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Nice 1-1 PSG : Paris à deux vitesses, Monaco prend la tête, Bradley Barcola frustré

Encore un Paris-SG a deux vitesses, ce dimanche soir, en clôture de la 7e journée de Ligue 1. Très décevants en première période, bousculés par des Niçois qui avaient deux jours de moins de récupération, les Parisiens ont couru après le score et sauvé un point…

Des maux de tête pour Luis Enrique ? Son jeu de possession à défaut d’être un jeu de préparation vers des actions de but deviennent toujours plus stérile. Les équipes adverses lisent de mieux en mieux les schémas de jeu parisiens. L’OGC Nice en est le dernier exemple. L’équipe de Franck Haise, décevante à Rome jeudi, a pu s’appuyer sur beaucoup de mouvements, un Tanguy Ndombélé de retour au top et à une belle efficacité pour gêner l’ogre parisien.

L’ouverture du score niçoise, sur un tir d’Ali Abdi dévié par Nuno Mendes (39e), est alors plutôt justifiée. Les Aiglons procèdent en contre, avec un bloc bas idéal pour pointer du doigt le manque de profondeur du PSG, et des attaquants très intelligents.

Après la pause, Luis Enrique enterre définitivement le moral de son seul attaquant de pointe de l’effectif (en l’absence de Gonçalo Ramos), Randal Kolo-Muani. Quasi-taulier chez les Bleus, le voilà toujours plus reléguer au fond du tiroir à idées de son coach espagnol. Certes, il n’a pas brillé en première période. Mais utiliser Randal Kolo-Muani en attaquant de position, en pivot dos au but, englué dans l’entonnoir, c’est mission impossible vu ses qualités.

Le Coréen Kang-In Lee le remplace. Et en effet, Paris ne peine à faire mieux qu’en première période. Deux fois plus d’occasions, deux plus de moments chauds devant le but de Marcin Bulka. Et finalement, bis repetita du premier but, c’est un tir contré assez inoffensif (pied droit !) de Nuno Mendes qui finit au fond des filets (1-1, 52e).

Interrogé après la rencontre, l’ailier du club de la capitale Bradley Barcola n’a pas tergiversé : « La première mi-temps, on n’était pas dedans. La seconde, c’était beaucoup mieux. C’est toujours difficile de jouer ici« , avant d’ajouter : « ce qu’il manque au PSG ? Je ne sais pas, plus d’envie peut-être« .

Paris ne perd pas. C’est déjà ça. Mais Monaco a encore gagné, à Rennes cette fois. L’ASM est le nouveau leader de cette L1, deux longueurs devant le PSG.

Lyon, vainqueur de Nantes (2-0), poursuit sa remontée. L’OL est à quatre points de Marseille, qui cale après son nul à domicile face à Angers (1-1).

Dans le bas de tableau, belle opération de l’ASSE, vainqueur de l’AJ Auxerre. Montpellier et Toulouse, encore battus, sont relégables.


Déluge de buts (et de pluie), Nice corrigé à Rome face à la Lazio (4-1)

Difficile entrée en matière pour Nice en Europa League, un seul point après deux rencontres. Les hommes de Franck Haise se déplaçaient ce jeudi en terres romaines, celles de la Lazio de Matteo Guendouzi. Et ça ne s’est pas bien passé du tout.

Sous une pluie battante, avec un terrain du stade Olympique à la limite du praticable, la Lazio a bien mieux manoeuvré que les Aiglons. Une performance terne des rouges et noirs alors que ses supporters pensaient pouvoir en attendre plus.

Nice craque dés la 20e minute de jeu, d’un tir enroulé somptueux de l’Espagnol Pedro, 37 ans.

L’OGC Nice réagit timidement et va courir après le score tout le match. Notamment à cause du talent d’un homme, l’attaquant laziale Valentin « Taty » Castellanos, buteur d’abord à la 35e d’un petit piqué délicieux devant Marcin Bulka puis d’un tir imparable à la 53e (3-1).

