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« Paris 2024 était le défi de ma vie » : Tony Estanguet, brillant capitaine des Jeux, un avenir en politique ?

Alors qu’il lui reste encore quelques semaines de travail (bilans et auditions) au sujet des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024, Tony Estanguet s’est imposé comme une figure centrale du sport français cet été. Audible et crédible, il a su fédérer contre vents et marées.

Tony Estanguet, futur ministre des sports ? Il y aurait une logique à tout cela après le franc succès (mondial) des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Mais le timing paraît compliqué. Puisque ce dernier va devoir encore jusqu’à la fin de l’année rendre des comptes au sujet des Jeux. Bilans financiers, auditions et rendez-vous sont encore à son planning.

Le triple champion olympique de slalom à Sydney (2000), à Athènes (2004) et à Londres (2012) a encore fait fort, dimanche soir, au moment de clore cet été de fête et de communion.

Après ses discours très réussis pendant les Jeux Olympiques, il a su à nouveau faire vibrer tous ceux qui l’ont écouté, depuis le Stade de France.

« Si ces émotions ont été éphémères, le souvenir de cet été historique restera gravé en nous. Cet été où la foule dansait dans les rues de Montmartre, en attendant les cyclistes. Cet été où les gens se parlaient, cet été où la France était heureuse, la force des émotions qu’on a vécues ensemble, c’est aussi de laisser une trace. Quand Léon Marchand a fait crier tout un pays en rythme à chaque fois qu’il sortait la tête de l’eau, ça a donné à des milliers d’enfants l’envie de pousser la porte d’un club de natation. (…) Les émotions qu’on a vécues nous ont unis.« 

« Merci à vous tous à toutes. Paris 2024 était le défi de ma vie. Le plus grand, le plus beau et le plus collectif. Chers révolutionnaires paralympiques, les Jeux de Paris 2024 se terminent, mais leur message, lui, ne s’éteint pas ce soir, continuons d’essayer, d’échouer, de se relever, de croire et surtout continuons d’oser.« 

Rugby à 7 (JO) : la France mal embarquée après sa défaite face aux îles Fidji (19-12)

Les Bleus affronteront l’Argentine, dans un quart de finale explosif, ce jeudi soir au Stade de France. Le rugby à 7, ça déménage et ça ne traîne pas. Des matchs de 15 minutes, une Olympiade qui a débuté hier et se termine déjà samedi. Deux matchs par jour et des débuts difficiles pour les Bleus. Sauf que l’on n’a pas le temps d’attendre…

En difficultés face aux Etats-Unis (12-12) hier, puis vainqueur sans marge face à l’Uruguay (19-12), la France a été dominée face aux Fidji cet après-midi (19-12). Mais en rugby à 7, tout va très vite. Au score et sur la pelouse. Chaque action peut modifier le cours d’une rencontre. Si courte soit-elle.

Pour autant, les Bleus sont qualifiés, deuxièmes de leur groupe C, les hommes de Jérôme Daret affronteront l’Argentine, deuxième de la poule B, ce jeudi soir à 21h30 en quarts de finale.

D’un côté, l’équipe de France menée par le génie Antoine Dupont (sur le banc face aux Fidjiens) a les atouts pour aller loin. De l’autre, les prestations n’ont abouties de cette équipe laissent ses supporters très fébriles.

Réponse ce soir, 21h30, face à un cador du rugby à 7, l’Argentine, première nation mondiale en saison régulière. Mais une équipe déjà battue pendant ces Jeux, par l’Australie (22-14)… Tout va très vite dans ce sport, on vous l’a déjà dit.