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INTERVIEW – Malgré la mauvaise saison de l’OM, Redouane Bougheraba aura sa « finale » au stade Vélodrome

Ça passe ou ça clash. Avec Redouane Bougheraba, il faut suivre le rythme. Un rythme d’humoriste actuellement numéro 1 en France. Plus de 1,4 millions d’abonnés sur Instagram, des vidéos qui totalisent plusieurs millions de vues, des salles pleines… Un engouement rare pour un artiste français. Pour Entrevue, le Marseillais revendiqué se livre, quelques minutes après être sorti de scène. À retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.

Thibaud Vézirian : Redouane, tu seras le samedi 22 juin au milieu de l’Orange Vélodrome, pour une représentation unique de ton spectacle. Un rêve de gosse ?

Redouane Bougheraba : C’est exceptionnel ! À Marseille, ma ville, réunir tous ces gens… J’ai fait une réunion aujourd’hui avec la production, on a 27 000 billets vendus. On devrait être à plus de 30 000 quand le magazine va sortir. Et on table sur 40 à 50 000 spectateurs. Je pensais pouvoir faire venir tous ces gens en deux ou trois ans de spectacle mais pas en un soir.

Beaucoup t’ont déjà vu en tournée, sachant qu’avant l’Orange Vélodrome, tu auras déjà rempli l’Accor Arena (Paris) deux fois et la LDLC Arena (Lyon). Marseille sera un show unique ?

Plus de 350 000 spectateurs sont déjà venus sur la tournée. Donc oui, à Marseille, ce sera un nouveau spectacle. Il va y avoir des guests (NDLR : des invités), ça va être un événement unique et historique. Pour faire un stade, tenir les gens, il faut vraiment réaliser un spectacle visuel. Avec beaucoup d’émotions. Il y aura toute ma famille et aussi toute la famille artistique. On va faire un truc de malade ! De grande envergure. À la maison, avec des invités marseillais, voire internationaux. Je ne peux pas en dire plus mais il va y avoir de la musique aussi. On va essayer de choquer les gens ! Coachella, tu connais ? Mais à Marseille !

Thibaud Vézirian : Tu as pris une ampleur énorme sur les réseaux sociaux et dans l’univers médiatique. Sur scène, ça paraît très sportif. Tu as une préparation spécifique ? Tu as embauché un staff ? Préparateur physique, mental ? Comme un footballeur…

Redouane Bougheraba : Je reviens d’Inde, pour le tournage d’un film. J’allais tous les jours à la salle de sport. Je fais attention à la nutrition. J’ai perdu 8 kilos ! J’essaie d’arriver fit pour cet événement, comme un grand match. Je me prépare comme une finale de la Champions League ou un match de la Coupe du Monde. Je te jure, je me dis qu’il faut que je sois au top physiquement et psychologiquement. Mais ça va, j’ai plein de potes coachs, je connais plein d’anciens pros, plein de gars qui me suivent et m’envoient de la force, des conseils. L’Orange Vélodrome, c’est un gros événement, on ne va pas se rater. Tu ne peux pas arriver en surpoids. C’est une finale.

Une finale, ça se gagne…

Il faut qu’on mette l’impact physique. Après, je sais que les blagues seront là, le spectacle va être rôdé, il va être exceptionnel. Mais on ne laisse rien au hasard. On ne laisse rien passer. Je dois arriver physiquement au top.

Interview à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.

Zinedine Zidane, enfin le retour ?

Il n’a plus coaché depuis mai 2021. Une éternité. Zinedine Zidane est-il proche de retrouver un banc de touche ? Interviewé par Le Media Carré, Zizou s’est confié longuement au micro de Raphaël Domenach, dans le cadre du salon Universe Football à Aix-en-Provence.

L’ancien coach du Real Madrid n’a évité aucun sujet lors de cette vidéo de 18 minutes : son rapport avec l’OM, son amour de Marseille, son avenir. Après avoir apporté la Ligue des Champions sur la pelouse lors de la finale de la Ligue des Champions remportée samedi par le Real Madrid (2-0) face au Borussia Dortmund, Zinedine Zidane a surtout parlé du seul club français à avoir déjà remporté celle-ci, l’Olympique de Marseille.

