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Historique, les images de LeBron James et son fils Bronny ensemble pendant la victoire des Lakers face aux Wolves (110-103)

Une fois n’est pas coutume, les Lakers ont bien démarré leur saison NBA. Habitué à décevoir leurs fans ces derniers temps, Los Angeles a dominé les Wolves de Rudy Gobert et Anthony Edwards 110-103 au Staples Center.

Si Minnesota a tout chamboulé pendant l’inter-saison, envoyant Karl-Anthony Towns aux Knicks de New York (nettement battus à Boston 132-109) en échange de Julius Randle, ce sont bien les Lakers, derrière un Anthony Davis (36 points, 16 rebonds) taille patron, qui l’ont emporté.

Pour parachever cette belle fête du basket, tout un symbole, LeBron James a pu évoluer à côté de Bronny, son fils ! 3-4 petites minutes pour 1 rebond et aucun point.

Il restait donc moins de 4 minutes au chrono, juste avant la pause, quand le nouveau coach JJ Reddick a cédé : envoyant en même temps père et fils sur le parquet. Tout pour le show. La NBA savait très bien que l’image ferait le tour du monde.

Comme Entrevue a pu le constater pendant les matchs de préparation, la NBA voulait absolument marquer l’histoire (et faire plaisir à LeBron) mais le fiston semble encore un peu loin du niveau.

Drafté à la 55e place, Bronny a encore (beaucoup) de travail. Le rookie star pourrait rapidement aller voir en G-League comment prendre des minutes afin de s’aguerrir. Sauf si son illustre père dit non…

« 5 & 10 km de la mémoire » (8e édition) : des milliers de coureurs à Marseille et dans 8 autres villes pour soutenir l’Arménie

De Marseille à Erevan, en passant par Paris, Bueno Aires, Perth ou Los Angeles, la course pour la mémoire du peuple arménien a une nouvelle fois mobilisé des milliers de sportifs du dimanche. Notamment 850 présents sur la corniche Kennedy, ce matin, à Marseille.

Le sport pour rassembler, le sport pour faire la paix. Alors que l’Etat turc continue de nier l’existence de génocide arménien (1,5M de personnes ont été tuées en 1915), alors que l’Etat totalitaire azéri continue en 2024 d’agresser les Arméniens à l’intérieur de leurs frontières, cette Course pour la Mémoire (CPLM) paraît nécessaire, voire obligatoire.

Rappeler les faits, rien que les faits, autour d’un dimanche matin sportif. Que ce soit sur 5 ou 10 km, que ce soit en marchant ou en courant, c’est le symbole qui compte.

« Au départ, cette course est créé pour lutter contre les génocides et le négationnisme. Les Arméniens étaient les premiers de ce XXe siècle, mais elle a un caractère universel, ce n’est pas que pour les Arméniens. Il se trouve que depuis 4 ans, les Arméniens vivent une guerre, un exode de 120 000 personnes dans le Haut Karabagh, donc si on peut par le sport, par l’effort, arriver à sensibiliser, à faire que les choses évoluent, on aura apporter notre petite pierre à l’édifice« , explique Pascal Chamassian au micro de France 3 Provence.

James, père et fils, réunis sous le maillot des Lakers : la réaction de LeBron quand il apprend qu’il est le plus vieux joueur NBA

C’est l’attraction de ce Media Day, la journée presse consacrée à la découverte des nouveaux effectifs NBA, à moins d’un mois de la reprise du championnat de basket.

Du côté des Lakers, si l’équipe ne semble toujours pas armée pour jouer le titre, au grand désarroi des nombreux fans de Los Angeles, LeBron James et son fils Bronny sont l’attraction numéro un. C’est historique, père et fils vont jouer sous le même maillot mythique.

Bronny est un rookie (première année), alors il n’a d’autres choix que de se plier aux désiderata des autres joueurs. Et notamment de son père. Questionné sur une faute évidente commise à l’entraînement sur son fils, LeBron a su trouver les mots, avec un brin de mauvaise foi.

Interrogé sur le fait qu’il soit désormais le joueur le plus âgé de la ligue, LeBron James, 39 ans, a répondu en faisant le show… Découvrez plutôt.

