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L’OM fête ses 125 ans face à Nice, à 17h, le nouveau maillot fait recette

Quoi de mieux qu’une victoire face à « l’ennemi » niçois pour célébrer un anniversaire ? C’est ce que se disent les supporters olympiens. 125 ans, ça se fête…

Avant même le coup d’envoi, match à suivre à 17h sur beIN sports, le club a déjà réussi son coup. Deux nouveaux maillots totalement inédits viennent de sortir. Et sont pris d’assaut sur le site Internet de l’OM depuis quelques heures. Pour beaucoup, ils s’affichent déjà « indisponibles ».

Les amateurs de couleurs, dessins ou autres créations originales sur un maillot de football vont être déçus : sobriété, efficacité. Un maillot blanc pour les joueurs de champ. Un maillot tout noir pour le gardien. Du plus bel effet. La classe. Pas de fioriture. Un « retour à la génèse » comme l’indique l’Olympique de Marseille sur son site Internet.

Un col « polo » pour couronner le tout, beau rappel aux maillots d’antan et voilà comme l’OM et son équipementier Puma font quasi-l’unanimité sur le sujet.

Pour ceux qui se demandent d’où sort ce logo spécial de l’OM, rien de neuf ! Tout le contraire. C’est le retour du premier logo, celui de 1899 et 1935, de René Dufaure de Montmirail, l’homme du « Droit au But ». 

Avec justesse, le partenaire principal du club, CMA CGM, s’incline : la publicité est là, bien là sur le devant du maillot, mais en ton sur ton. Sympa. Un maillot que les supporters ne manqueront pas de porter dans la vie de tous les jours. Comme cela se fait déjà beaucoup partout. Et oui.

Seul hic, le prix, bien sûr. C’est un événement, c’est un maillot spécial en attendant ce match spécial, OM-Nice… Alors il faudra débourser 99 euros ! Ouch. La marge est belle, comme avec tous les maillots de football. Vaste débat. Mais on peut déjà lire quelques messages sur les réseaux sociaux du type : « Je n’ai pas payé DAZN, alors je peux me faire ce petit plaisir ! » La LFP appréciera.

En attendant, l’OM tentera d’aller chercher une 3e victoire en 4 journées, cet après-midi, 17h face à l’OGC Nice de Franck Haise, qui revient en forme. Un choc de L1 intéressant tant les hommes de Roberto De Zerbi suscitent curiosité et quelques doutes aussi, notamment défensivement. Un match débridé qui pourrait nous offrir du spectacle.

Ci-dessous, revue de presse : les compositions d’équipes probables selon le journal L’Equipe. Avec Neal Maupay, nouvelle recrue de la fin août, en position d’avant-centre, Elye Wahi ayant eu des soucis physiques pendant la trêve internationale.

Pour ce match très attendu, et la fête des 125 ans, de nombreux tifos sont attendus dans le stade en avant match, notamment du côté de la tribune des South Winners.

Thibaud Vézirian

« Si ça trouve, dans quelques années, je serai à l’Olympique de Marseille… » : Ce défenseur des Bleus aurait pu signer à l’OM cet été !

Alors que l’Olympique de Marseille fait face à quelques soucis en défense centrale, notamment après la blessure de son capitaine, Léonardo Balerdi, une information laisse les supporters rêveur. Un formidable défenseur central de Premier League aurait pu rejoindre les rangs olympiens cet été.

Depuis l’été 2021, l’Olympique de Marseille engage des moyens colossaux pour redevenir une équipe du top niveau français, en attendant de se confronter vraiment à l’Europe. Masse salariale devenue record, investissements massifs (et jamais vus au club) sur le marché des transferts (environ 100M€ d’achats de joueurs chaque été depuis 2021 en moyenne), valse des dirigeants, amélioration des infrastructures et valorisation meilleure du club.