« À Marseille, aux alentours, on aime le sport. Il y a beaucoup d’athlètes qui sont sortis de cette région. C’est pourquoi on aimerait voir plus de Marseillais à l’OM, sortir des quartiers, parce qu’il y a un vivier incroyable ». 

Si Zinedine Zidane n’a jamais joué pour l’OM, des informations insistantes évoquent sa potentielle arrivée pour redresser le club. « Ça me manque de pas avoir joué à l’OM mais c’est comme ça. Je ne l’ai pas fait mais Marseille, moi, le club il est toujours dans mon cœur. De mes 11 à 14 ans, j’étais au stade Vélodrome. J’allais au virage nord, j’étais sous le panneau d’affichage. Un vrai ! Ça, de toute façon, personne ne va me l’enlever. »

Si son nom a souvent été évoqué pour prendre la succession de Didier Deschamps, le poste de sélectionneur des Bleus ne lui semble pas offert pour tout de suite. Didier Deschamps ayant encore un contrat longue durée. Envoyé tantôt au Bayern Munich, à Manchester United ou ailleurs -des rumeurs farfelues-, Zinedine Zidane a promis de revenir sur un banc. Même si pour l’instant il avoue savoir parfaitement occuper ses journées : padel, vie de famille, événements caritatifs.

« Bien sûr qu’entraîneur ça me manque, mais je suis occupé. Le plus important pour moi c’est d’être occupé, faire des choses. D’être actif quelque part. Et je le suis ! »

Si l’on pouvait penser que l’ancien numéro 10 de la Juventus avait délaissé le métier d’entraîneur, c’est faux. Pas de retraite prématurée : « Je suis toujours entraîneur. Oui le quotidien me manque quelques fois. Mais il faut savoir que le quotidien d’entraîneur c’est chaud. Il faut beaucoup d’énergie. Donc là j’ai pris une pause. C’est une grande pause. Mais c’est pas grave. Un moment donné, on verra ce qui va se passer et s’il faut remettre le couvert, on le fera. Mais ça me manque de temps en temps ».

Zinedine Zidane fou amoureux !

L’image a marqué les esprits. Zinedine Zidane, à Wembley, samedi soir, pour déposer la Ligue des Champions sur son socle, avant la remise du trophée aux champions madrilènes. Puis une longue étreinte avec Carlo Ancelotti, le successeur de Zizou sur le banc du Real.

Zinedine Zidane ne laisse personne indifférent. Même quand les stars de la finale de la Ligue des Champions sont sur le terrain, c’est lui qui attire l’attention. Au moment de la remise de leur 15e Ligue des Champions, Zizou était là, tout sourire, pour le Real Madrid.

Si Carlo Ancelotti vient alors de remporter sa 5e Ligue des Champions, ce qui le fait certainement devenir l’entraîneur numéro 1 de l’histoire du football, l’avenir de Zinedine Zidane suscite toujours autant de spéculations.

Lui qui déclare régulièrement n’envisager que l’Equipe de France, la Juventus Turin, le Real Madrid ou l’Olympique de Marseille n’a plus trop de solutions pour retrouver les terrains. Il n’y a qu’un strapontin de libre parmi ses équipes de coeur.

Alors quand sur Canal+ Sport Afrique, il déclare ce week-end que « moi, Marseille, quand j’étais petit, je venais au stade. De 11 ans à 14 ans, je venais au stade avec mes copains, au Virage Nord, sous le panneau d’affichage. J’ai vu mes idoles jouer : Enzo Francescoli, Karl-Heinz Förster, tous ces joueurs-là de fou qui sont passés à Marseille. J’étais supporters de Marseille, et je suis toujours supporter de Marseille », forcément les supporters s’affolent.

Présent dans son antre du Z5 de Aix-en-Provence pour parler des métiers du football dans le cadre du salon Universe Football, il a aussi répondu aux questions de BFM TV.