La folle histoire derrière le succès du Soudan du Sud, prochain adversaire de Team USA

C’est la plus jeune nation du monde. Et donc une curiosité de ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Impressionnants vainqueurs de Porto Rico (90-79) en basket, ses joueurs défient la Dream Team des Etats-Unis mercredi soir. Découvrez qui est derrière la folle réussite de cette équipe…

Mercredi, 21 heures, les yeux du monde entier seront rivés encore une fois sur la performance des Etats-Unis, une équipe de légendes vivantes : LeBron James, Steph Curry, Kevin Durant, Jayson Tatum, Joel Embiid, Anthony Davis, etc. Mais beaucoup pourraient être surpris par le niveau du Soudan du Sud. Vainqueur de Porto Rico (90-79), la première victoire de leur histoire aux JO, cette équipe est l’attraction de ce premier tour.

On passe le couac de l’hymne national lors du premier match de basket face à Porto Rico… Et on se concentre sur l’histoire de cette sélection de basket. Qui n’aurait jamais pu arriver à un tel niveau sans l’aide d’un homme. Une star du basket mondial, ancien All Star NBA. Passé par les Bulls de Chicago ou les Lakers de Los Angeles, rien que ça.

Le Soudan du Sud est un pays nouveau. 10 millions d’habitants environ, aucun accès à la mer, et un indice de pauvreté parmi les pires du monde. Cet Etat dont la capitale est Djouba a fait sécession en 2011. Depuis, l’instabilité prédomine.

Ainsi, difficile de se construire sportivement. Ce pays n’a par exemple aucun terrain indoor. Dans ces conditions, on imagine bien les difficultés financières des fédérations sportives.

Alors, en basket, un homme providentiel est là : Luol Deng. Il finance l’équipe nationale lui-même, de sa poche ! Forcément, il est devenu le président de la fédération de basket du Soudan du Sud.

« Nous n’avons pas le privilège d’avoir des gymnases, des lieux où dormir, tout ce genre d’installations, c’est Luol qui a payé tout ça de sa poche pendant 4 ans… Il a payé les salles de sport, les hôtels, les avions, tous les billets de transport… Bravo à Luol, et à tout le staff, sans eux, nous n’aurions jamais pu réunir tous ces gars, former cette équipe », a expliqué récemment Royal Ivey, le coach du Soudan du Sud à Basket News.

Royal Ivey est un nom qui parle un peu aux plus fins connaisseurs de basket NBA. Natif de New York, éphémère joueur des Hawks d’Atlanta, il peut être fier du chemin accompli. Le Soudan du Sud vient de remporter la première victoire de son histoire aux Jeux. Et ne compte pas s’arrêter là. Prochaine étape, pour le plaisir et pour la gloire, face à Team USA, mercredi soir.

Dans la légende du sport, LeBron James accueille son fils Bronny aux Lakers

Une nuit historique dans le sport mondial. À l’occasion de la seconde soirée de la draft NBA, la sélection des meilleurs jeunes joueurs, le vétéran légendaire LeBron James, 40 ans, a reçu un immense cadeau. Les Los Angeles Lakers ont choisi… son fils, Bronny ! Père et fils coéquipiers, du jamais vu.

La draft NBA est une loterie. Mais pas pour tout le monde. Quand votre papa s’appelle LeBron James, c’est un peu différent. Bronny James, 19 ans, a connu deux moments de grâce cette nuit. Sélectionné en 55e position par les Los Angeles Lakers, il va débuter sa carrière dans une franchise mythique. Et comme son illustre père, 39 ans, vient de re-signer pour 3 saisons à L.A., Bronny va donc évoluer aux côtés de LeBron !

Pour cela, rien n’a été simple. Même si Bronny James n’était pas le prospect le plus désiré par toutes les équipes (à la différence de nos Français Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr), il fallait tout de même écarter la concurrence. Les Lakers ne possédaient que le 55e choix de draft… Alors Rich Paul, le célèbre agent de LeBron a dû s’employer. Par la force ?

Pour réunir le premier duo père-fils de l’histoire de la NBA, de surcroit en tant que coéquipiers, l’agent aurait même été jusqu’à proférer des menaces ! « Si vous le prenez à la place des Lakers, j’envoie le petit en Australie ! »

Des menaces qui ont visiblement fonctionné. Puisqu’aucune équipe n’a jugé bon de piquer Bronny aux Lakers. Pas même les ennemis ultimes, les Boston Celtics, pourtant détenteurs du 54e choix.

