Serait-ce le retour des embrouilles entre Parisiens et Marseillais ? Un ancien marseillais, Renan Lodi, et un ancien parisien, Neymar, viennent de pousser le bouchon un peu loin… Ce qui n’était qu’une blague a dérapé.
Quand l’ex-défenseur latéral gauche de l’OM et de l’équipe du Brésil a choisi d’aller taquiner Neymar en lui attachant les lacets de ses chaussures, il ne s’attendait sûrement pas à pareille réplique. L’ex-star du PSG et de l’équipe du Brésil, encore en convalescence longue durée suite à une blessure au genou, n’a pas vraiment apprécié qu’on l’embête.
Au lieu de réagir à hauteur de la blague de son coéquipier d’Al Hilal (Arabie Saoudite), il a été beaucoup plus loin. Beaucoup trop loin. Preuve de sa déconnexion du monde réel, Neymar lui a tout simplement crevé les pneus de la voiture de luxe de Renan Lodi ! Sous les rires de ses amis. Surréaliste. L’enfant gâté du football mondial a encore dépassé les bornes… De quoi choquer ses détracteurs. Mais il s’en moque, on le sait.
Quelques petits malins sur les réseaux sociaux ont extrait la vidéo où l’on voit Neymar crever les pneus pour aller dire qu’il s’en prenait à la voiture de Kylian Mbappé, devenu un peu son ennemi depuis son départ de Paris… Faux, bien sûr.
Kylian Mbappé au Real Madrid, c’est comme si c’était officiel. En attendant, l’attaquant a rejoint les Bleus pour préparer l’Euro 2024 en Allemagne. Il en a profité aussi pour se confier à CNN. Le média américain l’a notamment interrogé sur sa prolongation de contrat au PSG en 2022…
Cette interview donnée dans le cadre des Globe Soccer Awards Europe, dont il a été élu meilleur joueur masculin, va beaucoup faire parler à Paris. En fin d’été 2021 puis à l’été 2022, il a été question de son départ au Real Madrid. Déjà. Concrètement. Mais le PSG l’avait fermement bloqué.
160M d’euros, puis 180M d’euros, les Madrilènes avaient frappé fort pour racheter la dernière année de contrat du buteur. Le joueur et son entourage sentent alors que c’est le bon moment pour tout le monde de se quitter. Ce n’est pas l’avis de la direction parisienne. Kylian Mbappé s’en explique : « C’était plus que simplement rester au PSG. Il y avait la Coupe du monde au Qatar. Il y avait beaucoup de choses autour de tout ça. C’était une grosse décision, une décision difficile… Mais je ne regrette rien ».
Contraint forcé de rester, l’attaquant est resté très professionnel et a continué à empiler les buts. La déception n’a donc été que de courte durée. Même si une certaine frustration a pu le faire cogiter. Logique. Les objectifs Coupe du monde 2022 et Ligue des champions l’ont bien vite occupé.
« Bien sûr, dans une carrière, tu dois prendre des décisions compliquées et c’est ce que j’ai fait. Mais je suis devenu le meilleur buteur de l’histoire du club et je veux juste me rappeler des bonnes choses. Ce n’était pas une situation facile et je ne souhaite à personne de vivre ça », témoigne le futur attaquant du Real Madrid dans un anglais toujours aussi parfait.
La fin de son histoire parisienne aura été un peu moins reluisante : mis au ban par son coach Luis Enrique depuis février, pas célébré comme il se doit pour son dernier match au Parc des Princes, des tensions sur le plan financier pour lui verser son salaire d’avril et certaines primes… De quoi le toucher mentalement. On comprend mieux pourquoi son niveau de jeu avait baissé depuis quelques mois.
La fête du football a encore une fois été gâchée par quelques individus.Samedi, à quelques heures de la finale de Coupe de France remportée par le PSG (1-2), des affrontements ont eu lieu entre supporters lyonnais et parisiens, sur l’autoroute A1.
Plus de 24 heures après les faits, l’heure est au bilan. La Préfecture du Nord fait le point sur la situation : « Les forces de sécurité ont procédé à 10 interpellations, dressé 8 amendes forfaitaires délictuelles et sont intervenus pour 1 ivresse publique et manifeste ».
