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Christophe Ayad a dû mal à entendre « la comparaison entre Hassan Nasrallah et Oussama Ben Laden »

Le grand reporter du Monde, Christophe Ayad, s’étonne de toutes les comparaisons farfelues qu’il peut entendre en ce moment au sujet d’Hassan Nasrallah, dans les jours qui ont suivi la mort du leader du Hezbollah au Liban.

Dans l’émission C Ce Soir sur France 5, « Iran, la guerre qui menace le régime« , le journaliste et grand reporter Christophe Ayad prend à contre-pied tous ceux qui comparent le leader d’Al-Qaïda Oussama Ben Laden et celui du Hezbollah, Hassan Nasrallah.

« J’ai quand même un problème à entendre une comparaison entre Hassan Nasrallah et Oussama Ben Laden« , s’étonne-t-il. « Ce n’est pas une comparaison… Je n’en fais pas une question de morale. C’est juste que c’est ne rien comprendre, mais rien du tout, au Hezbollah et au Liban que de penser que le secrétaire général d’un part qui est globalement le représentant prépondérant d’un tiers des Libanais, au moins, les Chiites, à travers d’élections, est l’équivalent du chef d’une petite organisation terroriste, qui certes a commis le 11 septembre, mais qui ne représentait à ce moment-là, pas plus que 500 ou 5000 personnes.« 

Avant de conclure : « C’est tout le problème que j’ai avec le gouvernement Netanyahu qui ne prend pas en compte les peuples, quels genres de peuples sont voisins d’Israël.« 

En désaccord sur l’éditorial, Thomas Joubert écarté de l’antenne de BFM TV

Fin de l’aventure à la présentation du JT de la nuit pour Thomas Joubert. Le journaliste est soudainement mis à l’écart et renvoyé de l’antenne. En cause, un désaccord éditorial rendu un peu trop public…

C’est le journaliste, parfois très offensif sur X, Clément Garin qui a donné l’information en premier. Thomas Joubert en avait ras-le-bol que son Journal de la nuit ne serve finalement qu’à équilibrer des temps de paroles. Son JT n’avait donc aucun sens journalistique, à part compenser les déséquilibres de temps de paroles crée par d’autres émissions positionnées à des carrefours d’audiences bien meilleurs.

Le journaliste ne s’est pas prier de le faire savoir, en interne, même bruyamment. À l’antenne, le 12 septembre, il ne peut s’empêcher de conclure par un « et voilà pour ces rattrapages de temps de parole politiques« , suite à une très longue prise de parole de Marc Fesneau, ex-ministre de l’Agriculture.

Son attitude n’a pas plu, sa direction attendant certainement un peu plus de compréhension des enjeux éditoriaux de la part de son journaliste. L’intérêt collectif contre l’intérêt du Journal de la nuit… À vous de choisir.

Thomas Joubert a donc été écarté définitivement des JT de la nuit, pour un désaccord total de ligne éditoriale. Son CDI chez BFM TV lui vaut de retourner au service « desk », le poste des journalistes qui reçoivent des images au bureau et se chargent du commentaire en voix off. Souvent via des infos transmises par l’AFP. Pas trop de risques de franchir la ligne rouge, cette fois.

Après Batman, Colin Farrell en Pingouin, la série très attendue est sortie aujourd’hui sur Max

Top départ d’une des séries les plus attendues de l’année. « The Penguin » (Le Pingouin), la série HBO débarque ce vendredi sur Max. Huit épisodes d’environ 55 minutes. Un spin-off du film The Batman de Matt Reeves, avec un Colin Farrell époustouflant.

De la violence, des injures, des rues sombres, une identité particulière et si familière… The Penguin est particulièrement attendu dans les rues de Gotham City et sur vos écrans de télé, tablette ou smartphone.

Oz Cobb, le Pingouin, est devenu au fil des années un méchant mythique dans l’univers des super-héros. Aperçu brièvement à l’écran dans le dernier Batman, il fallait bien lui consacrer sa propre série. DC et Warner Bros n’ont pas hésité longtemps.

Pour cela, les producteurs n’ont pas lésiné avec les moyens, nous emmenant dans un univers si particulier. L’identité du Pingouin est respectée, ces 8 épisodes renouvellent une fois de plus le genre des séries mafieuses. On ne sait plus par moment si l’on est dans un jeu vidéo, sauce GTA, ou dans un grand Martin Scorsese.

Si Colin Farrell occupe le rôle star, Cristin Milioti (en Sofia Falcone, baronne de la drogue) crève l’écran. Dans un rôle qui lui semble sur-mesure.

À vous de la découvrir à raison d’un épisode par semaine sur plate-forme Max. Le reste de la saison sera mis en ligne à raison d’un épisode par semaine.

Omar Da Fonseca se met à la chanson, en hommage à Didier Roustan

La vague d’émotions suscitée par le décès des suites d’une maladie du journaliste sportif Didier Roustan à l’âge de 66 ans a généré une pluie de réactions et d’hommages. Le dernier en date est celui du commentateur de beIN Sports, Omar Da Fonseca.

Nouvelle envolée lyrique pour Omar Da Fonseca. Cette fois, pas pour commenter un match de football. Un fond sonore, un prompteur lu à la lettre et le voilà parti pour cette séquence hommage à Didier Roustan.

Sur beIN Sports, l’ex-international argentin (années 80) commence par un « il y a des prénoms qui sont des signatures : Didier est de ceux-là« .

