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LOSC 1-0 Real Madrid : le chant de la victoire lancé par… Ethan Mbappé !

Peut être qu’un jour, Ethan Mbappé deviendra grand. En attendant, le petit frère de Kylian évolue au LOSC depuis cet été. Et s’il n’a pas pu participer (blessé) à cette rencontre si symbolique, face à son frère, tête d’affiche du grand Real Madrid, le garçon de 17 ans était le premier à lancer le cri de la victoire dans les vestiaires…

Les Dogues sont aux anges après la victoire incroyable de Lille face au Real Madrid, vaincu pour la première fois depuis 36 rencontres !

L’homme du match se nomme Edon Zeghrova, auteur du tir qui a permis d’obtenir le penalty décisif, mais c’est toute l’équipe qui est à féliciter. Ainsi que le staff technique, mené par Bruno Genesio, un des trois coachs au monde à avoir déjà battu José Mourinho, Pep Guardiola et Carlo Ancelotti sur la scène européenne. Enorme !

Exploit monumental de Lille face au Real Madrid de Kylian Mbappé (1-0)

Quelles frissons ! Le Real Madrid n’avait plus été battu depuis 36 matchs. Le Real Madrid est champion d’Europe en titre. Le Real Madrid possède 3 des 5 meilleurs joueurs du monde. Mais le Real Madrid a été battu par des Lillois généreux et parfaitement organisés.

Bruno Genesio peut avoir le sourire. Lui, l’homme du succès lyonnais magique face au Manchester City de Pep Guardiola. Il a réédité l’exploit, cette fois face aux Galactiques de Carlo Ancelotti. C’est énorme.

Dans un match très équilibré, où Kylian Mbappé, de retour de blessure, figurait d’abord sur le banc des remplaçants, le LOSC a su gérer temps forts et temps faibles avec une aisance admirable.

Ayyoub Bouaddi, 17 ans ce mercredi, a traversé cette rencontre avec élégance et maîtrise, faisant passer parfois Eduardo Camavinga, Aurélien Tchouaméni ou Federico Valverde pour des adversaires lambda. Car les Madrilènes se sont procurés très peu d’occasions. Vinicius Jr a joué 90 minutes mais n’a pas existé.

En toute fin de première période, Jonathan David, qui avait eu la balle du 1-0 d’un tir de la tête quelques minutes avant, ouvre le score sur penalty. Consécutif à une frappe d’Edon Zeghrova, déviée de la main par Eduardo Camavinga.

Après la pause, Carlo Ancelotti change ses hommes : Fran Garcia remplace notamment Ferland Mendy. Le jeune Arda Guler et le vétéran Luka Modric entrent aussi en jeu peu après. Mais Lille ne recule pas outre mesure et sait piquer la défense du Real avec quelques percées en guise de rappels à l’ordre.

Luca Chevalier, toujours si brillant, veille au grain : sorties aériennes et maîtrise du jeu au pied, un match parfait. Oui, pendant les 5 dernières minutes du temps réglementaire, les Lillois devront batailler dans leur surface. Mais ce n’est pas le jeu collectif adverse qui les inquiétera, seulement quelques ballons mal repoussés.

L‘arbitre siffle le coup de sifflet final, 1-0. La délivrance. Le peuple lillois n’ose y croire. Quelle émotion ! 36 matchs d’affilée que le Real Madrid n’avait plus perdu. Impossible n’est pas Français !

Après deux rencontres et trois points au compteur, le LOSC retrouve le milieu de tableau, en compagnie d’équipes comme le FC Barcelone, le Real Madrid, le Bayern Munich ou le PSG !

Brest est co-leader de ce championnat si particulier, désormais, mais si haletant. Prochains rendez-vous dans 15 jours. Lille ira défier l’Atlético de Madrid, lourdement battu 4-0 par le Benfica. Paris recevra le PSG Eindhoven, Monaco au stade Louis II face à l’Etoile Rouge Belgrade. Et pour Brest, réception (à Guingamp) du formidable Bayer Leverkusen.

« Je n’ai aucune intention d’expliquer ma… » : Luis Enrique agacé par une journaliste de Canal+

Cela n’est plus une surprise, cela devient une triste habitude. Habité d’une certaine susceptibilité, l’entraîneur du Paris-Saint Germain Luis Enrique a encore une fois répondu avec mauvais esprit et malveillance à une question pourtant banale de la journaliste de Canal+, Margot Dumont, en marge de la défaite du PSG 2-0 à Arsenal, en Ligue des Champions.

