Le Carré VIP du Parc des Princes regorge toujours de personnalités de tout horizon. Parfois même des stars qui se moquent pas mal du football mais viennent se montrer, faire des photos pour leur compte Instagram et profiter de l’ambiance.
Question ambiance, justement, la rappeuse américaine Cardi B a semblé déçu… Elle qui a assisté à PSG-Rennes (3-1), vendredi soir, aurait aimé faire la fête au coeur des tribunes Ultras. Il n’y en a plus qu’une au Parc des Princes, celle d’Auteuil. Son regard et ses oreilles se sont donc rapidement tournés vers Auteuil, vendredi soir. Le Collectif Ultras Paris (CUP) étant le dernier garant de l’ambiance de ce stade mythique.
Dans une story Instagram partagée en plein match sur son compte aux 165 millions d’abonnés, elle envoie un petit message au service VIP du PSG, chargé d’inviter les stars dans « le carré » : « Pourquoi ils m’ont placé dans la tribune de l’ennui… Je voulais être du côté du bazar moi !«
En guise de consolation, la chanteuse a rencontré Achraf Hakimi après la rencontre et reçu son maillot.
Petit à petit, les Galactiques du Real Madrid prennent leur envol. À un rythme de sénateurs en août, le Real Madrid semble désormais s’habituer de mieux en mieux à la présence de Kylian Mbappé. La victoire 3-2 face à Alavès, ce soir, en Liga, valide les choix de Carlo Ancelotti.
Déjà le 7e but de Kylian Mbappé cette saison. Ses détracteurs font grise mine. Le capitaine des Bleus s’exprime chaque match un peu mieux au sein de l’effectif Merengue.
C’est à la 40e minute de jeu, d’une passe derrière la jambe vers Jude Bellingham, que Kylian Mbappé a porté l’estocade et permis à son club de mener 2-0. Remise vers l’Anglais, appel dans la surface, contrôle en mouvement et frappe imparable. Le public est debout.
Le Brésilien Rodrygo ira lui aussi de son petit but. À 3-0, le Real Madrid gère. Mais se relâchera en toute fin de rencontre, encaissant deux buts coup sur coup (85e, 86e).
Sorti à la 80e minute de jeu, Kylian Mbappé a ressenti une légère douleur à la cuisse et passera des examens plus approfondis ce mercredi.
Le Real Madrid est deuxième de LaLiga, à un point du FC Barcelone, qui compte un match en moins.
Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).
Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.
Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).
Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…
Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.
Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.
Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.
Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.
À 24 heures des débuts du Paris-Saint Germain en Ligue des Champions cette saison, au Parc des Princes face à Gérone (Espagne), le capitaine et défenseur central Marquinhos s’est présenté en conférence de presse.
Comme à l’accoutumée, si la majorité des questions des journalistes concernent le match du lendemain, certaines se sont cette fois tournées vers le transfert surprise du mois de septembre. L’arrivée officielle ce mardi d’Adrien Rabiot en terres ennemies, à l’Olympique de Marseille.
Un ancien titi-parisien, formé au club, qui avait juré fidélité devant les supporters, va donc revêtir le maillot olympien. Qu’en pense l’international brésilien Marquinhos ?
-Est-ce que ça te fait quelque chose qu’un de tes anciens coéquipiers au Paris-Saint Germain signe pour le grand rival ?
-Pas de commentaire.
Tension, regard fixe, trois mots et rien d’autre. Ça a le mérite d’être clair. Le prochain contact entre Adrien Rabiot et ses anciens coéquipiers devrait être le dimanche 27 octobre prochain pour OM-PSG.
C’est la polémique qui enfle sur les réseaux sociaux et dans les médias sud-américains. Lors de la rencontre de qualification à la Coupe du monde 2026 entre le Chili et la Bolivie (1-2), l’attaquant Eduardo Vargas intercepte un ballon et file marquer… Alors que le gardien bolivien venait de s’écrouler, sur blessure.
Devait-il marquer (ce qu’il a fait) ou s’arrêter ? 39e minute de jeu, Eduardo Vargas récupère le ballon devant Carlos Lampe, le gardien de la sélection bolivienne, pourtant pas sous pression, et file égaliser. Carlos Lampe perd le ballon en s’écroulant net, tout seul. Il vient de subir une rupture du tendon d’Achille. Il sera tenu hors des terrains pendant 8 à 12 mois…
Manque de fair-play ou manque de lucidité sur l’action ? Le Chilien de l’Atlético Mineiro a bien jeté un oeil derrière lui juste avant de marquer. Mais rien ne l’a arrêté. Sur les réseaux sociaux, le joueur se fait violemment reprendre pour son attitude inadmissible.
Il y a une justice dans le football puisque la Bolivie marquera un nouveau but en toute fin de première période. Et le Chili sera battu (1-2). La Roja reste 9e sur 10 au classement de ces qualifications.
Didier Roustan est décédé à l’âge de 66 ans mais sa trace dans l’histoire médiatico-sportive française restera à tout jamais. Notamment parce qu’il a commentré des matchs mythiques, comme la demi-finale France-Portugal de 1984. Ou encore la Coupe du monde 1994 aux Etats-Unis avec Eric Cantona.
« Pour ne rien vous cacher, on a les larmes aux yeux« . Les émotions foot. Celles que Didier Roustan adorait par-dessus tout. Un geste technique, un petit dribble, une belle passe. Et de grands buts. Comme celui de Michel Platini face au Portugal, en prolongation de la demi-finale de l’Euro 1984.
