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Il encense Wembanyama et voit les basketteurs français champions olympiques en 2028 !

On l’appelait « l’agent zéro », référence à son numéro de maillot. Après de brillantes saisons en NBA, Gilbert Arenas, 42 ans, régale désormais de ses analyses basket. Peu après la fin des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui a vu Team USA dominer la France une nouvelle fois en finale, l’ex-basketteur s’est montré élogieux envers les Bleus…

Tout change du côté de l’équipe de France de basket, départ de l’entraîneur Vincent Collet, retraite internationale de Nicolas Batum, départ de Evan Fournier à l’Olympiakos, et pourtant, les Bleus restent ultra-respectés. Après leur médaille d’argent aux JO, et avec l’éclosion folle de Victor Wembanyama, promis à devenir le meilleur joueur du monde dans les prochaines années, leurs adversaires craignent déjà de les voir tout rafler.

À l’image des derniers propos de l’ex-meneur des Wizards de Washington (NBA), Gilbert Arenas, l’équipe de France fait peur.

« Je me fais du souci pour L.A. 2028, leur meilleur joueur n’avait que 19 ans cette année et les USA ont peiné à gagner. En 2028, il aura 24 ans ! Et les joueurs qui vont l’accompagner auront aussi 23-24 ans. Sans compter les deux jeunes draftés cette année (Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr), qui vont venir s’incorporer dans cette équipe« , commente Gilbert Arenas.

Avant d’ajouter : « Ils vont avoir 5 joueurs de leur équipe à au moins 2m10 et avec énormément de mobilité. » Indéfendable ?

Strazel stratosphérique ! Les Bleus sauvés face au Japon, c’est inquiétant !

Dans la douleur. Une victoire en prolongation 94-90 face au Japon et beaucoup de questions pour l’équipe de France de basket. Le coach Vincent Collet ne trouve décidément pas la recette, alors que l’effectif dispose d’individualités d’exception. Inquiétant avant la suite ?

Dans un stade Pierre Mauroy (Lille) avec 27 000 spectateurs en ébullition, l’équipe de France de basket devait se rassurer, après une première victoire correcte, mais sans plus face au Brésil (78-66). Cela n’a pas du tout été le cas. Au contraire, face à des Japonais décomplexés, les Bleus ont totalement déjoué. Se faisant peur jusqu’au bout.

Incapables d’appuyer là où ça fait mal, dans la raquette, malgré la présence des mastodontes Rudy Gobert et Victor Wembanyama, la France patine. Dominée par le Japon, l’équipe d’un Vincent Collet, très décrié par les supporters des Bleus, a trouvé une bouée de sauvetage improbable, nommée Mathew Strazel !

Le jeune joueur de Monaco a décoché un tir à 3 points surréaliste, obtenant en plus la faute, à quelques secondes de la fin du match. Sur le lancer suivant, il égalise avec relâchement (82-82). Une occasion à 4 points qui fera date. Mais qui permet en fait uniquement aux Français de rentrer dans les clous de leur objectif…

Toute autre performance qu’une victoire face au Japon aurait été vécue comme un cataclysme pour les vice-champions olympiques.

La France se rapproche des quarts de finale avant le choc de vendredi face à l’Allemagne. Mais comment analyser cette terne prestation ? Avec un duo Gobert-Wembanyama, comment les Bleus n’arrivent-ils pas à faire craquer les défenses à l’intérieur ? Vincent Collet semble incapable d’imprimer un plan de jeu clair à cette équipe talentueuse.

Côté statistiques, 18 points, 11 rebonds et 6 passes pour la star « Wemby », 14 points et 6 passes pour un Evan Fournier retrouvé, Mathew Strazel facteur X avec 17 points. Et un capitaine, Nicolas Batum, présent dans tous les compartiments du jeu, comme à son habitude.

Prochain rendez-vous, vendredi 21h, face à l’Allemagne. On tremble déjà.

Matière noire, Wembanyama, astrologie et félicitations du jury

Il n’y a pas un jour sans que Victor Wembanyama ne nous impressionne. À 20 ans, il multiplie les prouesses sur les parquets (Rookie de l’année en NBA) et en dehors. La vidéo qui fait le plus parler les fans de basket ces dernières heures est encore une fois avec notre « Wemby » national.

Cette fois, ce n’est pas un panier, un contre ou une passe décisive hors normes. Mais bien une explication scientifique ! Ça y est, « Wemby », dit l’OVNI, dépasse largement le monde du sport.

