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Paris trop fort pour Lille, Barcola nouvelle star

Nouveau succès du Paris-Saint Germain en Ligue 1, en clôture de cette 3e journée. Dans le choc entre équipes européennes, le PSG est allé gagner sur la pelouse du LOSC (1-3), même si les Lillois les ont fait trembler quelques minutes (seulement).

Après un mois d’août palpitant et magnifique pour les Lillois, avec la qualification en Ligue des Champions, c’est le Paris-Saint Germain qui se présentait au stade Pierre Mauroy pour le premier choc de ce championnat de Ligue 1.

Et force est de constater qu’encore une fois, en L1, il y a le PSG et les autres. Alors que le Paris-SG a retrouvé pour la première fois depuis plusieurs saisons un magnifique jeu collectif, le LOSC devait jouer au presque que parfait pour espérer. Mais comme Paris possède des détonateurs fabuleux comme Bradley Barcola, nouvelle star du championnat avec Mason Greenwood, ou Ousmane Dembélé, très vite, les spectateurs ont pu se rendre compte de l’écart entre les deux équipes.

À la demi-heure de jeu, Ousmane Dembélé, dans ses oeuvres, réalise un crochet ravageur en pleine surface. Penalty transformé avec délice par le Portugais Vitinha (0-1, 31e).

Par la suite, Paris prend confiance, Lille craque. 36e minute de jeu, Bradley Barcola s’appuie sur Marco Asensio et file en profondeur. La défense nordiste ne le reverra pas, le break est fait. Quatre buts en trois matchs pour le nouveau chouchou des supporters parisiens (0-2, 36e).

En seconde période, Paris gère, Gianluigi Donnarumma se montre très vigilant… Deux buts lillois seront invalidés logiquement par la VAR. Alors même si l’intenable Edon Zhegrova réduit le score (78e) et que Luis Enrique fait beaucoup tourner son large effectif, c’est Randal Kolo Muani qui redonne plus d’air au PSG d’une tête piquée, consécutive à un centre de Désiré Doué (1-3, 92e).

Seule équipe à trois victoires en trois matchs, Paris est leader de L1 et ne compte surtout pas laisser la place…

L’OM s’amuse à Toulouse, Greenwood encore décisif (1-3)

Quand Mason Greenwood va, tout va. Les supporters de l’OM n’ont pas de souci à se faire quand leur milieu offensif anglais est aussi efficace. Encore double buteur, ce vendredi soir, à Toulouse (1-3), en ouverture de la 3e journée de Ligue 1, l’ex-joueur de Manchester United régale tous les suiveurs.

Il n’y a pas eu match. Ou presque. Le duel entre le TFC et l’OM a duré une dizaines de minutes. Le temps pour l’Olympique de Marseille de Roberto de Zerbi d’imprimer son tempo, de se montrer patient et appliqué pour contourner le bloc toulousain d’abord sérieux, puis désabusé.

Car après avoir encaissé deux buts en deux minutes, d’abord sur une belle action collective marseillaise conclue par un tir croisé de Mason Greenwood (0-1, 16e) puis suite à une grosse erreur défensive, dont l’OM a bien profité, avec à nouveau Mason Greenwood à la finition (0-2, 18e), Toulouse a sombré.

Deux buts à remonter, ça se fait. Mais quand Franck Magri, maladroit (plus que méchant) sur un duel avec Geoffrey Kondogbia, voit son pied heurter le genou de son adversaire, Stéphanie Frappart n’hésite pas et sort le carton rouge. Mettant fin à la 27e minute de jeu à tout suspense pour le public du stadium et pour les téléspectateurs de DAZN (et aussi ceux sur IPTV…).

En seconde période, Mason Greenwood aurait même pu signer un triplé, mais sa reprise s’est envolée dans le ciel toulousain. Alors c’est le brouillon mais utile Luis Henrique d’un tir (manqué) du plat du pied qui creuse l’écart… Grâce à la déviation dans son propre but d’un défenseur toulousain (0-3, 52e).

Roberto De Zerbi donne ensuite du temps de jeu à Jonathan Rowe, Valentin Carboni ou au nouveau venu Neal Maupay, mais aussi à Valentin Rongier et à Bamo Méité, pourtant invité à partir de façon surprenante en août.

Marseille gère et se déconcentre un peu. En toute fin de match, une sortie ratée du gardien argentin Geronimo Ruli permet au Téfécé de sauver l’honneur (1-3, 90e).

