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Après Batman, Colin Farrell en Pingouin, la série très attendue est sortie aujourd’hui sur Max

Top départ d’une des séries les plus attendues de l’année. « The Penguin » (Le Pingouin), la série HBO débarque ce vendredi sur Max. Huit épisodes d’environ 55 minutes. Un spin-off du film The Batman de Matt Reeves, avec un Colin Farrell époustouflant.

De la violence, des injures, des rues sombres, une identité particulière et si familière… The Penguin est particulièrement attendu dans les rues de Gotham City et sur vos écrans de télé, tablette ou smartphone.

Oz Cobb, le Pingouin, est devenu au fil des années un méchant mythique dans l’univers des super-héros. Aperçu brièvement à l’écran dans le dernier Batman, il fallait bien lui consacrer sa propre série. DC et Warner Bros n’ont pas hésité longtemps.

Pour cela, les producteurs n’ont pas lésiné avec les moyens, nous emmenant dans un univers si particulier. L’identité du Pingouin est respectée, ces 8 épisodes renouvellent une fois de plus le genre des séries mafieuses. On ne sait plus par moment si l’on est dans un jeu vidéo, sauce GTA, ou dans un grand Martin Scorsese.

Si Colin Farrell occupe le rôle star, Cristin Milioti (en Sofia Falcone, baronne de la drogue) crève l’écran. Dans un rôle qui lui semble sur-mesure.

À vous de la découvrir à raison d’un épisode par semaine sur plate-forme Max. Le reste de la saison sera mis en ligne à raison d’un épisode par semaine.

Taylor Swift déjà numéro 1 avec Post Malone

L’ouragan Taylor Swift. À 34 ans, c’est la première artiste à devenir milliardaire grâce aux seuls revenus tirés de sa musique. Une mega-star capable d’influencer les élections américaines. C’est dire son influence. Alors ce matin, pour la sortie de son nouvel album, forcément la chanteuse était particulièrement attendue.

Depuis l’annonce de ce 11e album, en février, lors de la cérémonie des Grammy Awards, ses millions de fans trépignent d’impatience. Les « Swifties » peuvent désormais écouter ses nouveaux morceaux en boucle depuis aujourd’hui. Et les fans semblent déjà conquis.

Au menu de « The Tortured Poets Department », des collaborations avec le groupe de rock britannique Florence + The Machine et le rappeur américain Post Malone (« Fortnight »).

En pleine promo, la chanteuse country avait d’ailleurs mis en avant cette collab avec Post Malone dans un post Instagram, jeudi : « Je suis une très grande admiratrice de Post de par sa qualité d’auteur, ses expérimentations musicales et les mélodies qu’il compose et qui restent dans votre tête pour toujours ». Leur clip commun devrait sortir dans la journée.

Déjà, leur duo s’impose déjà à mi-journée comme le numéro 1 des écoutes sur Spotify. Les quinze autres morceaux devraient petit à petit également connaître le chemin du succès…

La tournée mondiale de Taylor Swift, « Eras Tour » passera par Paris et Lyon dans les prochaines semaines. Elle devrait engranger un total de 2 milliards de dollars de recettes. Des performances historiques.

Racisme envers Aya Nakamura : enquête ouverte

Les publications à caractère raciste envers la chanteuse Aya Nakamura sont depuis aujourd’hui l’objet d’une enquête, a annoncé le parquet de Paris. La justice va faire son travail.

Suite à un signalement de la Licra, dénonçant les messages racistes à répétition sur les réseaux sociaux envers la chanteuse franco-malienne, Aya Nakamura, le sujet a pris une tournure judiciaire. Le nom de la chanteuse revient avec insistance en tête de liste pour chanter lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques à Paris, cet été.

À 28 ans, c’est actuellement la Française la plus écoutée dans le monde. Mais elle fait l’objet de virulentes attaques. Sous couvert de liberté d’expression, le sujet a vite dévié sur les réseaux sociaux sur sa couleur de peau et ses origines.

Sacrée artiste féminine aux Victoires de la musique, Aya Nakamura suscite un débat national depuis que l’on a appris fin février dans L’Express qu’elle pourrait lancer les JO, le soir du 26 juillet, en interprétant du Edith Piaf.

Un groupuscule de l’ultradroite, Les Natifs, avait posté sur leurs réseaux une photo d’une banderole tendue par une dizaine de ses membres, bien cachés derrière celle-ci. On pouvait lire l’inscription : « Y’a pas moyen Aya, ici c’est Paris, pas le marché de Bamako ! ».

Prenant sa défense, la ministre de la Culture, Rachida Dati, a mis en garde contre les « prétextes pour s’attaquer à quelqu’un par pur racisme ». « S’attaquer à une artiste pour ce qu’elle est, est inacceptable, c’est un délit », avait-elle ajouté lors d’une audition au Sénat.

Sur BFM TV, Patrick Bruel a lui volé au secours de la chanteuse si populaire : « Quand Jessye Norman a chanté la Marseillaise en 1989 pour le bicentenaire de la révolution, elle représentait la France ? Ce type de débat amène sur un mauvais terrain qu’on n’aimerait pas entendre. Je n’aimerais pas imaginer les raisons pour lesquelles il y a cette polémique… En tout cas, moi je serais ravi de l’entendre chanter Édith Piaf. »