On apprend ensuite dans le communiqué que « 8 policiers ont été légèrement blessés. 14 supporters ont nécessité une prise en charge médicale. Un bus a été incendié et 2 autres endommagés ». Si l’enquête policière est en cours pour connaître les causes des incidents, L’Equipe a déjà remonté le fil de ces tristes bagarres.
Selon le média sportif, le car de supporters lyonnais n’avait rien à faire là, en face de ceux des Parisiens, à hauteur du péage. C’est une erreur manifeste des autorités. Les responsabilités seraient donc partagées, ce qui n’enlèverait en rien la bêtise de ces individus. «Le cabinet du ministère de l’Intérieur a donc (encore une fois) transformé la réalité dans sa communication : il y avait bien une escorte policière avec les cars lyonnais, et elle les a emmenés au mauvais endroit, au mauvais moment », insiste le journaliste Hugo Guillemet sur X.
Chaque camp se renvoie ainsi la balle. «L’OL a toujours un énorme problème à régler sur les déplacements avec des mecs bourrés/racistes/violents», poursuit le journaliste qui suit l’Olympique lyonnais.
Autre grave problème concernant l’OL : de graves incidents racistes ont eu lieu en marge de cette finale. « Ils disaient « on va taper du noir » et ils faisaient des cris de singe, ça a duré tout le trajet, toujours les mêmes gars. Moi qui ne suis pas raciste pour un sou, ça me saoule d’être affilié à ces gens-là. Ils étaient alcoolisés dès le matin… », ajoute L’Equipe, concernant le déplacement de supporters lyonnais jusqu’à Lille, samedi.
Sans parler des actes racistes filmés lors de la diffusion du match au Groupama Stadium, samedi soir. Deux individus au premier rang sont pris en flagrant délit de violence envers deux jeunes femmes, dont l’un apparaît voilée. Selon les témoins de la scène, les coups portés font suite à plusieurs mots déplacés. Sous couvert de l’explosion de joie au moment du but lyonnais, un homme violente sciemment une jeune femme.
Et plusieurs témoignages évoquent aussi des insultes racistes lorsque Ousmane Dembélé (PSG) apparaissait sur les écrans géants… Un fléau que le club va devoir vite réprimander. Car cela fait des années que ça dure. L’OL a promis via un message sur X de faire la lumière sur cette affaire.
Autre témoin ayant vécu la même scène de racisme et de violence samedi soir :
L’Olympique lyonnais a longtemps espéré un scénario fou. Mais le PSG n’a pas cédé. Dominateurs en première période, les Parisiens ont pris le large (0-2) avant de connaître plusieurs frayeurs en seconde période. Les deux gardiens se sont illustrés. Mais c’est bien le Paris-SG qui remporte sa quinzième Coupe de France (1-2). Lyon n’a plus gagné de titres depuis 2012.
La Marseillaise, Emmanuel Macron qui salue les joueurs un par un, 46 000 spectateurs en liesse, ce stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille chauffé à blanc : tout est réuni pour une grande soirée.
Éliminée prématurément en 2022 et 2023, l’équipe entraînée par Luis Enrique renoue avec ce trophée si cher aux supporters. Bien que parfois malmenés par de coriaces lyonnais, les Parisiens avaient fait le plus dur en ouvrant rapidement le score. Ousmane Dembélé, tout heureux se retrouver à la réception d’un centre en pleine surface, trompait Lucas Perri, pas aidé par Duje Caleta Car, ni Saïd Benrahma (0-1, 22e).
Le PSG bouscule encore et encore les Lyonnais. Si bien que Fabian Ruiz double la mise douze minutes plus tard, en deux temps, à la réception d’un centre au second poteau (0-2, 34e). Revenus de si loin cette saison (les Lyonnais étaient relégables toute la première partie de saison), les hommes de Pierre Sage trouvent à nouveau les ressources pour revenir fort.
Leur seconde période leur a prouvé qu’ils pouvaient rivaliser avec ce PSG si habile balle au pied mais qui offre énormément d’espaces défensivement. D’autant que Paris n’a pas pu compter sur un grand Kylian Mbappé, comme depuis février, date à laquelle son entraîneur a décidé de se passer de lui régulièrement. Très vite Jake O’Brien, d’une tête rageuse sur corner, bat Gigi Donnarumma, pourtant si fort sur sa ligne ce soir encore (1-2, 55e).
