fbpx

Soirée animée pour Bradley Barcola et les Bleus, à 4 jours du choc face à l’Italie

L’équipe de France retrouve les joies (ou l’ennui) de la Ligue des Nations, ce vendredi, face à l’Italie sur la remarquable pelouse du Parc des Princes. En attendant, les Bleus se sont réunis ce lundi, à Clairefontaine, deux mois après leur échec en demi-finale de l’Euro face à l’Espagne (2-1).

Alors pour relancer la machine bleue ce lundi, quoi de mieux qu’un dîner de fête ? Ainsi, l’équipe de France de football a publié vers 22h30 une vidéo des célébrations du groupe pour les 22 ans de Bradley Barcola.

La nouvelle star de la Ligue 1 (avec Mason Greenwood), déjà buteur à 4 reprises en trois matchs avec le Paris-SG, a dû se lever devant tout le groupe pour souffler ses bougies. Un anniversaire si particulier qu’il s’en souviendra forcément longtemps.

Sous les applaudissements de ses coéquipiers, l’ailier, debout à côté de N’Golo Kanté et Théo Hernandez, a timidement remercié tout le monde et lancé un bref « j’espère qu’on va gagner les deux matchs et voilà...« 

Pas encore tout à fait à l’aise dans l’exercice de prise de parole en public… Rien de grave.

Tirage au sort Ligue des Champions nouvelle formule à 18h : tout savoir sur les nouveautés pour le PSG, Lille, Brest et Monaco

Nouvelle formule, hymne revisité, suspense accru… La Ligue des Champions est de retour et compte ravir les fans de football. Le tirage au sort de la nouvelle phase de poule unique a lieu ce jeudi à 18 heures. Découvrez le mode de fonctionnement pour l’UEFA Champions League, l’Europa League et la Conference League à partir de cette rentrée 2024/25.

Le tirage au sort de la phase de ligue de la Champions League 2024/25 a lieu au Grimaldi Forum, à Monaco, à partir de 18 heures. C’est le moment tant attendu pour les quatre clubs français engagés, chiffre historique.

Le PSG, Lille, Brest et Monaco vont connaître leurs adversaires. Le nouvel hymne, très proche de l’ancien, devenu mythique, fait déjà beaucoup parler sur les réseaux sociaux.

Voici le mode d’emploi de ce nouveau format de la plus belle des Coupes d’Europe. Pas de panique si vous ne voyez pas arriver les sortes de saladier transparents, annonciateurs d’une longue (et ennuyeuse) cérémonie de tirage au sort. Pas de risque de « boule chaude » ou « boule froide », cette fois, c’est l’intelligence artificielle qui choisira les adversaires des différents clubs de façon aléatoire.

Pour le « show », il y aura bien quelques personnalités sur scène, quelques boules aussi, mais tout sera contrôlé par l’informatique. Cela devrait donc durer environ 35 minutes, au lieu de 4 heures… Merci !

La nouvelle formule est en fait un championnat unique à 36 équipes. Chaque équipe rencontrera 8 adversaires pour démarrer la compétition. Quatre matchs à l’extérieur, quatre matchs à domicile.

Les 36 équipes sont réparties en quatre chapeaux de neuf. Chaque équipe aura donc deux matchs face à deux équipes de chaque pot, un à domicile et un à l’extérieur.

Pas d’affrontement entre équipes d’un même pays. Et impossible de jouer plus de deux adversaires d’un même pays. Exemple : Si le PSG doit jouer Liverpool et Arsenal, il ne pourra pas tomber aussi sur Manchester City et Aston Villa parmi leurs huit matchs.

Le calendrier des rencontres ne sera connu que samedi, afin de coordonner les agendas des trois compétitions. Car des matchs de Ligue des Champions auront aussi lieu le jeudi lors de la première journée… L’idée de base étant que les supporters puissent voir un maximum de « chocs » entre grosses équipes à chaque journée.

Qui dit poule unique à 36 équipes dit beaucoup de matchs et beaucoup de déçus. Les 12 derniers de ce championnat verront la fin définitive de leur parcours européen. Ils ne seront pas reversés en Europa League ou Conference League.

Les huit premiers seront directement en huitièmes de finale, en mars. Entre la 9e et la 24e place, les équipes s’affronteront en play-offs, sortes de 16e de finale.

Quatre matchs à domicile, au lieu de trois, plus d’affiches au sommet, huit adversaires différents… Place au spectacle. Grande finale prévue le 31 mai à Munich (Allemagne).

Finale de la Coupe de France PSG-OL : Police supplémentaire et Benzema en renfort

Le football français souhaite terminer sa saison de la plus belle des manières. Avec un grand spectacle, ce samedi soir, au stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille, pour l’affiche PSG-OL, les deux équipes les plus en forme en 2024.

