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Les images du nouveau câble qui relie Marseille au reste du monde

21 700 km de câble. Inimaginable. Mais en découvrant ce lundi matin sur la plage du Prado l’opération d’atterrissement de celui-ci, les Marseillais ont pu s’en faire une meilleure idée. Les voilà les grands investissements pour un « Marseille en grand » ?

Le câble sous-marin Sea-Me-We-6 reliera directement la France à Singapour, depuis Marseille. En passant par l’Arabie Saoudite ou l’Inde. Un projet mondial d’envergure.

Sea-Me-We-6 signifie tout simplement Southeast Asia-Middle East-Western Europe 6, comme les zones géographiques qu’il relie. C’est le troisième câble sous-marin le plus long du monde, après 2Africa (37 000 kilomètres) et Peace, premier câble chinois de la Route de la Soie.

Si vous pensez qu’un tel câble est ultra-volumineux, vous vous trompez. Il est même très fin. Il mesure 37 millimètres lorsqu’il est enfoui à 1,5 mètres du sol (près des côtes) et 17 millimètres lorsqu’il est posé dans le fond de la mer (au large).

Que trouve-t-on comme technologies à l’intérieur de Sea-Me-We-6 ? 10 paires de fibres optiques sous-marines nouvelle génération. L’objectif étant de sécuriser le trafic, comme l’expliquent les équipes de Made In Marseille, venues assister à l’opération sur place.

Autre objectif : obtenir un meilleur débit vers une trentaine de pays. « Il permet d’avoir un temps de latence le plus faible possible. Inférieur à 50 millisecondes », explique Carole Louedoc, responsable du déploiement des câbles sous-marins chez Orange, à Made In Marseille. Rien de flagrant pour un utilisateur d’Internet lambda. Mais un intérêt réel pour les gamers, les traders en bourse ou pour la cryptomonnaie. 

Ces investissements en équipements stratégiques représentent une avancée majeure dans le cadre du développement mondial de l’intelligence artificiel et des objets toujours plus connectés.

Pour financer de tels travaux, à hauteur d’environ 840 millions d’euros, il a fallu créer un consortium de 16 entrepreneurs copropriétaires. Parmi eux, Orange ou Microsoft mais aussi des sociétés saoudiennes, indiennes, pakistanaises, etc. Orange est d’ailleurs lié dans le monde à plus de 40 câbles sous-marins, « soit 10 fois le tour de terre », explique Carole Louedoc à Made In Marseille.

Avec sa position de carrefour méditerranéen, Marseille s’impose petit à petit comme une plaque tournante afin de relier la France au monde. Une porte d’accès du numérique, passant du 44e au 7e rang mondial des hubs numériques. Avec déjà 18 câbles raccordés, Marseille a toujours pour objectif d’intégrer le top 5 de hub numérique dans le monde d’ici fin 2024. Une priorité pour le président du conseil de surveillance du port de Marseille, Christophe Castaner, réelu le 26 avril.

On sait combien de clubs français sont qualifiés pour les demi-finales des Coupes d’Europe

Les clubs français envisageaient la passe de trois. La qualification du PSG, de l’OM et de Lille en demi-finales des trois Coupes d’Europe était largement envisageable avant le top départ des matchs retour. Cela aurait été historique…

Si le PSG a fait forte impression en l’emportant (1-4) à Barcelone, se qualifiant par la même occasion pour les demi-finales de la Ligue des Champions, tout n’a pas été aussi heureux pour les autres clubs français. Paris rencontrera les Allemands du Borussia Dortmund le mercredi 1er mai (à l’extérieur) puis le mardi 7 mai, au Parc des princes.

Après sa courte défaite 2-1 en Angleterre la semaine dernière, Lille devait battre Aston Villa par un but d’écart pour aller en prolongation ou par au moins deux buts d’écart pour se qualifier directement en demi-finale de Conférence League.

Si Yazici a rapidement ouvert le score, trompant Martinez (oui, le bourreau des Bleus en finale de Coupe du monde 2022), c’est Benjamin André qui pense offrir la qualification avec un second but après l’heure de jeu. Mais le LOSC concède finalement un but en toute fin de match (2-1). Quelle déception.