Côté français, bonne pioche pour Melvin Ajinca, 20 ans, choisi en 51e position par les New York Knicks puis directement envoyé aux Dallas Mavericks, le dernier finaliste NBA. L’ailier de Saint-Quentin est le cinquième et dernier Français drafté cette semaine. Il s’ajoute à la liste composée de Zaccharie Risacher, numéro 1, Alexandre Sarr, deuxième, Tidjane Salaün, sixième, et Pacôme Dadiet, 25e.

Olivier Giroud, « The Last Dance » en Bleus

« L’Euro sera ma dernière compétition. » Olivier Giroud tourne la dernière page de son immense carrière. La légende des Bleus vient d’annoncer son départ du grand Milan pour une dernière pige à Los Angeles (MLS). Plus symbolique encore, l’attaquant vient d’annoncer dans L’Equipe qu’il prendrait sa retraite internationale après l’Euro en Allemagne. L’événement football de l’année démarre le 14 juin pour une durée d’un mois.

La grande et belle histoire d’Olivier Giroud en Bleus se sera donc étirée de 2011 à 2024. Treize saisons de hauts et de bas. De dévouement au service du collectif. Pour un attaquant, c’est rare. De buts précieux aussi. Pour un attaquant, c’est capital.

Son jeu fait de remises, de coups de tête vainqueurs et d’appels pour emmener des défenseurs est un modèle du genre. Pour autant, ce n’est absolument pas bling-bling, ni génération highlights YouTube. Pas de passements de jambes, pas de grigris, pas petits ponts inutiles. Giroud, c’est l’efficacité.

S’il a démarré sa carrière en équipe de France sur le tard, à 25 ans, Olivier Giroud la termine donc sur le tard aussi. L’important, c’est de durer ! À 37 ans (bientôt 38), ce profil atypique dans le football mondial va donc quitter la scène internationale. Foutue poussière dans l’oeil…

Parfois mis en opposition frontale avec Karim Benzema (la F1 contre le karting), parfois soi-disant boudé par Kylian Mbappé, Olivier Giroud n’a jamais vacillé. Meilleur buteur de l’histoire des Bleus, ça vous place un homme. Immense.

S’il n’a pas marqué pendant l’épopée 2018, il a étrenné son costume de pivot d’attaque des Bleus en Pologne et en Ukraine, au Brésil, en Russie, en Allemagne, en Hongrie, en Roumanie, au Qatar… Jamais le plus bankable, souvent le plus utile.

Clin d’oeil de l’équipe de France de football, via X, aujourd’hui, « Olivier Giroud a annoncé qu’il mettra fin à son aventure à l’issue de l’Euro, END » : « The Last Dance ». La dernière danse, référence à la série mythique consacrée à la carrière de Michael Jordan.

Diddy dans la tourmente, nouvelle affaire Epstein ?

Une perquisition à l’Américaine. Des voitures de police en grand nombre, les caméras de télévision prévenues à l’avance, des hélicoptères et drones survolant les lieux. On se serait cru dans le tournage d’une série télé. Pas du tout. Les somptueuses demeures du rappeur et producteur P. Diddy viennent d’être perquisitionnées lundi à Miami (Floride, Etats-Unis) et Los Angeles (Californie, Etats-Unis).

Son nom est même celui le plus cité ces dernières heures sur les réseaux sociaux. Cela laisse place à toutes les rumeurs et interprétations. Si son avocat dénonce une « chasse aux sorcières », la star du hip-hop est au cœur de poursuites pour viol et agressions sexuelles. Certains imaginent aussi d’autres grands noms du rap embarqués par ricochet dans ce dossier sulfureux…

Les médias américains ne parlent que de ça. Est-on à l’aube d’une nouvelle affaire type « Jeffrey Epstein » ? Les habitants des deux quartiers des maisons perquisitionnés hier ne sont pas habitués à de telles descentes de police. Armés jusqu’aux dents, la police a réalisé un coup de force, voire un coup de communication.

Selon des voisins interviewés par plusieurs télés américaines, « de nombreux va et vient ont lieu tard le soir » chez Diddy. Un classique chez les rappeurs. La suite l’est beaucoup moins. Et inquiète bien plus : « On voit parfois arriver des bus de mineurs, en pleine nuit »…

Selon le New York Times, le célèbre producteur n’a pas cherché à fuir. Présent à l’aéroport de Miami, Diddy a été vu en conversation avec des agents fédéraux, sans être embarqué. Il s’apprêtait à s’envoler pour les Bahamas pour finalement rester aux États-Unis. À Los Angeles, les fils du rappeur Sean Combs (alias Diddy) ont été menottés. Que se passe-t-il réellement ?

