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Coup dur pour un taulier des Bleus et du PSG, le message de soutien de Kylian Mbappé

C’est une très mauvaise nouvelle pour l’équipe de France, à un peu plus d’un mois du début de l’Euro en Allemagne. Une mauvaise nouvelle également pour le Paris-Saint Germain, au coeur de son sprint final pour jouer la finale de la Ligue des Champions et remporter la Ligue 1.

Dortmund, mardi soir, 40e minute de jeu. Lucas Hernandez s’assoit. Il ne peut pas continuer. Son genou gauche s’est bloqué dans le sol à la 36e minute de jeu, alors que Fullkrug ouvrait le score pour les Allemands. Le défenseur central gaucher du PSG fait grise mine. Il connaît cette douleur.

Ses coéquipiers comprennent petit à petit que c’est grave. Son genou est vraiment touché. Lui qui avait déjà subi une rupture des ligaments croisés du genou droit lors de la Coupe du monde au Qatar va devoir repasser par la table d’opération.

Fin 2018 puis début 2019, il avait déjà subi une grosse entorse du genou droit puis une distorsion du ligament… Des alertes à droite avant la grosse blessure de novembre 2022. A-t-il eu des alertes au genou gauche précédemment cette saison ?

Après des examens complémentaires et une IRM ce jeudi, Lucas Hernandez est fixé : Rupture des ligaments croisé du genou gauche. Le PSG vient de communiquer. Il va subir une intervention chirurgicale dans les tout prochains jours. Une absence qui peut aller de 4 à 8 mois selon les techniques de rééducation.

Très vite, cet après-midi, son coéquipier chez les Bleus et au PSG (pour encore un mois) poste sur son compte Instagram un message d’encouragement. « 𝙈𝙤𝙣 𝙜𝙪𝙚𝙧𝙧𝙞𝙚𝙧, 𝙐𝙣𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙥𝙧𝙚𝙪𝙫𝙚 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙨𝙚𝙧𝙖𝙨 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙨𝙚𝙪𝙡 𝙤𝙣 𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙞. 𝘽𝙞𝙜 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙢𝙤𝙣 𝙛𝙧𝙚̀𝙧𝙚. » Des centaines de supporters suivent aussi via leurs réseaux sociaux.

Prêtres, rabbins, imams, pasteurs, évêques réunis pour un match de football

Cause commune. Un grand rassemblement inédit. Voire unique dans l’histoire du sport. Un match entre religieux (mais pas que) est organisé ce dimanche à 15h, au stade Léo Lagrange à Poissy (Yvelines). C’est une nouvelle fois le Variétés Club de France à l’initiative d’un tel événement.

Un an après son pèlerinage à Rome auprès du Pape François, l’équipe du Variétés, fondée par Jacques Vendroux il y a plus de 50 ans, continue de surprendre. Ce dimanche, les images risquent d’être cocasses. Un prêtre passeur décisif pour un rabbin ? Un imam buteur de la tête sur un centre d’un évêque ? Un protestant qui tacle un orthodoxe ? Fort possible, c’est le football.

Du beau monde, autres que des religieux, est aussi convié à ce match hors normes. L’ancienne gloire du PSG, Raï, et l’indéboulonnable Michel Drucker donneront le coup d’envoi à 15h. Quelques minutes avant, une prière commune sera célébrée par les quatre représentants des religions à 14h50, au milieu du terrain, en hommage aux victimes du drame de Furiani à Bastia, le 5 mai 1992. 19 morts et 2357 blessés. Jacques Vendroux en fut un rescapé.

Invité de la matinale de CNews, ce jeudi, Jacques Vendroux avait le sourire : « Je leur ai demandé de nous envoyer le meilleur footballeur de leur diocèse ! Et ils seront tous là dimanche ».

Jacques Vendroux souhaite envoyer un signal fort de rassemblement à travers ce match atypique. Et il ne s’est pas empêché de glisser une indiscrétion sur la numérotation des joueurs : « Haïm Korsia m’a demandé de jouer avec le numéro 6. Pourquoi ? Car c’est un grand fan des Verts, de Dominique Bathenay ! » Une référence que les moins de… 40 ans ne peuvent pas trop connaître.