Le 23 juin 1984 plus exactement, au stade Vélodrome de Marseille. La qualification des Bleus. Les larmes de Didier Roustan et de Michel Denisot. À l’époque, le peuple français n’était pas encore gâté de victoires en Coupe du monde, à l’Euro ou ailleurs. Et quand ce n’est pas le cas, ce sont désormais des finales ou demi-finales…
« Extraordinaire, fabuleux, quelle émotion, on a jamais vu ça ! » : Michel Denisot exulte. Didier Roustan ne peut retenir son émotion. Les commentateurs peinent à poursuivre. Un grand moment de football.
Didier Roustan n’a que 26 ans quand il commente ce match historique. Rendez-vous compte. Une rencontre que La Chaîne L’Equipe rediffuse ce mercredi soir, les droits ayant été généreusement offerts par TF1.
En 2021, 35 ans plus tard donc, Didier Roustan analysait également ce match ébouriffant dans un podcast à écouter ici. Encore et encore.
Pour regarder et écouter d’autres hommages, rendez-vous avec le Dèj Foot, émission quotidienne en streaming sur Twitch/X/Kick/YouTube et TikTok, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.
Le Parisien dévoile ce matin une nouvelle vidéo de la direction de l’arbitrage du football français, sensée prouver que le litige du hors-jeu sifflé contre les Lillois dimanche face au PSG (1-3) est résolu. Pas si sûr.
Alors que le LOSC pousse le PSG dans ses dernier retranchements, Paris ne mène que 1-2 dimanche soir au stade Pierre Mauroy, en clôture de la 3e journée de Ligue 1. Sur une déviation de Thomas Meunier, Tiago Santos bat Gianluigi Donnarumma. Lille exulte et pense avoir égaliser. Pas du tout. L’arbitre, sans aller consulter la VAR, refuse le but. Les arbitres situés dans le camion d’arbitrage vidéo confirment sa décision.
Face au tollé provoqué par cette décision peu convaincante, la direction de l’arbitrage du football français a décidé de divulguer de nouveaux éléments. Si certains estiment que ces images prouvent bien que le Portugais était hors-jeu, rien n’est moins sûr.
Les images proposées par Le Parisien veulent montrer que Tiago Santos est toujours hors-jeu lorsque Thomas Meunier dévie le ballon. Sauf qu’il paraît encore une fois strictement impossible au vu des images d’être certain que la dernière image proposée est celle où le ballon quitte définitivement le pied de Thomas Meunier.
Ainsi, Tiago Santos semble se trouver hors-jeu pour un bout de pied. La précision des images n’est pas assez bonne pour statuer réellement. Mais d’ailleurs, il est temps de se poser la question : est-ce vraiment ça un hors-jeu ? Les plus rigoureux vous diront que oui, « la règle, c’est la règle« …
La règle a été crée dans le football afin d’éviter que les attaquants campent devant le but adverse. Contre l’esprit du jeu. En 2024, nous en sommes à calculer l’épaisseur d’un cheveux afin de savoir si un joueur est en position licite. C’est aberrant que le football en soit encore là.
Rapidement, la FIFA devrait clarifier ces règles, rendre l’avantage aux attaques, ne pas se focaliser sur un bout de pied, un genou, un bout d’épaule pour annuler ce type d’action dangereuse. Place au jeu !
La fin du statut professionnel, un redressement judiciaire et un renouveau sportif en quatrième division, voilà le quotidien du mythique club des Girondins de Bordeaux. Depuis (mais déjà avant) la reprise en main par Gérard Lopez en 2021, c’est la descente aux enfers. Hier, les nombreux supporters des marines ont vibré pour entamer la saison, face à Poitiers (1-1).
Bordeaux aurait pu reprendre sa vie de club de football amateur dans l’anonymat. Mais avec une telle histoire et de tels supporters, c’est impossible. Malgré le huis clos, ils étaient très nombreux à venir encourager bruyament leur (nouvelle) équipe deux heures avant le coup d’envoi.
Drapeaux, chants, fumigènes… Une ambiance unique pour un club de National 2.
Côté terrain, il ne fallait pas s’attendre à grand chose puisque l’effectif de Bruno Irles a été composé en catastrophe, en quelques jours, avec des joueurs libres… Et quand un joueur est libre fin août, c’est souvent parce qu’il a eu des difficultés à trouver un club. Même s’il peut y avoir beaucoup de raisons diverses à cela…
Retransmis sur TV7 (Sud Ouest) depuis le stade Sainte Germaine du Bouscat, la rencontre a eu le mérite d’attirer l’attention de nombreux suiveurs. Mais ce sont bien les Poitevins qui ont ouvert le score, dans ce match si particulier. Les visiteurs pensent alors repartir avec la victoire. Mais c’était sans compter sur une improbable dernière action, dans le temps additionnel.
Le héros bordelais de ce scénario fou, qui ne se reproduira pas de si tôt s’appelle Lassana Diabaté, gardien de but ! Monté prêter main forte à ses coéquipiers sur le dernier coup franc de la rencontre, il devance la sortie du portier adverse et catapulte sa tête au fond des filets. Les marines exultent ! (1-1, 95e)
Le gardien Lassana Diabaté entre directement dans l’histoire des Girondins de Bordeaux avec ce but fou et cette égalisation in extremis. La saison est lancée.