Prolongation puis tirs au but. Et à ce jeu-là, Emiliano Martinez est décidément le plus fort. Formidable (ou agaçant) chambreur, le gardien argentin a fait le show et détourné plusieurs tentatives lilloises. C’est cruel mais c’est bien Aston Villa qui file en demi-finales.

À Marseille, dans un Orange Vélodrome archi-plein, la donne est très simple avant le coup d’envoi. Avec la courte défaite du match aller à Lisbonne (Portugal) deux buts à un, l’OM devait gagner par un but d’écart pour aller en prolongation ou de deux buts d’écart minimum afin de se qualifier.

Si les Marseillais se montrent globalement poussifs, la ferveur est telle que le match finit par s’emballer. Les changements du coach Jean-Louis Gasset (le quatrième entraîneur de la saison !) font effet : peu après son entrée en jeu, l’attaquant camerounais Faris Moumbagna catapulte sa reprise de la tête aux fonds des filets du Benfica (1-0, 79e).

L’Olympique de Marseille aura d’autres occasions de prendre le dessus mais manque décidément de justesse technique. Les deux équipes filent en prolongation. Les joueurs sont sur les rotules : crampes, douleurs et grimaces sur les visages. Ça va d’un but à l’autre mais on se dirige là-aussi vers la séance de tirs au but. Une « loterie » selon certains, un exercice de concentration et de précision pour d’autres.

23h39. Débuts de la séance de tirs au but. L’Orange Vélodrome pousse une dernière fois très fort ses joueurs. Des joueurs particulièrement lessivés. À 36 ans, et après 120 minutes de jeu de haute volée, Angel Di Maria tire sur le poteau ! Sous une pluie de sifflets, l’ancien parisien a manqué de justesse. L’Argentin Joaquin Correa, si peu utilisé cette saison, donne ensuite l’avantage à l’OM.

Le portier olympien Pau Lopez stoppe alors d’une main ferme le tir au but d’Antonio Silva. Puis le Brésilien Luis Henrique offre la qualification à l’OM ! 23h47, c’est de la folie dans ce stade, tout le peuple olympien vibre à l’unisson. L’OM retrouve les demi-finales d’Europa League.

Manaudou reprend la torche, top départ pour la flamme olympique

De la Grèce jusqu’en France. C’est le top départ du long parcours de la flamme olympique. Celle-ci arrivera à Marseille le 8 mai. Environ 10 000 relayeurs ont depuis ce matin la lourde tâche de réaliser ces trois mois de relais symboliques.

Ce symbole de paix et d’unité, c’est une partie du rituel des Jeux avant les Jeux. C’est une bouffée d’oxygène pour ce monde actuel, cerné par la guerre de toute part.

Ce mardi 16 avril, à 11 heures (heure française), les « rayons du soleil d’Olympie » (Grèce) ont allumé la flamme olympique. Tout cela à l’endroit des vestiges du temple de la déesse du mariage Héra. La torche est en route.

C’est l’actrice grecque Mary Mina, depuis le stade antique, qui transmet le flambeau au premier relayeur, le Grec Stefanos Ntouskos, champion olympique d’aviron à Tokyo en 2021.

Symbole de passation de pouvoir, Laure Manaudou, championne olympique sur 400 mètres nage libre aux Jeux d’Athènes en 2004, prend la suite ce matin.

11 jours en Grèce, avec notamment une cérémonie de passation au stade panathénaïque d’Athènes, où les Jeux modernes ont vu le jour, puis la flamme prendra la direction de Marseille. À bord du Belem, unique rescapé des trois-mâts français, mis à l’eau en 1896, année des premiers Jeux Olympiques.

Le mercredi 8 mai, l’entrée du Belem dans le Vieux-Port sera retransmise par tous les médias. Il sera entouré d’un millier de bateaux, 150 000 spectateurs sont attendus. La flamme parcourra ensuite 64 départements, s’arrêtera dans 65 villes et 400 communes.

