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Léo Messi a un goût amer de son passage au PSG : « la mierda » !

On le savait déjà. Ses derniers mots le confirment encore. Lionel Messi ne gardera pas un souvenir impérissable de ses deux saisons au Paris-Saint Germain.

Le champion du monde argentin est parti s’amuser sur les terrains plus paisibles de Major League Soccer (MLS) aux Etats-Unis. Paris et la Ligue 1 lui ont semble-t-il laissé un goût amer. Depuis Miami, il n’a pas arrêté d’évoquer son passage (à moitié) raté au PSG.

Lors d’un match de l’Inter Miami, la Pulga a confié à Brecht Dejaegere, joueur belge du Charlotte FC, que son passage au Paris-SG était « de la mierda« . Le Belge s’en est empêché à la RTBF.

« Il m’a dit que, pour lui, au PSG, c’était ‘la mierda’. » Pas besoin de traduction.

Brecht Dejaegere, ancien joueur du TéFéCé, poursuit : « Il en avait marre de se faire siffler. Je lui ai dis que j’avais joué contre lui avec Toulouse au Parc des Princes. Il ne se souvenait pas de moi…« 

Droits TV, Ligue 1, IPTV, Arabie Saoudite : DAZN en grandes difficultés ?

Serait-ce une nouvelle catastrophe à venir pour le football français ? Le diffuseur DAZN aurait obtenu les faveurs d’environ 100 000 abonnés depuis le début de la saison, mi-août. Un échec terrible, avec des répercussions financières graves.

Devenu diffuseur officiel de la Ligue 1 un peu à la dernière minute, DAZN (« DaZone ») paye le fait que la Ligue de Football Professionnel (LFP) a tergiversé très longtemps pour finalement obtenir de faibles montants de droits TV.

C’est le journaliste Abdellah Boulma qui donne cette inquiétante information pour le football français : DAZN ne compterait qu’un peu plus de 100 000 abonnés. Pour rappel, en pleine crise Covid, MediaPro (producteur de la chaîne Téléfoot) avait décidé de cesser ses paiements alors qu’il totalisait 400 000 abonnés…

Selon le même journaliste, DAZN pourrait quitter les lieux d’ici deux ans, en 2026, sauf aide financière extérieure ou augmentation significative de ses abonnés. Pour information, une clause de sortie a été fixée à 1,5 million d’abonnés en 2026… Un chiffre qui paraît déjà inaccessible tant les débuts ont été laborieux.

Certes, avec le niveau de l’AS Monaco ou de l’OM cette saison, la lutte pour le titre semble un peu moins déséquilibrée mais le manque de stars, l’essor de l’IPTV, le niveau des tarifs d’abonnements et le bazar à la LFP n’ont rien arrangé. L’image du football français auprès du grand public est désastreuse, que ce soit dans les grandes villes ou dans les campagnes. Et ce, même si les stades sont relativement bien remplis et que le spectacle reste agréable en ce début de saison.

Abdellah Boulma rappelle que de l’argent frais en provenance de l’Arabie Saoudite pourrait aider DAZN à poursuivre son chemin. Une donnée qui confirme mes informations révélées dans le Dèj Foot en 2020 et 2021 au sujet du rapprochement très clair réalisé par DAZN avec l’Arabie Saoudite. Les hommes d’affaires saoudiens ne jetteront pas l’argent par les fenêtres. Ils financeront uniquement si la suite du projet est viable.

Qu’est-ce qui pourrait changer la donne ? Une augmentation significative du nombre d’abonnés semble être un mirage actuellement. Les abonnements IPTV sont indétectables. Impossible d’aller faire migrer un abonné IPTV vers un pack DAZN, qui coûte beaucoup plus cher et qui diffuse bien moins de contenus. Les Français, certes hors la loi, ne vont pas payer plus pour obtenir moins.

La seule solution ? Ramener de nouvelles têtes d’affiche en Ligue 1 et mettre en place rapidement le renouveau de la rivalité PSG-OM. Raviver la flamme. Tout cela passe bien entendu par le dénouement annoncé (mais incertain en termes de dates) de l’officialisation de la cession de l’Olympique de Marseille à un consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite. Encore eux.

« J’ai lu que tu aimais Michael Jordan. Eh bien, lui… » : les mots forts de Luis Enrique à Kylian Mbappé

Pour obtenir l’attention de ses joueurs, un entraîneur doit sans cesse se réinventer : prise de parole devant le groupe, entretiens individuels. Il doit aussi s’adapter à la psychologie de chacun et savoir faire mouche pour décupler le mental de ses troupes.

La saison dernière n’a pas été simple pour Luis Enrique, confronté au départ annoncé de Kylian Mbappé et obligé de l’écarter du onze petit à petit. Dans la série espagnole centrée sur l’entraîneur du Paris-SG, diffusée sur Movistar, une séquence fait particulièrement parler d’elle.