Lyonnais et Parisiens vont alors se rendre coups pour coups (sans mauvais jeux de mots vu ce qu’il s’est passé en avant match sur l’autoroute A1) : des occasions de part et d’autre. Pour de grands arrêts de gardiens. Le spectacle est là.
Paris finit par remettre le pied sur le ballon et fait défiler le chrono. L’Olympique lyonnais échoue de peu à emmener les Parisiens en prolongation. Paris remporte sa quinzième Coupe de France. Un doublé Coupe-Championnat (sans oublier le Trophée des champions) attendu mais pas toujours simple à réaliser.
Avant même la remise du trophée, Kylian Mbappé est porté en triomphe par ses coéquipiers. La fin d’une belle partie de sa carrière, chez lui. Sept saisons de hauts et de bas. Plus long que prévu initialement. Il est maintenant largement temps pour lui de rallier le Real Madrid.
Encore des images qui ternissent l’image du football. En marge de la finale de la Coupe de France, ce soir, à Lille, entre le PSG et l’Olympique lyonnais, de violents affrontements ont eu lieu sur l’autoroute à hauteur de Fresnes-lès-Montauban, à une soixantaine de kilomètres de Lille.
Deux bus auraient pris feu rapidement, l’un des deux seraient sérieusement endommagés, tout cela un peu plus de deux heures avant le coup d’envoi de cette finale très attendue.
D’après des informations de France TV, « la barrière de péage » a été « partiellement incendiée ». «Il s’agissait d’un point de récupération des bus de supporters avec une force mobile en place CRS », selon leur même source policière.
Alors que des milliers de supporters parisiens et lyonnais animaient depuis le début de la journée les rues lilloises, il a donc fallu que des actes de violence gâchent la fête. Des supporters violents facilement identifiables puisque munis de billets nominatifs et certainement reconnaissables sur les différentes caméras de surveillance présentes sur les lieux. Sur BFM TV, Emmanuel Macron a rapidement estimé que cela ne remettait pas en cause la bonne tenue de la rencontre.
Les supporters du PSG effectuant le déplacement en bus avec les associations de supporters avaient pour consigne de se rejoindre sur le parking situé juste après le péage de Fresnes-lès-Montauban, afin d’être pris en charge par les forces de l’ordre qui devaient ensuite les escorter jusqu’au stade. À leur arrivée, des bus de supporters lyonnais se trouvaient alors de l’autre côté du péage. C’est là que les bagarres ont éclaté.
Vers 19 heures, le calme était revenu. Même si certains policiers ont été blessés, tout comme des supporters des deux camps. Certains bus ont pu reprendre leur chemin vers le stade.
Le football français souhaite terminer sa saison de la plus belle des manières. Avec un grand spectacle, ce samedi soir, au stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille, pour l’affiche PSG-OL, les deux équipes les plus en forme en 2024.
Privé de Coupe de France depuis deux ans, Paris veut renouer avec le succès. Une quinzième Coupe de France ? C’est l’objectif. Mais Lyon, qui n’a plus connu de titres depuis 2012, veut aussi soulever le trophée mythique. L’Olympique lyonnais reste sur six mois impressionnants, après avoir été classé dernier du classement pendant les premiers mois de championnat.
Du côté du PSG, en tout cas, aucune animosité, juste l’envie de gagner : « Finissons sur la plus belle des notes ». Comme l’a rappelé vendredi le Collectif Ultras Paris (CUP) via un communiqué posté sur leurs réseaux sociaux.
Dans le camp lyonnais, les joueurs ont reçu un soutien de choix : l’emblématique Karim Benzema a choisi de parler via les réseaux sociaux du club afin de motiver les troupes. « S’il vous plaît, éteignez-les », effet garanti. Lui qui évolue toujours en Arabie Saoudite pourrait-il revenir cet été chez lui à Lyon pour une dernière pige ?
