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Andy Carroll bientôt bordelais, Gérard Lopez ne partira pas

C’est ce mardi que l’on connaîtra l’avenir à court terme des Girondins de Bordeaux. Le redressement judiciaire devrait être prolongé par le Tribunal de commerce, le club aurait aussi pu être tout simplement liquidé. Mais Gérard Lopez, son président et propriétaire, garde confiance. Contre vents et marées.

Rétrogradé en National 2 (la 4e division), les Girondins de Bordeaux sont un ovni dans le paysage du football amateur. Et son propriétaire, Gérard Lopez, est un paria dans celui du football français. Coupable d’avoir laissé s’accumuler des millions d’euros de dettes et d’avoir fait descendre le club de L1 en N2, le patron s’accroche. Comme il l’affirmait encore haut et fort à Sud Ouest et France Bleu Aquitaine, lundi.

Bordeaux peut-il encore tomber plus bas ? « Notre budget et les processus légaux et financiers sont en place. Le budget net s’élèvera entre 7 et 8 millions d’euros. La masse salariale joueurs en représente comme toujours la plus grosse partie. Il a fallu que je fasse un apport et il est possible que je doive en faire encore un petit mais on est dans les clous.Nous sommes dans une période d’observation où nous ne sommes pas libres gestionnaires, toutes les décisions sont prises avec l’aval du tribunal. On a une bonne relation avec eux. On a toujours fait ce qu’ils nous ont demandé. Nous y allons sereinement.« 

Est-il encore l’homme de la situation ? « Aujourd’hui, j’ai envie de faire remonter un club qui déchaîne les passions. J’ai juste envie que le club se retrouve là où il doit être. Je n’ai aucun agenda. J’ai participé à amener le club là où il est aujourd’hui. C’est pour ça que je n’ai pas envie d’abandonner le navire et que je veux aider le club à remonter« 

Va-t-il vendre le club ? « Il faudra faire entrer un investisseur, éventuellement que je réinvestisse aussi, ce que je suis prêt à faire. Je pense qu’on peut nettoyer le bilan de manière intelligente. Il serait cavalier de vous dire à combien l’endettement peut tomber, car les négociations n’ont pas encore commencé, mais j’ai une idée assez claire. Je pense que ce sera fait de manière très importante.« 


Côté sportif, l’information du site Girondins4ever parue il y a une quinzaine de jours se confirme : L’ex-joueur de Newcastle, Liverpool, West Ham ou Amiens, Andy Carroll, est enregistré les rangs du club au scapulaire. Une prise de taille, avec cet attaquant international anglais de 35 ans (1m93). Reste à savoir comment ce grand professionnel va s’adapter au monde (et au jeu) amateur.

« Un jour Adrien Rabiot va revenir avec une équipe et va leur faire mal (au PSG) » : le voilà à l’OM !

Adrien Rabiot doit arriver en début de soirée à l’aéroport de Marignane. Il passera mardi sa visite médicale, préalable à l’officialisation de son transfert à l’Olympique de Marseille.

C’est un coup de tonnerre pour l’OM et pour la Ligue 1. Le milieu international français de 29 ans, Adrien Rabiot, va s’engager dans les prochaines heures avec l’Olympique de Marseille, ennemi juré du PSG, club où il a été formé.

Sur les réseaux sociaux, les débats sont enflammés au sujet de l’ex-milieu parisien : est-il vraiment un supporter de l’OM depuis son tout jeune âge, comme l’avait dévoilé So Foot ? Va-t-il relancer sa carrière alors qu’il atteint l’âge de son prime ? Sera-t-il apte physiquement pour le classico du 27 octobre ? Sans aucun doute.

De nombreuses images ressortent sur les comptes de supporters sur X : notamment celles ci-dessous où les ultras du Collectif Ultras Paris (CUP) demandent à Adrien Rabiot de « rester avec nous », « t’es un p***** de Parisien, t’as ça dans le sang !« … Pas vraiment…

En tout cas, c’est Hatem Ben Arfa, lui aussi passé par le PSG et l’OM qui a joué les devins au sujet de la carrière d’Adrien Rabiot. Déjà en 2019, « HBA » insistait pour dire qu' »un jour Adrien Rabiot va revenir avec une équipe et va leur faire mal« . Premier élément de réponse le dimanche 27 octobre pour le classique de feu OM-PSG, à l’Orange Vélodrome.