Ultra à l’aise devant les médias, le jeune homme de 2m24 a encore une fois impressionné. En anglais, bien sûr, il a donné une définition très précise de ce qu’est la matière noire ! Juste après avoir posté via sa franchise les Spurs une vidéo de remerciements pour sa grandiose saison. En conférence de presse, au planétarium Scobee de San Antonio, Victor Wembanyama était ravi de recevoir cette question originale : « J’adore ce type de questions »… Un journaliste venait de l’écouter parler de matière noire à des enfants au planétarium…

Alors la star du basket français s’est lancée volontiers : « La matière noire est comme une masse qu’on ne peut pas voir, mais nous savons qu’elle est là parce qu’elle a de l’influence et des attractions gravitationnelles. Sa présence dans les galaxies est 5 fois plus élevée que la matière visible. »

Cette réponse a depuis fait le tour du monde via les réseaux sociaux. L’ancien de Nanterre et des Mets de Boulogne-Levallois a même reçu des félicitations. Signées Étienne Klein, directeur de recherche au Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA). Rien que ça.

« La matière noire très bien définie, à l’improviste, par un très grand joueur de basket. Bravo à lui ! Rien ne vaut le mélange des genres quand il est aussi habile ». Encore un 20/20 pour Wemby le touche-à-tout, aussi bien sur les terrains qu’en dehors.

Lui aussi rapide pour réagir à cette vidéo, l’astrophysicien Eric Lagadec a quant à lui cherché à placer son livre sur l’astrologie. Pas tous les jours qu’un immense sportif parle de sa passion pour ce thème…

Bref, les bonnes notes et les bons résultats, Wembanyama les collectionne. Plus qu’à ramener une médaille olympique avec les Bleus cet été…

Historique, deux français meilleurs défenseurs NBA !

Après Victor Wembanyama sacré « Rookie de l’année », c’est au tour d’un autre français de recevoir un titre honorifique à l’issue de la saison NBA. L’autre géant, Rudy Gobert (2m16 contre 2m24 pour Wemby) a été élu meilleur « défenseur de l’année ».

La performance est historique pour l’ancien palois Rudy Gobert (14 points, 12.9 rebonds ; 2.1 contres par match en moyenne cette saison), désormais joueur des Wolves de Minnesota, pleinement engagés en demi-finales de play-offs actuellement. Le pivot reçoit là son 4e trophée de meilleur défenseur. Un palmarès incroyable puisqu’il rejoint des légendes du basket mondial, Dikembe Mutombo et Ben Wallace, co-recordmen.

Mais la soirée n’aurait pas été aussi belle si un autre français ne l’avait pas rejoint à la deuxième place de ce classement. Encore une fois, Victor Wembanyama est là ! Pour sa première saison NBA, le Français de 20 ans talonne son compatriote. Avec 3,6 contres par match en moyenne, il termine même avec le meilleur bilan de la NBA. Mais les résultats de son équipe des Spurs de San Antonio, engluée en bas de tableau, n’ont pas joué en sa faveur.

« Que Rudy le gagne maintenant, parce qu’ensuite ce ne sera plus son tour », a prévenu Wemby il y a quelques temps… Les adversaires des Bleus aux Jeux Olympiques sont également prévenus. La France compte deux forces de dissuasion massive dans la raquette cet été pour viser l’or.

Wembanyama un peu plus dans l’Histoire du basket

Un pas de plus dans la cour des grands. Victor Wembanyama est le meilleur jeune de l’année. Une saison après son arrivée fracassante sur les parquets NBA, le Français vient de recevoir cette nuit le trophée de « Rookie of the Year » (meilleur joueur en première année).

Avec ses 495 points glanés, c’est un plébiscite pour le joueur de 20 ans. Un sacre attendu mais un sacre quand même. D’autant qu’il a été élu à l’unanimité des 99 votes !

Il faut dire que sa saison aux Spurs de San Antonio est unique. Compilant, en moyenne, 21.4 points, 10.6 rebonds, 3.9 passes, 3.6 contres et 1.2 interceptions, il rentre dans l’histoire de ce jeu.

Au micro de TNT, « Wemby » savoure :  « Je savais que pour y parvenir, je devais être individuellement bon sur le terrain et dominant. C’était donc une chose énorme pour moi et quelque chose d’énorme à obtenir. Cela a toujours été très important et je suis heureux que ce soit enfin officiel. »

Si Tony Parker avait marqué son époque, Victor Wembanya semble déjà en passe de marquer l’Histoire. C’est le premier Français récompensé par ce titre. Et seulement le troisième rookie des Spurs, franchise mythique. Il passe après David Robinson et Tim Duncan, deux légendes de ce sport.

En répondant très vite aux (immenses) attentes placées en lui, le Français a envoyé un message fort. À moins de trois mois des Jeux Olympiques, toute la France espère que Wemby arrivera à hisser le basket français au sommet.

