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David Beckham aurait perdu 10 millions d’euros !

Il est parfois dangereux de mêler gros business et amitié. David Beckham et Mark Wahlberg en font l’amère expérience. Les deux stars vont se retrouver sur les bancs de la justice. L’ex-golden boy du football anglais poursuit le comédien et réalisateur en justice.

David Beckham accuse Mark Wahlberg de l’avoir dupé, avec un manque à gagner de près de 10 millions d’euros. En cause, les termes du contrat qui les liait à une société de fitness.

Selon plusieurs sites américains, l’ex-joueur du Real Madrid et de Manchester United, désormais propriétaire de l’Inter Miami, était devenu ambassadeur mondial de l’entreprise F45. Beckham en était actionnaire minoritaire via son groupe d’investissement. Il a depuis supprimé de ses réseaux sociaux toute promotion de l’entreprise de fitness.

En octobre 2022, le mari de Victoria Beckham intentait déjà une action en justice. Une action conjointe avec la légende du golf Greg Norman. Selon le Sun, un juge leur indique alors de lancer leurs poursuites séparément.

La société de David Beckham, DB Ventures Ltd (DBVL), poursuit la société de l’acteur Mark Wahlberg, Investment Group (MWIG), ainsi que les fondateurs de F45, Adam Gilchrist et Rob Deutsch. 

Dans le cadre de leur accord initial, Beckham estime qu’il s’était vu promettre de recevoir des actions de la société dès le début de 2022. Ces actions n’auraient été délivrées que plusieurs mois plus tard. Entre temps, le cours de l’action avait considérablement chuté…

Les avocats de David Beckham estiment que leur client aurait donc perdu l’équivalent de plus de 9,86 millions d’euros de bénéfices potentiels. DBVL demande ainsi une indemnisation d’environ 17,69 millions d’euros. De quoi mettre à mal une amitié…

Du côté de l’acteur américain, The Sun avance qu’il considère ces accusations « sans fondement » comme de la « conduite frauduleuse ». Mark Wahlberg a demandé au juge de rejeter la plainte.

Diddy dans la tourmente, nouvelle affaire Epstein ?

Une perquisition à l’Américaine. Des voitures de police en grand nombre, les caméras de télévision prévenues à l’avance, des hélicoptères et drones survolant les lieux. On se serait cru dans le tournage d’une série télé. Pas du tout. Les somptueuses demeures du rappeur et producteur P. Diddy viennent d’être perquisitionnées lundi à Miami (Floride, Etats-Unis) et Los Angeles (Californie, Etats-Unis).

Son nom est même celui le plus cité ces dernières heures sur les réseaux sociaux. Cela laisse place à toutes les rumeurs et interprétations. Si son avocat dénonce une « chasse aux sorcières », la star du hip-hop est au cœur de poursuites pour viol et agressions sexuelles. Certains imaginent aussi d’autres grands noms du rap embarqués par ricochet dans ce dossier sulfureux…

Les médias américains ne parlent que de ça. Est-on à l’aube d’une nouvelle affaire type « Jeffrey Epstein » ? Les habitants des deux quartiers des maisons perquisitionnés hier ne sont pas habitués à de telles descentes de police. Armés jusqu’aux dents, la police a réalisé un coup de force, voire un coup de communication.

Selon des voisins interviewés par plusieurs télés américaines, « de nombreux va et vient ont lieu tard le soir » chez Diddy. Un classique chez les rappeurs. La suite l’est beaucoup moins. Et inquiète bien plus : « On voit parfois arriver des bus de mineurs, en pleine nuit »…

Selon le New York Times, le célèbre producteur n’a pas cherché à fuir. Présent à l’aéroport de Miami, Diddy a été vu en conversation avec des agents fédéraux, sans être embarqué. Il s’apprêtait à s’envoler pour les Bahamas pour finalement rester aux États-Unis. À Los Angeles, les fils du rappeur Sean Combs (alias Diddy) ont été menottés. Que se passe-t-il réellement ?

En novembre, Cassie, une chanteuse et ancienne compagne de Diddy, a déposé plainte au civil pour viol et violences physiques contre le rappeur. Elle affirme avoir été initiée à la drogue, sous l’emprise de son compagnon, forcée à avoir des rapports sexuels filmés avec d’autres hommes, avoir été violée et victime de violences physiques. Elle s’est officiellement séparée de lui en 2018. Deux jours plus tard, les deux parties annoncent un « accord à l’amiable », sans détails supplémentaires. Mais certainement à grand renfort de millions de dollars.

L’affaire aurait pu s’arrêter là. Mais depuis, plusieurs autres femmes ont porté plainte. L’une accuse Puff Daddy (son ancien nom de scène) de l’avoir « droguée, et agressée sexuellement » en 1991, lorsqu’elle était étudiante à l’université de Syracuse. Elle avait filmé la scène et diffusé la vidéo en guise de vengeance.

Une autre femme, dont l’identité n’a pas été dévoilée, affirme que Diddy et le chanteur Aaron Hall l’ont violé à New York il y a plus de 30 ans. En décembre, autre plainte, au civil cette fois, l’accusant d’un viol en réunion sur une mineure de 17 ans en 2003.

Enfin, un ancien collaborateur, Rodney « Lil Rod » Jones, a porté plainte : il accuse Diddy d’avoir abusé de lui pendant plus d’un an alors qu’il travaillait avec lui en 2022-23 sur l’album Love.

L’étau se resserre autour de la star dont le nom a été cité à de nombreuses reprises au cours d’enquête non élucidées, comme celle de la mort de Tupac Shakur, superstar du rap abattue dans sa voiture à Las Vegas en 1996.

D’autres noms de célébrités sont cités autour de ce sombre dossier, en tant que complice : du prince Harry à Jay-Z, impossible pour le moment de faire la lumière.

À 54 ans, Diddy nie en bloc : « Des allégations écœurantes ont été portées contre moi par des individus à la recherche d’un salaire rapide. Laissez-moi être absolument clair : je n’ai fait aucune des choses horribles qui sont alléguées. Je me battrai pour mon nom, ma famille et pour la vérité ».

Ce mardi, son avocat Aaron Dyer a dénoncé un « usage excessif flagrant de la force armée », « cette embuscade sans précédent – associée à une présence médiatique coordonnée – conduit à un jugement prématuré de Monsieur Combs ».