Côté terrain, l’équipe du Variétés Club de France opère une large revue d’effectif. Une trentaine de joueurs sont conviés à participer à cette rencontre symbolique. Parmi eux, la présence de Monseigneur Emmanuel Gobilliard, évêque de Digne, Riez et Sisteron. Mais aussi le grand rabbin de France Haïm Korsia ou encore Mohamed Ahsaini, un des imams de la mosquée d’Ivry, et Amos Ngoua Mouri, pasteur de l’église protestante de Clamart.

Pour relever le niveau technique, d’anciennes gloires du football professionnel comme Alain Giresse, Robert Pires, Jessica Houara D’hommeaux, Romarin Billong ou Olivier Dacourt seront de la partie. De même, Wilfrid Mbappé (le papa de Kylian) ou le journaliste Thibaud Vézirian chausseront les crampons. Le Président du Variétés Club de France, ancien maire de Poissy et désormais député des Yvelines, Karl Olive, fait également parti de la liste des conviés.

À noter que face au Variétés, la sélection nationale des prêtres sera composée de 21 joueurs dont d’anciens professionnels. Coachée par le père Bertrand Cherrier, ancien des Girondins de Bordeaux, cette équipe aura notamment la présence du pasteur anglican Jean-Luc Sergent, accompagnateur spirituel d’Olivier Giroud.

Même l’arbitre sera un religieux puisque l’ancien arbitre professionnel Monseigneur Dominique Lebrun officiera, lui qui est habituellement archevêque de Rouen. La rencontre sera retransmise sur la chaîne KTO et sur KTOTV.com.

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.

Rebondissements à Lyon, le PSG sacré champion de France

84e minute de jeu au Groupama Stadium, Malick Fofana file au but, bien servi par Alexandre Lacazette. Les supporters sont en extase, l’Olympique lyonnais vient de renverser l’AS Monaco (3-2) et fonce vers une place européenne, à trois journées de la fin du championnat.

Trois points qui positionnent désormais l’OL a la 7e place de L1. Ce qui fait sourire Duje Caleta-Car, le défenseur central croate, au micro de Prime Video : « Cette équipe est dingue, on ne rend jamais les armes ! » D’autant que Lyon a passé son début de saison dans une position peu reluisante de relégable…

Cette victoire, au terme d’un match intense, offre surtout des sourires aux supporters parisiens. Le PSG ne peut plus être rejoint en tête de Ligue 1. Le nul parisien (3-3), samedi soir au Parc des princes, face au Havre avait retardé ce sacre, Monaco devait au moins prendre un point à Lyon… Le Paris-SG de Luis Enrique remporte donc son 12e titre de champion de France.

Paris retrouvera d’ailleurs l’Olympique lyonnais en finale de la Coupe de France, le 25 mai, pour tenter de signer le doublé Coupe-Championnat. Voire un fabuleux triplé si le club de la capitale est encore en lice en Ligue des Champions… Rendez-vous mercredi à Dortmund pour le match aller des demi-finales.

Bientôt un « loi Mbappé » pour son arrivée au Real Madrid !

C’est une loi qui ne passe pas inaperçue. En Espagne, là où elle va être appliquée, mais aussi en France. Le gouvernement de la région de Madrid va bel et bien appliquer une loi appelée « Loi Mbappé ».

C’est un secret de polichinelle, Kylian Mbappé va rejoindre les rangs du plus grand club du monde la saison prochaine : le Real Madrid. Le capitaine des Bleus, et déjà légende du Paris-Saint Germain, enfilera la tunique merengue. Un club qu’il avait déjà failli rejoindre en 2021, 2022 et… 2023.

Les Madrilènes ont donc eu parfaitement le temps de préparer ce « transfert du siècle ». En fin de contrat au PSG, Kylian Mbappé débarquera libre, avec une immense prime à la signature. Son arrivée, certainement annoncée publiquement entre la fin mai et la mi-juin selon le calendrier européen du Paris-SG, va être synonyme de raz-de-marée médiatique. Mais d’un point de vue juridique et financier, il faut aussi accompagner ce deal majuscule.

