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Consternant, le PSG n’a pas inquiété Arsenal un seul instant (2-0)

Un monde d’écart. Alors que cela n’aurait absolument pas dû être le cas. Un coach figé sur ses idées, incapable de relancer son équipe, un manque criant d’attaquant de surface et de variété dans le jeu, et voilà le PSG en mauvaise posture en Ligue des Champions.

Vainqueur difficilement de Gérone il y a quinze jours, Paris s’offrait une belle affiche ce mardi soir à l’Emirates Stadium d’Arsenal. Une affiche, le match n’en avait que le nom. 90 minutes à sens unique pour les Anglais de Mikel Arteta (2-0).

Privé d’Ousmane Dembélé, mis à l’écart pour « mauvaise conduite envers l’équipe » d’après Luis Enrique, le PSG n’a pas existé une minute. Ballotés, les Parisiens ont vite couru après le score. En retard au marquage, inoffensif devant, ils ont encaissé des buts d’Havertz puis Saka en première période. Certains accuseront le manque de réactivité de Gigi Donnarumma, mais c’est toute l’équipe, et le coach, qui ont été à côté de la plaque.

Avec Kang-In Lee ou Désiré Doué en faux numéro 9 -une curiosité-, la redoutable défense d’Arsenal (Calafiori, Saliba, Gabriel) s’est amusée. Bien muselé, Bradley Barcola n’a été que l’ombre de celui que certains présentent comme la nouvelle star de la Ligue 1. Il reste encore du travail…

Le PSG est 18e sur 36 après deux journées. Vainqueur de Salzburg 0-4 en Autriche, Brest est co-leader ! La seconde moitié des équipes jouera ce mercredi. Lille reçoit le Real Madrid à 21h.

Finale de la Ligue des Champions 2027 à Marseille ? Jibrayel dit oui, les supporters y croient fort

Le stade San Siro/Giuseppe Meazza ne sera pas celui de la finale de la Ligue des Champions 2027. Initialement choisie, la ville de Milan laisse sa place. Car le chantier du futur grand stade de la ville n’est pas assez précis pour garantir la bonne tenue de la finale de la plus prestigieuse des Coupes d’Europe de football.

Exit San Siro, place à l’Orange Vélodrome (qui aura d’ici là changer de naming) en 2027 ? Les supporters de l’Olympique de Marseille y croit. S’il y a bien un peuple de football en France, c’est à Marseille. Après la victoire en finale en 1993, revivre de telles émotions, même via d’autres clubs, serait assez symbolique. Sauf si Paris venait à se hisser à ce stade de la compétition dans 3 ans, bien sûr…

Alors que l’UEFA a annoncé mardi 24 septembre que la finale de la Ligue des Champions 2027 ne se tiendrait pas à Milan, l’adjoint au maire chargé des sports, Sébastien Jibrayel, a sauté sur l’occasion pour que la ville se porte candidate. Et tous les Olympiens se mettent à défendre la candidature du stade Vélodrome. Un projet soutenu bien sûr par le maire Benoît Payan.

Un tweet sous lequel il n’a pas permis aux tweetos de répondre. Mais nombreux sont ceux à avoir posté des messages sur le sujet dans la foulée.

L’élu s’est confié au Méridional : « Ce serait une consécration. Marseille est une ville qui vibre pour le football, même si d’autres sports y sont pratiqués. Depuis mon tweet, j’ai reçu une avalanche de messages de supporters, me disant : ‘C’est notre rêve, d’avoir la finale de la Ligue des Champions dans notre stade !’. Ce serait la réalisation d’un rêve collectif, celui de voir cette finale se dérouler au Vélodrome. » Un bon point pour amorcer le lobbying auprès de l’UEFA ?

Certains supporters de l’OM, plus rêveurs que d’autres, s’imaginent même en finale ce jour-là… Ce sera difficile à réaliser, 3 saisons nous séparent seulement de l’événement. Le gap à combler avec les grandes équipes européennes semble encore bien trop élevé. Mais rien n’est impossible dans le football. On a toujours le droit de rêver.

D’autant que pour ceux qui ont suivi en détails tout ce qui se trame en coulisses concernant la cession du club (cf. l’enquête), les parties concernées (issues du consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite), avec qui Entrevue a pu s’entretenir, semblent toujours confiantes pour qu’une officialisation puisse enfin se faire dans les mois à venir. Il en va de la survie de la Ligue 1 et du grand renouveau de l’OM.

Maghnes Akliouche interviewé par Thierry Henry : la curieuse séquence sur CBS

Quand Thierry Henry, consultant pour la chaîne anglaise CBS, interviewe son ex-joueur de l’équipe de France olympique Maghnes Akliouche, cela laisse place à une séquence entre sourires et malaises...