Privé de Coupe de France depuis deux ans, Paris veut renouer avec le succès. Une quinzième Coupe de France ? C’est l’objectif. Mais Lyon, qui n’a plus connu de titres depuis 2012, veut aussi soulever le trophée mythique. L’Olympique lyonnais reste sur six mois impressionnants, après avoir été classé dernier du classement pendant les premiers mois de championnat.

Du côté du PSG, en tout cas, aucune animosité, juste l’envie de gagner : « Finissons sur la plus belle des notes ». Comme l’a rappelé vendredi le Collectif Ultras Paris (CUP) via un communiqué posté sur leurs réseaux sociaux.

Dans le camp lyonnais, les joueurs ont reçu un soutien de choix : l’emblématique Karim Benzema a choisi de parler via les réseaux sociaux du club afin de motiver les troupes. « S’il vous plaît, éteignez-les », effet garanti. Lui qui évolue toujours en Arabie Saoudite pourrait-il revenir cet été chez lui à Lyon pour une dernière pige ?

Avant d’assister à un grand match, il faudra d’abord que le public soit accueilli en toute sécurité. La rencontre est classée 5 sur 5 par la Division nationale de lutte contre le hooliganisme. Les autorités se montrent particulièrement vigilantes tant il semble aisé de venir d’Angleterre, de Belgique, des Pays-Bas ou d’ailleurs pour semer la pagaille. Le hooliganisme n’est jamais loin du football. Encore en 2024.

Chose logique mais amusante : les personnes « se prévalant de la qualité de supporter du LOSC » sont interdites dans leur propre stade.

Ainsi, pour encadrer les 30 400 supporters (15 200 par club), la préfecture du Nord a mobilisé 1 000 forces de l’ordre. Des policiers de la force Sentinelle. Un dispositif massif afin d’éviter tout débordement. Et ne pas gâcher le match de clôture de cette grande saison de football en France. Ensuite, place à l’Euro, dés le 14 juin, en Allemagne.

Match à suivre à partir de 20h40 sur France 2.

Stupeur, le PSG éliminé ! C’était le Poteau Saint-Germain…

Maladresse ou inefficacité ? Sûrement un peu des deux. Le Paris-Saint Germain a été incapable de renverser la situation, ce mardi soir, en demi-finale de Ligue des Champions. Après son revers (1-0) au match aller à Dortmund, Paris devait absolument gagner.

Le PSG n’a même pas réussi à marquer. Alors impossible d’imaginer une victoire. Malgré un Parc des Princes en tenue de gala, les joueurs de Luis Enrique n’ont jamais su totalement emballer la rencontre. Et surtout pas en première période. Attentistes, maladroits, sans dynamisme, le Paris-SG passe à côté. À tel point que les tribunes s’éteignent minute après minute.

Le réveil se fait en seconde période. Mais après avoir concédé l’ouverture du score, d’abord. Hummels de la tête, sur corner, presque sans sauter (0-1, 50e). Un remake du but encaissé face au FC Barcelone lors du tour précédent… Décidément, ils n’apprennent pas de leurs erreurs. Juste avant ce but, Zaïre-Emery venait de rater l’immanquable, seul face au but vide, son tir rebondit sur le poteau et le ballon lui revient dessus avant de sortir… Sortie de but. Un cauchemar.

Face à de ternes mais bien regroupés allemands, Paris montre alors un peu de créativité… Et va se mettre à toucher les montants adverses. Dans des proportions ahurissantes. Un par un, les Parisiens tentent leur chance. Mais ça ne passe pas.

À quatre reprises, Paris touche le cadre du but allemand. Sans réussite ou avec une terrible maladresse ? Un peu des deux. Mbappé n’est jamais servi dans les bonnes conditions, Dembélé manque toujours d’efficacité, l’attaque ne pèse pas dans la surface adverse. Soirée ratée.

Paris aurait joué 15 minutes, déjoué 75. Sans compter le match aller. Insuffisant. Une fantastique préparation du match en tribunes, dans les médias et sur les réseaux sociaux. Mais rien de visible sur le terrain. Aucun but marqué en deux matchs… C’est un authentique échec. Qui restera encore dans toutes les têtes.

Battu par le cinquième de Bundesliga, Paris peut avoir tous les regrets du monde. Le Borussia Dortmund est en finale de la Ligue des Champions. Surprise totale. Sans joueur hors norme, ni fond de jeu spécifique, le Borussia est une équipe solide. Et ça leur a suffi. Avec son air toujours très professoral, Luis Enrique va devoir s’expliquer de cet échec majuscule.

Sur X, le Borussia Dortmund conclut la soirée par un post gentiment moqueur envers Paris : Dortmund se bonifie avec le temps, « comme le bon vin ». En citant un tweet du PSG de 2020, alors que Paris venait d’éliminer les Allemands de la Ligue des Champions, en pleine période Covid-19.