Avant d’assister à un grand match, il faudra d’abord que le public soit accueilli en toute sécurité. La rencontre est classée 5 sur 5 par la Division nationale de lutte contre le hooliganisme. Les autorités se montrent particulièrement vigilantes tant il semble aisé de venir d’Angleterre, de Belgique, des Pays-Bas ou d’ailleurs pour semer la pagaille. Le hooliganisme n’est jamais loin du football. Encore en 2024.
Chose logique mais amusante : les personnes « se prévalant de la qualité de supporter du LOSC » sont interdites dans leur propre stade.
Ainsi, pour encadrer les 30 400 supporters (15 200 par club), la préfecture du Nord a mobilisé 1 000 forces de l’ordre. Des policiers de la force Sentinelle. Un dispositif massif afin d’éviter tout débordement. Et ne pas gâcher le match de clôture de cette grande saison de football en France. Ensuite, place à l’Euro, dés le 14 juin, en Allemagne.
Certains trouvent cela ridicule, d’autres jugent cela tout à fait logique. Emmanuel Macron, en super ambassadeur des Jeux Olympiques de Paris 2024. À l’occasion de la grande réception des 120 ans de la FIFA à l’Elysée, le Président de la République a tenté de faire flancher Florentino Perez, le grand patron du Real Madrid. Mais ce dernier était aussi venu parler Super Ligue… Plongée dans les coulisses.
Alors que la FIFA venait à l’Elysée fêter en grande pompe ses 120 ans, d’autres décisions importantes se jouaient en coulisses. Les sourires sont de sortie, Emmanuel Macron accueille « chez lui » au Palais de l’Elysée les grands représentants du football. Mais aussi certains joueurs ou anciennes gloires.
L’ailier international français Ousmane Dembélé (PSG) apparaît sur les photos, tout comme la consultante Jessica Houara-D’hommeaux, l’ex-champion du monde 1998 Bernard Diomède ou encore l’ambassadeur FIFA Youri Djorkaeff, champion du monde 98 passé par le PSG, l’Inter Milan ou l’AS Monaco.
À cette occasion, le président de la FIFA Gianni Infantino et les représentants des sept membres fondateurs de la FIFA (Belgique, Danemark, France, Pays-Bas, Suède et Suisse, ainsi que le Real Madrid pour l’Espagne) ont signé un certificat célébrant cette date symbolique. Un certificat réalisé comme une réplique exacte de l’acte signé en 1904.
« Nous sommes ici pour remercier, pour se souvenir, pour célébrer. Nous nous devons de commencer par rendre grâce à ceux qui étaient ici, au 229, rue Saint Honoré, il y a 120 ans, comme Robert Guérin, le premier Président de la FIFA. Un groupe de rêveurs, de visionnaires représentant six pays et un club, qui représentait lui-même un pays : Madrid FC (le Real Madrid), ambassadeur de l’Espagne. Ils l’ont fondée il y a 120 ans – la FIFA. Nous devons les remercier pour cela », a affirmé le Président de la FIFA.
Gianni Infantino a ainsi dévoilé une plaque commémorative positionnée près du 229 rue Saint Honoré à Paris, là où la FIFA a été créée.
D’après nos informations, au cours de cet événement symbolique, Emmanuel Macron a pu s’entretenir avec Florentino Perez. Le président du Real Madrid, parmi les hommes les plus influents du football mondial, savait que le dossier Kylian Mbappé reviendrait sur la table. Non pas concernant son transfert du PSG vers le club madrilène, c’est acté et tout le monde l’a accepté. Mais plutôt concernant la participation du capitaine des Bleus aux Jeux Olympiques en août.
Après vous avoir révélé en février que le clan Mbappé avait incité le Real Madrid lors des négociations finales du contrat à laisser le joueur participer à Paris 2024, Entrevue est en mesure de vous informer que le dossier avance bien selon le camp français.
Si le Real Madrid a bien envoyé une lettre à la Fédération française de football (FFF) pour prévenir que le club ne libérerait pas ses joueurs français, la réalité est toute autre. Tout se négocie, tout homme à son prix. Rien n’est figé. D’autant qu’au moment de l’envoi de la lettre à la FFF, Kylian Mbappé n’était pas officiellement un joueur madrilène…
Emmanuel Macron a donc fait le forcing hier, depuis l’Elysée, auprès de Florentino Perez. Si le Real Madrid venait à céder sur ce dossier non vital pour le club (Kylian Mbappé serait ensuite près à jouer dès septembre), Florentino Perez a pu parler Super League ! Sujet majeur pour l’avenir du football.
