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Surréaliste, Neymar a crevé les pneus d’un coéquipier !

Serait-ce le retour des embrouilles entre Parisiens et Marseillais ? Un ancien marseillais, Renan Lodi, et un ancien parisien, Neymar, viennent de pousser le bouchon un peu loin… Ce qui n’était qu’une blague a dérapé.

Quand l’ex-défenseur latéral gauche de l’OM et de l’équipe du Brésil a choisi d’aller taquiner Neymar en lui attachant les lacets de ses chaussures, il ne s’attendait sûrement pas à pareille réplique. L’ex-star du PSG et de l’équipe du Brésil, encore en convalescence longue durée suite à une blessure au genou, n’a pas vraiment apprécié qu’on l’embête.

Au lieu de réagir à hauteur de la blague de son coéquipier d’Al Hilal (Arabie Saoudite), il a été beaucoup plus loin. Beaucoup trop loin. Preuve de sa déconnexion du monde réel, Neymar lui a tout simplement crevé les pneus de la voiture de luxe de Renan Lodi ! Sous les rires de ses amis. Surréaliste. L’enfant gâté du football mondial a encore dépassé les bornes… De quoi choquer ses détracteurs. Mais il s’en moque, on le sait.

Quelques petits malins sur les réseaux sociaux ont extrait la vidéo où l’on voit Neymar crever les pneus pour aller dire qu’il s’en prenait à la voiture de Kylian Mbappé, devenu un peu son ennemi depuis son départ de Paris… Faux, bien sûr.

« Salaire décent » chez Michelin, l’exemple à suivre ?

Des mots forts pour un geste fort. Le PDG du groupe Michelin, Florent Menegaux, a jeté un pavé dans la mare. S’attirant les commentaires positifs de beaucoup de Français. Le fabricant de pneus a annoncé ce mercredi dans les colonnes du Parisien la mise en place d’un « salaire décent » pour ses 132 000 salariés dans le monde.

« Un salaire décent », c’est quoi ? Assez d’argent pour subvenir aux besoins essentiels d’une famille de quatre personnes. « Toutes les entreprises et institutions devraient prendre exemple ! », tweete déjà certaines personnes, ravies de cette initiative.

En moyenne, ce « salaire décent » représentera « 1,5 à 3 fois le salaire minimum du pays concerné, en France aussi », précise à l’AFP Florianne Viala, directrice de la rémunération du groupe.

Une communication très réussie de la part de Florent Menegaux. Alors même qu’aucun salarié Michelin n’est payé au Smic. Le groupe estimant son niveau insuffisant. Si cette interview a été si bien accueillie par les différents messages sur les réseaux, c’est bien parce qu’avec l’augmentation du Smic (salaire minimum interprofessionnel de croissance) en France, beaucoup de salariés se retrouvent désormais à ce niveau minimum.  

17,3 % des Français étaient au Smic en 2023 (3,1 millions de travailleurs) contre 12 % en 2021.

Dans son interview pour Le Parisien, le PDG du groupe Michelin précise que « c’est un engagement logique vis-à-vis de tous les salariés du groupe […] Vous consacrez du temps à vous développer et à développer l’entreprise et en contrepartie nous, on vous donne les moyens au minimum pour une famille de quatre individus – deux parents et deux enfants – qu’un seul salaire permette d’envisager le logement, la nourriture mais aussi le loisir, un peu d’épargne, etc. ».

Questionné sur le niveau du Smic, depuis le siège de Michelin, Florent Menegaux se montre encore plus convaincant : « Nous considérons, par exemple, que le salaire décent est de deux fois le Smic à Paris, et de + 20 % du Smic à Clermont-Ferrand ». 

Autre avancée sociale annoncée : les 132 000 salariés de Michelin bénéficieront d’ici fin 2024 d’un « socle de protection sociale universel ». Un congé maternité de 14 semaines minimum et un congé paternité de quatre semaines rémunérées à 100 %.

Des propos qui font écho au discours tenu par le Premier ministre Gabriel Attal, en début d’année, soucieux de « désmicardiser la France ».