Un honneur pour ces villes mais aussi un coût énorme. Tout cela a un prix : pour accueillir le relais ne serait-ce qu’une journée, il faut compter 180 000 euros, minimum. Une facture trop élevée pour certains départements. Alors certaines villes comme Montpellier, Sète et Millau se sont associées afin de répartir les charges.

Avant OM-Benfica : Des supporters balancent tout sur une double billetterie illégale

« Pour ceux qui n’ont pas de carte d’abonnement, le stadier laisse passer comme ça, par le côté où il y a le tourniquet et on rentre… » Le témoignage est terrible. Un supporter, dont la voix est modifiée, balance tout, pour France Bleu Provence, au sujet du fonctionnement récurrent d’une double billetterie à l’Olympique de Marseille.

À 24h du match décisif de Ligue Europa, entre l’OM et Benfica, en quarts de finale de cette Coupe d’Europe, ces révélations font l’effet du bombe.

Dans certains virages de l’Orange Vélodrome, souvent dénoncés par certains suiveurs comme un « Etat dans l’Etat » concernant la revente d’abonnements et de billets de match, certains supporters pourraient venir s’installer voir les matchs sans même posséder quoi que ce soit. « Quand le club annonce 66 000 spectateurs, en vérité on dépasse les 75 000 »

Pour ce supporter marseillais anonyme, impossible d’ignorer ce trafic qui dure depuis des années : « Le club voit bien que dans les virages, c’est plus plein que la capacité du stade ». Avant d’ajouter que l’OM est forcément « au courant », « ça les arrange aussi ». Précisant : « Ça fait de la visibilité, le stade est toujours plein. Pour le club, c’est toujours mieux ».

« Le stadier peut prendre 60-70 euros par personne. »

Un supporter – France Bleu Provence

Ces supporters entrent ensuite dans les détails de ce fonctionnement qui semble habituel : « Après voilà, on arrive en haut des escaliers, on passe juste le contrôle, les fouilles, et après tout droit, on nous ouvre les portes et on rentre dans le virage. » Un fonctionnement généralisé dans les travées marseillaises ? Ce témoignage saisissant pourrait faire réagir les groupes de supporters, le club mais aussi les instances. D’autant que ce supporter ne s’arrête pas là.

« En général, le stadier peut prendre 60-70 euros par personne. Tout en liquide. Et après les revendeurs (d’abonnements), ils s’arrangent avec les chefs des stadiers. Et ça, c’est multiplié par 1000-2000, voire plus sur les gros matchs. Si on voit les images, on voit bien qu’il ne reste plus d’espaces dans les virages, on est tous collés, on ne respire pas, il fait chaud mais bon, c’est pas grave, c’est pour l’OM ! »

Polémique OM-PSG : « Ils ont vu un arabe en géant… »

Alors que les supporters marseillais multiplient les désillusions cette saison, c’est une guerre interne qui s’est installée suite à un tifo polémique. À quelques minutes du début du classico OM-PSG (0-2), dimanche soir, un affichage à la gloire de l’humoriste marseillais Redouane Bougheraba apparaît dans les tribunes. Ce dernier proposera d’ailleurs son spectacle fin juin pour une date unique à l’Orange Vélodrome.

Redouane Bougheraba voit là un « rêve d’enfant » se réaliser. Les supporters du groupe South Winners, dont il est membre, lui font ce cadeau-hommage lors du match le plus attendu de l’année. Le tifo est remarquable et remarqué. « À jamais le premier » humoriste à obtenir un tel honneur.

Sauf que cela n’a pas plus à tout le monde. Pour certains, ce n’était pas le bon endroit, ni le bon moment. D’autres ne savaient même pas que Redouane Bougheraba était un enfant du pays, fan de la première heure. Il y aura toujours quelqu’un pour décrier une initiative via les réseaux sociaux…

Qui était vraiment au courant de la création de ce tifo ? Sans doute tous les hauts dirigeants marseillais. Sauf Pablo Longoria, qui nie. Était-ce un coup de promo déguisé pour le prochain spectacle du comédien sur place ? Y’a-t-il eu échange d’argent ? Tout est démenti.