Chacun ses enjeux, chacun ses priorités, chacun ses intérêts. Si pour Emmanuel Macron, avoir Kylian Mbappé aux JO revêt une importance capitale, pour le Real Madrid, c’est la Super League qui prime.
Ainsi, d’après nos informations, le milliardaire Florentino Perez aurait demandé des garanties à Emmanuel Macron concernant la présence et le soutien de clubs français pour la future compétition prévue pour septembre 2025. De même, ses activités dans le BTP -il possède une multinationale-, lui donne d’autres leviers de négociations économiques avec la France.
On sait déjà que l’Olympique de Marseille et l’Olympique lyonnais pourraient être engagés dans la première mouture de la Super League. Nasser Al Khelaïfi et le Paris-SG se montrant loyaux envers l’UEFA (et sa Ligue des Champions) pour le moment, publiquement.
Obtenir l’aval du président de la République afin que la FFF et la Ligue de Football Professionnel (LFP) ne mettent pas de bâtons dans les roues des clubs français pro-Super League était très important aux yeux de Florentino Perez.
Grand ambassadeur de cette Super League lancée comme une fusée pour mettre un coup de pied dans la fourmilière UEFA, Florentino Perez a-t-il obtenu ce qu’il était venu chercher ?En échange de la libération de Kylian Mbappé pour Paris 2024 ? Réponses prochainement.
Certains font un simple pot de départ. D’autres convient 250 invités avenue Montaigne, à Paris. Chacun son style. Kylian Mbappé a fait les choses en grand pour son dîner d’adieu (d’au revoir ?). Un discours, des rires, des confidences. Le lieu n’a sûrement pas été choisi au hasard, le chic restaurant « Gigi », anciennement connu sous le nom de « The White House », la maison blanche, le surnom du Real Madrid…
Sa famille, ses amis et des salariés du Paris-SG se sont réunis pour fêter le départ de France de l’enfant prodige. Il n’y avait pas le Président Nasser Al Khelaïfi, en froid avec son futur ex-attaquant. Ni le Président de la République, Emmanuel Macron, invité lui aussi. Beaucoup de coéquipiers, parfois en famille, ont fait le déplacement : Skriniar, Kimpembe, Mukiélé, Hernandez, Hakimi, Zaïre-Emery, Ramos, Vitinha, Kurzawa, Navas, etc.
Direction le grand Real Madrid pour Kylian Mbappé. Pour encore franchir un cap. « Tous les gens qui sont ici, je les considère comme des êtres chers », a affirmé le capitaine des Bleus au micro, sur scène.
À la sortie de chaque convive du restaurant, beaucoup de micros, de caméras et de smartphones tendus pour immortaliser le moment ou obtenir une confidence. Résultats divers à l’applaudimètre.
Avant la sortie de Wilfried Mbappé, le papa, c’est la maman Fayza Lamari qui a dû quitter les lieux devant les flashs et micros, vers 23h30. Forcément, la question cruciale est tombée : « Où va Kylian l’année prochaine ? »… Réponse sympathique de Fayza Lamari : «Je crois que vous savez déjà non ? » Le Real Madrid…
L’attaquant du Paris-Saint Germain, pour encore un match (la finale de la Coupe de France, samedi soir face à Lyon), a finalement lui aussi quitté les lieux sous les vivats vers 0h15. Devant une foule massive. Des « Merci Kylian » ! Mais aussi quelques mots pour le taquiner : « Elle est où la LDC ? »
Chaque faits et gestes de la star sont épiés. Mis une nouvelle fois au repos le week-end dernier par son coach, Luis Enrique, Kylian Mbappé en a profité pour partir sous le soleil cannois. En compagnie d’Ousmane Dembélé, son ami. L’image du coup d’oeil de Kylian Mbappé envers une demoiselle a fait le tour du monde. Résultat : la jeune femme a capitalisé sur cette séquence et obtenu environ 10 000 abonnés supplémentaires en quelques heures sur Instagram ! Surréaliste.