Remarquable buteur face au FC Barcelone, jeudi soir au stade Louis II, dans la victoire de l’AS Monaco en Ligue des Champions (2-1), le milieu offensif international espoir Maghnes Akliouche n’en finit plus d’impressionner.

Après la rencontre, où il aurait pu être l’homme du match à la place du dernier buteur George Ilenikhena, Maghnes Akliouche a répondu aux questions de CBS Sports.

Sur le plateau, en compagnie de Jamie Carragher et Micah Richard, Thierry Henry est situé juste à côté de la présentatrice Kate Abdo, qui lui confie l’interview de son ancien joueur.

On sent alors que ce n’est pas spécialement préparé : « quelles émotions as-tu ressenti quand tu as inscrit ton but ?« , « quel est l’objectif de la saison de l’AS Monaco ?« , « est-ce que tu penses que tu peux aller chercher les 10 buts cette année ?« … Thierry Henry a endossé d’un peu trop près le costume de journaliste. Et un peu moins celui de consultant spécialiste.

Des questions qui appelaient des réponses bateau. Même le joueur de 22 ans a paru un peu désabusé, rentrant dans des poncifs sans intérêt. Son langage corporel faisait office de réponse.

La seule question vraiment intéressante est finalement venue de Kate Abdo : « comment était Thierry Henry comme entraîneur ?« . De quoi faire sourire le plateau.

PSG 1-0 Gérone : Paris dominateur et vainqueur in extremis (Ligue des Champions)

Cette deuxième soirée de Ligue des Champions de la semaine a réservé quelques surprises. Le Paris-Saint Germain a eu toutes les peines du monde à inscrire un petit but au Parc des Princes pour vaincre l’équipe espagnole surprise de la saison dernière, Gérone. Alors que Manchester City a été accroché sur son terrain par l’Inter Milan (0-0). Le Borussia Dortmund s’en sort facilement à Bruges (0-3).

Certains pourront parler de victoire miraculeuse tant elle s’est dessinée en toute fin de match, d’autres estimeront que Paris a largement mérité ses 3 points. Deux lectures possibles de ce premier match de Ligue des Champions nouvelle formule.

Largement dominateurs en termes d’occasions de buts, 22 contre 3 pour les Espagnols, les Parisiens de Luis Enrique ont manqué parfois de rythme, parfois de réussite (à l’image de Bradley Barcola et Ousmane Dembélé), parfois d’un attaquant de surface (Asensio est d’ailleurs sorti sur blessure avant la pause).

Quand on possède de fantastiques dribbleurs, que ce sont les ailiers du Paris-SG, on sait que les trouver dans un mauvais soir est une possibilité. Le dribble n’est pas une science exacte. Rien n’allait vraiment pour les deux compères mercredi soir face à Gérone. Dribbles manqués, tirs arrêtés par le portier adverse ou par la barre transversale, contre-attaque très mal gérée à la 54e minute de jeu…

Au lieu de s’excentrer légèrement pour décaler ensuite son coéquipier, Ousmane Dembélé fonce dans l’axe et s’emmêle les pinceaux pour finalement être repris sans même avoir tiré au but… Rageant.

Dans le jeu, Paris continue de montrer un visage intéressant, même si l’opposition Ligue des Champions lui montre que la Ligue 1, encore une fois, ne l’aide pas à s’étalonner chaque week-end.

Alors que l’on entamait les arrêts de jeu, il a fallu finalement une grossière faute de main de Gazzaniga, le gardien argentin de Gérone, consécutive à un centre tendu de Nuno Mendes pour délivrer le Parc des Princes (1-0, 90e). Paris prend les trois points. C’est l’essentiel dans ce nouveau championnat européen où les places qualificatives directement pour les 8e de finale seront chères.

Après Lille, battu par le Sporting Portugal (2-0) mardi, et le PSG mercredi soir, c’est au tour de Monaco, face au FC Barcelone (jeudi, 21h) et à Brest, à Guingamp face à Sturm Graz (18h45) d’entrer en lice, ce soir.

Ligue des Champions, J1 : Lille battu logiquement, Mike Maignan blessé, Kylian Mbappé et Michael Olise buteurs et vainqueurs

Drôle de première soirée de Ligue des Champions pour les Français. Si Lille a perdu sur la pelouse du Sporting Lisbonne (Portugal), après avoir été réduit à 10 en première période, Michael Olise et Kylian Mbappé ont marqué. Mike Maignan, lui, s’est blessé.

La blessure du capitaine du Milan et taulier de l’équipe de France de football inquiète. Sorti en mettant sa tête dans son maillot, le portier français avait la mine des mauvais jours. Si rarement fautif, il l’a été sur les deux buts adverses.

