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Classement mondial des clubs de football : le Real Madrid en tête, le PSG septième

C’est le plus grand club du monde. Le Real Madrid vient d’accueillir Kylian Mbappé en grande pompe et peut se réjouir d’apparaître tout en haut du classement Brand Finance des marques les plus valorisées du football. Un classement où trônent les clubs anglais et espagnols. Sans surprise.

Il n’y a pas que les résultats sportifs dans la vie d’un club de football. Pour les supporters, oui, mais pas pour les dirigeants. Le classement annuel Brand Finance qui vient d’être dévoilé réalise un constat très clair : les clubs anglais et espagnols dominent le monde du football.

Le développement économique et marketing est devenu clé pour la stratégie globale d’un club de football. Ainsi, certaines prolongations régulières de contrat de stars du football vont aussi bien dans le sens d’une consolidation du niveau sportif de l’équipe mais surtout dans le renforcement de la valeur économique du club. Un joueur est un actif. Parmi tant d’autres.

Depuis 2011, le développement de la marque est un des enjeux majeurs du club. Depuis l’arrivée des Qataris, la croissance des revenues, donc de la valeur, est exponentielle. Le PSG est ainsi devenu une marque mondiale. Et dans ce classement Brand Finance, le Paris-SG se place à une très belle 7e place, en retrait d’un cran par rapport à l’an dernier, mais avec une légère progression de 7% pour la valeur de sa marque (1,183 milliard d’euros contre 1,074 milliard d’euros en 2023).

Classé deuxième l’an dernier, le Real Madrid chipe la première place à Manchester City. La Maison Blanche a réussi le doublé Liga-Ligue des Champions et attire les meilleurs joueurs. Sa marque continue son incroyable expension (1,651 milliard d’euros) et ce n’est pas avec l’arrivée de Kylian Mbappé que cela va diminuer.

Si Manchester City cède son trône, sa marque continue de croître : 1,578 milliard d’euros en 2024 contre 1,428 milliard d’euros en 2023. Petite surprise, malgré ses difficultés financières et ses « mauvais » résultats sportifs, le FC Barcelone complète ce podium.

Manchester United (4e, 1,370 milliard d’euros), Liverpool (5e, 1,351 milliard d’euros) et le Bayern Munich (6e, 1,211 milliard d’euros) suivent derrière.

Côté clubs français, il faut ensuite aller chercher beaucoup plus loin : l’OM reste 28e au classement (entre le Borussia Mönchengladbach et Brighton), alors que l’OL de John Textor réalise une percée, passant de la 31e à la 24e place, derrière Naples et l’AS Roma.

Aulas de retour en force à Lyon, l’OL lui vend la LDLC Arena

Ils se connaissent bien. Ils ont déjà fait affaire l’an dernier. Après avoir cédé l’OL à John Textor, Jean-Michel Aulas vient de lui acheter la LDLC Arena, située juste à côté du Groupama Stadium.

C’était un investissement à moyen terme. La LDLC Arena avait coûté 140 millions d’euros à l’Olympique lyonnais. Sauf que cette salle multi-sport attenante au Groupama Stadium n’a rien à voir avec le football. Le boss de l’OL, John Textor, souhaitait ardemment recentré ses activités uniquement sur le football.

Ainsi, l’ancien patron légendaire de l’OL Jean-Michel Aulas vient de conclure le rachat de cette salle, notamment utilisée par l’ASVEL en basket mais aussi pour des concerts majeurs. Un deal signé ce jeudi matin en accord avec Holnest, la holding familiale de Jean-Michel Aulas.

C’est dans un communiqué officiel que John Textor a validé l’opération : « Nous sommes ravis d’avoir conclu cet accord avec Holnest. Depuis notre arrivée à Lyon, nous avons clairement exprimé notre volonté de consacrer l’ensemble de nos capitaux au football. Grâce à cet investissement et à la passion de Jean-Michel et de ses nouveaux associés, nous pouvons nous concenter sur notre objectif de jouer des coupes européennes à Lyon ».