Un penalty de Mattia Zaccagni (4-1, 67e) enlève définitivement le maigre suspense restant. Deux succès en deux matchs pour les Romains, une défaite et un nul pour Nice, il y a urgence à prendre des points.

Lors de la prochaine journée, le 24 octobre, Nice se déplacera en Hongrie, sur la pelouse du Ferencváros TC, battu déjà à deux reprises.

Humiliation totale : Nice fête ses 120 ans en inscrivant 8 buts à l’AS Saint Étienne !

Soirée d’anniversaire magique pour l’OGC Nice. Avec un résultat historique. Ce n’est plus une claque, ni une déculottée, mais une humiliation totale qu’ont infligé les Aiglons aux Stéphanois (8-0). Un score fleuve pour lancer cette 5e journée de Ligue 1 qui se terminera par l’Olympico, dimanche soir, OL-OM.

Nice avait promis un jeu plus offensif avec l’arrivée de Franck Haise sur le banc, en début de saison. C’est finalement un festival auquel ont eu droit les supporters de l’Allianz Riviera pour ce match face aux Verts de Saint Etienne.

Deux buts en 7 minutes, le ton était donné. De la réussite d’un côté, des cadeaux de l’autre. Des espaces fous au coeur du jeu stéphanois. Tanguy Ndombélé, de retour en L1 après avoir pas mal erré à l’étranger, signe le but du 2-0, bien seul et pas attaqué dans la surface (7e). Ce but résume le début de match surréaliste de l’ASSE.

Tous les joueurs offensifs, ou presque, se sont régalés et ont marqué pour les rouges et noirs. 120 ans, ça se fête, alors Youssoufa Moukoko s’est offert son premier doublé en L1. Mohamed Ali Cho a régalé et lui aussi marqué son petit but d’une frappe sublime.

Evan Guessand, parfois décrié, se faufile dans la défense (fantôme) et réalise un petit festival. Les Verts ont coulé un par un, individuellement et collectivement. Sans être capable de se réveiller.

Forcément, une telle contre-performance pause la question du maintien en poste de l’entraîneur des Verts, Olivier Dall’Oglio. Avant la suite de cette 5e journée, Saint Etienne est 16e avec 3 petits points et une différence de buts de -14 !

Nice a frappé un grand coup. 5 buts après 30 minutes de jeu, puis 6-0 à la pause. Jeu, set et match, déjà. Mais les Aiglons ne se sont pas arrêtés là. Saint Etienne ne réagira jamais. Aucun sursaut d’orgueil. Sofiane Diop puis Rosario, sur penalty, finiront le travail (8-0, 86e).

Côté statistiques : jamais Saint Etienne n’avait subi une telle déconvenue depuis un 9-0 en 1951-52. En 1957-58, Nice l’avait emporté par une telle marge face à Sedan…

Les supporters de Saint Etienne, eux, ont quitté le stade avant même la mi-temps. Les Verts joueront le dimanche 29 septembre à Nantes dans le cadre de la 6e journée. L’opération rachat passe par-là.

Plus efficace, l’OM fête ses 125 ans par une victoire, le bijou de Luis Henrique

L’Olympique de Marseille fête dignement ses 125 ans avec une 3e victoire en 4 matchs de Ligue 1 cette saison. Si l’OM a terminé la rencontre à 10, Nice a manqué de réalisme pour pouvoir espérer mieux. Marseille est leader provisoirement, en attendant PSG-Brest, ce samedi soir.

Dans un match cadenassé, il faut souvent miser sur un éclair de génie d’un joueur formidable ou sur une erreur de l’adversaire. Il y a eu un peu des deux pour l’Olympique de Marseille, ce samedi après-midi.

Alors que le club fêtait ses 125 ans en grande pompe, avec deux jolis maillots en série limitée, l’objectif était d’offrir une première victoire cette saison en championnat devant son (extraordinaire) public.