Mais forcément, sportivement, il y a toujours un hic à l’OM. Cet été, après l’arrivée de 12 joueurs, l’effectif conserve encore quelques failles. Quelques profils manquent à l’appel : latéral droit, attaquant de surface, doublure sur l’aile droite, etc. Et avec la mise à l’écart de l’excellent Chancel Mbemba, la défense centrale fait parler.

Ce n’est pas la dernière déclaration d’un grand défenseur de Premier League et des Bleus qui va faire taire les supporters marseillais. Loin de là. Wesley Fofana n’a pas été épargné par les blessures graves depuis son transfert de l’AS Saint-Etienne à Leicester puis Chelsea. Mais sa côte reste très élevée, à tel point que Didier Deschamps l’avait convoqué pour le dernier rassemblement des Bleus de ce mois de septembre.

À 23 ans, il a souhaité reprendre avec les Blues pour confirmer tous les espoirs placés en lui (il a été acheté 81M€ à Leicester). Mais l’Olympique de Marseille, par l’intermédiaire de Mehdi Benatia, a tenté sa chance.

C’est ce que l’on apprend dans cette interview réalisée par Free Foot : « J’ai reçu un appel qui m’a très touché. Ce serait mentir de dire que je ne l’ai pas calculé. C’était Mehdi Benatia, le directeur sportif de l’Olympique de Marseille. J’ai eu une réflexion mais voilà… L’objectif à l’heure actuelle, c’est de m’imposer à Chelsea, enchaîner les matchs, de m’imposer dans mon club. Et après, Marseille, on verra un jour. Marseille, c’est ma ville, c’est mon club, je suis supporter de l’Olympique de Marseille. On verra bien. Si ça trouve, dans quelques années, je serai à l’Olympique de Marseille…« 

« Pour ne rien vous cacher, on a les larmes aux yeux » : Didier Roustan commente la demi-finale France-Portugal 84

Didier Roustan est décédé à l’âge de 66 ans mais sa trace dans l’histoire médiatico-sportive française restera à tout jamais. Notamment parce qu’il a commentré des matchs mythiques, comme la demi-finale France-Portugal de 1984. Ou encore la Coupe du monde 1994 aux Etats-Unis avec Eric Cantona.

« Pour ne rien vous cacher, on a les larmes aux yeux« . Les émotions foot. Celles que Didier Roustan adorait par-dessus tout. Un geste technique, un petit dribble, une belle passe. Et de grands buts. Comme celui de Michel Platini face au Portugal, en prolongation de la demi-finale de l’Euro 1984.

Le 23 juin 1984 plus exactement, au stade Vélodrome de Marseille. La qualification des Bleus. Les larmes de Didier Roustan et de Michel Denisot. À l’époque, le peuple français n’était pas encore gâté de victoires en Coupe du monde, à l’Euro ou ailleurs. Et quand ce n’est pas le cas, ce sont désormais des finales ou demi-finales…

« Extraordinaire, fabuleux, quelle émotion, on a jamais vu ça ! » : Michel Denisot exulte. Didier Roustan ne peut retenir son émotion. Les commentateurs peinent à poursuivre. Un grand moment de football.

Didier Roustan n’a que 26 ans quand il commente ce match historique. Rendez-vous compte. Une rencontre que La Chaîne L’Equipe rediffuse ce mercredi soir, les droits ayant été généreusement offerts par TF1.

En 2021, 35 ans plus tard donc, Didier Roustan analysait également ce match ébouriffant dans un podcast à écouter ici. Encore et encore.

Pour regarder et écouter d’autres hommages, rendez-vous avec le Dèj Foot, émission quotidienne en streaming sur Twitch/X/Kick/YouTube et TikTok, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.

Après la menace de boycott, Pernod Ricard renonce à sponsoriser le PSG

Un couac retentissant. Alors que l’entreprise Pernod Ricard possède plus de 240 marques, la firme avait choisi de communiquer sur un deal de sponsoring majeur avec le Paris-Saint Germain, englobant notamment ses marques de champagne, de whiskys et autres spiritueux. Osant même poser avec un maillot du PSG au Parc des Princes…

En mettant en avant le nom Pernod Ricard avant toute chose dans ce deal majeur, le service communication a commis une erreur majeure, sous-estimer l’ampleur que cela pourrait avoir vis-à-vis du public premier de la marque Ricard ou de Pastis 51, d’ailleurs, qui appartient aussi à Pernod Ricard.