Après avoir déboursé 140 millions d’euros dans une période compliquée pour le club, l’OL reçoit aujourd’hui 160M€. Avec un premier versement avant le 12 juin. De quoi boucler la saison dans une situation financière correcte et faire valider la suite par le gendarme financier du football français (DNCG), une aubaine après la frayeur sportive de début de saison.

EXCLU – Allô FFF, où est passé le fichier des interdits de stade ?

Faut-il vraiment attendre qu’un nouveau drame survienne dans le football français pour que les instances réagissent ? Après les nouveaux affrontements violents entre Lyonnais et Parisiens samedi en marge de la finale de la Coupe de France, ce sont des actes de racisme au Groupama Stadium qui choquent le monde entier. Cerise sur le gâteau, Entrevue est aujourd’hui en mesure de vous révéler que le fichier des interdits de stade n’est plus alimenté. Et chacun se renvoie la balle.

Impossible d’avoir une réponse à ce sujet auprès des instances du football français, ce n’est de la responsabilité de personne. « En tout cas, pas de nous », répondent en cœur FFF, LFP ou certains ministères questionnés. Philippe Diallo, président de la Fédération française de football, ou Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, ne semblent pas concernés par cette disparition. Ce fichier national des interdits de stade (FNIS) permettait pourtant depuis 2007 de centraliser les supporters les plus excessifs. Un garde-fou intéressant.

Entrevue a pu accéder à plusieurs mails éloquents concernant la situation des supporters de football interdits de stade. À deux mois des Jeux Olympiques, cet état des lieux inquiète particulièrement. Quand allons-nous régler le problème de la sécurité aux abords et dans les stades français ? Il est aujourd’hui si facile d’y faire entrer un peu n’importe quoi. Et surtout un peu n’importe qui.

À titre d’exemple, un billet pour la finale de Ligue des Champions Liverpool-Real Madrid au Stade de France en mai 2022 a été revendu jusqu’à 1875 fois… Fraude organisée, violence permanente. À qui profite le crime ? Pourquoi personne ne bouge ?

Selon nos sources, auprès de préfets notamment, il n’y a plus « aucune centralisation du fichier des interdits de stade depuis 2017 ». Pour certaines sources, il aurait même été « supprimé en catimini ».

Cela dérangeait visiblement certains clubs, soucieux de ne surtout pas embêter leurs ultras. Jean-Michel Aulas n’aurait pas été contre le fait d’enterrer ce moyen de contrôle embarrassant pour les supporters les plus virulents. Un moyen de s’acheter la paix en tribunes ? Quitte à avoir quelques hors-la-loi à gérer dans ses propres gradins ?

D’après nos informations, c’est en 2017 que l’ancien patron de l’Olympique lyonnais Jean-Michel Aulas serait allé rencontrer à ce sujet le ministre de l’Intérieur, Gérard Colomb, par ailleurs ancien maire de Lyon et grand supporter de l’OL. Le fichier disparaît des radars et ne semble alors plus d’aucune utilité. Une décision qui aurait été prise avec l’assentiment de Philippe Diallo, alors président de l’Union Patronale des Clubs Professionnels, et de Noël Le Graet, alors président de la FFF.

Ces dernières semaines, la LFP avançait fort pour finaliser un accord sur la sécurité avec les ministres de l’Intérieur, des sports et de la justice. Cela patine encore. Preuve des bisbilles entre hauts dirigeants du football français ?

Après de multiples coups de téléphone, une source nous indique finalement que le fichier serait en possession de la Direction générale de la police nationale (DGPN). Qui l’aurait enfoui bien au fond d’une pile de dossiers. Et son accès serait hyper « contrôlé ».

Que fait Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur et ancien arbitre de très bon niveau, pour aider le football français à soigner ses maux (ici en photo avec les arbitres Stéphanie Frappart et Benoît Millot, à droite) ? Pourquoi ne pas remettre de l’ordre alors que le football français semble confronter à des faits de violence à répétition ?

Aucune information n’est disponible sur la date la dernière mise à jour du Fichier des interdits de stade. Combien de supporters pointent encore dans un commissaria ? Personne n’est en mesure de nous répondre. Alors faut-il s’inquiéter de la situation ? Moue dubitative…

Saint-Étienne remonte en Ligue 1 ! L’OL ravi des retrouvailles !

