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« Les aliens sont parmi nous »

C’est une annonce importante pour l’histoire de l’Humanité. Ça y est, on en est sûr : les aliens sont parmi nous ! C’est en tout cas ce que l’on comprend si l’on suit de près la planète basket depuis un peu plus d’un an. Son arrivée a fait des ravages outre-Atlantique, il a tout terrassé sur son chemin mais c’est pourtant un être pacifique. Et il est français…

Victor Wembanyama, né le 4 janvier 2004 au Chesnay dans les Yvelines, révolutionne le monde du sport. Drafté en première position par les San Antonio Spurs en 2023, il vient de réaliser une saison hors normes pour un jeune homme de 20 ans.

Ce lundi soir, il devrait d’ailleurs recevoir le prix de « Rookie of the year », le meilleur joueur en première année NBA. Et il est aussi en lice pour le titre de meilleur défenseur de l’année, du haut de ses 2m24. Une force de dissuasion massive.

Cette saison, il a totalisé en moyenne : 21,4 points ; 10,6 rebonds ; 3,9 passes décisives ; 1,2 interception et 3,6 contres en 29,7 minutes par match. Des statistiques que lui envient déjà plus de 90% des joueurs de la Ligue américaine…

Si bien que son équipementier lui consacre une toute nouvelle campagne de publicité, en mode « alien ». Avec humour mais justesse, Nike titre : « Est-ce que vous y croyez ? » Avant d’exposer sa palette impressionnante au sein de cette vidéo.

« 551 tirs, 128 trois points, 254 contres, aucun joueur dans l’histoire de la NBA n’a totalisé en moyenne plus de 20 points, 10 rebonds, 3 passes décisives, 3 contres, 1 interception et un trois points par match. Je crois que les aliens existent. Et vivent parmi nous. »

Ce logo « alien » devrait d’ailleurs être la nouvelle marque de fabrique de notre « Wemby » national. 20 ans et déjà sa propre ligne chez un équipementier phare, là aussi, ça vous place un homme.

NBA : Déjà un logo spécial Victor Wembanyama ?

Un alien dans des champs du sud du Texas, aux Etats-Unis ? C’est ce qui a été aperçu au moment de l’éclipse solaire totale, qui a traversé le pays lundi. Ville après ville, les mêmes cris de gens émerveillés par ce plongeon dans l’obscurité, en plein jour.

Mais qu’est-ce donc que ce dessin d’alien dévoilé au même moment dans cette vidéo de l’équipementier Nike ? Tout porte à croire que c’est bien un clin d’œil à notre OVNI français, Victor Wembanyama, joueur des San Antonio Spurs. Celui qui du haut de ses 2m24 à 20 ans chamboule la planète basket.

Depuis son arrivée dans le championnat NBA il y a un peu plus de six mois, il impressionne tous les suiveurs. Ainsi que les légendes de ce jeu, à commencer par LeBron James, qui l’a le premier qualifié d’ « alien ».

Ainsi, lors du All-Star Week-end, « Wemby » portait un visage d’extraterrestre sur sa paire de chaussures. Surnom adopté, visiblement. Et désormais logo commercial de son équipementier ? Fort possible. La « Wembymania » est en marche.

Ses vidéos highlights sont les plus regardées, ses maillots se vendent comme des petits pains. Pour beaucoup, notre jeune français va dominer le monde du basket mondial pour les 15 prochaines années. Ça valait bien un logo spécifique… Phénoménal.

NBA – 25 000 dollars d’amende pour Wembanyama

C’est la nouvelle star du basket mondial. Le Français Victor Wembanyama n’échappe pourtant pas aux règles NBA. Pour sa première (remarquable) saison outre-Atlantique, le joueur des San Antonio Spurs n’avait pas encore goûté aux sanctions légendaires de la Ligue.

À quelques semaines de la fin de la saison régulière, « Wemby » vient de recevoir une amende de 25 000 dollars ! Une première pour lui. Le motif ? Un ballon envoyé volontairement en tribunes.

L’impressionnant pivot de 2m24 venait d’être l’auteur d’un match magistral. 40 points inscrits face aux Knicks de New York et une victoire après prolongation. De quoi avoir envie de fêter ça en jetant le ballon dans les gradins… Son équipe n’étant d’ailleurs pas très habituée à gagner cette saison (18 victoires, 57 défaites), personne ne s’offusquera du geste du Français.

Wemby s’est dit que « ça passerait »… « Je l’ai lancé pour faire plaisir à quelqu’un. Pas pour blesser ou quoi que ce soit. C’était juste drôle », a-t-il estimé le lendemain.

Rien de grave, d’autant que son salaire cette saison est évalué à environ 12,2 millions de dollars, hors revenus liés au sponsoring. Peu importe, la NBA reste très pointilleuse, soucieuse de son image et d’éviter tout dérapage. Les règles sont les règles…