Ainsi, comme s’en faisait le relai Entrevue, une vague d’appel au boycott des marques Pernod Ricard a été lancée par les Marseillais. Soucieux de ne pas avoir un de leurs « bijoux de famille » être repris à Paris, ils ont manifesté leur mécontentement bruyamment sur les réseaux sociaux et dans les bars et restaurants. Tout cela étant repris par beaucoup de médias.

Lorraine Ricard, la petite-fille de Paul Ricard, avait même eu des mots particulièrement justes, via un message posté sur le réseau LinkedIN.

Face à un tel fiasco, Pernod Ricard annonce ce jeudi faire machine arrière, une information confirmée à La Provence. Fin prématurée du deal de sponsoring à visée internationale avec le Paris-SG. Il aurait été si simple de communiquer dés le départ sur les marques qui prenaient part aux deals, et non sur « Pernod Ricard »… Tout se serait alors déroulé normalement, sans faire aucun scandale.

Même si l’accord semble désormais caduque, les images de Guillaume Hoarau et d’autres joueurs du PSG célébrant le deal existent toujours.

Découvrez quelle personnalité influente appelle au boycott de Pernod-Ricard à Marseille

C’est une annonce qui fait grand bruit à Marseille et ses alentours. Dans les cafés, bars et restaurants, certes, mais pas que. Un deal économique majeur entre deux sociétés ne plaît pas du tout aux Marseillais. A tel point que certains d’entre eux en appellent au boycott.

Alors que l’entreprise Pernot Ricard, détentrice entre autres de 240 marques -parmi elles Ricard, Pastis 51, Ballantines, Mumm, Jameson, Absolut, Suze, Ararat, Long John-, vient d’annoncer un partenariat d’ampleur avec le Paris-Saint Germain, beaucoup de fans de l’Olympique de Marseille sont surpris de cette alliance.

Pour eux, le Ricard, c’est Marseille et rien d’autre. À tel point que sur les réseaux sociaux, un appel au boycott général des marques emblématiques de l’entreprise est lancée. Via un hashtag clair et net.

S’il est vrai que Paul Ricard est né à Marseille le 9 juillet 1909 et a bien créé le « Pastis Ricard », au point d’en devenir une boisson alcoolisée adoubée dans le sud (à boire avec modération), difficile d’interdire à Pernod Ricard de pactiser avec d’autres contrées… Et notamment Paris.

Dernière personnalité en date à rejoindre les rangs de l’appel au boycott : Rachid Zeroual, l’emblématique leader des South Winners, le plus grand groupe de supporters de l’Olympique de Marseille, toujours très impliqué dans la vie du club et dans la vie de la cité phocéenne.

Dans un post sur X, le président des South Winners n’y va pas par quatre chemins : « Boycott général !!« .

Ce dernier reçoit une immense majorité de messages de soutiens : « Oh non pitié pas le Ricard !!« , « Excellent bientôt la bouillabaisse à Paris » ou encore « La honte ,vous êtes écoeurant, depuis 50 ans je suis fidèle à Ricard , justement demain terminé votre pastis ,vous perdez un client et je ne suis pas le seul croyez moi, la honte des Marseille, j’ai envie de vomir.« 

D’autres l’incitent désormais à promouvoir d’autres boissons similaires, comme le Casanis (Corse)… La guéguerre Paris-Marseille bat son plein. Espérons que ce soit aussi passionnant en Ligue 1…

Mercato – Un ancien marseillais signe à Paris !

Cela restera parmi les gros coups de ce mercato d’été 2024. Le Paris FC a de grandes ambitions et souhaite rapidement monter en Ligue 1. Pour cela, le club parisien, dans l’ombre du grand Paris-SG, s’active énormément sur le marché des transferts. Au point de ne pas hésiter à faire signer un ancien marseillais.

