »

Tentative d’assassinat de Trump : l’oreille bandée, le soutien ultime envers le candidat Républicain

Ils ont osé. Donald Trump est apparu l’oreille bandée, ses fans l’ont imité. Total soutien. Des images qui font sourire. Les supporters du candidat Républicain à la présidentielle US portent toujours plus Donald Trump vers le sommet de l’Etat.

Joue-la comme Donald. Ou une nouvelle forme de solidarité. Alors que Donald Trump vient de survivre à une tentative d’assassinat qui restera forcément dans l’histoire, ses fidèles soutiens lui ont apporté un peu plus de force pour aller au bout de sa campagne. Même avec une oreille bandée.

Solidaire de leur leader, les fans de Donald Trump s’affichent depuis, sur les réseaux sociaux et dans les meetings, avec l’oreille droite bandée, eux-aussi.

Deux jours après avoir échappé à la mort de justesse (le fait d’avoir regardé son prompteur sur l’écran lui a fait tourner la tête au bon moment et lui a sauvé la vie), Donald Trump est apparu en pleine forme pour son investiture. Avec un pansement sur son oreille droite.

Rapidement, un délégué de l’Arizona a suivi son leader, posant lui aussi un pansement sur son oreille droite (en pleine santé, elle). Nouvelle tendance fashion ? Nouvelle mode ? Oui, tout à fait. C’est ce qu’a expliqué Joe Neglia aux journalistes.

Après le boom des masques, l’apogée des ventes de pansements et de compresses ? L’idée serait née dans un bus transportant des délégués de l’Arizona : ils auraient alors commencé avec du papier puis des compresses… Cela a fait des émules. Et d’après les images publiées sur les réseaux sociaux et dans les médias, c’est le nouveau symbole de solidarité envers Donald Trump.

Tentative d’assassinat contre Donald Trump : les premières images du tireur (TMZ)

Serait-ce le tournant de cette campagne pour la présidence des Etats-Unis ? Les images de la tentative d’assassinat sur Donald Trump, en plein meeting, cette nuit, font le tour du monde. Sain et sauf, mais touché à l’oreille, Donald Trump reçoit de nombreux témoignages de soutien.

En ce 14 juillet, jour de fête national, Emmanuel Macron avait bien d’autres préoccupations. Mais il a tout de même tweeté pour témoigner de son soutien envers Donald Trump suite à cette tentative d’assassinat.

« Mes pensées au Président Donald Trump, victime d’une tentative d’assassinat, à qui j’adresse mes vœux de prompt rétablissement. Un militant est décédé, plusieurs sont blessés. C’est un drame pour nos démocraties. La France partage le choc et l’indignation du peuple américain. »

Des milliers de messages afflux sur les différents réseaux sociaux suite à ce geste horrible. D’après de premières informations du FBI, le tireur aurait été identifié et serait un certain Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie. TMZ a obtenu les premières images du tireur, allongé sur un toit, fusil à la main.

Une scène qui rappelle celle de l’assassinat du Président Kennedy… Et qui semble offrir un boulevard vers l’élection de président des Etats-Unis à Donald Trump.

Le patron du réseau social X (ex-Twitter) et soutien de Donald Trump, Elon Musk, a lui aussi laissé un post de soutien envers le candidat des Républicains.

Donald Trump condamné, Robert De Niro satisfait

« Cela me bouleverse tellement, je dois dire quelque chose »… C’est par ces mots que le comédien Robert De Niro a commencé à réagir à la condamnation pénale de l’ancien président des Etats-Unis, Donald Trump.

Reconnu coupable, jeudi à New York, de la totalité des 34 chefs d’accusation dans l’affaire des paiements dissimulés à l’ancienne star du X Stormy Daniels pour qu’elle ne parle pas de leur liaison avant la présidentielle de 2016, Donald Trump n’a pas pour autant mis fin à sa campagne pour reprendre la Maison Blanche. « C’était une honte, un procès truqué par un juge corrompu » a tout de suite affirmé l’homme d’affaires.

L’ancien président des Etats-Unis reste une cible privilégiée du tout Hollywood. À commencer par Robert De Niro, heureux au moment d’être interrogé sur le sujet, sur le tapis de son nouveau film Ezra.

« Je pense que justice a été rendue, ce n’est qu’une partie du tableau d’ensemble, donc je veux être très prudent ». Il n’a cette fois pas utilisé le mot « clown » pour qualifier Donald Trump, comme il l’avait fait quelques jours auparavant devant le tribunal de New York. Poursuivant : « s’il revient, il ne repartira jamais »… Donald Trump a 77 ans.

« Je ne veux pas en parler, mais cela me bouleverse tellement. Je dois dire quelque chose. C’est mon pays. Ce type veut le détruire. Point. Il est fou », insiste Robert De Niro. De là à changer le cours de la campagne présidentielle ?