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Plus efficace, l’OM fête ses 125 ans par une victoire, le bijou de Luis Henrique

L’Olympique de Marseille fête dignement ses 125 ans avec une 3e victoire en 4 matchs de Ligue 1 cette saison. Si l’OM a terminé la rencontre à 10, Nice a manqué de réalisme pour pouvoir espérer mieux. Marseille est leader provisoirement, en attendant PSG-Brest, ce samedi soir.

Dans un match cadenassé, il faut souvent miser sur un éclair de génie d’un joueur formidable ou sur une erreur de l’adversaire. Il y a eu un peu des deux pour l’Olympique de Marseille, ce samedi après-midi.

Alors que le club fêtait ses 125 ans en grande pompe, avec deux jolis maillots en série limitée, l’objectif était d’offrir une première victoire cette saison en championnat devant son (extraordinaire) public.

Des tifos splendides, une ambiance de feu… Et quelques changements dans la composition d’équipe de Roberto De Zerbi pour commencer le match. Exit Elye Wahi, gêné par des soucis physiques cette semaine, place à la recrue Neal Maupay.

Et c’est bien lui, l’ancien Niçois, qui a débloqué la rencontre. Dans un match fermé, avec peu d’occasions de buts, l’ex-attaquant d’Everton a profité d’un mauvais jugement de la défense adverse pour marquer de la tête, en renard des surfaces (1-0, 40e). Le match est enfin lancé.

Face à de timides et peu réalistes niçois, à l’image d’Evan Guessand qui a manqué de justesse dans la surface olympienne, Nice n’y a jamais vraiment cru.

Melvin Bard a touché le poteau de Geronimo Rulli, d’une somptueuse reprise de volée, puis Rosario a également manqué d’efficacité, après un ballon relâché par Geronimo Rulli. Le gardien argentin n’était pas dans un grand jour mais il a connu beaucoup de réussite, c’est bon signe.

En seconde période, Nice ne semble jamais en mesure de revenir : pas de penalty sur un accrochage entre Mason Greenwood et Ali Abdi… Tous les moments clés du match ont tourné en faveur de l’OM.

Quand on revoit le petit numéro réalisé par Luis Henrique, auteur d’un but splendide suite à une remise d’Amine Harit, il ne pouvait en fait rien arriver aux Olympiens. Avec un Pierre-Emile Højbjerg, capitaine, toujours aussi serein, cette équipe sait ce qu’elle doit faire et sait où elle va. Ce qui change déjà beaucoup par rapport à la saison dernière.

Même l’exclusion sévère de Derek Cornelius, pour avoir gagné du temps (second carton jaune), n’a pas fait tanguer le bateau bleu et blanc. L’Orange Vélodrome est en fête, l’OM est leader.

L’OM s’amuse à Toulouse, Greenwood encore décisif (1-3)

Quand Mason Greenwood va, tout va. Les supporters de l’OM n’ont pas de souci à se faire quand leur milieu offensif anglais est aussi efficace. Encore double buteur, ce vendredi soir, à Toulouse (1-3), en ouverture de la 3e journée de Ligue 1, l’ex-joueur de Manchester United régale tous les suiveurs.

Il n’y a pas eu match. Ou presque. Le duel entre le TFC et l’OM a duré une dizaines de minutes. Le temps pour l’Olympique de Marseille de Roberto de Zerbi d’imprimer son tempo, de se montrer patient et appliqué pour contourner le bloc toulousain d’abord sérieux, puis désabusé.

Car après avoir encaissé deux buts en deux minutes, d’abord sur une belle action collective marseillaise conclue par un tir croisé de Mason Greenwood (0-1, 16e) puis suite à une grosse erreur défensive, dont l’OM a bien profité, avec à nouveau Mason Greenwood à la finition (0-2, 18e), Toulouse a sombré.

Deux buts à remonter, ça se fait. Mais quand Franck Magri, maladroit (plus que méchant) sur un duel avec Geoffrey Kondogbia, voit son pied heurter le genou de son adversaire, Stéphanie Frappart n’hésite pas et sort le carton rouge. Mettant fin à la 27e minute de jeu à tout suspense pour le public du stadium et pour les téléspectateurs de DAZN (et aussi ceux sur IPTV…).