Passé avec succès par Sassuolo ou la Fiorentina en Serie A italienne les saisons précédentes (115 matchs), Maxime Lopez est surtout connu en France pour ses débuts à l’Olympique de Marseille. Un minot, un vrai, à l’aise techniquement et heureux dans une équipe collective.

À 26 ans, certains auraient pensé qu’il évoluerait dans un club habitué aux joutes européennes. Pas du tout. Du haut de son 1m67, Maxime Lopez a choisi un rebond particulier pour sa carrière : À Paris et en Ligue 2 !

Si le Paris FC a eu le nez fin, faisant venir là un joueur habitué au plus haut niveau, le président Ferracci a su séduire le joueur car… son grand frère, Julien, 32 ans, évolue déjà au club. Les arguments étaient tout trouvés.

À lui « muscler son jeu » pour ne pas subir face à la densité physique permanente de cette rude deuxième division.

Maxime Lopez vient de signer un contrat jusqu’en 2027. Il n’y aurait aucune indemnité de transfert, uniquement un pourcentage à la revente à reverser à Sassuolo.

Après un tel mercato d’été, le Paris FC figure parmi les grands favoris pour la montée en Ligue 1. Le directeur sportif, François Ferracci, s’est déclaré heureux de ce transfert bouclé en toute fin de mercato : « Je suis très heureux que Maxime nous rejoigne, c’est une histoire particulière. Il correspond à ce qu’on recherche sur beaucoup d’aspects et je pense qu’il s’intégrera bien dans le projet de jeu de Stéphane. Il a compris notre projet à moyen terme et il va apporter son talent et son expérience à ce groupe qui en a déjà.« 

L’OM rate (à moitié) ses débuts à domicile face à Reims

L’Olympique de Marseille était très attendu ce dimanche soir pour la clôture de la 2e journée de Ligue 1. Après sa belle victoire à Brest (1-5), l’OM et son équipe renouvelée quasi-entièrement voulait briller devant de ses supporters… Cela a fonctionné une mi-temps.

Un stade en ébullition, des joueurs qui peinent à s’entendre sur la pelouse, en un été de coupure footballistique, il y a des choses qui ne changent pas. Le public de l’Orange Vélodrome avait hâte de retrouver ses joueurs pour cette deuxième journée de championnat.

Même si l’effet Roberto De Zerbi s’est fait sentir, l’OM n’a pas su tenir son niveau pendant 90 minutes. Après une première période haletante, avec des occasions, du jeu, mais seulement un but, l’OM était à la merci d’un retour rémois. Marseille pourra s’en vouloir de n’avoir pas su concrétiser ses 2-3 occasions très franches de la première période, la faute à un Elye Wahi pas encore en réussite, mais ça devrait vite venir.

D’autant qu’en dehors de Mason Greenwood et Amine Harit, ce n’est pas le tristounet Luis Henrique qui allait vraiment l’aider. Ni l’aide offensive de Pierre-Emile Højbjerg et de Geoffrey Kondogbia, concernés principalement par des rôles défensifs.

Au retour des vestiaires, la physionomie du match s’inverse totalement. Reims marche sur Marseille, l’OM recule et se fait pilonner. Intensité, jeu rapide, le Stade de Reims retrouve de sa superbe. Les hommes de Lukas Elsner font valoir une énorme densité physique et montrent qu’ils n’ont plus rien à perdre : ils égalisent rapidement, Sergio Akieme d’abord à la sortie d’un corner mal renvoyé (1-1, 51e) puis Yaya Fofana, pour sa première en L1, d’un tir splendide en angle fermé (1-2, 55e), climatisent le stade.