Touché dans un duel maladroit avec son défenseur (Tomori), le gardien semblait vraiment souffrir au moment de sortir de la pelouse à la 51e minute de jeu. Et pour couronner le tout, son Milan a été battu sur sa pelouse de San Siro (1-3) par Liverpool. Mauvais départ.

Du côté de Santiago Bernabeu, le Real Madrid s’est fait peur. Accroché longtemps par les Allemands de Stuttgart, ils s’en sont remis à une magnifique passe en profondeur d’Aurélien Tchouaméni pour le Brésilien Rodrygo. Ce dernier a offert le but sur un plateau à Kylian Mbappé, qui marque là son premier but en Champions League avec le club merengue.

Entré en jeu quelques minutes seulement, le Brésilien Endrick s’est encore illustré, remontant tout le terrain et inscrivant son premier but en Ligue des Champions pour sceller la victoire, 3-1.

À noter l’exploit d’Harry Kane en cette première journée de Ligue des Champions nouvelle formule, auteur d’un quadruplé avec le Bayern. Le Français Michael Olise a brillé lui-aussi, marquant ses deux premiers dans cette compétition qu’il découvrait ce soir. Le Bayern Munich a étrillé Zagreb 9 buts à 2 !

Comme attendu, Lille n’a rien pu faire sur la pelouse du Sporting (2-0), équipe en forme de ce début de saison, menée par le Suédois Gyokeres, un des meilleurs attaquants actuels. Ce dernier n’a pas manqué de se faire remarquer, ouvrant le score avec malice au coeur d’une défense bien naïve. C’est déjà son 9e but de la saison…

Suite de cette première journée de Ligue des Champions ce mercredi soir, avec notamment PSG-Gérone au Parc des Princes, et Manchester City-Inter Milan à l’Etihad Stadium.

Ligue Europa : Tirage intéressant pour l’Olympique lyonnais et Nice

Après le rude tirage au sort de la Ligue des Champions, nouvelle formule, deux autres clubs français attendaient de savoir à quelle sauce ils allaient être mangé, en Ligue Europa, ce vendredi midi.

Là aussi, un groupe d’équipe élargi, un tirage au sort informatique et on découvre les 4 adversaires à domicile et 4 adversaires à affronter à l’extérieur. Les Coupes d’Europe retrouvent force et suspense cette saison. Avec son lot d’affiches chaque semaine.

Les deux clubs français engagés dans la deuxième Coupe d’Europe, Lyon et Nice, tombent sur des matchs de beau standing. Mais la qualification reste totalement envisageable.

Comme on l’évoquait en suivant le tirage en direct ensemble dans le Dèj Foot ce midi, Lyon recevra Francfort (Allemagne), l’Olympiacos (Grèce), Ludogorets (Roumanie) et le Besiktas (Turquie). Et se déplacera chez les Glasgow Rangers (Ecosse), sur la pelouse du Fenerbahce (Turquie), du Qarabag (Azerbaïdjan) et d’Hoffenheim (Allemagne).

Pour l’OGC Nice, scénario un tout petit peu plus clément. Réceptions des Glasgow Rangers (Ecosse), de la Real Sociedad (Espagne), de Bodo Glimt (Norvège) et de Twente (Pays-Bas). Déplacements à Rome (Lazio, Italie), au Ferencvaros (Hongrie), face à l’Union Saint Gilloise (Belgique) et Elfsborg (Suède).

Tirage au sort Ligue des Champions : missions (très) difficiles pour les 4 clubs français

Avec la nouvelle formule de la Ligue des Champions, il fallait s’attendre à tout au moment du tirage au sort, ce jeudi, à Monaco. Et les quatre clubs français en lice (c’est historique) n’ont pas été spécialement gâtés. Loin de là.

La nouvelle ère. Ligue des Champions nouveau format, 36 équipes engagées, 8 matchs aléatoires, 4 à domicile, 4 à l’extérieur, 8 équipes qualifiées pour les 8e de finale, les 16 suivantes emmenées en play-offs…

Et il va falloir batailler dur, chaque semaine, pour les clubs français. Car les affiches seront souvent grandioses. À commencer par le Paris-SG, pas épargné par l’Intelligence Artificielle (IA) au tirage.

Sous les yeux de Cristiano Ronaldo, le PSG, représenté par Nasser Al-Khelaifi et Luis Campos, a vu de prestigieux adversaires lui être attribués : à domicile, les Parisiens affronteront Manchester City (Angleterre), l’Atlético de Madrid (Espagne), Gérone (Espagne) et le PSV Eindhoven (Pays-Bas). À l’extérieur, ce sera Arsenal (Angleterre), le Bayern Munich (Allemagne), le RB Salzburg (Autriche) et Stuttgart (Allemagne).

Le calendrier détaillé sera dévoilé samedi.

Pour les trois autres clubs français, ce sera également délicat… La qualification parmi les huit premiers  du classement paraît déjà non envisageable. Pour le reste, à eux de réaliser des exploits.