Face à un écran géant, diffusant une séquence de match, Luis Enrique décortique le jeu et insiste auprès de son attaquant star : « J’ai lu que tu aimais Michael Jordan. Michael Jordan a piqué les cou**les de ses coéquipiers. Eh bien, lui, il se tuait en défense, comme un fils de pu** ! »

Avant de poursuivre : « Les deux mois qu’il te reste, je veux que tu sortes d’ici par la grande porte, Kiki. »

Des mots qui n’ont pas été suivi de faits puisque régulièrement, Kylian Mbappé a été envoyé sur le banc des remplaçants et n’a jamais retrouvé le rythme obligatoire afin de briller en Ligue des Champions. Paris s’est fait éliminer au Parc des princes en demi-finale retour par le Borussia Dortmund, pourtant loin d’être favori.

De même, si la comparaison avec Michael Jordan aurait pu donner la rage de vaincre à Kylian Mbappé, il n’a en réalité jamais été animé par cette capitale volonté de défendre. L’avant-centre étant pourtant le premier défenseur… L’argument n’a donc pas fait mouche.

À la fin de la séquence, Luis Enrique et Kylian Mbappé quittent rapidement la salle dans des sens opposés, sans discuter du sujet plus longuement.

Les faits nous ont montré que finalement, Kylian Mbappé n’a pas été conquis par les arguments pourtant intéressants du coach.


Pour retrouver Le Dèj Foot, l’émission animée par Thibaud Vézirian, rendez-vous chaque midi de 12h30 à 14h30 en direct sur Twitch ou sur sa chaîne YouTube pour le replay.

« Je n’ai aucune intention d’expliquer ma… » : Luis Enrique agacé par une journaliste de Canal+

Cela n’est plus une surprise, cela devient une triste habitude. Habité d’une certaine susceptibilité, l’entraîneur du Paris-Saint Germain Luis Enrique a encore une fois répondu avec mauvais esprit et malveillance à une question pourtant banale de la journaliste de Canal+, Margot Dumont, en marge de la défaite du PSG 2-0 à Arsenal, en Ligue des Champions.

Première contre-performance du Paris-SG et déjà, Luis Enrique semble sur les nerfs. Interrogé par une journaliste de Canal+ après la rencontre perdue 2-0 nettement face aux Gunners d’Arsenal, l’entraîneur espagnol de Paris n’a pas souhait répondre aux questions.

Il n’y avait pourtant aucun piège, ni moquerie. Margot Dumont ne l’a même pas titillé sur le drôle de choix de se passer de son meilleur joueur, Ousmane Dembélé, pour un tel rendez-vous.

Margot Dumont : Est-ce qu’Ousmane Dembélé va réintégrer l’équipe ?

Luis Enrique : Heu…

– On parlait en plateau de votre cadre tactique, assez rigide, peu de dépassements de fonction, est-ce vous pouvez nous expliquer votre idée tactique au PSG ?

– Je n’ai aucune intention d’expliquer ma tactique, vous ne la comprendriez pas. Il va falloir corriger beaucoup de choses.

« 100% la faute du coach » : Samir Nasri dégomme les choix de Luis Enrique après la défaite à Arsenal

Le PSG n’a existé mardi soir sur la pelouse de l’Emirates Stadium face à Arsenal (2-0), en Ligue des Champions. Et Luis Enrique s’est trompé dans les grandes largeurs, dans son onze de départ tout comme dans ses idées tactiques. Ce qui ne le fait pas pour autant se remettre en cause.

Alors l’ex-international français Samir Nasri s’est chargé de le remettre en place, sur Canal+. »

« E𝗻𝗿𝗶𝗾𝘂𝗲 𝗶𝗹 𝗮 𝗰𝗮𝗿𝘁𝗲 𝗯𝗹𝗮𝗻𝗰𝗵𝗲 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗰𝗲 𝗰𝗹𝘂𝗯 𝘀𝗮𝗻𝘀 𝗮𝘃𝗼𝗶𝗿 𝗿𝗶𝗲𝗻 𝗳𝗮𝗶𝘁 ! 𝗜𝗹 𝗺𝗮𝗻𝗾𝘂𝗲 𝘂𝗻 𝗻𝘂𝗺𝗲́𝗿𝗼 𝟵, 𝗼𝗻 𝗮 𝗹’𝗶𝗺𝗽𝗿𝗲𝘀𝘀𝗶𝗼𝗻 𝗾𝘂’𝗶𝗹𝘀 𝗽𝗲𝘂𝘃𝗲𝗻𝘁 𝗷𝗼𝘂𝗲𝗿 𝗷𝘂𝘀𝗾𝘂’𝗮̀ 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗶𝗻 𝗲𝘁 𝗾𝘂’𝗶𝗹𝘀 𝗻𝗲 𝗺𝗮𝗿𝗾𝘂𝗲𝗿𝗼𝗻𝘁 𝗽𝗮𝘀. Sa façon de jouer n’est pas la bonne, il ne s’adapte pas à son effectif, 𝗶𝗹 𝗰𝗿𝗼𝗶𝘁 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝘃𝗮 𝗰𝗮𝗹𝗾𝘂𝗲𝗿 𝗰𝗲 𝗾𝘂’𝗶𝗹 𝗮 𝗳𝗮𝗶𝘁 𝗮𝘃𝗲𝗰 𝗹’𝗘𝘀𝗽𝗮𝗴𝗻𝗲 𝗲𝘁 𝗹𝗲 𝗕𝗮𝗿𝗰̧𝗮 𝗮𝘂 𝗣𝗦𝗚. Mais tu n’as pas Busquets, Rakitic, Xavi, Iniesta, tu dois jouer en attaque rapide ou en contre. »

Sami Nasri a-t-il raison ? Ses propos font aussi écho aux déclarations lunaires du coach en après-match, au micro de Margot Dumont.