En seconde période, Mason Greenwood aurait même pu signer un triplé, mais sa reprise s’est envolée dans le ciel toulousain. Alors c’est le brouillon mais utile Luis Henrique d’un tir (manqué) du plat du pied qui creuse l’écart… Grâce à la déviation dans son propre but d’un défenseur toulousain (0-3, 52e).

Roberto De Zerbi donne ensuite du temps de jeu à Jonathan Rowe, Valentin Carboni ou au nouveau venu Neal Maupay, mais aussi à Valentin Rongier et à Bamo Méité, pourtant invité à partir de façon surprenante en août.

Marseille gère et se déconcentre un peu. En toute fin de match, une sortie ratée du gardien argentin Geronimo Ruli permet au Téfécé de sauver l’honneur (1-3, 90e).

Mais les satisfactions sont nombreuses côté olympien : récupérations hautes et projections rapides, notamment. Individuellement, impossible de ne pas mentionner la nouvelle performance splendide du Danois Pierre-Emile Højbjerg, qui n’a pas besoin de marquer ou faire marquer pour briller. Le vrai catalyseur du jeu, c’est lui, il imprime le tempo et aide toute l’équipe à garder le sens du collectif.

L’OM est leader provisoire du championnat, en attendant notamment les matchs de Monaco (face à Lens) et du PSG (à Lille), dimanche.

Un collectif retrouvé, le festival du PSG face à Montpellier (les 6 buts en images)

« Ils ont eu la malchance de nous croiser sous notre meilleur jour« , les propos de Luis Enrique adouciront peut-être un peu la déception montpelliéraine après la claque reçue, vendredi soir, au Parc des Princes (6-0), en ouverture de la 2e journée de Ligue 1.

Un PSG proche de la perfection. Un match à sens unique. Et déjà 10 buts en deux journées pour les Parisiens au collectif retrouvé. Cela fait plusieurs saisons maintenant, certainement vers 2016, que l’on n’avait plus vu pareille démonstration collective du Paris-SG.

« 16 stars en attaque et 16 stars en défense. C’est ça la perfection. C’est ça que l’on recherche« , a expliqué l’entraîneur parisien, Luis Enrique, en interview d’après-match. D’entrée de jeu, le PSG a asphyxié une équipe de Montpellier venue pour défendre fort et contrer. Malheureusement pour eux, l’ouverture du score rapide a mis à mal leur stratégie. Définitivement.

Après une récupération de balle haute, Bradley Barcola se trouve à la finition de l’action : un nouveau déboulé côté gauche, un tir qui heurte le poteau avant de rentrer, le Parc des Princes qui explose de joie. Paris est lancé (1-0, 4e) et Montpellier va vite couler.

Vingt minutes plus tard, Paris assoit sa domination par une action collective magnifique : Barcola centre en retrait, en une touche de balle, Joao Neves, délicieux encore ce soir, trouve Asensio qui conclut (2-0, 24e). Le Portugais de 19 ans en est déjà à 4 passes décisives après deux journées. Époustouflant.

Montpellier n’a que deux buts de retard à la pause. Mais va totalement craquer en seconde période. 3-0 à la 53e minute de jeu, doublé de Bradley Barcola, bien servi par Ousmane Dembélé.

Puis ça s’enchaîne fort : Achraf Hakimi (58e) et Warren Zaïre-Emery (60e) iront aussi de leur but avant l’heure de jeu ! 60e, Paris mène 5-0... Domination dans tous les compartiments du jeu et solidité défensive intéressante, avec l’apport majeur de l’Equatorien Willian Pacho, arrivé cet été de Francfort.

Pas réputé comme le plus dribbleur ou comme un vrai milieu-buteur, Warren Zaïre-Emery dévoile d’autres talents qui composent sa déjà large palette, lui qui n’a encore que 18 ans. Contrôle en mouvement et petit pont pied gauche, sacré numéro avant d’ajuster Lecomte du pied droit. Remarquable.