Selon plusieurs médias espagnols, comme le Mundo Deportivo (journal réputé proche du FC Barcelone), le gouvernement de la région de Madrid va mettre en place une loi spécifique. Là-bas, elle est déjà surnommée « Ley Mbappé ». Elle permettra de réduire certains impôts sur le revenu pour les fortunes étrangères qui s’installeront et réaliseront des investissements dans la région de Madrid… Tiens, donc.

Et ce n’est pas une première pour cette région. Au début des années 2000, à l’époque du Real Madrid des « Galactiques » (Figo, Zidane, Ronaldo, Raul, Beckham…), une « loi Beckham » avait vu le jour. Favorisant les clubs de football avec un plafond maximum d’impôts sur les revenus pour les travailleurs étrangers fixé à 24%.

Le gouvernement autonome madrilène va donc remettre en place ce système pour attirer de nouvelles fortunes étrangères. Enfin, surtout une : Kylian Mbappé et sa famille. S’il bénéficiera d’un salaire inférieur à celui négocié actuellement avec le PSG, les avantages fiscaux à Madrid devraient largement le faire retomber sur ses pattes.

En démonstration face à Lyon, le PSG tout près du titre

Avec ou sans Kylian Mbappé, le PSG marche sur la Ligue 1. En toute logique, vu l’effectif, vu les finances du club, diront les mauvaises langues. Mais cette saison, le Paris-Saint Germain a retrouvé un élan collectif. Fini le star système mis en place suite aux arrivées successives de Neymar, Mbappé puis Messi en clou du spectacle.

Pourtant meilleure équipe de Ligue 1 en 2024, Lyon a constaté très vite les dégâts dimanche soir. Même avec Kylian Mbappé placé sur le banc des remplaçants par Luis Enrique, Paris s’est rapidement et facilement défait de l’OL. Tout a parfaitement démarré. Un but contre son camp de Matic, malheureux sur cette action (1-0, 3e). Puis des déboulés rageurs de l’intenable Barcola, l’ancien lyonnais, qui font mouche. Corner d’Asensio, Beraldo à la conclusion (2-0, 6e). L’écart est déjà fait. À la pause, la messe est dite : 4 buts à 1.

Le Portugais Ramos, si peu utilisé cette saison dans les moments clés (alors qu’il fait partie des buteurs les plus efficaces du championnat), inscrit son doublé. Le Parc des princes chavire. Cela semble une formalité. L’entraîneur lyonnais Pierre Sage n’a pas trouvé la clé pour éviter la même déculottée qu’au match aller (1-4). L’Olympique lyonnais était alors dans les bas fonds du classement, coaché par Laurent Blanc ! Premier de la liste des trois coachs mis en place cette saison…

Ce dimanche soir, c’est la fête dans le camp parisien, sous les regards d’Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé, scotchés sur le (douillet) banc des remplaçants jusqu’à la fin. Paris a même pu sereinement fêter son capitaine Marquinhos, détenteur du record du nombre de matchs sous les couleurs rouge et bleu (436 matchs).

La seconde période ne servira qu’à une revue d’effectif, avec l’entrée de certains jeunes comme Senny Mayulu, 17 ans. Paris pourrait être titré dés mercredi, s’il gagne à Lorient et que Monaco ne bat pas Lille (match en retard de la 29e journée).

L’OL aura finalement évité une humiliation. Les Gones se font sérieusement remettre à leur place (8e). Eux qui rêvent de finir en trombe pour accrocher une place européenne. Alexandre Lacazette, le capitaine, au micro de Prime Vidéo est lucide : « Cela va nous permettre de redescendre sur terre« …

Les deux équipes se retrouveront le 25 mai pour la finale de la Coupe de France. D’ici à, les Lyonnais essayeront d’apprendre de leurs erreurs. Une finale, ça se gagne…

Barcelone-PSG (1-4) : La grosse gaffe de Nasser Al Khelaifi

98e minute de jeu. Coup de sifflet final de ce quart de finale retour de Ligue des Champions. Paris est qualifié ! La joie s’empare du camp parisien. L’entraîneur Luis Enrique exulte, son staff aussi. Mal en point après son match aller raté (2-3), au Parc des Princes, 8 jours avant, le PSG a profité d’un carton rouge pour refaire surface. Et surclassé petit à petit un FC Barcelone en grandes difficultés.

