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Sombre histoire autour de l’ex-gardien du PSG Keylor Navas

Une sombre histoire où Keylor Navas reste présumé innocent. Un ex-employé de maison de l’ex-gardien du PSG porte plainte pour travail dissimulé : Assistant, chauffeur, garde du corps, port d’une arme en permanence, pas de contrat de travail… La totale.

Il raconte n’avoir pas été déclaré, 90 heures de travail hebdomadaire. Étonnant quand on est au service du gardien de l’équipe nationale de Costa Rica et du Paris-Saint Germain. Keylor Navas aurait-il agi hors des lois françaises ? La personne témoigne avoir dormi dans un sous-sol pour 3200€ par mois en espèces… Et souligne aussi avoir eu à manipuler des armes.

ll était logé dans une chambre au sous-sol, sans fenêtre. « Pas de contrat français, je vous paie en casg, on travaille avec mes règles », lui aurait indiqué Keylor Navas, dans des propos relayés par BFM TV. C’est la stupeur, jamais personne ne pourrait imaginer le gardien de but se comporter ainsi.

Le Costaricien lui aurait pourtant imposé d’être armé d’un fusil à pompes ! Ce dernier était particulièrement craintif pour sa sécurité. Des menaces venues de son pays ? Le témoignage de l’accusé devrait permettre d’en savoir plus.

Le Real Madrid s’apprête à annoncer Kylian Mbappé, Emmanuel Macron est prévenu

Ce n’est plus un secret depuis longtemps. Kylian Mbappé et le Real Madrid, c’est une affaire qui roule. C’est ce soir que le capitaine des Bleus doit officialiser sa venue dans la Maison Blanche. Le club madrilène a déjà mis en place tout ce qu’il faut en ville.

Alors que le club vient de remporter sa 15e Ligue des Champions, le Real Madrid ajoute ce soir un nouveau « Galactique » à son groupe de talents. Comment cohabiteront les les joyaux Jude Bellingham ou Vinicius Junior avec Kylian Mbappé ? Telle est la question.

Mais ce soir, l’heure est uniquement à la fête. Double fête : celle des champions d’Europe et celle de la venue officielle du meilleur buteur de Ligue 1 depuis des années.

Aujourd’hui, Kylian Mbappé ne cachait même plus la nouvelle. Il a eu des mots clairs envers le Président de la République Emmanuel Macron, de passage à Clairefontaine. « C’est aujourd’hui que c’est annoncé là ? » lui demande Emmanuel Macron, sur un ton assez affirmatif. « Ce soir, ce soir », répond d’emblée l’attaquant.

Kylian Mbappé portera le numéro 9, laissant vacant il y a un an par Karim Benzema. Mais ce ne sera vraisemblablement le temps que d’une saison. Car ensuite, Luka Modric devrait définitivement tourner la page (un an après Toni Kroos) du Real Madrid et céder le numéro 10 au Français.

Du côté des réseaux sociaux, alors que son ami parisien Achraf Hakimi lui a déjà dit au revoir via un message publié sur Instagram, le désormais ex-attaquant du PSG a quant à lui supprimé les mentions « PSG & France » de son profil Instagram…

Kylian Mbappé sur CNN : « Je ne souhaite à personne de vivre ça »

Kylian Mbappé au Real Madrid, c’est comme si c’était officiel. En attendant, l’attaquant a rejoint les Bleus pour préparer l’Euro 2024 en Allemagne. Il en a profité aussi pour se confier à CNN. Le média américain l’a notamment interrogé sur sa prolongation de contrat au PSG en 2022…

Cette interview donnée dans le cadre des Globe Soccer Awards Europe, dont il a été élu meilleur joueur masculin, va beaucoup faire parler à Paris. En fin d’été 2021 puis à l’été 2022, il a été question de son départ au Real Madrid. Déjà. Concrètement. Mais le PSG l’avait fermement bloqué.

160M d’euros, puis 180M d’euros, les Madrilènes avaient frappé fort pour racheter la dernière année de contrat du buteur. Le joueur et son entourage sentent alors que c’est le bon moment pour tout le monde de se quitter. Ce n’est pas l’avis de la direction parisienne. Kylian Mbappé s’en explique : « C’était plus que simplement rester au PSG. Il y avait la Coupe du monde au Qatar. Il y avait beaucoup de choses autour de tout ça. C’était une grosse décision, une décision difficile… Mais je ne regrette rien ».

Contraint forcé de rester, l’attaquant est resté très professionnel et a continué à empiler les buts. La déception n’a donc été que de courte durée. Même si une certaine frustration a pu le faire cogiter. Logique. Les objectifs Coupe du monde 2022 et Ligue des champions l’ont bien vite occupé.