La nouvelle recrue, Désiré Doué, entre même en jeu et régale déjà le Parc de sa technique. Le PSG s’amuse, Luis Enrique jubile. Si tôt dans la saison, Paris montre une force collective impressionnante. Même si c’est à relativiser tant ses deux premiers adversaires semblent être des clubs directement concernés par la course pour le maintien.

En fin de match, le Sud-coréen Kang-In Lee ira aussi de son joli but, d’une frappe soudaine, sans opposition. Montpellier n’y est plus.

Déjà leader de Ligue 1 après deux journées et un énorme goal-average, Paris se rendra à Lille dimanche 1er septembre pour un vrai choc, un vrai test grandeur nature. Mais cela faisait bien longtemps que Paris n’avait pas étalé sur une rencontre entière autant de qualités collectives.

Le show Cherki-Mateta après la nette victoire de la France Olympique (4-1)

Lancée vers les Jeux Olympiques. L’équipe de France olympique de football de Thierry Henry a démarré poussivement son match de préparation face au Paraguay, ce jeudi soir, avant de s’en sortir facilement (4-1).

Ils ont été surpris. Puis ont bien réagi. Les joueurs de Thierry Henry avaient le sourire en sortant du terrain, ce jeudi soir, à Bayonne. Dans ce match de préparation pour les Jeux Olympiques de Paris 2024, la France affrontait le Paraguay, sans grande certitude. Mais avec un résultant probant.

Avec une liste amoindrie par le départ forcée de Kephren Thuram, dont son futur club (la Juventus Turin) ne souhaite pas qu’il participe à l’épreuve, Thierry Henry a procédé à une large revue d’effectif.

Menée au score sur un but rapide du milieu de terrain paraguayen Salcedo, la France met du temps à se remettre de l’avant. Mais petit à petit, un rouleau compresseur se met en place. Collectivement et individuellement. De bon augure.

À l’image du but du 4-1, dont l’action collective est conclue par le Rennais Arnaud Kalimuendo, la France a fait le plein de confiance. L’attaquant de Crystal Palace Jean-Philippe Mateta, titulaire en pointe avec le capitaine Alexandre Lacazzette, s’est aussi mis en évidence en égalisant avant la pause.

Après la rencontre, place à la rigolade. Le show Cherki-Mateta ! L’ancien lyonnais, Jean-Philippe Mateta, et le sans doute futur ex-lyonnais, Rayan Cherki, n’ont pas laissé Giovanni Castaldi (La Chaîne L’Equipe) en placer une.

Interrogé sur le déroulé de l’action du but d’Arnaud Kalimuendo, Jean-Philippe Mateta coupe la parole : « Magnifique ! Magnifique ! ». « Laisse le parler », rigole Rayan Cherki. « Non ! C’est magnifique ! », sourit son compère. « Je n’ai pas beaucoup joué avec mon ami JP mais beaucoup de plaisir », raconte Rayan Cherki, entré en jeu à la pause. Vingt minutes en commun, le temps de redresser les Bleus et passer devant. Les deux joueurs ont même marqué, Rayan Cherki ayant conclu l’action du 3-1.

Les Bleus affronteront les Etats-Unis le mercredi 24 juillet à Marseille puis la Guinée, 3 jours plus tard, et enfin, la Nouvelle-Zélande, le mardi suivant. Trois rencontres en six jours. Intense programme.

Le signe des loups gris en plein match de l’Euro, l’UEFA va-t-elle sanctionner ?

« Non au racisme ». C’est le slogan prôné par la plus haute instance européenne de football depuis des années. Mardi soir, lors du dernier huitième de finale de l’Euro 2024, le défenseur turc Demiral a célébré son but par le signe des loups gris, un mouvement terroriste interdit en France.

Le majeur et l’annulaire touchent le pouce, l’index et le petit doigt pointent vers le haut comme des oreilles de loup. Le signe des loups gris, ou mouvement Ülkücü, un groupe nationaliste qui appelle à la violence et à la haine. Notamment envers les populations kurdes et arméniennes. Un geste qui n’a rien à faire sur un terrain de football. Encore moins lors d’un huitième de finale de l’Euro.