Des tifos splendides, une ambiance de feu… Et quelques changements dans la composition d’équipe de Roberto De Zerbi pour commencer le match. Exit Elye Wahi, gêné par des soucis physiques cette semaine, place à la recrue Neal Maupay.

Et c’est bien lui, l’ancien Niçois, qui a débloqué la rencontre. Dans un match fermé, avec peu d’occasions de buts, l’ex-attaquant d’Everton a profité d’un mauvais jugement de la défense adverse pour marquer de la tête, en renard des surfaces (1-0, 40e). Le match est enfin lancé.

Face à de timides et peu réalistes niçois, à l’image d’Evan Guessand qui a manqué de justesse dans la surface olympienne, Nice n’y a jamais vraiment cru.

Melvin Bard a touché le poteau de Geronimo Rulli, d’une somptueuse reprise de volée, puis Rosario a également manqué d’efficacité, après un ballon relâché par Geronimo Rulli. Le gardien argentin n’était pas dans un grand jour mais il a connu beaucoup de réussite, c’est bon signe.

En seconde période, Nice ne semble jamais en mesure de revenir : pas de penalty sur un accrochage entre Mason Greenwood et Ali Abdi… Tous les moments clés du match ont tourné en faveur de l’OM.

Quand on revoit le petit numéro réalisé par Luis Henrique, auteur d’un but splendide suite à une remise d’Amine Harit, il ne pouvait en fait rien arriver aux Olympiens. Avec un Pierre-Emile Højbjerg, capitaine, toujours aussi serein, cette équipe sait ce qu’elle doit faire et sait où elle va. Ce qui change déjà beaucoup par rapport à la saison dernière.

Même l’exclusion sévère de Derek Cornelius, pour avoir gagné du temps (second carton jaune), n’a pas fait tanguer le bateau bleu et blanc. L’Orange Vélodrome est en fête, l’OM est leader.

L’OM fête ses 125 ans face à Nice, à 17h, le nouveau maillot fait recette

Quoi de mieux qu’une victoire face à « l’ennemi » niçois pour célébrer un anniversaire ? C’est ce que se disent les supporters olympiens. 125 ans, ça se fête…

Avant même le coup d’envoi, match à suivre à 17h sur beIN sports, le club a déjà réussi son coup. Deux nouveaux maillots totalement inédits viennent de sortir. Et sont pris d’assaut sur le site Internet de l’OM depuis quelques heures. Pour beaucoup, ils s’affichent déjà « indisponibles ».

Les amateurs de couleurs, dessins ou autres créations originales sur un maillot de football vont être déçus : sobriété, efficacité. Un maillot blanc pour les joueurs de champ. Un maillot tout noir pour le gardien. Du plus bel effet. La classe. Pas de fioriture. Un « retour à la génèse » comme l’indique l’Olympique de Marseille sur son site Internet.

Un col « polo » pour couronner le tout, beau rappel aux maillots d’antan et voilà comme l’OM et son équipementier Puma font quasi-l’unanimité sur le sujet.

Pour ceux qui se demandent d’où sort ce logo spécial de l’OM, rien de neuf ! Tout le contraire. C’est le retour du premier logo, celui de 1899 et 1935, de René Dufaure de Montmirail, l’homme du « Droit au But ». 

Avec justesse, le partenaire principal du club, CMA CGM, s’incline : la publicité est là, bien là sur le devant du maillot, mais en ton sur ton. Sympa. Un maillot que les supporters ne manqueront pas de porter dans la vie de tous les jours. Comme cela se fait déjà beaucoup partout. Et oui.

Seul hic, le prix, bien sûr. C’est un événement, c’est un maillot spécial en attendant ce match spécial, OM-Nice… Alors il faudra débourser 99 euros ! Ouch. La marge est belle, comme avec tous les maillots de football. Vaste débat. Mais on peut déjà lire quelques messages sur les réseaux sociaux du type : « Je n’ai pas payé DAZN, alors je peux me faire ce petit plaisir ! » La LFP appréciera.