« Bien sûr, dans une carrière, tu dois prendre des décisions compliquées et c’est ce que j’ai fait. Mais je suis devenu le meilleur buteur de l’histoire du club et je veux juste me rappeler des bonnes choses. Ce n’était pas une situation facile et je ne souhaite à personne de vivre ça », témoigne le futur attaquant du Real Madrid dans un anglais toujours aussi parfait.

La fin de son histoire parisienne aura été un peu moins reluisante : mis au ban par son coach Luis Enrique depuis février, pas célébré comme il se doit pour son dernier match au Parc des Princes, des tensions sur le plan financier pour lui verser son salaire d’avril et certaines primes… De quoi le toucher mentalement. On comprend mieux pourquoi son niveau de jeu avait baissé depuis quelques mois.

Incidents racistes, dysfonctionnements des autorités : le triste bilan après OL-PSG

La fête du football a encore une fois été gâchée par quelques individus. Samedi, à quelques heures de la finale de Coupe de France remportée par le PSG (1-2), des affrontements ont eu lieu entre supporters lyonnais et parisiens, sur l’autoroute A1.

Plus de 24 heures après les faits, l’heure est au bilan. La Préfecture du Nord fait le point sur la situation : « Les forces de sécurité ont procédé à 10 interpellations, dressé 8 amendes forfaitaires délictuelles et sont intervenus pour 1 ivresse publique et manifeste ».

On apprend ensuite dans le communiqué que « 8 policiers ont été légèrement blessés. 14 supporters ont nécessité une prise en charge médicale. Un bus a été incendié et 2 autres endommagés ». Si l’enquête policière est en cours pour connaître les causes des incidents, L’Equipe a déjà remonté le fil de ces tristes bagarres.

Selon le média sportif, le car de supporters lyonnais n’avait rien à faire là, en face de ceux des Parisiens, à hauteur du péage. C’est une erreur manifeste des autorités. Les responsabilités seraient donc partagées, ce qui n’enlèverait en rien la bêtise de ces individus. « Le cabinet du ministère de l’Intérieur a donc (encore une fois) transformé la réalité dans sa communication : il y avait bien une escorte policière avec les cars lyonnais, et elle les a emmenés au mauvais endroit, au mauvais moment », insiste le journaliste Hugo Guillemet sur X.

Chaque camp se renvoie ainsi la balle. « L’OL a toujours un énorme problème à régler sur les déplacements avec des mecs bourrés/racistes/violents », poursuit le journaliste qui suit l’Olympique lyonnais.

Autre grave problème concernant l’OL : de graves incidents racistes ont eu lieu en marge de cette finale. « Ils disaient « on va taper du noir » et ils faisaient des cris de singe, ça a duré tout le trajet, toujours les mêmes gars. Moi qui ne suis pas raciste pour un sou, ça me saoule d’être affilié à ces gens-là. Ils étaient alcoolisés dès le matin… », ajoute L’Equipe, concernant le déplacement de supporters lyonnais jusqu’à Lille, samedi.

Sans parler des actes racistes filmés lors de la diffusion du match au Groupama Stadium, samedi soir. Deux individus au premier rang sont pris en flagrant délit de violence envers deux jeunes femmes, dont l’un apparaît voilée. Selon les témoins de la scène, les coups portés font suite à plusieurs mots déplacés. Sous couvert de l’explosion de joie au moment du but lyonnais, un homme violente sciemment une jeune femme.

Et plusieurs témoignages évoquent aussi des insultes racistes lorsque Ousmane Dembélé (PSG) apparaissait sur les écrans géants… Un fléau que le club va devoir vite réprimander. Car cela fait des années que ça dure. L’OL a promis via un message sur X de faire la lumière sur cette affaire.

Autre témoin ayant vécu la même scène de racisme et de violence samedi soir :

Le PSG remporte sa 15e Coupe de France (1-2) face à l’OL (les buts en images)

L’Olympique lyonnais a longtemps espéré un scénario fou. Mais le PSG n’a pas cédé. Dominateurs en première période, les Parisiens ont pris le large (0-2) avant de connaître plusieurs frayeurs en seconde période. Les deux gardiens se sont illustrés. Mais c’est bien le Paris-SG qui remporte sa quinzième Coupe de France (1-2). Lyon n’a plus gagné de titres depuis 2012.

La Marseillaise, Emmanuel Macron qui salue les joueurs un par un, 46 000 spectateurs en liesse, ce stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille chauffé à blanc : tout est réuni pour une grande soirée.

Éliminée prématurément en 2022 et 2023, l’équipe entraînée par Luis Enrique renoue avec ce trophée si cher aux supporters. Bien que parfois malmenés par de coriaces lyonnais, les Parisiens avaient fait le plus dur en ouvrant rapidement le score. Ousmane Dembélé, tout heureux se retrouver à la réception d’un centre en pleine surface, trompait Lucas Perri, pas aidé par Duje Caleta Car, ni Saïd Benrahma (0-1, 22e).