Deuxième de Ligue 1 la saison dernière, l’AS Monaco retrouve les joies de la grande Coupe d’Europe, avec de très belles affiches et de l’ambition. Le Stade Louis II accueillera le FC Barcelone (Espagne), Benfica (Portugal), l’Etoile Rouge de Belgrade (Serbie) et Aston Villa (Angleterre). Les Monégasques iront sur la pelouse de l’Inter Milan (Italie), d’Arsenal (Angleterre), du Dinamo Zagreb (Croatie) et de Bologne (Italie).

Troisième de Ligue 1 la saison dernière, mais désormais en grandes difficultés, le Stade Brestois devra profiter de ces moments uniques : réceptions au Roudourou (Guingamp) du Real Madrid (Espagne), du Bayer Leverkusen (Allemagne), du PSV Eindhoven (Pays-Bas) et Sturm Graz (Autriche). Déplacements à Barcelone (Espagne), à Donetsk (Ukraine), à Salzbourg (Autriche) et à Sparta Prague (République Tchèque).

Quant aux Lillois, le spectacle va également être historique pour eux, notamment avec la réception du Real Madrid de Kylian Mbappé (ce qui permettra à son petit frère Ethan de le retrouver en tant qu’adversaire), réception également d’une solide Juventus Turin (Italie), du Feyenoord Rotterdam (Pays-Bas) et de Sturm Graz (Autriche). Déplacements périlleux à Liverpool (Angleterre), chez Griezmann et l’Atlético de Madrid (Espagne), à Bologne (Italie) et au Sporting Portugal.

Tirage au sort Ligue des Champions nouvelle formule à 18h : tout savoir sur les nouveautés pour le PSG, Lille, Brest et Monaco

Nouvelle formule, hymne revisité, suspense accru… La Ligue des Champions est de retour et compte ravir les fans de football. Le tirage au sort de la nouvelle phase de poule unique a lieu ce jeudi à 18 heures. Découvrez le mode de fonctionnement pour l’UEFA Champions League, l’Europa League et la Conference League à partir de cette rentrée 2024/25.

Le tirage au sort de la phase de ligue de la Champions League 2024/25 a lieu au Grimaldi Forum, à Monaco, à partir de 18 heures. C’est le moment tant attendu pour les quatre clubs français engagés, chiffre historique.

Le PSG, Lille, Brest et Monaco vont connaître leurs adversaires. Le nouvel hymne, très proche de l’ancien, devenu mythique, fait déjà beaucoup parler sur les réseaux sociaux.

Voici le mode d’emploi de ce nouveau format de la plus belle des Coupes d’Europe. Pas de panique si vous ne voyez pas arriver les sortes de saladier transparents, annonciateurs d’une longue (et ennuyeuse) cérémonie de tirage au sort. Pas de risque de « boule chaude » ou « boule froide », cette fois, c’est l’intelligence artificielle qui choisira les adversaires des différents clubs de façon aléatoire.

Pour le « show », il y aura bien quelques personnalités sur scène, quelques boules aussi, mais tout sera contrôlé par l’informatique. Cela devrait donc durer environ 35 minutes, au lieu de 4 heures… Merci !

La nouvelle formule est en fait un championnat unique à 36 équipes. Chaque équipe rencontrera 8 adversaires pour démarrer la compétition. Quatre matchs à l’extérieur, quatre matchs à domicile.

Les 36 équipes sont réparties en quatre chapeaux de neuf. Chaque équipe aura donc deux matchs face à deux équipes de chaque pot, un à domicile et un à l’extérieur.

Pas d’affrontement entre équipes d’un même pays. Et impossible de jouer plus de deux adversaires d’un même pays. Exemple : Si le PSG doit jouer Liverpool et Arsenal, il ne pourra pas tomber aussi sur Manchester City et Aston Villa parmi leurs huit matchs.

Le calendrier des rencontres ne sera connu que samedi, afin de coordonner les agendas des trois compétitions. Car des matchs de Ligue des Champions auront aussi lieu le jeudi lors de la première journée… L’idée de base étant que les supporters puissent voir un maximum de « chocs » entre grosses équipes à chaque journée.

Qui dit poule unique à 36 équipes dit beaucoup de matchs et beaucoup de déçus. Les 12 derniers de ce championnat verront la fin définitive de leur parcours européen. Ils ne seront pas reversés en Europa League ou Conference League.

Les huit premiers seront directement en huitièmes de finale, en mars. Entre la 9e et la 24e place, les équipes s’affronteront en play-offs, sortes de 16e de finale.

Quatre matchs à domicile, au lieu de trois, plus d’affiches au sommet, huit adversaires différents… Place au spectacle. Grande finale prévue le 31 mai à Munich (Allemagne).