Harcèlement, insultes, menaces : au tribunal, Jacques-Henri Eyraud raconte le traumatisme vécu face aux supporters de l’OM

Un début de procès très suivi. L’ancien président de l’Olympique de Marseille faisait face pour la première fois à ses harceleurs. Ou plutôt cyberharceleurs. Des supporters de l’OM planqués derrière leur écran au moment d’insulter, lyncher ou menacer de mort Jacques-Henri Eyraud en 2021. Tension et émotions.

Il y a parfois des histoires que l’on préfère enterrer afin d’avancer. Jacques-Henri Eyraud doit faire face à ses démons plus de 3 ans après les faits. Ce lundi, devant le tribunal judiciaire de Paris, « JHE » a dû réécouter les messages horribles postés par certains supporters de l’OM à son encontre : « sale parisien », « on aura ta peau », « ça va mal finir pour toi » ou « encore qu’on le pende ce fils de chien ».

Ces messages ont été postés sur X (ex-Twitter) entre fin 2020 et mars 2021, alors que le bateau OM tanguait très fort : entre manque de liquidités, équipe peu renforcée, coach partant et mauvais résultats. Avec en point d’orgue l’attaque de la Commanderie (samedi 30 janvier 2021), lorsqu’une manifestation de supporters a fini par dégénérer. Les 11 prévenus sont des hommes âgés de 25 à 52 ans, ils n’étaient pas tous présents à l’audience.

« Ce sont des propos graves. Ne les banalisons pas », a rappelé à la barre maître Olivier Baratelli, avocat de l’ancien président de l’Olympique de Marseille. Messages insultants, menaces de morts… mais aussi caricatures et photos détournées. On peut voir Jacques-Henri Eyraud décapité ou le corps sous une guillotine : un processus de lynchage et déshumanisation. L’effet de meutes aussi, des jeunes gens incapables de se rendre compte du mal qu’ils faisaient…

« Avez-vous des regrets d’avoir dirigé l’OM ? », le questionne alors le président de la 10e chambre correctionnelle. JHE n’a pas l’ombre d’une hésitation : « la réponse est non ». Poursuivant : « J’ai aimé ce club, j’ai aimé cette ville » de Marseille. S’il n’arrivera pas à convaincre tous les Marseillais là-dessus, lui « le Parisien », il a au moins le mérite de se montrer sincère et touchant.

En costume noir, Jacques-Henri Eyraud, d’un ton strict, livre le fond de sa pensée : « Tout a été fait pour que je quitte mes fonctions et que je craque ». Des mots prononcés avec beaucoup d’émotions.

Son traumatisme est celui aussi de sa famille. Les menaces de mort ont touché tout le monde, à commencer par sa fille, adolescente, présente au tribunal aujourd’hui.

L’enquête a recensé une centaine de personnes auteurs de messages haineux. Seules onze d’entre elles ont pu être identifiées derrière leurs pseudonymes. Un problème qui touche beaucoup de gens dans le monde entier. Un vrai fléau.

Lors des témoignages, les prévenus expliquent souvent leur attitude déplorable par des excès de « colère ». Michaël A., 41 ans, confirme qu’il ne souhaitait « pas la mort de ce monsieur. Je me sens honteux ». Très touché, il demande la permission de se tourner vers Jacques-Henri Eyraud pour lui présenter ses excuses : « Les mots ont dépassé ma pensée ». Mieux vaut tard que jamais.

Même si sur les réseaux sociaux, les excuses arrivent souvent bien vite après la moindre confrontation avec la cible. Certains ne cherchant en fait qu’un moment d’attention… Ou à se défouler. Suite du procès ce mardi.

Un titre de plus pour Tapie !

Une grande victoire pour Bernard Tapie. La série. Si celle-ci n’a pas du tout fait l’unanimité dans la famille de l’ancien boss de l’OM, homme d’affaires et ex-ministre, la série Netflix a séduit jusqu’au Royaume-Uni. A tel point qu’elle vient de recevoir un trophée lors des Bafta TV, celui de la meilleure série étrangère.

