À Katmandou, l’œil est partout. Invisible, silencieux, mais omniprésent. Pour la communauté tibétaine réfugiée au Népal, les caméras ne sont plus de simples objets accrochés à des poteaux ou mêlés aux câbles électriques des ruelles étroites. Elles sont devenues un symbole de peur et de contrôle. Dans les camps et quartiers tibétains de la capitale…