Le PSG bouscule encore et encore les Lyonnais. Si bien que Fabian Ruiz double la mise douze minutes plus tard, en deux temps, à la réception d’un centre au second poteau (0-2, 34e). Revenus de si loin cette saison (les Lyonnais étaient relégables toute la première partie de saison), les hommes de Pierre Sage trouvent à nouveau les ressources pour revenir fort.

Leur seconde période leur a prouvé qu’ils pouvaient rivaliser avec ce PSG si habile balle au pied mais qui offre énormément d’espaces défensivement. D’autant que Paris n’a pas pu compter sur un grand Kylian Mbappé, comme depuis février, date à laquelle son entraîneur a décidé de se passer de lui régulièrement. Très vite Jake O’Brien, d’une tête rageuse sur corner, bat Gigi Donnarumma, pourtant si fort sur sa ligne ce soir encore (1-2, 55e).

Lyonnais et Parisiens vont alors se rendre coups pour coups (sans mauvais jeux de mots vu ce qu’il s’est passé en avant match sur l’autoroute A1) : des occasions de part et d’autre. Pour de grands arrêts de gardiens. Le spectacle est là.

Paris finit par remettre le pied sur le ballon et fait défiler le chrono. L’Olympique lyonnais échoue de peu à emmener les Parisiens en prolongation. Paris remporte sa quinzième Coupe de France. Un doublé Coupe-Championnat (sans oublier le Trophée des champions) attendu mais pas toujours simple à réaliser.

Avant même la remise du trophée, Kylian Mbappé est porté en triomphe par ses coéquipiers. La fin d’une belle partie de sa carrière, chez lui. Sept saisons de hauts et de bas. Plus long que prévu initialement. Il est maintenant largement temps pour lui de rallier le Real Madrid.

Combien a dépensé Kylian Mbappé pour s’offrir ce tableau du roi Pelé ?

Les dernières semaines de Kylian Mbappé à Paris sont particulièrement scrutées. Avant de découvrir la capitale espagnole et le mythique Real Madrid, la star du PSG a enchaîné un déplacement à Berlin, pour inaugurer sa statue de cire au musée Madame Tussauds puis une présence à un gala caritatif à Paris.

Si la statue de cire berlinoise a reçu beaucoup d’éloges pour sa forte ressemblance (ce n’est pas toujours le cas) avec le capitaine des Bleus, Kylian Mbappé a marqué les esprits en faisant monter les enchères particulièrement haut lors de la soirée de charité du club. L’événement Paris For Good, place Vendôme, il fallait sortir le carnet de chèques…

En collaboration avec Naked Heart, le Paris-SG nous informe que 2,7 millions d’euros de dons ont été récoltés à l’occasion de cette soirée de bienfaisance. Ces millions seront directement reversés à des opérations caritatives. Surtout pour aider des enfants dans le besoin.

« Cette année, avec ce gala de charité unique, nous unissons nos efforts pour sensibiliser à l’importance de l’inclusion sociale et du soutien aux enfants ayant des besoins particuliers, tels que ceux avec l’autisme. Notre vision commune est de faire de cet événement annuel le point culminant du calendrier philanthropique parisien », a déclaré le président du PSG Nasser Al Khelaifi.

Kylian Mbappé s’est comme à son habitude montré très généreux. Que ce soit devant les caméras ou en dehors, il fait toujours preuve de grande solidarité. Pas besoin de filmer, il se déplace dans les hôpitaux à la rencontre d’enfants malades. Pas besoin de filmer, d’après nos informations, il se montre généreux envers différents organismes caritatifs. Grand joueur au grand coeur.

Ce soir-là, Kylian Mbappé s’est amusé à faire monter les enchères avec son grand ami Achraf Hakimi. Attiré par un tableau du roi Pelé, le futur numéro 10 du Real Madrid s’est lancé dans une série d’enchères record pour cette soirée. Mis à prix à 5000 euros, le tableau s’est d’abord envolé jusqu’à 300 000 euros, il restait alors encore six acheteurs.

C’est là qu’Achraf Hakimi et Kylian Mbappé se sont livrés à un mano à mano, comme à l’entraînement ! C’est l’attaquant qui l’a emporté face au défenseur marocain. Comme souvent ? En tout cas, Kylian Mbappé est reparti avec le tableau contre la somme de… 520 000 euros ! Pour la bonne cause.

De quoi faire sourire ses amis réunis à sa table, à l’image d’Olivier Rostaing, directeur artistique chez Balmain.

Laure Boulleau en burn-out : les confidences

Un témoignage saisissant. Mettre des mots sur des maux, ce n’est parfois pas chose facile. C’est ce qu’a choisi de faire Laure Boulleau, l’ex-joueuse de football au micro de Clique sur Canal+. La consultante C+ s’est confiée comme jamais, devant Mouloud Achour.