Première contre-performance du Paris-SG et déjà, Luis Enrique semble sur les nerfs. Interrogé par une journaliste de Canal+ après la rencontre perdue 2-0 nettement face aux Gunners d’Arsenal, l’entraîneur espagnol de Paris n’a pas souhait répondre aux questions.

Il n’y avait pourtant aucun piège, ni moquerie. Margot Dumont ne l’a même pas titillé sur le drôle de choix de se passer de son meilleur joueur, Ousmane Dembélé, pour un tel rendez-vous.

Margot Dumont : Est-ce qu’Ousmane Dembélé va réintégrer l’équipe ?

Luis Enrique : Heu…

– On parlait en plateau de votre cadre tactique, assez rigide, peu de dépassements de fonction, est-ce vous pouvez nous expliquer votre idée tactique au PSG ?

– Je n’ai aucune intention d’expliquer ma tactique, vous ne la comprendriez pas. Il va falloir corriger beaucoup de choses.

Finale de la Ligue des Champions 2027 à Marseille ? Jibrayel dit oui, les supporters y croient fort

Le stade San Siro/Giuseppe Meazza ne sera pas celui de la finale de la Ligue des Champions 2027. Initialement choisie, la ville de Milan laisse sa place. Car le chantier du futur grand stade de la ville n’est pas assez précis pour garantir la bonne tenue de la finale de la plus prestigieuse des Coupes d’Europe de football.

Exit San Siro, place à l’Orange Vélodrome (qui aura d’ici là changer de naming) en 2027 ? Les supporters de l’Olympique de Marseille y croit. S’il y a bien un peuple de football en France, c’est à Marseille. Après la victoire en finale en 1993, revivre de telles émotions, même via d’autres clubs, serait assez symbolique. Sauf si Paris venait à se hisser à ce stade de la compétition dans 3 ans, bien sûr…

Alors que l’UEFA a annoncé mardi 24 septembre que la finale de la Ligue des Champions 2027 ne se tiendrait pas à Milan, l’adjoint au maire chargé des sports, Sébastien Jibrayel, a sauté sur l’occasion pour que la ville se porte candidate. Et tous les Olympiens se mettent à défendre la candidature du stade Vélodrome. Un projet soutenu bien sûr par le maire Benoît Payan.

Un tweet sous lequel il n’a pas permis aux tweetos de répondre. Mais nombreux sont ceux à avoir posté des messages sur le sujet dans la foulée.

L’élu s’est confié au Méridional : « Ce serait une consécration. Marseille est une ville qui vibre pour le football, même si d’autres sports y sont pratiqués. Depuis mon tweet, j’ai reçu une avalanche de messages de supporters, me disant : ‘C’est notre rêve, d’avoir la finale de la Ligue des Champions dans notre stade !’. Ce serait la réalisation d’un rêve collectif, celui de voir cette finale se dérouler au Vélodrome. » Un bon point pour amorcer le lobbying auprès de l’UEFA ?

Certains supporters de l’OM, plus rêveurs que d’autres, s’imaginent même en finale ce jour-là… Ce sera difficile à réaliser, 3 saisons nous séparent seulement de l’événement. Le gap à combler avec les grandes équipes européennes semble encore bien trop élevé. Mais rien n’est impossible dans le football. On a toujours le droit de rêver.

D’autant que pour ceux qui ont suivi en détails tout ce qui se trame en coulisses concernant la cession du club (cf. l’enquête), les parties concernées (issues du consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite), avec qui Entrevue a pu s’entretenir, semblent toujours confiantes pour qu’une officialisation puisse enfin se faire dans les mois à venir. Il en va de la survie de la Ligue 1 et du grand renouveau de l’OM.

PSG 1-0 Gérone : Paris dominateur et vainqueur in extremis (Ligue des Champions)

Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).

Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.

Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).

Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…

Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.

Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.

Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.

Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.

Tirage au sort Ligue des Champions nouvelle formule à 18h : tout savoir sur les nouveautés pour le PSG, Lille, Brest et Monaco

Nouvelle formule, hymne revisité, suspense accru… La Ligue des Champions est de retour et compte ravir les fans de football. Le tirage au sort de la nouvelle phase de poule unique a lieu ce jeudi à 18 heures. Découvrez le mode de fonctionnement pour l’UEFA Champions League, l’Europa League et la Conference League à partir de cette rentrée 2024/25.

