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Nouvelle plainte pour violence contre Joey Starr

Déjà condamné pour violence à plusieurs reprises, l’ex-rappeur et comédien Joey Starr, de son vrai nom Didier Morville, est visé par une enquête pour des violences sur son plus jeune fils. La plainte a été déposée par la mère de l’enfant.

Joey Starr rattrapé par la justice, une nouvelle fois. Celle de trop ? L’enquête est en cours, Didier Morville est soupçonné de violences envers son plus jeune fils de 9 ans, informe l’AFP, ce vendredi 12 juillet, confirmant une information du Parisien.

La Brigade de protection des mineurs de la police judiciaire de Paris s’est saisie du dossier. Le comédien de 56 ans aurait commis ces faits graves à son domicile parisien. La plainte a été déposée le mercredi 10 juillet au commissariat de Nogent-sur-Marne. Des faits de violence consécutifs à un mauvais « apprentissage d’un geste hygiénique ».

Didier Morville a déjà été condamné plusieurs fois par la justice par le passé. Il avait notamment publiquement commis déjà des actes de violence, reconnu coupable de « mauvais traitement » envers un singe appartenant à une espèce protégée, en 2002. Plus tard, en 2009, il a été condamné à trois mois de prison ferme et à 2000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris. Il avait brutalisé son ancienne compagne et mère de deux de ses enfants.

L’ex-rappeur du duo NTM est père de trois garçons : Matisse, 18 ans, et Khalil, 16 ans, puis Marcello, 9 ans, né d’une autre union. Sans gêne, il déclare encore la semaine dernière « avoir peur » pour ses enfants si l’extrême droite passe au pouvoir.

Les images de l’incident raciste en Espagne, un Français visé

Mauvaise publicité pour LaLiga, le championnat espagnol. Déjà confronté régulièrement à des actes de racisme honteux dans ses tribunes, rebelote ce samedi. Alors que le Real Madrid se déplaçait sur la pelouse de Majorque, dans le cadre de la 31e journée.

Le leader du championnat espagnol est allé chercher une victoire importante (0-1) en vu du titre. Surtout dans un match coincé entre deux rencontres capitales de quart de finale de Ligue des Champions face à Manchester City. L’entraîneur Carlo Ancelotti avait donc fait tourner son effectif, mais titularisé son taulier, le Français Aurélien Tchouaméni.

Seul et unique buteur du jour, l’ancien bordelais et monégasque est allé célébrer devant les tribunes. Comme le font tous les footballeurs. C’est là qu’un énergumène présent en tribunes a jeté une bouteille puis l’a moqué via des cris de singe.

Les images de la Movistar sont sans équivoque. Et ce n’est pas le jeune âge de ce pseudo supporter qui en fera une circonstance atténuante. De même, personne ne bouge en tribunes. Situation normale ? Situation aberrante.

Déjà, il y a un an, toujours à Majorque, le Brésilien du Real Madrid, Vinicius, avait aussi été victime de racisme. Un fléau que les instances peine visiblement à endiguer avec des mesures fortes.

Hier soir, via un communiqué, le club majorquin annonce avoir activé le protocole contre la violence dans le football et collabore avec la police nationale pour identifier le fautif. Sans convaincre, le RCD Majorque écrit « ne tolérer aucune manifestation de racisme et participer activement à toutes les campagnes visant à éradiquer ce fléau qui dépasse le sport. »