Hatem Ben Arfa, parti lui-aussi en mauvais termes avec le président du PSG, avait aussi déclaré : « Dans la vie comme je l’ai dit, par rapport au président du PSG, il ne faut jamais sous-estimer son adversaire, un jour il revient, il est plus fort. Il faut toujours respecter l’humain.« 

Puis : « Quand on ne le respecte pas, à un moment donné, tu le paies. Et je pense qu’Adrien Rabiot va revenir un jour avec une équipe et va leur faire mal. Parce que c’est la vie. Quand tu donnes le mauvais, tu reçois le mauvais. On doit respecter l’être humain.« 

On se souvient qu’Adrien Rabiot avait rejoint la Juventus Turin en 2019 dans des circonstances chaotiques. En fin de contrat au PSG, son refus de prolonger lui avait valu six mois hors de terrain, mis au ban par la direction parisienne.

Plus d’informations sur la venue d’Adrien Rabiot à l’OM dans l’émission Le Dèj Foot, sur Twitch/X/Kick et TikTok en direct de 12h30 à 14h30.

L’OM attire Adrien Rabiot, l’improbable transfert de dernière minute

L’Olympique de Marseille vient de faire fuiter ce soir une énorme information mercato, relayée par le grand manitou des infos transfert, l’Italien Fabrizio Romano. Adrien Rabiot serait tout proche de s’engager avec le club phocéen. Un deal confirmé aussi par le patron des South Winners, Rachid Zeroual.

À 29 ans, après 5 saisons en Italie à la Juventus Turin, le milieu international français n’a plus de club. Malgré sa fin de contrat et son statut de joueur libre, aucun club de « Ligue des Champions » ou jouant la future « Coupe du monde des clubs » en juin, n’a daigné s’intéresser vraiment à lui cet été. Ces deux critères étaient ceux du clan Rabiot, soucieux de voir évoluer le joueur encore une fois chez un grand d’Europe. Une certaine logique vu le niveau du joueur.

Rembarré par la Juventus après un rendez-vous infructueux selon la Vieille Dame, comme Entrevue l’avait dévoilé en exclusivité en juin, Adrien Rabiot a attendu tranquillement la fin de l’Euro pour se soucier de son avenir. Sauf que les soucis financiers de beaucoup de clubs, qui doivent réduire la voilure, n’ont pas permis de folie cet été.

Quand un joueur international devient libre, son camp espère toujours obtenir un très beau contrat : prime à la signature conséquente et salaire adéquat. Adrien Rabiot a attendu, en vain. Au point de ne pas être convié par Didier Deschamps lors du dernier rassemblement.

Justement, c’est pendant la trêve internationale que l’OM se serait penché sur le « cas Adrien Rabiot ». Fervent supporter de l’Olympique de Marseille quand il était adolescent, malgré sa formation au Paris-Saint Germain, le joueur aurait été très à l’écoute des arguments marseillais.

Un duo Pierre-Emile Højbjerg-Adrien Rabiot au milieu de terrain fait déjà rêver les supporters marseillais. Un duo d’internationaux que l’OM n’aurait jamais pu faire signer avant l’été 2021, date à laquelle le club a pris un étonnant virage économique et sportif. Avec des investissements massifs sur le marché des transferts.

L’arrivée possible d’un tel joueur finit par ne plus trop étonner certains supporters, qui ne se souviennent plus des saisons difficiles, entre 2016 et 2021 par exemple, avec si peu de talents sur la pelouse.

Qui dit Adrien Rabiot, dit grosses primes et gros salaire. Pour une grosse place dans le vestiaire. Du côté de l’OM, on laisse entendre que le joueur aurait fait des « efforts énormes » pour venir. Pas vraiment le style de la maison. Mais pour jouer pour Roberto De Zerbi et devant un Orange Vélodrome incandescent, certains joueurs seraient prêts à jouer gratuitement. Ou presque. Jolie histoire.

