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Le PSG remporte sa 15e Coupe de France (1-2) face à l’OL (les buts en images)

L’Olympique lyonnais a longtemps espéré un scénario fou. Mais le PSG n’a pas cédé. Dominateurs en première période, les Parisiens ont pris le large (0-2) avant de connaître plusieurs frayeurs en seconde période. Les deux gardiens se sont illustrés. Mais c’est bien le Paris-SG qui remporte sa quinzième Coupe de France (1-2). Lyon n’a plus gagné de titres depuis 2012.

La Marseillaise, Emmanuel Macron qui salue les joueurs un par un, 46 000 spectateurs en liesse, ce stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille chauffé à blanc : tout est réuni pour une grande soirée.

Éliminée prématurément en 2022 et 2023, l’équipe entraînée par Luis Enrique renoue avec ce trophée si cher aux supporters. Bien que parfois malmenés par de coriaces lyonnais, les Parisiens avaient fait le plus dur en ouvrant rapidement le score. Ousmane Dembélé, tout heureux se retrouver à la réception d’un centre en pleine surface, trompait Lucas Perri, pas aidé par Duje Caleta Car, ni Saïd Benrahma (0-1, 22e).

Le PSG bouscule encore et encore les Lyonnais. Si bien que Fabian Ruiz double la mise douze minutes plus tard, en deux temps, à la réception d’un centre au second poteau (0-2, 34e). Revenus de si loin cette saison (les Lyonnais étaient relégables toute la première partie de saison), les hommes de Pierre Sage trouvent à nouveau les ressources pour revenir fort.

Leur seconde période leur a prouvé qu’ils pouvaient rivaliser avec ce PSG si habile balle au pied mais qui offre énormément d’espaces défensivement. D’autant que Paris n’a pas pu compter sur un grand Kylian Mbappé, comme depuis février, date à laquelle son entraîneur a décidé de se passer de lui régulièrement. Très vite Jake O’Brien, d’une tête rageuse sur corner, bat Gigi Donnarumma, pourtant si fort sur sa ligne ce soir encore (1-2, 55e).

Lyonnais et Parisiens vont alors se rendre coups pour coups (sans mauvais jeux de mots vu ce qu’il s’est passé en avant match sur l’autoroute A1) : des occasions de part et d’autre. Pour de grands arrêts de gardiens. Le spectacle est là.

Paris finit par remettre le pied sur le ballon et fait défiler le chrono. L’Olympique lyonnais échoue de peu à emmener les Parisiens en prolongation. Paris remporte sa quinzième Coupe de France. Un doublé Coupe-Championnat (sans oublier le Trophée des champions) attendu mais pas toujours simple à réaliser.

Avant même la remise du trophée, Kylian Mbappé est porté en triomphe par ses coéquipiers. La fin d’une belle partie de sa carrière, chez lui. Sept saisons de hauts et de bas. Plus long que prévu initialement. Il est maintenant largement temps pour lui de rallier le Real Madrid.

Barcelone-PSG (1-4) : La grosse gaffe de Nasser Al Khelaifi

98e minute de jeu. Coup de sifflet final de ce quart de finale retour de Ligue des Champions. Paris est qualifié ! La joie s’empare du camp parisien. L’entraîneur Luis Enrique exulte, son staff aussi. Mal en point après son match aller raté (2-3), au Parc des Princes, 8 jours avant, le PSG a profité d’un carton rouge pour refaire surface. Et surclassé petit à petit un FC Barcelone en grandes difficultés.

Si Ousmane Dembélé a été élu homme du match, si Kylian Mbappé a inscrit un doublé salvateur, si Luis Enrique a réalisé de bien meilleurs choix qu’à l’aller, c’est bien le président Nasser Al Khelaifi qui s’est fait remarquer. Après la rencontre, alors qu’il répondait au micro de RMC, le Qatari n’a pas forcément compris où la journaliste voulait en venir…

Alors que Sonia Carneiro lui demandait de taire le nom du prochain adversaire du Paris-Saint Germain, « on ne sait pas encore qui sera l’adversaire, on ne dit rien, on ne dit rien », le président parisien s’est empressé d’annoncer : « Dortmund, Dortmund, Dortmund ! » Ne comprenant pas qu’il fallait garder la surprise aux téléspectateurs.

La journaliste voulait préserver le suspense pour proposer le résumé du match Dortmund-Atlético de Madrid aux abonnés RMC. Dommage, Nasser Al Khelaifi ne l’a pas entendu de cette oreille ! Peu soucieux des logiques télévisuelles, il a tout sourire dévoilé l’affiche Borussia Dortmund-PSG. Oui, ce sont bien les Allemands du Borussia qui ont éliminé l’Atletico d’Antoine Griezmann 4 buts à 2.

Mais à l’heure des réseaux sociaux et des notifications sur smartphones, rares sont les fans de foot qui ne devaient pas être au courant du résultat de l’autre quart de finale jouer en même temps que cet historique Barcelone-PSG…

Joconde, montgolfière, stickers… Le FC Barcelone se moque du PSG

La bataille des réseaux sociaux. Avant celle du terrain de football. Mercredi soir, 21h, le Paris-Saint Germain reçoit le FC Barcelone en quarts de finale aller de la prestigieuse Ligue des Champions. Mais avant cette première manche entre les deux équipes, une lutte se joue déjà sur les réseaux sociaux.

Quel club sera le plus audacieux ? Le plus créatif ? Mais attention à ne pas trop se montrer confiant non plus. Outsider des bookmakers pour cette rencontre au Parc des Princes, les Catalans y vont fort sur leurs différents réseaux sociaux. De quoi faire peur à Kylian Mbappé et ses coéquipiers ?

C’est d’abord La Joconde, vêtue d’un maillot du Barça, qui a attiré l’attention des supporters des deux camps. Attention, l’arrogance catalane pourrait être punie…

Puis nouvel acte présomptueux : une montgolfière aux couleurs blaugranas s’élevant devant la Tour Eiffel. Il n’en fallait pas plus pour agacer les supporters parisiens… qui ont demandé à leurs joueurs de répondre sur la pelouse, mercredi.

La tension monte entre les deux clubs et leurs supporters alors que le FC Barcelone restera pour longtemps le club qui a humilié le PSG, avec cette remontada (6-1), un soir de mars 2017.

Rassurez-vous, Mona Lisa n’a pas réellement enfilé un maillot du FCB, le musée du Louvre n’a pas été vandalisé. C’est l’œuvre d’une création via l’intelligence artificielle (IA)…

En revanche, ce sont de vrais stickers, autocollants aux couleurs du club catalan, qui fleurissent actuellement dans la capitale. À 24 heures du duel, le ton est donné. Cela s’annonce particulièrement palpitant.