« Les aliens sont parmi nous »

C’est une annonce importante pour l’histoire de l’Humanité. Ça y est, on en est sûr : les aliens sont parmi nous ! C’est en tout cas ce que l’on comprend si l’on suit de près la planète basket depuis un peu plus d’un an. Son arrivée a fait des ravages outre-Atlantique, il a tout terrassé sur son chemin mais c’est pourtant un être pacifique. Et il est français…

Victor Wembanyama, né le 4 janvier 2004 au Chesnay dans les Yvelines, révolutionne le monde du sport. Drafté en première position par les San Antonio Spurs en 2023, il vient de réaliser une saison hors normes pour un jeune homme de 20 ans.

Ce lundi soir, il devrait d’ailleurs recevoir le prix de « Rookie of the year », le meilleur joueur en première année NBA. Et il est aussi en lice pour le titre de meilleur défenseur de l’année, du haut de ses 2m24. Une force de dissuasion massive.

Cette saison, il a totalisé en moyenne : 21,4 points ; 10,6 rebonds ; 3,9 passes décisives ; 1,2 interception et 3,6 contres en 29,7 minutes par match. Des statistiques que lui envient déjà plus de 90% des joueurs de la Ligue américaine…

Si bien que son équipementier lui consacre une toute nouvelle campagne de publicité, en mode « alien ». Avec humour mais justesse, Nike titre : « Est-ce que vous y croyez ? » Avant d’exposer sa palette impressionnante au sein de cette vidéo.

« 551 tirs, 128 trois points, 254 contres, aucun joueur dans l’histoire de la NBA n’a totalisé en moyenne plus de 20 points, 10 rebonds, 3 passes décisives, 3 contres, 1 interception et un trois points par match. Je crois que les aliens existent. Et vivent parmi nous. »

Ce logo « alien » devrait d’ailleurs être la nouvelle marque de fabrique de notre « Wemby » national. 20 ans et déjà sa propre ligne chez un équipementier phare, là aussi, ça vous place un homme.

NBA : Déjà un logo spécial Victor Wembanyama ?

Un alien dans des champs du sud du Texas, aux Etats-Unis ? C’est ce qui a été aperçu au moment de l’éclipse solaire totale, qui a traversé le pays lundi. Ville après ville, les mêmes cris de gens émerveillés par ce plongeon dans l’obscurité, en plein jour.

Mais qu’est-ce donc que ce dessin d’alien dévoilé au même moment dans cette vidéo de l’équipementier Nike ? Tout porte à croire que c’est bien un clin d’œil à notre OVNI français, Victor Wembanyama, joueur des San Antonio Spurs. Celui qui du haut de ses 2m24 à 20 ans chamboule la planète basket.

Depuis son arrivée dans le championnat NBA il y a un peu plus de six mois, il impressionne tous les suiveurs. Ainsi que les légendes de ce jeu, à commencer par LeBron James, qui l’a le premier qualifié d’ « alien ».

Ainsi, lors du All-Star Week-end, « Wemby » portait un visage d’extraterrestre sur sa paire de chaussures. Surnom adopté, visiblement. Et désormais logo commercial de son équipementier ? Fort possible. La « Wembymania » est en marche.

Ses vidéos highlights sont les plus regardées, ses maillots se vendent comme des petits pains. Pour beaucoup, notre jeune français va dominer le monde du basket mondial pour les 15 prochaines années. Ça valait bien un logo spécifique… Phénoménal.

NBA – 25 000 dollars d’amende pour Wembanyama

C’est la nouvelle star du basket mondial. Le Français Victor Wembanyama n’échappe pourtant pas aux règles NBA. Pour sa première (remarquable) saison outre-Atlantique, le joueur des San Antonio Spurs n’avait pas encore goûté aux sanctions légendaires de la Ligue.

À quelques semaines de la fin de la saison régulière, « Wemby » vient de recevoir une amende de 25 000 dollars ! Une première pour lui. Le motif ? Un ballon envoyé volontairement en tribunes.

L’impressionnant pivot de 2m24 venait d’être l’auteur d’un match magistral. 40 points inscrits face aux Knicks de New York et une victoire après prolongation. De quoi avoir envie de fêter ça en jetant le ballon dans les gradins… Son équipe n’étant d’ailleurs pas très habituée à gagner cette saison (18 victoires, 57 défaites), personne ne s’offusquera du geste du Français.

Wemby s’est dit que « ça passerait »… « Je l’ai lancé pour faire plaisir à quelqu’un. Pas pour blesser ou quoi que ce soit. C’était juste drôle », a-t-il estimé le lendemain.

Rien de grave, d’autant que son salaire cette saison est évalué à environ 12,2 millions de dollars, hors revenus liés au sponsoring. Peu importe, la NBA reste très pointilleuse, soucieuse de son image et d’éviter tout dérapage. Les règles sont les règles…