La réalité, c’est que son salaire restera conséquent et assez surprenant si on se réfère à la situation globale de la L1, les droits TV et le fait que l’OM ne joue aucune Coupe d’Europe. Mais depuis 2021, l’OM n’est plus à une bizarrerie économique près. Et ne parlons pas de sa prime à la signature, un sujet qui devrait rester mystérieux quelques temps. Mais une prime qui généralement en décide plus d’un…

À vrai dire, peu importe le mic-mac financier. Avec le rapatriement en L1 d’un titulaire de l’équipe de France, on ne peut que se réjouir.

Et aussi parce que petit à petit, malgré la triste saison dernière, l’OM grandit et semble redevenir un concurrent direct au PSG. Enfin.

Qu’est-ce que ce sera quand le club officialisera les tractations chaotiques au sujet de l’officialisation de sa cession à un consortium mené par l’Arabie Saoudite ? Des informations encore confirmées récemment à Marseille et dans le camp des repreneurs. Une histoire rocambolesque et interminable. À ce moment-là, on pourra parler d’un nouveau départ pour la Ligue 1.

EDIT 22h10 : L’Olympique de Marseille confirme avoir trouvé un accord de principe avec Adrien Rabiot.

L’OM fête ses 125 ans face à Nice, à 17h, le nouveau maillot fait recette

Quoi de mieux qu’une victoire face à « l’ennemi » niçois pour célébrer un anniversaire ? C’est ce que se disent les supporters olympiens. 125 ans, ça se fête…

Avant même le coup d’envoi, match à suivre à 17h sur beIN sports, le club a déjà réussi son coup. Deux nouveaux maillots totalement inédits viennent de sortir. Et sont pris d’assaut sur le site Internet de l’OM depuis quelques heures. Pour beaucoup, ils s’affichent déjà « indisponibles ».

Les amateurs de couleurs, dessins ou autres créations originales sur un maillot de football vont être déçus : sobriété, efficacité. Un maillot blanc pour les joueurs de champ. Un maillot tout noir pour le gardien. Du plus bel effet. La classe. Pas de fioriture. Un « retour à la génèse » comme l’indique l’Olympique de Marseille sur son site Internet.

Un col « polo » pour couronner le tout, beau rappel aux maillots d’antan et voilà comme l’OM et son équipementier Puma font quasi-l’unanimité sur le sujet.

Pour ceux qui se demandent d’où sort ce logo spécial de l’OM, rien de neuf ! Tout le contraire. C’est le retour du premier logo, celui de 1899 et 1935, de René Dufaure de Montmirail, l’homme du « Droit au But ». 

Avec justesse, le partenaire principal du club, CMA CGM, s’incline : la publicité est là, bien là sur le devant du maillot, mais en ton sur ton. Sympa. Un maillot que les supporters ne manqueront pas de porter dans la vie de tous les jours. Comme cela se fait déjà beaucoup partout. Et oui.

Seul hic, le prix, bien sûr. C’est un événement, c’est un maillot spécial en attendant ce match spécial, OM-Nice… Alors il faudra débourser 99 euros ! Ouch. La marge est belle, comme avec tous les maillots de football. Vaste débat. Mais on peut déjà lire quelques messages sur les réseaux sociaux du type : « Je n’ai pas payé DAZN, alors je peux me faire ce petit plaisir ! » La LFP appréciera.

En attendant, l’OM tentera d’aller chercher une 3e victoire en 4 journées, cet après-midi, 17h face à l’OGC Nice de Franck Haise, qui revient en forme. Un choc de L1 intéressant tant les hommes de Roberto De Zerbi suscitent curiosité et quelques doutes aussi, notamment défensivement. Un match débridé qui pourrait nous offrir du spectacle.

Ci-dessous, revue de presse : les compositions d’équipes probables selon le journal L’Equipe. Avec Neal Maupay, nouvelle recrue de la fin août, en position d’avant-centre, Elye Wahi ayant eu des soucis physiques pendant la trêve internationale.