Consternant, le PSG n’a pas inquiété Arsenal un seul instant (2-0)

Un monde d’écart. Alors que cela n’aurait absolument pas dû être le cas. Un coach figé sur ses idées, incapable de relancer son équipe, un manque criant d’attaquant de surface et de variété dans le jeu, et voilà le PSG en mauvaise posture en Ligue des Champions.

Vainqueur difficilement de Gérone il y a quinze jours, Paris s’offrait une belle affiche ce mardi soir à l’Emirates Stadium d’Arsenal. Une affiche, le match n’en avait que le nom. 90 minutes à sens unique pour les Anglais de Mikel Arteta (2-0).

Privé d’Ousmane Dembélé, mis à l’écart pour « mauvaise conduite envers l’équipe » d’après Luis Enrique, le PSG n’a pas existé une minute. Ballotés, les Parisiens ont vite couru après le score. En retard au marquage, inoffensif devant, ils ont encaissé des buts d’Havertz puis Saka en première période. Certains accuseront le manque de réactivité de Gigi Donnarumma, mais c’est toute l’équipe, et le coach, qui ont été à côté de la plaque.

Avec Kang-In Lee ou Désiré Doué en faux numéro 9 -une curiosité-, la redoutable défense d’Arsenal (Calafiori, Saliba, Gabriel) s’est amusée. Bien muselé, Bradley Barcola n’a été que l’ombre de celui que certains présentent comme la nouvelle star de la Ligue 1. Il reste encore du travail…

Le PSG est 18e sur 36 après deux journées. Vainqueur de Salzburg 0-4 en Autriche, Brest est co-leader ! La seconde moitié des équipes jouera ce mercredi. Lille reçoit le Real Madrid à 21h.

PSG-OM, Mamadou Sakho : « Je préfère arrêter ma carrière plutôt que de… »

Mamadou Sakho est un pu produit du centre de formation du PSG, et il est fier de l’être. Interrogé par l’émission J-1 sur Canal+ Sport Afrique, l’ex-défenseur international français n’a pas hésité à critiquer le choix d’Adrien Rabiot de rejoindre l’Olympique de Marseille.

Il l’assure, dans les mêmes circonstances, il n’aurait pas fait le même choix. Mamadou Sakho, droit dans ses bottes. À 34 ans, et alors qu’il a rejoint cet été les rangs du Torpedo Koutaïssi en Géorgie, « Mamad » continue de déclarer sa flamme au public parisien.

Dans Jmoins1, il déclare :  »Je préfère arrêter ma carrière plutôt que de porter le maillot de l’OM.« 

Le choix de carrière d’Adrien Rabiot (OM) l’a « titillé ». Selon « sa situation avec le club, la personne peut avoir un ressenti différent. Moi, en tant que Parisien depuis petit, un joueur ayant porté le maillot du PSG ne peut pas porter celui de Marseille.« 

Il poursuit : « Je parle en mon nom. Cette rivalité, je la sens de moins en moins. Aujourd’hui, la rivalité, je la sens différemment. Le Classico, il est mignon. Avant, il y a de l’engagement, une atmosphère. De nos jours, je le sens différemment.« 

Le classique OM-PSG aura lieu le dimanche 27 octobre, match diffusé sur DAZN à 20h45.

PSG-Rennes (3-1) : « Pourquoi ils m’ont placé dans la tribune de l’ennui… » Cardi B aurait préféré être chez les Ultras !

Le Carré VIP du Parc des Princes regorge toujours de personnalités de tout horizon. Parfois même des stars qui se moquent pas mal du football mais viennent se montrer, faire des photos pour leur compte Instagram et profiter de l’ambiance.

Question ambiance, justement, la rappeuse américaine Cardi B a semblé déçu… Elle qui a assisté à PSG-Rennes (3-1), vendredi soir, aurait aimé faire la fête au coeur des tribunes Ultras. Il n’y en a plus qu’une au Parc des Princes, celle d’Auteuil. Son regard et ses oreilles se sont donc rapidement tournés vers Auteuil, vendredi soir. Le Collectif Ultras Paris (CUP) étant le dernier garant de l’ambiance de ce stade mythique.

Dans une story Instagram partagée en plein match sur son compte aux 165 millions d’abonnés, elle envoie un petit message au service VIP du PSG, chargé d’inviter les stars dans « le carré » : « Pourquoi ils m’ont placé dans la tribune de l’ennui… Je voulais être du côté du bazar moi !« 

En guise de consolation, la chanteuse a rencontré Achraf Hakimi après la rencontre et reçu son maillot.