Une victoire assez inattendue puisque sa sortie avait fait beaucoup parler en France. La femme de Bernard Tapie n’avait pas du tout apprécié : « Ce n’est pas mon mari. J’en discutais hier avec Noëlle Bellon (secrétaire générale du groupe Tapie), et comme moi, elle n’a pas retrouvé l’étincelle dans son regard. »

De la même façon, Stéphane Tapie, le fils, était sorti de ses gongs au moment de la diffusion de la série, qualifiant celle-ci de « bouse » ne reflétant ni la réalité, ni la personnalité de ses parents. Ce mélange de faits réels et de fiction l’avait dérouté : « Vous êtes des pigeons, Netflix » !

Des « pigeons » qui ont séduit le jury de la cérémonie britannique des Bafta TV ce dimanche. La performance de Laurent Laffite dans le rôle de l’homme d’affaires a touché les Britanniques.

Une victoire plutôt inattendue. D’autant que la production de Netflix était dans une catégorie composée d’immenses succès internationaux : The Bear, The Last of Us, Beef ou encore Succession.

Nul doute que ce prix va relancer les visionnages de cette série en 7 épisodes de 50 minutes.

Le calvaire olympien, l’OM éliminé !

Il n’y a pas eu photo. Aucune suspense même. Comme le PSG la veille, un sentiment d’extrême frustration. L’Olympique de Marseille n’a tout simplement pas été à la hauteur de l’événement. Après son match nul (1-1) au match aller à domicile, l’OM se déplaçait plein d’ambitions sur la pelouse de l’Atalanta Bergame.

Il n’a pas fallu longtemps pour comprendre que la soirée allait être compliquée. Baladés collectivement, secoués physiquement, les Marseillais n’ont pas existé. Aucun tir cadré à l’issue de la première période. 13 tirs pour leurs adversaires. L’Atalanta n’en avait que faire du beau parcours européen des Marseillais, ils ont roulé sur leurs adversaires. Et fini le match comme ils l’avaient démarré : avec entrain et panache.

Et un, et deux, et trois zéro

Bien aidé par le genou de Gigot, le tir de Lookman trouve le chemin des filets (1-0, 30e). Cette ouverture du score ne réveille pas les joueurs de Jean-Louis Gasset. Ils ne sortiront jamais vraiment la tête de l’eau. Surclassés dans tous les compartiments, l’OM aura tout de même une (seule) occasion nette de revenir au score. Ndiaye devance la défense italienne, file au but et voit le gardien adverse très avancé. Son tir lobé meurt à côté du cadre… Le but était grand ouvert.

Dans la foulée, comme c’est souvent le cas dans le football de haut niveau, Marseille est puni. Ruggeri déboule côté gauche et arme un tir en pleine lucarne opposée. Apathiques, les Olympiens constatent les dégats (2-0, 52e).

Alors que l’Atalanta avait joué en championnat trois jours avant (l’OM avait une semaine de repos), personne n’a constaté l’écart physique entre les deux équipes. Pire, les Italiens semblaient nettement au-dessus du lot. Marseille est comme asphyxié.

En toute fin de match, la soirée prend une toute autre tournure : c’est une claque finale. Touré inscrit le troisième but de la soirée (3-0, 94e). À la différence du match aller, il y avait ce soir un monde d’écart entre les deux équipes. L’écart entre un club stable et un autre particulièrement instable. À l’image de ses quatre coachs consommés cette saison par exemple. L’OM peut maintenant se concentrer sur la suite : une fin de championnat difficile et un avenir beaucoup plus radieux.

L’Atalanta Bergame rejoint le Bayer Leverkusen en finale de cette Ligue Europa. Aucun club français n’a réussi à sortir des demi-finales des coupes d’Europe. Une désillusion.

Qui portera la flamme olympique à Marseille ? Les noms dévoilés

Marseille est LA ville française du football. Et ça se sent quand on découvre la liste des personnalités qui participeront au relais de la flamme olympique mercredi et jeudi dans la cité phocéenne.