Il poursuit : « On peut le traduire par celui qui est désiré, aimé, donc aimable (…) 66 ans d’éternité à jamais gravé dans chaque brin d’herbes où un ballon peut rouler, raconter, espérer, rassembler. 66 ans de rêveries, d’utopie, de générosité, d’humilité, de douce révolte. Dans la symbolique des nombres, 66 est le chiffre de l’harmonie, du dévouement, de l’amour inconditionnel. Pour cette raison, s’il en fallait juste une, tu ne pourras jamais mourir Didier. Jamais.« 

Avant de pousser la chansonnette en espagnol… Magnifique.


Pour revoir l’hommage du journaliste d’Entrevue à son confrère Didier Roustan dans l’émission Le Dèj Foot (Twitch/Kick/X/TikTok), cliquez ci-dessous :

Quand Didier Roustan accueillait Pelé avec une petite panthère noire dans Téléfoot

Didier Roustan est décédé à l’âge de 66 ans dans la nuit de mardi à mercredi, d’une foudroyante maladie, qui l’a emporté en quelques mois. Le journalisme sportif a marqué plusieurs générations, par son style unique, son franc parler et sa façon d’aimer le football. Les émotions avant tout.

Les équipes de Téléfoot se souviennent aujourd’hui d’une émission particulière : celle où Didier Roustan avait mis les petits plats dans les grands pour accueillir le roi Pelé. Le footballeur brésilien ne s’attendait absolument pas à un tel show : un bébé panthère noir, un biberon, un trône, des buts… Le sens de l’image.

Une « belle surprise » pour le goleador brésilien, « en 1987 ou 88 ». « C’était ma jeunesse« , explique Didier Roustan, « c’est la référence ultime, Pelé. Je voulais faire quelque chose d’assez fort. Donc comme on l’appelait la panthère noire, on est allé chercher un bébé panthère dans un cirque…« 

Hommages également rendus dans le Dèj Foot, émission quotidienne en streaming sur Twitch, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.

Lucie Castets « sexuellement incorrecte », Pascal Praud réagit

Il n’a fallu qu’une petite semaine après la rentrée de l’émission pour que L’Heure des Pros ne fasse extrêmement réagir sur les réseaux sociaux. La faute à l’écrivain Richard Millet, coupable d’une sortie de route totale sur l’orientation sexuelle de Lucie Castets (NFP)…

La semaine aurait pu se terminer dans le calme. En tout cas dans L’Heure des Pros sur CNews, la première chaîne d’information en France. Car le calme n’est jamais réel, lui, sur X… Après l’intervention de Richard Millet, écrivain, au sujet de Lucie Castets, qualifiée de « sexuellement incorrecte« , les internautes sont vent debout. Pascal Praud a été obligé de clarifier la situation.

« On prête à Richard Millet des pensées qu’il n’a pas. Il suffit d’écouter la séquence dans son intégralité pour s’en convaincre« , écrit le journaliste et modérateur de l’émission la plus en vue des matinées.

Richard Millet sera sommé de s’expliquer après sa phrase surprenante : « Qui c’est cette femme ? C’est une inconnue, sexuellement incorrecte, en plus, tout ça va ensemble, et qui est de gauche, ce n’est pas possible« …

Pascal Praud s’en étonne et lui demande des explications. L’écrivain tente d’expliquer ses propos chocs mais se noie dans des explications : « On choisit une inconnue, c’est presque une construction, elle a 40 ans, elle est pas mal, elle est sexuellement bien orientée selon les normes du nouveau monde. »

Avant de conclure : « Lorsqu’on est dans une logique politique de ce genre, c’est un plus, c’est ça que je veux dire.« 

Des propos qui heurtent la majorité sur X, alors les attaques afflux contre l’écrivain. On peut notamment retenir le tweet acerbe du sénateur PFC des Hauts-de-Seine, Pierre Ouzoulias : « Richard Millet ne se contente pas d’être homophobe. Il est aussi l’auteur d’un essai intitulé « Éloge littéraire d’Anders Breivik », dans lequel il vante les mérites du terroriste d’extrême-droite qui a tué 77 personnes à l’été 2011, en Norvège. A vomir.« 

Quotidien vs TPMP : À la rentrée, la bataille continue

En attendant la rentrée des deux émissions phares de l’access-prime time sur TMC et C8, les deux camps continuent de livrer bataille via les réseaux sociaux. La dernière campagne de Quotidien étant parodiée par les équipes de Touche Pas à Mon Poste.

Alors que Cyril Hanouna a déjà effectué son retour, lundi, sur Europe 1, dans « On Marche sur la Tête » (16h-18h), « Touche Pas à Mon Poste » reviendra le lundi 2 septembre, à 18h10 pour ce qui sera sa dernière (demi) saison sur C8. La chaîne ayant reçu une interdiction d’émettre de la part de l’Arcom à partir de février 2025.

Alors en attendant la réalité des audiences télé, TPMP a choisi d’y aller en frontal, reprenant la campagne de publicité de Quotidien pour se moquer de l’émission du groupe TF1.

Alors que Quotidien a mis à l’affiche Yann Barthès avec une phrase ironique, « Yann Barthès a peur du direct« , rebondissant sur le fait que l’émission soit en léger différé, TPMP a repris le concept pour modifier les textes. Avec humour et dérision.

Ainsi, l’émission star du groupe C8 passe à l’attaque : « Yann Barthès sans son oreillette, c’est Jean-Marc sans Jeff Panacloc« . Pas de réponse de la part de TMC, histoire de ne pas remettre de l’huile sur le feu. On sait que TF1 n’aime pas entrer dans le jeu de la polémique.

Les avis divergent sur les réseaux sociaux. Entre ceux qui pensent « c’est une erreur » de TPMP car Quotidien se moque pas mal des attaques de son concurrent, et d’autres qui estiment que les trublions de C8 font bien d’aller titiller le groupe TF1… À vous de juger.