Roberto De Zerbi procède alors à plusieurs changements coup sur coup. La sortie d’Elye Wahi pour le nouveau venu anglais Jonathan Rowe dynamise l’attaque olympienne. Le supersonique attaquant rallume la flamme. Marseille pousse. Et c’est l’inévitable Mason Greenwood qui conclut en renard des surfaces (2-2, 72e). L’OM n’aura alors pas les ressources pour faire mieux. Mais il y a encore quelques mois, cela aurait été assurément un match où l’équipe ne serait jamais revenue à la marque…


Le classement de la L1 après deux journées

Les résultats de la 2e journée de championnat :

PSG 6-0 Montpellier

OL 0-2 AS Monaco

Lille 2-0 SCO Angers

ASSE 0-2 Le Havre

Lens 2-0 Brest

FC Nantes 2-0 AJ Auxerre

OGC Nice 1-1 Toulouse FC

Strasbourg 3-1 Stade Rennais

OM 2-2 Reims

Greenwood déterminant, Rulli aussi, l’OM se promène à Brest (1-5)

Début de saison quasiment idéal pour l’Olympique de Marseille, vainqueur à Brest (1-5), ce samedi après-midi. Quasiment, car Faris Moumbagna, peu de temps après être entré en jeu, a dû sortir sur blessure, certainement blessés aux ligaments croisés du genou.

Serait-ce déjà la patte Roberto De Zerbi ? Le nouvel entraîneur italien de l’OM peut avoir le sourire. Son équipe a rapidement pris la mesure du Stade Brestois, surprenant deuxième du championnat la saison dernière et qualifié en Ligue des Champions. On savait que le plus dur allait commencer pour les Brestois, ils ont connu rapidement une grosse désillusion.

Dés les premiers instants, ils se font aspirer et laissent des espaces grossiers. Rien ne fonctionne comme il y a encore quelques mois. D’autant que Marseille offre un nouveau visage. L’attaquant anglais de l’OM, Mason Greenwood, n’avait pas besoin de plus de place pour marquer sur sa première occasion en Ligue 1 (0-1, 3e). Tir croisé efficace. L’OM est lancé.

Marseille ne tergiverse pas et continue de faire mal. D’autant que son nouveau gardien, l’argentin Geronimo Rulli, veille : de solides parades, une vigilance de tous les instants et même un arrêt sur penalty. Baraka totale.

C’est un jour où rien ne peut plus arriver à Marseille. Alors même Luis Henrique se met à profiter de ballons gérés par la défense brestoise : le Brésilien double la mise et ira même de son doublé en seconde période.

Côté bémol, si le nouveau défenseur central Derek Cornelius ne montre pas (encore) une assurance tout risque, les supporters de l’OM ont pu retrouver la fébrilité légendaire d’un revenant, Pol Lirola. Positionné latéral gauche, il n’a pas non plus été vraiment aidé. Mais Quentin Merlin devrait vite reprendre son poste.

Juste avant la pause, Madhi Camara réduira magnifiquement l’écart d’une frappe limpide sous la barre (1-3, 45e+5). Mais Brest craquera à nouveau très vite en seconde période. Le coach Eric Roy devra vite remettre les têtes à l’endroit…

Mason Greenwood, à nouveau buteur (sur penalty), puis Elye Wahi, aussi sur penalty, donneront encore plus d’ampleur au résultat (1-5). Qu’il est déjà loin le temps, début 2024, où Marseille, entraîné par Gennaro Gattuso, venait perdre tristement à Brest…

Fantastique entrée en matière olympienne, leader provisoire de L1, les trois attaquants ont marqué. Mais Roberto De Zerbi, dont l’effectif manque cruellement de profondeur, a vu Faris Moumbagna sortir sur blessure peu après son entrée en jeu.

Son genou s’est dérobé, il est sorti sur civière : ce serait les ligaments croisés de touchés. Une blessure qui nécessite entre 3-4 mois et 8 mois d’indisponibilité, selon les techniques de rééducation utilisées.

Roberto De Zerbi déplore « l’unique mauvaise nouvelle de la journée. C’est un garçon en or, on ne sait pas encore pour combien de temps on le perd. J’espère que ce n’est pas trop grave, il est sorti en larmes, donc cela pourrait être une longue blessure. »