Quel suspense. C’est un soulagement énorme pour l’ensemble des supporters des Verts. Après deux saisons en Ligue 2, l’ASSE va revoir la L1. Au terme d’une rencontre asphyxiante à Metz, Wadji inscrit le but de l’égalisation (2-2) qui envoie l’AS Saint-Etienne à l’étage supérieur.

Il a fallu la prolongation pour séparer les deux équipes, après deux matchs aller-retour de barrages. Après la victoire des Verts à domicile plus tôt dans la semaine, Metz devait refaire son retard d’un but à Saint Symphorien, devant son public.

Tout avait bien commencé pour les Grenats, qui mène déjà 2-0 après 25 minutes de jeu. Camara et Mikautadze, encore lui, permettent à ce moment-là au FC Metz de rester en première division. Mais les Messins sont pourtant en infériorité numérique depuis la 6e minute de jeu, expulsion de Diallo qui va finir par leur coûter cher…

Car les Verts sont en mission, décidés à ne rien lâcher. Dés la 35e minute de jeu, Pétrot permet à l’ASSE de revenir à égalité sur l’ensemble des deux matchs. De la tension, des frissons, des occasions. Des stadiers un peu dépassés par les événements aussi…

Briançon harangue ses troupes, c’est parti pour la prolongation. Et les Messins finissent par craquer. En toute fin de seconde période, Wadji inscrit le but de la délivrance après une belle séquence collective.

L’ASSE l’a fait, les Verts sont de retour au top du football français. Et déjà, quelques minutes après le coup de sifflet, l’Olympique lyonnais souhaite à son ennemi de toujours un bon retour dans l’élite… Ça promet de nouveaux derbys endiablés.

Le PSG remporte sa 15e Coupe de France (1-2) face à l’OL (les buts en images)

L’Olympique lyonnais a longtemps espéré un scénario fou. Mais le PSG n’a pas cédé. Dominateurs en première période, les Parisiens ont pris le large (0-2) avant de connaître plusieurs frayeurs en seconde période. Les deux gardiens se sont illustrés. Mais c’est bien le Paris-SG qui remporte sa quinzième Coupe de France (1-2). Lyon n’a plus gagné de titres depuis 2012.

La Marseillaise, Emmanuel Macron qui salue les joueurs un par un, 46 000 spectateurs en liesse, ce stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille chauffé à blanc : tout est réuni pour une grande soirée.

Éliminée prématurément en 2022 et 2023, l’équipe entraînée par Luis Enrique renoue avec ce trophée si cher aux supporters. Bien que parfois malmenés par de coriaces lyonnais, les Parisiens avaient fait le plus dur en ouvrant rapidement le score. Ousmane Dembélé, tout heureux se retrouver à la réception d’un centre en pleine surface, trompait Lucas Perri, pas aidé par Duje Caleta Car, ni Saïd Benrahma (0-1, 22e).

Le PSG bouscule encore et encore les Lyonnais. Si bien que Fabian Ruiz double la mise douze minutes plus tard, en deux temps, à la réception d’un centre au second poteau (0-2, 34e). Revenus de si loin cette saison (les Lyonnais étaient relégables toute la première partie de saison), les hommes de Pierre Sage trouvent à nouveau les ressources pour revenir fort.

Leur seconde période leur a prouvé qu’ils pouvaient rivaliser avec ce PSG si habile balle au pied mais qui offre énormément d’espaces défensivement. D’autant que Paris n’a pas pu compter sur un grand Kylian Mbappé, comme depuis février, date à laquelle son entraîneur a décidé de se passer de lui régulièrement. Très vite Jake O’Brien, d’une tête rageuse sur corner, bat Gigi Donnarumma, pourtant si fort sur sa ligne ce soir encore (1-2, 55e).

Lyonnais et Parisiens vont alors se rendre coups pour coups (sans mauvais jeux de mots vu ce qu’il s’est passé en avant match sur l’autoroute A1) : des occasions de part et d’autre. Pour de grands arrêts de gardiens. Le spectacle est là.

Paris finit par remettre le pied sur le ballon et fait défiler le chrono. L’Olympique lyonnais échoue de peu à emmener les Parisiens en prolongation. Paris remporte sa quinzième Coupe de France. Un doublé Coupe-Championnat (sans oublier le Trophée des champions) attendu mais pas toujours simple à réaliser.