Pour ce match très attendu, et la fête des 125 ans, de nombreux tifos sont attendus dans le stade en avant match, notamment du côté de la tribune des South Winners.

Thibaud Vézirian

John Textor se perd dans les chiffres mais tout va bien à l’OL !

Le patron américain de l’Olympique lyonnais, John Textor, s’est présenté devant la presse mercredi, afin de clarifier la situation financière du club, sujette à bien des débats. Et à rassurer les supporters vis-à-vis du mauvais début de saison. Lyon est 14e de Ligue 1 après 3 journées.

John Textor est un personnage unique. À la tête du Eagle Football Group, il jongle entre plusieurs clubs de football. Tantôt à Botafogo (Brésil), tantôt à Lyon, et parfois entre Crystal Palace (Angleterre) et Molenbeek (Belgique), il s’adapte, étonne et détonne.

En conférence de presse ce mercredi, il a une nouvelle fois fait le show. Quitte à se perdre dans ses chiffres. On peut accuser de tout ce que l’on veut l’homme d’affaires mais John Textor mouille le maillot. Et ose même afficher de hautes ambitions. En France, on préfère généralement l’humilité… Alors quand « JT » annonce « viser le titre » et « concurrencer le PSG« , forcément, ça fait jaser.

Financièrement, le journal L’Equipe a plusieurs fois annoncé cet été que le club avait promis de vendre pour 100M€ de joueurs. Ça n’a pas du tout été le cas (environ 40M€) et cela a donc suscité de l’inquiétude…

« Nous, on a la chance d’être une multinationale qui a de bonnes perspectives, car nous avons accès à du cash par d’autres moyens. J’ai déjà financé personnellement 22M€ avant l’été, et je vais ajouter 40M€ dans les semaines à venir. (…) Nous avons actuellement des dettes fournisseurs avec des délais plus longs que d’habitude. Les retards des droits télé et d’autres clubs qui nous devaient de l’argent ont causé ça. C’est un problème de timing. Tout le monde a été impacté et les dettes fournisseurs ont augmenté en proportion. Je le reconnais, des prestataires ont été mis sous stress. Je les remercie pour leur patience et à la fin de l’été la situation sera réglée. »

Il poursuit avec des chiffres plus précis : « Dans notre budget présenté à la DNCG, nous nous sommes engagés à vendre pour 130M€ mais nous avons aussi prévu d’acheter pour 211M€, et ça personne ne l’a dit. Finalement, nous n’avons vendu que pour 40M€ en dépensant 145M€. Nous n’avons pas atteint notre objectif en termes de transferts. Certains joueurs qui étaient sur le départ ont choisi de rester. Il y a un ajustement à faire, nous avions prévu une balance de -80M€, finalement elle est de -105M€, ce n’est pas une si grosse différence que ça. »

Pas de ventes budgétisées à hauteur de 100M€ donc, mais des ventes moins élevées que prévues, et moins de nouveaux joueurs dans l’effectif… Au 12 septembre, c’est aussi une 14e place en Ligue 1 à vite faire oublier par une remontée au classement.

L’Olympique lyonnais se rend ce week-end sur la pelouse de l’AJ Auxerre, match diffusé samedi à 19h sur DAZN.


Longue discussion au sujet de la communication de John Textor (Olympique lyonnais), ce midi dans le Dèj Foot (12h30-14h30), l’émission live streaming du journaliste d’Entrevue Thibaud Vézirian, à suivre en live sur X et Twitch, ou en replay.

Chili-Bolivie (1-2) : L’attaquant chilien devait-il marquer ou s’arrêter après la blessure soudaine du gardien adverse ?

C’est la polémique qui enfle sur les réseaux sociaux et dans les médias sud-américains. Lors de la rencontre de qualification à la Coupe du monde 2026 entre le Chili et la Bolivie (1-2), l’attaquant Eduardo Vargas intercepte un ballon et file marquer… Alors que le gardien bolivien venait de s’écrouler, sur blessure.