En novembre, Cassie, une chanteuse et ancienne compagne de Diddy, a déposé plainte au civil pour viol et violences physiques contre le rappeur. Elle affirme avoir été initiée à la drogue, sous l’emprise de son compagnon, forcée à avoir des rapports sexuels filmés avec d’autres hommes, avoir été violée et victime de violences physiques. Elle s’est officiellement séparée de lui en 2018. Deux jours plus tard, les deux parties annoncent un « accord à l’amiable », sans détails supplémentaires. Mais certainement à grand renfort de millions de dollars.

L’affaire aurait pu s’arrêter là. Mais depuis, plusieurs autres femmes ont porté plainte. L’une accuse Puff Daddy (son ancien nom de scène) de l’avoir « droguée, et agressée sexuellement » en 1991, lorsqu’elle était étudiante à l’université de Syracuse. Elle avait filmé la scène et diffusé la vidéo en guise de vengeance.

Une autre femme, dont l’identité n’a pas été dévoilée, affirme que Diddy et le chanteur Aaron Hall l’ont violé à New York il y a plus de 30 ans. En décembre, autre plainte, au civil cette fois, l’accusant d’un viol en réunion sur une mineure de 17 ans en 2003.

Enfin, un ancien collaborateur, Rodney « Lil Rod » Jones, a porté plainte : il accuse Diddy d’avoir abusé de lui pendant plus d’un an alors qu’il travaillait avec lui en 2022-23 sur l’album Love.

L’étau se resserre autour de la star dont le nom a été cité à de nombreuses reprises au cours d’enquête non élucidées, comme celle de la mort de Tupac Shakur, superstar du rap abattue dans sa voiture à Las Vegas en 1996.

D’autres noms de célébrités sont cités autour de ce sombre dossier, en tant que complice : du prince Harry à Jay-Z, impossible pour le moment de faire la lumière.

À 54 ans, Diddy nie en bloc : « Des allégations écœurantes ont été portées contre moi par des individus à la recherche d’un salaire rapide. Laissez-moi être absolument clair : je n’ai fait aucune des choses horribles qui sont alléguées. Je me battrai pour mon nom, ma famille et pour la vérité ».

Ce mardi, son avocat Aaron Dyer a dénoncé un « usage excessif flagrant de la force armée », « cette embuscade sans précédent – associée à une présence médiatique coordonnée – conduit à un jugement prématuré de Monsieur Combs ».

La statue hommage à Kobe Bryant fait un gros flop

On se souvient de la statue complètement ratée, sur l’île de Madère, pour rendre hommage à la carrière fantastique de Cristiano Ronaldo. C’est encore une histoire de statue, mais cette fois, elle est ressemblante, et c’est déjà pas mal.

À Los Angeles, tous les fans des Lakers souhaitaient avoir un monument mythique pour se souvenir de Kobe Bryant, décédé tragiquement le 26 janvier 2020, dans un accident d’hélicoptère, en présence d’une de ses filles. C’est chose faite depuis début février. Sauf que certains ont été regarder de plus près… Aïe.

Si cette statue de la légende des Lakers, quintuple champion NBA, double champion olympique, reproduit bien la mimique index levé de l’ex numéro 8 et numéro 24, des détails sont désolants.

Le 22 janvier 2006, Kobe Bryant inscrivait 81 points avec les Los Angeles Lakers face aux Toronto Raptors. Un moment d’histoire du sport mondial. Pour la mémoire, les Lakers ont donc voulu reproduire sur le côté de la statue, devant la Crypto.com Arena, la feuille de match de cette folle rencontre. Le problème, c’est que plusieurs fautes sautent aux yeux.

Un ex-joueur des Lakers, Von Wafer, a été rebaptisé « Wom Wafer ». Chez les Raptors, José Calderon est devenu « José Calderson ». Et quand on aperçoit la liste des joueurs non entrés en jeu sur « décision » de l’entraîneur, on peut lire « decicion » avec deux c… Ça la fout mal.

Selon le porte-parole des Lakers, la franchise n’aurait pas attendu les moqueries des réseaux sociaux pour agir et il est prévu que des modifications soient rapidement apportées.

Si rigoureux et travailleur, Kobe Bryant appréciera. De là-haut. Il y a six ans, il remportait d’ailleurs un Oscar, celui du meilleur court-métrage d’animation avec « Dear Basketball ».