En attendant, l’OM tentera d’aller chercher une 3e victoire en 4 journées, cet après-midi, 17h face à l’OGC Nice de Franck Haise, qui revient en forme. Un choc de L1 intéressant tant les hommes de Roberto De Zerbi suscitent curiosité et quelques doutes aussi, notamment défensivement. Un match débridé qui pourrait nous offrir du spectacle.

Ci-dessous, revue de presse : les compositions d’équipes probables selon le journal L’Equipe. Avec Neal Maupay, nouvelle recrue de la fin août, en position d’avant-centre, Elye Wahi ayant eu des soucis physiques pendant la trêve internationale.

Pour ce match très attendu, et la fête des 125 ans, de nombreux tifos sont attendus dans le stade en avant match, notamment du côté de la tribune des South Winners.

Thibaud Vézirian

Sept morts dont trois enfants et un adolescent à Nice, dans l’incendie d’un immeuble, la piste criminelle privilégiée

Un drame. Un incendie s’est déclaré dans un immeuble du quartier des Moulins à Nice, provoquant la mort de sept personnes, dont trois enfants et un adolescent. La piste criminelle est privilégiée. Le bâtiment a pris feu dans la nuit du mercredi 17 juillet au jeudi 18 juillet 2024.

Gabriel Attal et Gérald Darmanin sont attendus sur place ce jeudi midi. C’est vers 2h30, la nuit dernière, qu’un incendie s’est déclaré à Nice, rue de la Santoline. De violentes flammes sortaient d’un appartement au 7e étage. Dans le quartier des Moulins, c’est l’horreur ce matin.

Le bilan est terrible : sept personnes sont décédées, dont trois enfants et un adolescent. Elles habitaient le même appartement. Deux femmes, un homme, un adolescent de 17 ans et trois enfants, de 5, 7 et 10 ans ont péri dans les flammes. Une victime s’est défenestrée pour échapper au feu.

D’après les informations données par le préfet des Alpes-Maritimes à France Bleu Azur, Hugues Moutouh, dix personnes se trouvaient à l’intérieur de l’appartement au moment des faits, « une famille manifestement d’origine comorienne ».

Une quarantaine d’habitants ont dû être évacués et pris en charge. Plus de 80 pompiers ont été dépêchés sur place. Ils ont procédé à de nombreux sauvetages, à l’aide de leurs échelles. Une cellule de crise a été activée au palais Nikaia de Nice. Là où sont recueillis les familles délogées.

Pourquoi la piste criminelle est privilégiée ? Le procureur de la République de Nice, Damien Martinelli, a « ouvert une enquête pour des faits d’incendie volontaire ayant entraîné la mort ».

« De ce que nous avons pu analyser sur les images de vidéosurveillance, des personnes cagoulées auraient pu être aperçues dans le secteur », a expliqué le maire de Nice. Narcotrafic ? Réglement de comptes ? La justice va faire son travail.

Auditionné au Sénat, Vincent Labrune (LFP) a des idées pour sauver le football français

Face à des clubs menacés de faillite en cas d’échecs des négociations des droits TV, et alors que la Ligue 1 reprend le chemin des terrains le 17 août, le président de la Ligue de Football Professionnel (LFP) s’est expliqué aujourd’hui devant les Sénateurs de la commission de la culture, de la communication et du sport.

Le football français à la dérive. Alors que le championnat reprendra après les Jeux Olympiques, le week-end du 17 août, les droits TV ne sont toujours pas décidés. Aucun diffuseur ne propose la somme adéquate pour faire vivre les clubs professionnels de Ligue 1. Car pour certains, la manne financière des droits TV représente jusqu’à 60% de leur budget. Le statut quo actuel ne leur permet donc pas de se projeter sur l’avenir et de mener à bien le mercato d’été.