Devait-il marquer (ce qu’il a fait) ou s’arrêter ? 39e minute de jeu, Eduardo Vargas récupère le ballon devant Carlos Lampe, le gardien de la sélection bolivienne, pourtant pas sous pression, et file égaliser. Carlos Lampe perd le ballon en s’écroulant net, tout seul. Il vient de subir une rupture du tendon d’Achille. Il sera tenu hors des terrains pendant 8 à 12 mois…

Manque de fair-play ou manque de lucidité sur l’action ? Le Chilien de l’Atlético Mineiro a bien jeté un oeil derrière lui juste avant de marquer. Mais rien ne l’a arrêté. Sur les réseaux sociaux, le joueur se fait violemment reprendre pour son attitude inadmissible.

Il y a une justice dans le football puisque la Bolivie marquera un nouveau but en toute fin de première période. Et le Chili sera battu (1-2). La Roja reste 9e sur 10 au classement de ces qualifications.

« Pour ne rien vous cacher, on a les larmes aux yeux » : Didier Roustan commente la demi-finale France-Portugal 84

Didier Roustan est décédé à l’âge de 66 ans mais sa trace dans l’histoire médiatico-sportive française restera à tout jamais. Notamment parce qu’il a commentré des matchs mythiques, comme la demi-finale France-Portugal de 1984. Ou encore la Coupe du monde 1994 aux Etats-Unis avec Eric Cantona.

« Pour ne rien vous cacher, on a les larmes aux yeux« . Les émotions foot. Celles que Didier Roustan adorait par-dessus tout. Un geste technique, un petit dribble, une belle passe. Et de grands buts. Comme celui de Michel Platini face au Portugal, en prolongation de la demi-finale de l’Euro 1984.

Le 23 juin 1984 plus exactement, au stade Vélodrome de Marseille. La qualification des Bleus. Les larmes de Didier Roustan et de Michel Denisot. À l’époque, le peuple français n’était pas encore gâté de victoires en Coupe du monde, à l’Euro ou ailleurs. Et quand ce n’est pas le cas, ce sont désormais des finales ou demi-finales…

« Extraordinaire, fabuleux, quelle émotion, on a jamais vu ça ! » : Michel Denisot exulte. Didier Roustan ne peut retenir son émotion. Les commentateurs peinent à poursuivre. Un grand moment de football.

Didier Roustan n’a que 26 ans quand il commente ce match historique. Rendez-vous compte. Une rencontre que La Chaîne L’Equipe rediffuse ce mercredi soir, les droits ayant été généreusement offerts par TF1.

En 2021, 35 ans plus tard donc, Didier Roustan analysait également ce match ébouriffant dans un podcast à écouter ici. Encore et encore.

Pour regarder et écouter d’autres hommages, rendez-vous avec le Dèj Foot, émission quotidienne en streaming sur Twitch/X/Kick/YouTube et TikTok, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.

Didier Roustan (1957-2024) : sa première télé, après un France-Brésil 1978

Le journaliste sportif Didier Roustan est décédé à l’âge de 66 ans. Amoureux du beau jeu et de l’Amérique du sud, véritable bibliothèque d’anecdotes, il s’est éteint des suites d’une fulgurante maladie.

Les hommages ne s’arrêtent pas depuis ce matin, que ce soit des supporters, des fidèles de la télévision ou des collègues qui l’ont croisé au cours de son immense carrière.

Grâce à l’INA (Institut National de l’Audiovisuel), revivez ici sa toute première télévision. Aux côtés notamment de Pierre Cangioni, Christian Quidet, Marc Menant, Georges de Caunes, Pierre Fulla et Marie Mano.

En 1978, il ne venait pas encore à l’antenne en maillot de foot, casquette ou autres légèretés d’aujourd’hui. Didier Roustan était alors un jeune homme doué, passionné et travailleur. Il s’agissait de commenter une rencontre entre la France et le Brésil, la première victoire des Bleus de leur Histoire face aux Auriverde.

Hommages également rendus dans le Dèj Foot, émission quotidienne en streaming sur Twitch, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.