Mais les satisfactions sont nombreuses côté olympien : récupérations hautes et projections rapides, notamment. Individuellement, impossible de ne pas mentionner la nouvelle performance splendide du Danois Pierre-Emile Højbjerg, qui n’a pas besoin de marquer ou faire marquer pour briller. Le vrai catalyseur du jeu, c’est lui, il imprime le tempo et aide toute l’équipe à garder le sens du collectif.

L’OM est leader provisoire du championnat, en attendant notamment les matchs de Monaco (face à Lens) et du PSG (à Lille), dimanche.

Greenwood déterminant, Rulli aussi, l’OM se promène à Brest (1-5)

Début de saison quasiment idéal pour l’Olympique de Marseille, vainqueur à Brest (1-5), ce samedi après-midi. Quasiment, car Faris Moumbagna, peu de temps après être entré en jeu, a dû sortir sur blessure, certainement blessés aux ligaments croisés du genou.

Serait-ce déjà la patte Roberto De Zerbi ? Le nouvel entraîneur italien de l’OM peut avoir le sourire. Son équipe a rapidement pris la mesure du Stade Brestois, surprenant deuxième du championnat la saison dernière et qualifié en Ligue des Champions. On savait que le plus dur allait commencer pour les Brestois, ils ont connu rapidement une grosse désillusion.

Dés les premiers instants, ils se font aspirer et laissent des espaces grossiers. Rien ne fonctionne comme il y a encore quelques mois. D’autant que Marseille offre un nouveau visage. L’attaquant anglais de l’OM, Mason Greenwood, n’avait pas besoin de plus de place pour marquer sur sa première occasion en Ligue 1 (0-1, 3e). Tir croisé efficace. L’OM est lancé.

Marseille ne tergiverse pas et continue de faire mal. D’autant que son nouveau gardien, l’argentin Geronimo Rulli, veille : de solides parades, une vigilance de tous les instants et même un arrêt sur penalty. Baraka totale.

C’est un jour où rien ne peut plus arriver à Marseille. Alors même Luis Henrique se met à profiter de ballons gérés par la défense brestoise : le Brésilien double la mise et ira même de son doublé en seconde période.

Côté bémol, si le nouveau défenseur central Derek Cornelius ne montre pas (encore) une assurance tout risque, les supporters de l’OM ont pu retrouver la fébrilité légendaire d’un revenant, Pol Lirola. Positionné latéral gauche, il n’a pas non plus été vraiment aidé. Mais Quentin Merlin devrait vite reprendre son poste.

Juste avant la pause, Madhi Camara réduira magnifiquement l’écart d’une frappe limpide sous la barre (1-3, 45e+5). Mais Brest craquera à nouveau très vite en seconde période. Le coach Eric Roy devra vite remettre les têtes à l’endroit…

Mason Greenwood, à nouveau buteur (sur penalty), puis Elye Wahi, aussi sur penalty, donneront encore plus d’ampleur au résultat (1-5). Qu’il est déjà loin le temps, début 2024, où Marseille, entraîné par Gennaro Gattuso, venait perdre tristement à Brest…

Fantastique entrée en matière olympienne, leader provisoire de L1, les trois attaquants ont marqué. Mais Roberto De Zerbi, dont l’effectif manque cruellement de profondeur, a vu Faris Moumbagna sortir sur blessure peu après son entrée en jeu.

Son genou s’est dérobé, il est sorti sur civière : ce serait les ligaments croisés de touchés. Une blessure qui nécessite entre 3-4 mois et 8 mois d’indisponibilité, selon les techniques de rééducation utilisées.

Roberto De Zerbi déplore « l’unique mauvaise nouvelle de la journée. C’est un garçon en or, on ne sait pas encore pour combien de temps on le perd. J’espère que ce n’est pas trop grave, il est sorti en larmes, donc cela pourrait être une longue blessure. »

INFO MERCATO – Conquis par les supporters, Andreas Pereira veut jouer à l’OM, Fulham demande (trop) cher

Il est l’une des révélations du dernier championnat de Premier League, avec Fulham. Le milieu international brésilien Andreas Pereira serait, d’après L’Equipe, dans le viseur de l’Olympique de Marseille, très actif cet été. Des informations confirmées de source proche du joueur. Mais le club anglais en demande pour l’instant beaucoup trop cher… Les détails et révélations.

Un temps annoncé au Paris-Saint Germain, Andreas Pereira pourrait découvrir la Ligue 1 à… Marseille ! Échaudé par l’expérience de son ami Neymar à Paris, Andreas Pereira s’est renseigné sur la situation de l’OM avant de donner son accord à un tel transfert.