Ce mercredi après-midi, Vincent Labrune est donc reçu par les Sénateurs de cette commission pour clarifier la situation en tout point. Le Président de la LFP s’est notamment à nouveau expliqué en détails sur le couac des relations entre la Ligue et Canal+, depuis l’échec colossal de MediaPro (Vincent Labrune n’était alors pas en poste) et l’arrivée de Prime Vidéo pour une somme moins élevée que Canal+ mais avec plus de matchs à diffuser.

« Canal+ a une position forte sur le marché français. Il y a du ressenti et une blessure entre la LFP et Canal+. Des émotions fortes. Un sentiment de trahison. On travaille à des solutions alternatives. C’est compliqué mais il y a un chemin, qui sera peut-être moins bénéfique pour les clubs si on n’arrive pas au final à trouver un arrangement avec Canal+, en créant notre propre média. »

Vincent Labrune précise alors qu’« encore une fois », il ne « veut pas accabler Canal+ plus que de raison. » Pas besoin d’offusquer encore une fois Maxime Saada et le candidat idéal aux droits TV.

Pour autant, aurait-il une autre carte dans sa manche ? C’est ce qu’il laisse entendre. Au détour d’une question, il raconte continuer à se battre pour obtenir le meilleur deal pour le football français. Même si le temps presse. Il assure aussi « essayer d’attirer de nouveaux investisseurs et de nouveaux propriétaires ». Voilà qui garantirait plus de moyens, de meilleurs joueurs et plus de spectacle à vendre aux téléspectateurs. Les diffuseurs apprécieraient sans doute. Et augmenteraient leur mise ?

Mais à qui fait référence Vincent Labrune ? Car tous les clubs sont à vendre. Partout. Chacun club possède son prix. L’OGC Nice ? Dont Sir Radcliffe semble se désintéresser suite à l’acquisition (minoritaire) de Manchester United. Peu probable. Puisque depuis le Brexit, les clubs anglais prospectent dans les championnats étrangers afin justement d’acheter des clubs « satellites », aptes à développer de jeunes joueurs. Nice est l’endroit idéal.

Vincent Labrune nous oriente-t-il vers l’AS Monaco ? Dont le propriétaire russe Dmitri Rybolovlev souhaite se désengager. Sauf que le club de la Principauté n’a reçu qu’une poignée de dossiers de candidature et reste qualifié pour la prochaine Ligue des Champions nouvelle mouture. Bref, l’ASM se porte très bien. Sans parler du fait que sur son rocher, l’AS Monaco reste un club à part, avec un vivier de supporters et de développement économique restreints. Pas le candidat parfait pour redresser le football français.

Le seul club capable de rivaliser rapidement avec le Paris-Saint Germain et ainsi recréer un semblant de concurrence en Ligue 1, c’est bien l’Olympique de Marseille. Avec sa ferveur folle, ses supporters impatients de retrouver les sommets et son stade plein. Après une saison catastrophique, le club ne participera à aucune compétition européenne la saison prochaine. Et l’OM doit impérativement diminuer sa masse salariale.

Malgré l’arrivée officielle prochaine de Roberto De Zerbi, coach italien très respecté avec qui il existe un accord de principe, Marseille n’a aucune latitude financière pour embêter Paris. Les deux effectifs sont à des années lumière. L’annonce d’un rachat pourrait changer la donne et sauver la L1.

Le club connaît un bazar total depuis des mois : départs massifs de cadres et membres de la direction, passage de McCourt Europe d’un associé unique à un pacte d’associés sans nommer publiquement les nouveaux associés, recherche à rallonge d’un entraîneur, activité étonnante sur le marché des transferts alors que les droits TV ne sont pas réglés… Festival d’incohérences économiques et sportives. De nouveaux repreneurs arriveraient-ils ? C’est ce qui bruisse encore une fois à Marseille et dans les milieux autorisés. Une nouvelle soudaine qui pourrait raviver l’intérêt pour la Ligue 1.