Merih Demiral a gâché la fête turque, une splendide victoire face à l’Autriche (2-1) au terme d’un match passionnant.

L’UEFA doit rapidement prendre des sanctions contre le joueur, alors que le fléau de l’extrême droite prend de l’ampleur un peu partout. Les loups gris sont un groupe considéré comme raciste et d’extrême droite. Tout ce dont ne veut pas l’instance européenne du football. Les loups gris ont même pour ambition de créer un empire qui regrouperait « tous les peuples turcs ».

Sur les réseaux sociaux, le joueur subit les foudres de bon nombre de compatriotes et autres supporters de football du monde entier.

En France, l’organisation est interdite depuis 2020, suite à des faits de violence, d’appel au meurtre, de racisme et de xénophobie. En Autriche, il est interdit de faire ce signe également. Mais il est bien autorisé en Allemagne. Tout du moins, rien ne l’interdit. Pas de délit pour Merih Demiral. L’UEFA condamne pourtant régulièrement les provocations politiques lors des matchs de football, des gestes aussi inappropriés que dangereux, attisant la haine entre les peuples. Tout le contraire du football.

Sur X, le défenseur turc a publié la photo de sa célébration. En conférence de presse, il se défend moins bien que sur le terrain : « La façon dont j’ai célébré a quelque chose à voir avec mon identité turque. » Comprenez, identité nationaliste et violente ?

« J’ai vu des gens dans le stade qui ont aussi fait ce geste. » Il a dû déjà voir aussi des doigts d’honneur dans les stades sans pour autant en faire une célébration… « Nous sommes tous turcs, je suis très fier d’être turc, et c’est le sens de ce geste. » Malheureusement, non, ce n’est pas le sens de ce geste.

En attendant une logique suspension de la part de l’UEFA, la Turquie jouera samedi en quart de finale contre les Pays-Bas à 21 heures.

Grosse polémique après la qualification de l’Allemagne en quarts de finale de l’Euro

Malgré les intempéries, malgré de solides Danois, l’Allemagne se sort du piège des huitièmes de finale et verra les quarts. Une victoire 2-0 face au Danemark mais une victoire pas si nette que cela… Explications.

L’Allemagne attend l’Espagne de pied ferme en quarts de finale de l’Euro. À moins que la Géorgie ne crée une immense surprise. L’affiche serait belle. Mais avant cela, la Mannschaft a dû batailler ferme pour éliminer les Danois de Kasper Schmeichel.

Dans une rencontre interrompue par de violents orages, les 22 acteurs ont eu toutes les peines du monde à ouvrir le score. Et comme souvent dans le football, c’est juste après qu’une occasion nette vous soit refusée que vous encaissez un but.

Le Danemark enrage. Au retour des vestiaires, alors que l’orage traîne encore dans les parages, les Danois dominent, poussent fort. L’ancien lyonnais Andersen pense même ouvrir le score après un cafouillage en pleine surface. La VAR annule sa réalisation pour un hors-jeu au millimètre, une règle aberrante qu’il va falloir revoir très vite, tant elle va à l’encontre de l’esprit du football. Un but refusé qui fera énormément parler.

Car dans les secondes qui suivent. L’Allemagne reprend le jeu à son compte. Sur le côté droit de la surface, Andersen, encore lui, est coupable de ne pas ranger sa main droite derrière son dos. Le centre allemand vient effleurer son bras. La VAR indique à l’arbitre le point de penalty : 1-0, Kaï Havertz (53e). Le Danemark enrage puis perd le fil du match.

Si on récapitule : un but du Danemark refusé pour 3 centimètres, alors que le départ du ballon est en fait impossible à juger à la VAR avec autant de précision. Le penalty pour l’Allemagne pour une main clairement involontaire et non préjudiciable pour la suite de l’action. Et enfin, si on regarde bien, sur le penalty de Kai Havertz, il coupe sa course d’élan et marque. Ce qui aurait pu être sanctionné.

À la 68e minute, un des meilleurs joueurs du tournoi, Jamal Musiala, met fin à tout suspense (2-0). Pour son Euro, à domicile, l’Allemagne voit les Dieux du football oeuvrer en sa faveur… Place à la suite.