Coup dur pour un taulier des Bleus et du PSG, le message de soutien de Kylian Mbappé

C’est une très mauvaise nouvelle pour l’équipe de France, à un peu plus d’un mois du début de l’Euro en Allemagne. Une mauvaise nouvelle également pour le Paris-Saint Germain, au coeur de son sprint final pour jouer la finale de la Ligue des Champions et remporter la Ligue 1.

Dortmund, mardi soir, 40e minute de jeu. Lucas Hernandez s’assoit. Il ne peut pas continuer. Son genou gauche s’est bloqué dans le sol à la 36e minute de jeu, alors que Fullkrug ouvrait le score pour les Allemands. Le défenseur central gaucher du PSG fait grise mine. Il connaît cette douleur.

Ses coéquipiers comprennent petit à petit que c’est grave. Son genou est vraiment touché. Lui qui avait déjà subi une rupture des ligaments croisés du genou droit lors de la Coupe du monde au Qatar va devoir repasser par la table d’opération.

Fin 2018 puis début 2019, il avait déjà subi une grosse entorse du genou droit puis une distorsion du ligament… Des alertes à droite avant la grosse blessure de novembre 2022. A-t-il eu des alertes au genou gauche précédemment cette saison ?

Après des examens complémentaires et une IRM ce jeudi, Lucas Hernandez est fixé : Rupture des ligaments croisé du genou gauche. Le PSG vient de communiquer. Il va subir une intervention chirurgicale dans les tout prochains jours. Une absence qui peut aller de 4 à 8 mois selon les techniques de rééducation.

Très vite, cet après-midi, son coéquipier chez les Bleus et au PSG (pour encore un mois) poste sur son compte Instagram un message d’encouragement. « 𝙈𝙤𝙣 𝙜𝙪𝙚𝙧𝙧𝙞𝙚𝙧, 𝙐𝙣𝙚 𝙣𝙤𝙪𝙫𝙚𝙡𝙡𝙚 𝙚́𝙥𝙧𝙚𝙪𝙫𝙚 𝙙𝙞𝙛𝙛𝙞𝙘𝙞𝙡𝙚 𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙩𝙪 𝙣𝙚 𝙨𝙚𝙧𝙖𝙨 𝙟𝙖𝙢𝙖𝙞𝙨 𝙨𝙚𝙪𝙡 𝙤𝙣 𝙚𝙨𝙩 𝙩𝙤𝙪𝙨 𝙖𝙫𝙚𝙘 𝙩𝙤𝙞. 𝘽𝙞𝙜 𝙛𝙤𝙧𝙘𝙚 𝙢𝙤𝙣 𝙛𝙧𝙚̀𝙧𝙚. » Des centaines de supporters suivent aussi via leurs réseaux sociaux.

Mbappé et le PSG défieront Barcelone en Ligue des Champions

L’heure des retrouvailles. Encore traumatisés de la fameuse « remontada » de mars 2017, les supporters parisiens ont vu le tirage au sort effectué ce vendredi midi attribuer à leur club à nouveau le FC Barcelone, en quarts de finale de Ligue des Champions.

Depuis, beaucoup de choses ont changé. Le PSG en a terminé avec l’ère du star system anti-collectif au possible. Exit Neymar et Messi (qui étaient barcelonais en mars 2017), place aux derniers mois de Kylian Mbappé sous le maillot du PSG.

En février 2021, l’attaquant star du PSG et de l’équipe de France avait maltraité le Barça, avec un triplé sur la pelouse du Camp Nou (1-4), en 8e de finale aller.

Cette fois, cette confrontation marquera aussi le retour de Luis Enrique, l’entraîneur espagnol du PSG, sur ses anciennes terres. Match aller au Parc des princes le 9 ou 10 avril, match retour en Catalogne le 16 ou 17 avril.

En cas de qualification pour les demi-finales, le PSG rencontrera le vainqueur du duel Atlético de Madrid-Borussia Dortmund. De l’autre côté, choc immense entre Manchester City et le Real Madrid. Arsenal affrontera le Bayern Munich.

En Europa League, l’OM s’en sort plutôt bien. À 13h, ce vendredi, les boules ont livré leur verdict. Marseille ira à Lisbonne affronter le Benfica de l’ancien parisien Angel Di Maria, le jeudi 11 avril. Match retour prévu une semaine plus tard à l’Orange Vélodrome.

Basile Boli représentait le club lors du tirage au sport, à Nyon (Suisse). « Il n’y a jamais de bons tirages, il n’y a que de belles victoires« , a-t-il annoncé d’emblée au micro de BeIn Sports. « On va y aller avec humilité et détermination. Dans ce genre de rencontres, il n’y a pas de favoris.« 

Enfin, en Europa Conference League, la troisième Coupe d’Europe, Lille n’a pas eu de chance au tirage. Quart de finale programmé contre le favori pour le titre, Aston Villa. Les Anglais coachés par Unaï Emery sont de surprenants quatrièmes de Premier League. Tout un programme pour le LOSC.