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Et si Coca-Cola était en fait… un vin corse !

C’est l’une des boissons les plus consommées au monde. 350 milliards de litres par jour dans le monde… Plus de 10.000 litres à la seconde ! Le Coca-Cola. Sa recette secrète. Made in America. Ou pas…

Le soda le plus célèbre du monde aurait-il été inventé en France ? C’est la question qui se pose aujourd’hui suite à la découverte d’une bouteille de vin corse. Un Mariani des années 1880.

Dans ce cas, serait-il possible que le mystérieux pharmacien américain John Pemberton, créateur de cette machine à fric addictive en 1885, se soit inspiré du vin Mariani ?

Ce sujet tombe aujourd’hui au coeur de l’actualité car une bouteille vient d’être retrouvée par hasard dans les montagnes corses. Sur ce vin, on peut lire via l’étiquette : vin « à la coca du Pérou », produit à Paris, au 41, boulevard Haussmann. Mieux que ça, la trouvaille est déjà estimée à 200 000 euros !

Héritier d’Angelo Mariani, Christophe Mariani s’est confié à ce sujet dans le 20H de TF1 : « Il a fait de cette bouteille le French Wine Coca… Qui devient ensuite, après la prohibition, sans alcool et en ajoutant de l’eau et du sucre, le Coca-Cola.« 

Alcool et dépendance, Gad Elmaleh avoue tout

« Un amoureux du vin » devenu sobre depuis le 21 août 2021. C’est l’histoire de Gad Elmaleh. Le comédien et humoriste raconte son passé trouble dans l’émission Clique sur Canal+, un témoignage qui pourrait servir à beaucoup de gens dont l’alcool cause beaucoup de tourmentes.

Il est sobre depuis bientôt trois ans. Gad Elmaleh explique pourquoi il a décidé d’arrêter l’alcool. Un témoignage fort délivré dans « Clique », face à Mouloud Achour.

« Il y avait une tristesse. Je commençais à essayer de vivre des moments joyeux sans la joie et que l’alcool allait faire le boulot à la place de la joie, je me suis dit ‘t’as un problème c’est pas possible’. J’avais l’air triste, je me sentais triste et un jour, je me suis dit ‘faut que j’arrête ça, c’est pas moi et ça m’empêche d’être moi-même. » Gad Elmaleh témoigne sans concession. Ajoutant : « Je crois qu’on banalise un peu l’alcoolisme ».

Face aux questions de Mouloud Achour, il ne se dérobe pas. Il concède volontiers avoir été « un amoureux du vin. Je le suis toujours, mais c’est une relation olfactive », sourit-il.

Selon lui, il était d’abord un « alcoolique asymptomatique » sur scène. « On banalise aussi un peu l’alcoolisme », estime-t-il, avant d’expliquer que l’alcool ne l’aidait pas à surmonter une certaine pudeur, pas besoin. En revanche, pour approcher des femmes, c’était plus compliqué.

« J’avais un rapport avec les femmes assez introverti, timide. Pour rentrer dans un jeu de séduction, il faut qu’il y ait un premier contact et je ne savais pas le faire, donc parfois, l’alcool pouvait m’aider un peu ». Une introspection rare pour une personnalité publique.