Une fois sur le sol français, la torche suivra un long parcours, tombera entre des milliers de mains et terminera son chemin le 26 juillet à Paris. Tout un spectacle. Une formidable mise en bouche des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.

Après douze jours de traversée de la Méditerranée à bord du trois-mâts Belem, c’est le nageur Florent Manaudou qui sera le premier porteur de la flamme.

À noter, d’après nos informations recueillies en exclusivité, que lors de l’arrivée du Belem sur la mer, des conteneurs du fleuron franco-libanais CMA-CGM, propriété de Rodolphe Saadé, seront aperçus en arrière-plan, recouverts de dessins aux couleurs des JO.

Marseille, ville de football. Ainsi, Jean-Pierre Papin, ballon d’or 1991 et mythique attaquant de l’OM, fait partie des porteurs de flamme. Le chaudron olympique sera allumé vers 19h45, mercredi. Puis jeudi 9 mai, la flamme va parcourir Marseille, seule ville avec Paris à être traversée pendant une journée entière.

Plusieurs lieux emblématiques de la cité seront empruntés : la basilique Notre-Dame-de-la-Garde, bien sûr, et le stade Orange Vélodrome pour finir.

L’ancien basketteur Tony Parker ou encore le rappeur Soprano sont à retrouver parmi la centaine de relayeurs de la flamme olympique mercredi et jeudi. De même que l’actuel capitaine de l’Olympique de Marseille, Valentin Rongier, ou encore l’ex-éphémère buteur du club, Didier Drogba. La joueuse Louisa Necib sera aussi de la partie. Tout comme les anciens nageurs Fabien Gilot et Frédérick Bousquet. Et Clara Matteï, championne de France en 2022 et 2023 de para-natation.

Heureusement, il n’y aura pas que des sportifs de renom. Les humoristes Nicole Ferroni et Redouane Bougheraba, la supportrice de l’OM Colette Cataldo ou aussi Albert Corrieri (101 ans), ancien déporté des camps nazis. La confondatrice de l’association Le Point Rose, Nathalie Paoli, qui oeuvre pour aider les parents ayant perdu un enfant, a également été sélectionnée.

L’OM tient tête à l’Atalanta et peut encore rêver d’une finale (résumé et buts)

Un bijou. Si l’OM n’a pu faire mieux qu’un match nul (1-1) à domicile en demi-finale aller d’Europa League face à l’Atalanta Bergame, le geste de la soirée est à mettre au crédit d’un Marseillais. Encouragé quelques jours avant par Emmanuel Macron en personne, Chancel Mbemba a brillé. Le défenseur central international congolais s’est même mué en buteur…

Son tir enveloppé pied droit a trouvé la lucarne du portier italien. Nous sommes alors à la 20e minute de jeu. L’Olympique de Marseille venait de passer un premier quart d’heure difficile, bloqué dans son camp par le pressing italien incessant et déjà mené au score. Scamacca avait fait faux bond à la défense olympienne pour l’ouverture du score (0-1, 11e).

Poussés par un Orange Vélodrome en mode volcan, les Marseillais vont redresser la tête, se lâcher et même s’offrir les meilleures occasions.

D’abord par Aubameyang, seul face au gardien en fin de première période, bien servi par Clauss. Puis à nouveau d’une reprise de la tête après l’heure de jeu. Quelques secondes après son entrée en jeu, Ounahi ouvre lui aussi son pied mais son tir finit sur l’arrête des cages italiennes ! À quelques millimètres près… Mais ça ne rentre pas et les 65 000 supporters présents ce jeudi soir doivent se contenter de ce résultat.

Avec une défense solide, autour de l’Argentin Balerdi, de plus en plus fiable, et avec le retour des cadres, l’OM peut nourrir tous les espoirs. L’Atalanta Bergame a montré des qualités mais aussi des largesses défensives.

Rendez-vous jeudi prochain pour leur « finale », ce match retour qu’il faudra remporter, d’une façon ou d’une autre. Dans le temps réglementaire, en prolongation ou aux tirs au but. Mais cette fois, ce sera à Bergame.