Avant même la remise du trophée, Kylian Mbappé est porté en triomphe par ses coéquipiers. La fin d’une belle partie de sa carrière, chez lui. Sept saisons de hauts et de bas. Plus long que prévu initialement. Il est maintenant largement temps pour lui de rallier le Real Madrid.

Finale de la Coupe de France PSG-OL : Police supplémentaire et Benzema en renfort

Le football français souhaite terminer sa saison de la plus belle des manières. Avec un grand spectacle, ce samedi soir, au stade Pierre Mauroy-Decathlon Arena de Lille, pour l’affiche PSG-OL, les deux équipes les plus en forme en 2024.

Privé de Coupe de France depuis deux ans, Paris veut renouer avec le succès. Une quinzième Coupe de France ? C’est l’objectif. Mais Lyon, qui n’a plus connu de titres depuis 2012, veut aussi soulever le trophée mythique. L’Olympique lyonnais reste sur six mois impressionnants, après avoir été classé dernier du classement pendant les premiers mois de championnat.

Du côté du PSG, en tout cas, aucune animosité, juste l’envie de gagner : « Finissons sur la plus belle des notes ». Comme l’a rappelé vendredi le Collectif Ultras Paris (CUP) via un communiqué posté sur leurs réseaux sociaux.

Dans le camp lyonnais, les joueurs ont reçu un soutien de choix : l’emblématique Karim Benzema a choisi de parler via les réseaux sociaux du club afin de motiver les troupes. « S’il vous plaît, éteignez-les », effet garanti. Lui qui évolue toujours en Arabie Saoudite pourrait-il revenir cet été chez lui à Lyon pour une dernière pige ?

Avant d’assister à un grand match, il faudra d’abord que le public soit accueilli en toute sécurité. La rencontre est classée 5 sur 5 par la Division nationale de lutte contre le hooliganisme. Les autorités se montrent particulièrement vigilantes tant il semble aisé de venir d’Angleterre, de Belgique, des Pays-Bas ou d’ailleurs pour semer la pagaille. Le hooliganisme n’est jamais loin du football. Encore en 2024.

Chose logique mais amusante : les personnes « se prévalant de la qualité de supporter du LOSC » sont interdites dans leur propre stade.

Ainsi, pour encadrer les 30 400 supporters (15 200 par club), la préfecture du Nord a mobilisé 1 000 forces de l’ordre. Des policiers de la force Sentinelle. Un dispositif massif afin d’éviter tout débordement. Et ne pas gâcher le match de clôture de cette grande saison de football en France. Ensuite, place à l’Euro, dés le 14 juin, en Allemagne.

Match à suivre à partir de 20h40 sur France 2.

Paris sportifs : Lucas Paqueta visé par une enquête, les images qui font mal

Attention les secousses. C’est une affaire qui tourmente le Royaume Uni. Lucas Paqueta, international brésilien de West Ham, est dans le viseur de la Fédération anglaise. L’ex-joueur de l’Olympique lyonnais risque très gros après son implication dans une affaire de paris sportifs.

Les joueurs de football professionnel, ainsi que leur entourage proche, sont interdits de paris sportifs. Trop de conflits d’intérêts possibles. Visiblement, certains joueurs ne sont pas au courant ou en font fi.

Depuis ce jeudi, Lucas Paqueta, 26 ans, est accusé d’avoir truqué plusieurs matchs de Premier League en 2022 et 2023. Quatre matchs sont particulièrement soupçonnés. Avec des actions de jeu où le joueur aurait « intentionnellement cherché à recevoir un carton de l’arbitre ». Le but ? Faire gagner beaucoup d’argent à des proches. Un curieux intérêt quand on connaît les émoluments énormes que touchent l’ex-Lyonnais.

Comme d’habitude désormais, le tribunal populaire est à pied d’oeuvre sur les réseaux sociaux. Les internautes mènent l’enquête de leur côté et ont retrouvé certaines séquences qui prêtent à confusion. On y voit Lucas Paqueta commettre de curieuses fautes, qui peuvent paraître intentionnelles à la lumière de l’affaire. La justice fera son travail.