Si Ousmane Dembélé a été élu homme du match, si Kylian Mbappé a inscrit un doublé salvateur, si Luis Enrique a réalisé de bien meilleurs choix qu’à l’aller, c’est bien le président Nasser Al Khelaifi qui s’est fait remarquer. Après la rencontre, alors qu’il répondait au micro de RMC, le Qatari n’a pas forcément compris où la journaliste voulait en venir…

Alors que Sonia Carneiro lui demandait de taire le nom du prochain adversaire du Paris-Saint Germain, « on ne sait pas encore qui sera l’adversaire, on ne dit rien, on ne dit rien », le président parisien s’est empressé d’annoncer : « Dortmund, Dortmund, Dortmund ! » Ne comprenant pas qu’il fallait garder la surprise aux téléspectateurs.

La journaliste voulait préserver le suspense pour proposer le résumé du match Dortmund-Atlético de Madrid aux abonnés RMC. Dommage, Nasser Al Khelaifi ne l’a pas entendu de cette oreille ! Peu soucieux des logiques télévisuelles, il a tout sourire dévoilé l’affiche Borussia Dortmund-PSG. Oui, ce sont bien les Allemands du Borussia qui ont éliminé l’Atletico d’Antoine Griezmann 4 buts à 2.

Mais à l’heure des réseaux sociaux et des notifications sur smartphones, rares sont les fans de foot qui ne devaient pas être au courant du résultat de l’autre quart de finale jouer en même temps que cet historique Barcelone-PSG…

Banderole anti Ch’tis : « Qu’est-ce qu’ils disaient de mal ? »

Il aurait mieux fait de se taire. L’ancien joueur du PSG Fabrice Pancrate n’a pas la langue dans sa poche. Dans l’émission « 100% PSG, le mag » sur France Bleu Paris, il n’a pas pu s’empêcher de revenir sur une immense polémique, née en mars 2008.

Lors de cette finale de Coupe de la Ligue entre le Paris-SG et le RC Lens, la banderole « Pédophiles, chômeurs, consanguins : bienvenue chez les Ch’tis », brandie au Stade de France, affolait le football français, le monde politique ainsi que les médias.

Quelques semaines après la sortie du film de Dany Boon, la (mauvaise) blague ne fait rire personne. Sauf les Boulogne Boys. Présent ce soir-là, le président de la République, Nicolas Sarkozy, ne décolère pas.

« On voulait faire de l’humour, du Charlie Hebdo, du Coluche, du Desproges », estimera 10 ans plus tard, lors de son procès en appel, un des prévenus. Cette affaire coûtera la dissolution de deux groupes de supporters, dont les très décriés Boulogne Boys, une décision actée alors rapidement par la ministre de l’Intérieur Michèle Alliot-Marie.

Vendredi soir, sur France Bleu Paris, Fabrice Pancrate en a remis une couche. Alors que le football français aurait aimé enterrer définitivement cette affaire.

Quand l’animatrice Pia Clemens l’interroge avec une question simple, Fabrice Pancrate éclate de rire. « Est-ce que t’entres sur la pelouse au Parc, tu notes le tifo (en tribunes) quand t’es joueur ? » Réponse entre rires à gorge déployée : « Non, non, je ne peux pas le sortir ! ». Il se retient alors de délivrer son anecdote. Il aurait mieux fait.

Intriguée, Pia Clemens le relance tout sourire : « Vas-y ! ». « Ça a fait polémique », sourit l’ex-ailier du PSG.

« Franchement, j’ai rien contre les Ch’tis, ils sont gentils. Mais qu’est-ce qu’ils (les supporters du PSG) disaient de mal ? Moi quand j’ai vu la polémique, je me suis dit ‘il est où le problème’ ? Soit vous n’ouvrez pas les journaux, soit… Les problèmes évoqués, ils sont réels ! Alors c’est vrai, sur le ton de la plaisanterie, ça n’a pas fait rigoler le peuple du Nord, ce sont des gens attachants… »

Et Pancrate s’enfonce encore dans la foulée : « Il y avait beaucoup de vérités dans ce qui était écrit ! »