D’après nos informations, l’international brésilien de 28 ans, capable d’évoluer en relayeur ou en numéro 10, se montrerait particulièrement enthousiaste à l’idée de découvrir les supporters marseillais. Son entourage ne lui en ayant dit que du bien…

Souvent passeur clé la saison dernière avec Fulham, titulaire inamovible, il s’est aussi fait remarquer avec la Seleçao pour sa technique, son sens du pressing ou même en tant que buteur face au Mexique.

En plus de la chaleur (parfois étouffante) du public, la présence du nouveau coach italien, Roberto De Zerbi, serait l’autre argument qui ferait pencher la balance du côté du club phocéen. Quel joueur n’a pas envie de participer à un tel projet de jeu ? Selon nos confirmations obtenues, l’entraîneur a par ailleurs déjà validé l’idée de la venue de ce milieu de terrain.

Si le montant demandé par Fulham à deux ans de la fin de son contrat paraît exorbitant, environ 40-50M€ d’après certaines médias, le tarif pourrait vite baisser face à l’insistance du joueur. Un accord autour de 25-30M€ semblerait plus juste.

Présent au Portugal avec son club pour un match amical, Andreas Pereira est focalisé sur son possible avenir à l’OM. S’il a beaucoup vadrouillé, de l’Angleterre à l’Espagne (Grenade, Valence) en passant par l’Italie (Lazio de Rome) avant de retourner gagner des titres à Flamengo (Brésil), le joueur semble aujourd’hui arriver à maturité.

Pour Marseille, sa venue serait une belle opportunité : le Brésilien est né en Belgique, il ne fait donc pas partie des joueurs extra-communautaires, sujet épineux au club cet été puisque Luis Henrique, Amir Murillo et Mason Greenwood prennent déjà trois places sur quatre possibles. Chaque club peut compter un maximum de quatre joueurs n’étant pas ressortissants de l’Union européenne, de l’Espace économique européen (EEE) ou de pays n’ayant pas d’accord d’association ou de coopération avec l’UE, dits extra-communautaires.

Enfin, autre élément intéressant pour cet Olympique de Marseille (encore) en reconstruction : formé au PSV Eindhoven puis à Manchester United, où il s’est rapidement lié d’amitié avec Paul Pogba, Andreas Pereira parle déjà un peu le Français. L’adaptation, et à l’ambiance volcanique de l’Orange Vélodrome et à la France, ne devrait pas être un souci. L’ancien mancunien et néo-marseillais Mason Greenwood l’a d’ailleurs appelé pour lui demander de le rejoindre au plus vite dans le sud de la France…

OM : Présentation de Mason Greenwood, moment de malaise, un ancien député moqué

Le jeu des questions-réponses en conférence de presse. Un grand classique. Mais désormais, beaucoup de conférences sont filmées et diffusées sur Twitch ou d’autres plateformes. L’ancien journaliste et ancien député Avi Assouly a voulu jouer la carte de l’humour lors de la présentation du nouveau joueur de l’OM Mason Greenwood… Ce n’est pas très bien passé.

Faire de l’humour, c’est un art. Obtenir l’approbation de la majorité n’est pas donné à tout le monde. Avi Assouly en a fait les frais. Présent lors de la conférence de presse de présentation des nouveaux joueurs marseillais, Mason Greenwood et Lilian Brassier, à l’Orange Vélodrome, ce dernier a pris le micro pour poser une question et « détendre l’atmosphère ».

Alors que la tension régnait par moments, suite à des questions répétitives sur les violences conjugales dont a été l’auteur Mason Greenwood il y a 3 ans, Avi Assouly a cherché à faire sourire tout le monde. Difficile de faire sourire tout le monde quand vous ne parlez pas la même langue… Ou que vous n’avez pas le même humour.

Pour beaucoup, qui en parlent sur les réseaux sociaux, on a donc assisté à un grand moment de gêne. L’ancien journaliste de Radio France et ancien député, 74 ans, s’en moque certainement.

« Pour décontracter un peu l’histoire, tu sais à quoi correspond ton nom de famille, Greenwood, tu sais la traduction ? », ose-t-il, alors d’autres personnes présentes à la conférence de presse auraient certainement voulu poser des questions plus « techniques »…

Forcément, l’ex-joueur de Manchester United et de Getafe répond par la négative.

« Green/Wood, c’est Bois/Vert, bois c’est wood, vert c’est green », reprend Avi Assouly. Mason Greenwood, 22 ans, reste circonspect. Le président de l’OM Pablo Longoria retient un rire (très) gêné... Bienvenue Mason !

Pour revoir la conférence de presse de Mason Greenwood et Lilian Brassier en intégralité : Twitch OM