Redouane Bougheraba et le leader des South Winners Rachid Zeroual ont dû s’en expliquer publiquement. Sur RMC, l’humoriste pique le Président de l’Olympique de Marseille, Pablo Longoria : « Quand j’entends que le président n’est pas au courant, ça me fait gentiment rire. Avec tout le respect que j’ai pour lui, nous aussi on aurait aimé être au courant quand il a acheté Vitinha, quand il a viré Mandanda ou Payet. » Ambiance.

Dans La Provence, Rachid Zeroual y va de son explication : « Vous vous rendez compte ? Bougheraba ? Ils ont vu un arabe en géant, ils ont cru qu’il allait leur marcher dessus. C’est grave… Il pleuvait dimanche, c’était aussi à cause des Winners ? Toute cette polémique part des réseaux sociaux avec des comptes qui nous disent ne pas être d’accord avec nos tifos. Comme si on allait leur demander leur avis ! » Fin de la polémique ?

L’étrange communication de Kylian Mbappé

Il semble excédé. 64e minute de jeu à l’Orange Vélodrome, dimanche soir. Le PSG mène déjà 1 but à 0 face au rival marseillais. Mais Luis Enrique choisit (encore une fois) de faire sortir la star du football mondial, Kylian Mbappé.

Surpris et vexé, ce dernier baisse la tête, assène trois mots d’insultes (d’après les experts de la lecture labiale !) à son entraîneur puis rejoint directement les vestiaires. Il ne verra pas son PSG, dont il est le capitaine, inscrire un second but, synonyme de victoire 0-2. Une victoire symbolique propulsant toujours plus Paris vers le titre. Et reléguant l’OM à 23 points de l’ennemi.

De quoi ravir les supporters du Paris-SG ? Pas tout à fait. Dès la fin du match, sur son compte Instagram suivi par 112 millions d’abonnés -presque deux fois plus que le PSG-, Kylian Mbappé poste une photo qui aurait tout à fait pu illustrer une défaite.

De dos, sous une pluie battante, le regard dans les chaussures, le numéro 9 envoie un message fort. Sans rien écrire, ni rien déclarer, histoire de ne pas y aller en frontal avec ses dirigeants. Des dirigeants et un coach qui ont donc choisi de ne pas dérouler le tapis rouge pour les derniers mois de leur joyau (réduit à 51 minutes de temps de jeu par match depuis fin janvier).

Un joyau pourtant resté faire les beaux jours du PSG pendant sept saisons. Pas rien. Ses deux derniers mois dans la capitale sont ceux d’un spleen et d’une mésentente finale, avant le grand envol vers (sans aucun doute) le Real Madrid. La guerre d’égo est totale entre la star du football français et son entraîneur Luis Enrique. L’Espagnol est habitué à avoir un management clivant avec les stars qu’il a pu coacher : Francesco Totti, Léo Messi ou encore Sergio Ramos peuvent en témoigner. Pour ne citer qu’eux.

Interrogé au sujet du remplacement de sa star puis des prétendues insultes, Luis Enrique, lui, a évité le sujet. Comme d’habitude. Préférant se focaliser sur la suite. Avec ce ton toujours professoral. Le PSG fonce vers ce quart de finale de Ligue des Champions terrible face au FC Barcelone, le 10 avril. Avec un Mbappé agacé.

L’opération « place nette XXL » fait sourire en prison

« Tous les prisonniers, on a bien rigolé derrière la télé », voilà la petite phrase choc d’un détenu interviewé depuis sa cellule, via un téléphone portable clandestin (chose finalement assez courante en prison).

Suite à la visite surprise d’Emmanuel Macron à Marseille, mardi, pour mettre en lumière l’opération « place nette XXL », les réactions ne se sont pas faites attendre. Condamné à une lourde peine pour trafic de stupéfiants et blanchiment, un « haut placé » du trafic local ironise au micro de France Info. La lutte contre le trafic de drogues ressemble à un vaste jeu du chat et la souris. Et les souris semblent malheureusement s’en amuser…

L’idée de base : une opération massive sur plusieurs semaines, avec d’abord 900 policiers, gendarmes et douaniers déployés à Marseille et ses environs. Et pourtant, beaucoup trouvent déjà celle-ci inefficace.

