Ce mardi 13 août, un homme de 72 ans, originaire de la Sarthe, a vu sa peine de prison réduite de moitié après avoir été jugé pour avoir menacé de mort le président Emmanuel Macron et son épouse, Brigitte Macron. Le septuagénaire, déjà condamné en première instance, avait proféré des menaces en ligne, utilisant des termes violents et offensants, notamment en qualifiant la Première dame de « transgenre ».
Lors de son procès, la cour a décidé de réduire sa peine initiale, mais l’accusé ne compte pas en rester là. Il a annoncé son intention de se pourvoir en cassation, espérant ainsi contester le jugement. Cette affaire illustre les dangers de la haine en ligne, un phénomène auquel les figures publiques sont particulièrement exposées.
Les menaces envers le couple présidentiel ne sont malheureusement pas isolées, et cette affaire rappelle l’importance de lutter contre la violence verbale, particulièrement sur les réseaux sociaux. Le président Macron et son épouse, souvent au centre des critiques, continuent malgré tout de maintenir leur engagement public.
Alice Leroy