Sa carrière est donc sérieusement en suspens. Selon le Daily Mail, Lucas Paqueta risquerait une suspension de 10 ans ! Le média anglais se base sur la jurisprudence de l’affaire d’un autre joueur anglais tombé pour avoir truqué des matchs.

Dans le cas d’une telle sanction, oui, ce sera la fin définitive de sa carrière. Un artiste du ballon rond qui mettrait fin à sa carrière pour cette raison, ce serait du jamais-vu. Même si en handball, l’affaire Nikola Karabatic avait bien sûr fait énormément de remous.

Reste à savoir ce que sera la défense du joueur brésilien, plutôt habitué à l’attaque sur les terrains. Dans un post Instagram, il clame son innocence. Il a aussi reçu le soutien de son club. Lucas Paqueta a jusqu’au 3 juin pour répondre organiser sa défense et apporter ses éléments à la Fédération anglaise.

La France bat tous les records de recettes de l’histoire de la WWE

Un événement historique pour un record historique. La LDLC Arena de Lyon accueillait vendredi et samedi les superstars du catch de la WWE. La plus grande institution de divertissement sportif au monde.

Pour la première fois de son histoire, l’entreprise américaine organisait un PLE (premium live event) en France. Un show mensuel disponible uniquement à la demande. Et la WWE n’a pas été déçue du voyage. On savait les fans français très friands de catch et aptes à mettre une ambiance de folie. Ce fut le cas ! Au-dessus des espérances.

Mêmes les superstars les plus chevronnées, comme Randy Orton, ont été surprises de constater une telle atmosphère. Lors de son entrée en scène lors de Backlash, samedi, Randy Orton a vu son thème d’entrée repris par l’arène toute entière. Du jamais vu. De quoi lui décrocher un grand sourire.

Baron Corbin a lui témoigné de son grand plaisir d’être venu catcher en France, via un message touchant pour les fans français sur X.

Pendant le vif échanges de bons mots entre AJ Styles et Cody Rhodes lors de SmackDown, le public tout entier s’est mis à entonner « il est vraiment phénoménal » (référence au surnom d’AJ Styles), surprenant les catcheurs. Qui n’avaient jamais connu ça, forcément…

Au final, le grand décisionnaire et ex-superstar légendaire, Paul « Triple H » Levesque, qui avait fait le déplacement à Lyon, a pu se réjouir publiquement de résultats historiques : meilleur recette pour le show SmackDown de vendredi, meilleure recette pour un Backlash et meilleure recette pour un évènement WWE en arène. Rien que ça !

Et c’est lui-même qui a laissé entendre dans la foulée, en conférence de presse, que la WWE allait revenir en France prochainement pour un show encore plus fort : « Nick Khan m’a envoyé un sms pendant Backlash, il y avait un mot à retenir : ‘stade’. »

Si la WWE remplit les arènes et les stades chaque semaine aux Etats-Unis, la compagnie s’ouvre là clairement de nouvelles opportunités de développement. Le marché français semble mûr pour recevoir régulièrement les superstars du catch.

La France nouvelle terre d’accueil régulière pour Cody Rhodes, Roman Reigns et les autres ? Déjà, il y a plus de 40 ans, les Français possédaient un lien privilégié avec le catch américain. André Le Géant avait été le premier français à conquérir le monde. Puis Hulk Hogan, Steve Austin ou The Rock ont ensuite propulsé ce sport au premier plan. Devenant un divertissement adulé partout dans le monde.

Plus de 11 600 spectateurs ont assisté samedi à cet événement très attendu, pareil pour le show SmackDown de vendredi. Mais déjà, le grand propriétaire de la WWE, TKO (également propriétaire de l’UFC), via Nick Khan, a annoncé qu’il réfléchissait à ramener la WWE en France en 2025 ! Cette fois dans un stade.

Le Stade de France et ses 80 000 places ? L’Orange Vélodrome et ses plus de 65 000 places ? Le stade Pierre Mauroy à Lille (50 000 places), où l’on sait que le public est hyper réactif ? Les stipulations vont aller bon train jusqu’à l’annonce officielle.