Sous couvert d’anonymat, depuis sa cellule, un détenu raconte avoir suivi cette journée hyper-médiatisée tranquillement. « Ça nous a fait rire », se moque-t-il. « Ce dispositif est fait pour les médias, pour montrer que (les policiers) sont présents, qu’ils font leur travail. Mais ça ne change pas grand-chose ».

La prison ne dissuade plus, les dealers se cachent le temps de raout médiatique puis reviennent occuper les zones de trafic dans la minute.

Selon la préfecture de police des Bouches-du-Rhône, mardi soir, 98 personnes ont été interpellées dans le cadre de cette opération. Moins de 10 kilos de cannabis ont été saisis… Les guetteurs sont rôdés, ils ont vu arriver les forces de l’ordre de très loin. « Ils font un petit tour de 15-20 minutes et avec un peu de chance, ils attrapent le petit ‘charbonneur’ ou celui qui a la sacoche, mais rien de plus », confirme la source de France Info depuis sa cellule.

D’après ce témoignage saisissant, cet homme occupe un rôle majeur du trafic local. Il estime que « la prison n’est pas un frein » aux trafics de drogues. Pire que cela, « tout se passe en prison, on s’élargit, on se développe, on a plus de contacts, il y a plus d’argent qui se génère et il y a plus de consommateurs ».

L’argent facile, l’argent qui coule à flôts, toujours le même problème. « Il y aura certains endroits de deal où il y aura beaucoup plus de sang qui va couler », détaille-t-il, « parce que c’est énormément d’argent qui rentre. Des sommes dont vous ne vous rendez même pas compte ».

Pour autant, le gouvernement a promis encore une dizaine d’opérations de police « place nette XXL » en France dans les mois qui viennent. Le but, surtout envoyer un message fort et rassurer les populations.

Mbappé et le PSG défieront Barcelone en Ligue des Champions

L’heure des retrouvailles. Encore traumatisés de la fameuse « remontada » de mars 2017, les supporters parisiens ont vu le tirage au sort effectué ce vendredi midi attribuer à leur club à nouveau le FC Barcelone, en quarts de finale de Ligue des Champions.

Depuis, beaucoup de choses ont changé. Le PSG en a terminé avec l’ère du star system anti-collectif au possible. Exit Neymar et Messi (qui étaient barcelonais en mars 2017), place aux derniers mois de Kylian Mbappé sous le maillot du PSG.

En février 2021, l’attaquant star du PSG et de l’équipe de France avait maltraité le Barça, avec un triplé sur la pelouse du Camp Nou (1-4), en 8e de finale aller.

Cette fois, cette confrontation marquera aussi le retour de Luis Enrique, l’entraîneur espagnol du PSG, sur ses anciennes terres. Match aller au Parc des princes le 9 ou 10 avril, match retour en Catalogne le 16 ou 17 avril.

En cas de qualification pour les demi-finales, le PSG rencontrera le vainqueur du duel Atlético de Madrid-Borussia Dortmund. De l’autre côté, choc immense entre Manchester City et le Real Madrid. Arsenal affrontera le Bayern Munich.

En Europa League, l’OM s’en sort plutôt bien. À 13h, ce vendredi, les boules ont livré leur verdict. Marseille ira à Lisbonne affronter le Benfica de l’ancien parisien Angel Di Maria, le jeudi 11 avril. Match retour prévu une semaine plus tard à l’Orange Vélodrome.

Basile Boli représentait le club lors du tirage au sport, à Nyon (Suisse). « Il n’y a jamais de bons tirages, il n’y a que de belles victoires« , a-t-il annoncé d’emblée au micro de BeIn Sports. « On va y aller avec humilité et détermination. Dans ce genre de rencontres, il n’y a pas de favoris.« 

Enfin, en Europa Conference League, la troisième Coupe d’Europe, Lille n’a pas eu de chance au tirage. Quart de finale programmé contre le favori pour le titre, Aston Villa. Les Anglais coachés par Unaï Emery sont de surprenants quatrièmes de Premier League. Tout un programme pour le LOSC.