Le tirage au sort de la phase de ligue de la Champions League 2024/25 a lieu au Grimaldi Forum, à Monaco, à partir de 18 heures. C’est le moment tant attendu pour les quatre clubs français engagés, chiffre historique.

Le PSG, Lille, Brest et Monaco vont connaître leurs adversaires. Le nouvel hymne, très proche de l’ancien, devenu mythique, fait déjà beaucoup parler sur les réseaux sociaux.

Voici le mode d’emploi de ce nouveau format de la plus belle des Coupes d’Europe. Pas de panique si vous ne voyez pas arriver les sortes de saladier transparents, annonciateurs d’une longue (et ennuyeuse) cérémonie de tirage au sort. Pas de risque de « boule chaude » ou « boule froide », cette fois, c’est l’intelligence artificielle qui choisira les adversaires des différents clubs de façon aléatoire.

Pour le « show », il y aura bien quelques personnalités sur scène, quelques boules aussi, mais tout sera contrôlé par l’informatique. Cela devrait donc durer environ 35 minutes, au lieu de 4 heures… Merci !

La nouvelle formule est en fait un championnat unique à 36 équipes. Chaque équipe rencontrera 8 adversaires pour démarrer la compétition. Quatre matchs à l’extérieur, quatre matchs à domicile.

Les 36 équipes sont réparties en quatre chapeaux de neuf. Chaque équipe aura donc deux matchs face à deux équipes de chaque pot, un à domicile et un à l’extérieur.

Pas d’affrontement entre équipes d’un même pays. Et impossible de jouer plus de deux adversaires d’un même pays. Exemple : Si le PSG doit jouer Liverpool et Arsenal, il ne pourra pas tomber aussi sur Manchester City et Aston Villa parmi leurs huit matchs.

Le calendrier des rencontres ne sera connu que samedi, afin de coordonner les agendas des trois compétitions. Car des matchs de Ligue des Champions auront aussi lieu le jeudi lors de la première journée… L’idée de base étant que les supporters puissent voir un maximum de « chocs » entre grosses équipes à chaque journée.

Qui dit poule unique à 36 équipes dit beaucoup de matchs et beaucoup de déçus. Les 12 derniers de ce championnat verront la fin définitive de leur parcours européen. Ils ne seront pas reversés en Europa League ou Conference League.

Les huit premiers seront directement en huitièmes de finale, en mars. Entre la 9e et la 24e place, les équipes s’affronteront en play-offs, sortes de 16e de finale.

Quatre matchs à domicile, au lieu de trois, plus d’affiches au sommet, huit adversaires différents… Place au spectacle. Grande finale prévue le 31 mai à Munich (Allemagne).

Renversant Real Madrid, on connaît l’affiche de la finale de la Ligue des Champions

Le Bayern y a cru de toutes ses forces. Après le résultat nul 2-2 à Munich la semaine dernière, on savait que cette demi-finale retour serait ouverte à toutes les folies. D’abord bloquée, la rencontre s’est libérée. Totalement. Devenant complètement dingue.

Il a fallu l’ouverture du score exceptionnel d’un entrant, Alphonso Davies, pour que la soirée s’anime totalement. Un déboulé côté gauche du Canadien, un crochet pour se mettre sur son mauvais pied, le droit, et le voilà qui décoche un tir imparable, dans le petit filet opposé. 68e minute de jeu, le Real Madrid est alors éliminé (0-1). La finale puis le titre suprême leur tendaient les bras… Mais ils ne renoncent jamais.

Le Real est immortel. Définitivement. Cette finale à Wembley, ils la veulent plus que quiconque, plus que le PSG, plus que le Bayern Munich. Alors le stade Bernabeu se réveille, pousse ses hommes, qui ne s’affolent pas. Les passes rapides s’enchaînent, le Ballon d’or 2018 Modric vient d’entrer en jeu. Cela fait tourner les têtes allemandes.

Le tournant de cette fin de match sera une nouvelle idée de génie de Carlo Ancelotti : faire entrer en jeu Joselu. Le seul attaquant de pointe réel de ce Real, le seul buteur de surface.

En deux temps, en moins de 4 minutes, l’Espagnol égalise puis crucifie les Bavarois (2-1) ! Extraordinaire moment de football ! Alors qu’Harry Kane venait d’échouer dans la surface espagnole, le Bayern est puni à deux reprises. Si vite, si fort. Des émotions folles.

Le Real Madrid rejoint le bourreau du PSG, le Borussia Dortmund, en finale de la Ligue des Champions. Rendez-vous le samedi 1er juin à 21h.

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.