Première sensation de l’Euro : la Belgique surprise par la Slovénie (VIDEO)

Romelu Lukaku homme du match. Dans le mauvais sens du terme. La Belgique battue par la Slovénie (0-1), voilà la première sensation de cet Euro 2024 en Allemagne. Et l’attaquant de l’AS Roma n’a pas brillé, loin de là, se voyant même refuser deux buts !

Sale soirée pour les Belges. Prétendants au titre, même s’ils partent avec du retard sur l’Angleterre, l’Allemagne ou la France, les hommes de Domenico Tedesco ont buté sur de valeureux slovènes.

En encaissant l’ouverture du score très tôt dans cette rencontre (0-1, 7e), la Belgique s’était mise en mauvaise position. La Slovénie a su ensuite faire le dos rond pour obtenir ces 3 points capitaux. Mais c’est surtout la réussite qui a fuit les Belges. Dés le début du match, un déboulé de l’ancien rennais Jérémy Doku aurait dû permettre aux Diables rouges de prendre les devants. Mais Romelu Lukaku a manqué de justesse. Tout comme Leandro Trossard avant la pause.

L’attaquant vedette des Diables rouges Romelu Lukaku butera à nouveau sur le portier slovène… avant de se voir refuser deux buts ! D’abord pour une position de hors-jeu étudiée méticuleusement à la VAR. Et enfin, en fin de match, il égalise mais l’ancien lensois Loïs Openda s’était emmené le ballon d’un geste de la main. Soirée ratée.

Un gros nom du football européen tombe d’entrée dans cette phase de poules. En espérant que la deuxième surprise de la compétition ne soit pas une contre-performance des Bleus ce soir, face à l’Autriche.

Comme promis, Cédric Doumbé met KO Willis ! Pettis est le prochain

Cédric Doumbé est un homme de parole. Sauf quand il a une épine dans le pied. De retour dans l’octogone à l’occasion du Bellator, grand show de MMA à Paris, le fantasque Doumbé n’a pas fait de détails. Face à l’Américain Willis, Jaleel Willis, le combat n’a même pas duré 3 minutes 30.

Comme à son habitude, dés son entrée, Cédric Doumbé met la salle à ses pieds. Entertainer de génie, il séduit autant qu’il agace. À peine sorti des vestiaires, le voilà aspirateur à la main en train de nettoyer le plancher… Histoire de vérifier par lui-même qu’aucune écharde ne viendra cette fois le freiner !

Dans les semaines précédents le combat, certes moins bavard que face à Baki, il avait tout de même promis le KO à la première reprise. Chose promise, chose due. Enchaînement ultra rapide, Willis est acculé, l’arbitre n’a d’autres choix que de le déclarer TKO !

Dans un premier round endiablé, Cédric Doumbé et Jaleel Willis se rendent coup pour coup. Mais aller à la bagarre de la sorte face à Cédric « t’es mort » Doumbé est un grand risque pris. D’autant plus quand Cédric Doumbé combat à domicile. Sous les yeux du basketteur Victor Wembanyama, conquis par le spectacle, Cédric Doumbé a montré son vrai visage.

Et même si Jaleel Willis a su mettre le franco-camerounais au sol, on a rapidement constaté la supériorité de l’ex-star du kickboxing. À l’aise, revanchard par rapport à sa défaite surprenante face à Baki en mars, Cédric Doumbé a remis les pendules à l’heure.

Ci-dessous, une autre image du show Doumbé, un divertissement en permanence. Le croyant touché au sol, son adversaire se rue sur lui. Le Français esquive à la vitesse de la lumière et lui lâche un grand sourire. Showman, arrogant, Cédric Doumbé sait que c’est à double tranchant. Ce soir, il a assuré.

Après le combat, alors que Cédric Doumbé était interviewé, l’ex-champion poids légers UFC Anthony Pettis fait irruption sur le ring. Pour lui lancer un défi ! En France. Défi accepté, Cédric Doumbé connaît déjà son prochain adversaire, un Américain de 37 ans d’un tout autre calibre, s’il est en forme…