C’est un des maux de notre société : le burn-out, la dépression. Laure Boulleau en a été victime. Toujours habituée à vivre à cent à l’heure, elle a été obligée de lever le pied. Télé, réseaux sociaux, sport, vie sociale active… L’ex-joueuse du PSG disait oui à tout.

« Il y a deux ans et demi, trois ans, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’arrivais plus à me concentrer, j’avais des trous de mémoire, j’ai commencé à paniquer », confie-t-elle. « J’ai fait des émissions dans lesquelles j’avais l’impression d’être en pilotage automatique, j’étais là sans être là ». Comme un trouble de dépersonnalisation.

Pire que tout, Laure Boulleau a même été jusqu’à penser que « ses jours étaient comptés ».  La maman d’une petite Clara depuis le 19 février avoue avec le recul que son « cerveau n’était plus comme avant. Des noms de joueurs, j’avais du mal à m’en souvenir, même des connus. Les lendemains d’émissions, j’étais épuisée ».

Une sorte de burn-out. Un mal dont elle ne connaissait ni les symptômes, ni comment l’éradiquer : « En voulant tout bien faire, sans savoir dire non, j’ai failli me brûler la tête ».

La consultante de Canal+ a alors choisi le check-up complet. Là voilà en consultation chez de nombreux spécialistes : « J’ai fait tous les examens de la tête en long, en large et en travers. J’avais des symptômes de ouf et il n’y avait rien. Je devenais timbrée. Et j’ai donc consulté un neurologue que j’avais déjà consulté pour les traumas crâniens et qui m’a tout de suite dit ce qui n’allait pas ».”

Désormais mère de famille, la jeune femme voit le monde autrement : « Ma vie a pris un autre sens ».

Ligue des Champions : Paris rentre bredouille d’Allemagne…

C’est un échec cuisant pour le Paris-Saint Germain de Luis Enrique, décidément en difficultés lors des matchs aller, comme face à Barcelone. Dans cette demi-finale de Ligue des Champions, jouée sur la pelouse de Dortmund, les Parisiens n’ont pas réussi à marquer. Et ont craqué (1-0).

Le match retour, mardi prochain au Parc des Princes, s’annonce palpitant. Mais après cette première confrontation, Paris inquiète ses supporters ainsi que les suiveurs. Car le Borussia Dortmund n’a rien d’un ogre. Il suffit de regarder les deux demi-finales de Ligue des Champions pour se faire une idée. Celle du Bayern face au Real Madrid (2-2), mardi soir, était d’une toute autre intensité.

Paris a déjoué. Paris ne s’est procuré aucune occasion nette. C’est le résumé de la première période parisienne à Dortmund. Luis Enrique a eu tout faux dans son système mis en place pour gêner les Allemands, même si Paris a eu, comme à son habitude, plutôt la maîtrise du jeu. Un pressing intéressant, certes, des récupérations de balle hautes. Mais ensuite ? Une utilisation stérile, comme souvent face à des blocs regroupés et avec de l’engagement physique.

Pas aidés par la sortie prématurée de Lucas Hernandez, les Parisiens ont notamment pris l’eau sur les côtés. Où Hakimi et Mendes ont vécu une sale soirée face à Adeyemi, dans tous les bons coups, et Sancho, si facile.

C’est sur l’action de l’unique but de la soirée, signé Fullkrug (1-0, 35e), pas élégant pour un sou mais diablement efficace, que Lucas Hernandez va d’ailleurs se blesser au genou. Les supporters du PSG et de l’équipe de France espèrent que les examens ne révèleront pas une nouvelle rupture des ligaments croisés, comme il y a deux ans.

Mené au score, le Paris-SG sort alors un peu la tête de l’eau. Quelques ajustements tactiques de Luis Enrique permettent à son équipe de retrouver de l’allant. Dembélé retrouve l’aile droite, Mbappé dézone sur son côté gauche préféré. D’ailleurs, c’est là qu’il se procure sa première occasion : son tir est repoussé par le poteau gauche du portier allemand ! Dans la foulée, Hakimi touche l’autre montant ! Quand ça ne veut pas…

Paris n’a rien à envier au Borussia, dont presque aucun joueur n’aurait une place de titulaire assurée au PSG si l’on compare les effectifs. Mais c’est bien le Borussia qui fait la bonne opération de ce match aller. Si l’arbitre n’avait pas fermé les yeux sur une poussette de Mendes sur Fullkrug en seconde période, Dortmund aurait même pu bénéficier d’un penalty.

Rendez-vous mardi soir, 21h, pour découvrir un autre PSG. Revanchard, sans doute, et poussé par son public. De quoi remonter ce but de retard et envisager une qualification historique en finale de Ligue des Champions.