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Exclusion de Balerdi (OL 2-3 OM) : De Zerbi et Benatia pas d’accord

Très virulent envers l’arbitre M.Bastien à la mi-temps puis après la rencontre au micro de DAZN, le directeur sportif de l’OM, Mehdi Benatia, a beaucoup plu à ses propres supporters. Mais l’entraîneur Roberto De Zerbi, lui, estime que le carton rouge de Leonardo Balerdi est mérité.

Mehdi Benatia nouveau « chien de garde » de l’institution marseillaise. Depuis des années, l’OM se cache lorsqu’il faut aller se plaindre aux instances, contester une décision ou se défendre. Choses que chaque grand club sait faire régulièrement en cas de litiges.

Le directeur sportif de l’Olympique de Marseille, arrivé fin 2023, a cette fois grondé fort l’arbitre de l’Olympico OL-OM. En cause, l’exclusion après 5 minutes de jeu du défenseur central argentin et capitaine Leonardo Balerdi. Pour lui, avec les ralentis, il n’y avait finalement pas faute du défenseur mais tirage de maillot excessif d’Alexandre Lacazette. À vitesse réelle, compliqué à juger mais avec les images, on lui accorde volontiers.

Sauf que Leonardo Balerdi avait déjà pris un carton jaune pour un tacle violent à la 15e seconde de jeu. Le second jaune lui a été fatal. Et tout le scénario de ce match au sommet s’en est trouvé modifié. Avec un grand spectacle final.

En conférence de presse d’après match, l’entraîneur italien, Roberto De Zerbi, n’a pas cherché à enfoncer l’arbitre. Au contraire, il estime que « la rencontre a été conditionnée par l’exclusion de Balerdi. Une exclusion justifiée à mon sens. On lui dédie cette victoire car c’est notre capitaine. Il sait qu’il a commis une erreur, mais on ne l’abandonne pas. »

Un message clair et net de soutien à son capitaine. Et qui met fin à la polémique de l’arbitrage ? Pas forcément, tant Alexandre Lacazette semblait hors jeu sur l’action du penalty accordé à l’Olympique lyonnais en fin de première période.

L’OM est leader, à égalité de points avec Monaco et le Paris-Saint Germain. L’OL est 14e.

Grand debrief du week-end football ce lundi 12h30 en direct, streaming sur Twitch, X, TikTok et Kick avec le journaliste d’Entrevue Thibaud Vézirian.

@thibaudvezirian

#OLOM classico du tonnerre ! #DeZerbi et #Benatia pas d’accord sur le rouge de #Balerdi ! Et toi ? #footballtiktok #olympico #pourtoi

♬ son original – TV

Impressionnant, l’OM enfonce l’OL à 10 contre 11, scénario totalement fou (2-3)

Quelles émotions foot. Cet Olympico a tenu toutes ses promesses. Malgré sa supériorité numérique pendant 85 minutes, l’Olympique lyonnais n’a pas été capable d’obtenir la victoire face à l’OM. Pire, Marseille est venu finalement gagner au Groupama Stadium. Incroyable vu le scénario du match.

Quel spectacle en clôture de la 5e journée de Ligue 1. Une journée qui avait démarré par les 8 but de l’OGC Nice face à Saint Etienne. Elle se termine par un choc OL-OM de toutes les folies.

Dés le début du match, 15 secondes à peine, le capitaine phocéen Léonardo Balerdi commet une grossière faute, via un tacle à retardement. Carton jaune, presque rouge. Coutumier des fautes et des erreurs compromettantes pour son équipe, l’Argentin récidive en ceinturant Alexandre Lacazette à la 5e minute de jeu. Au ralenti, on voit que l’attaquant de l’OL joue bien le coup en tenant le maillot du défenseur. Mais c’est rouge ! L’OM se demande bien comme il pouvoir gérer ce match.

Mais ces Olympiens 2024-25 ont décidément de la ressource. L’énergie transmise par leur coach Roberto De Zerbi paraît communicative. À tel point que ce sont eux qui se procurent les deux très belles occasions de la première période. Valentin Rongier voit son tir dévié en corner par Lucas Perri puis Corentin Tolisso sauve sur sa ligne un tir d’Ismaël Koné. Ça chauffe… Dans les deux sens.

Dans les arrêts de jeu de la première période, Alexandre Lacazette sert Corentin Tolisso au deuxième poteau. Sa remise de la tête est stoppée par un bras mal placé de Valentin Rongier. C’est un penalty. La VAR ne reviendra pas sur le hors-jeu qui semble évident du capitaine de l’OL. Comme il y a une justice dans le football (parfois), Géronimo Rulli part du bon côté et repousse le tir du Lyonnais ! C’est fou. Et ce n’est pas fini.

Cette erreur d’arbitrage rend fou les dirigeants olympiens, notamment Mehdi Benatia virulent dans les couloirs à la pause.

0-0 à la pause… Mais il fallait rester devant son écran. Le scénario magique de cette rencontre au sommet reste encore à écrire.

Quand l’ex-Marseillais Duje Caleta-Car ouvre le score de la tête (53e), l’OL pense avoir fait le plus dur. L’OM est à 10 depuis près de 50 minutes, déjà. Et Lyon accumule les occasions. Sauf que cet OM a de la ressource.

En faisant entrer Pol Lirola, Roberto De Zerbi ne pouvait pas se douter que l’Espagnol, comme perdu pour le foot depuis deux saisons, allait être le sauveur providentiel (1-1, 69e). Sur un remarquable travail de Pierre-Emile Højbjerg puis de Luis Henrique, le latéral vient piquer son ballon devant Lucas Perri. Incroyable.

Quelques minutes plus tard, un autre buteur improbable s’improvise héros marseillais de la soirée. Ulisses Garcia, le latéral suisse si peu utilisé et même mis dans le loft cet été, vient battre le portier brésilien contre toute attente. Un tir curieux, avec rebonds. À 11 contre 10, l’OL laisse des espaces dingues et se fait transpercer (1-2, 82e).

Mais il reste du temps aux Lyonnais et leur armada offensive pour revenir. C’est Rayan Cherki qui fait exploser le Groupama Stadium dans les arrêts de jeu, d’une déviation au premier poteau (2-2, 92e). Lyon a limité la casse… Pas si vite. Alors que les équipes vont se quitter dos-à-dos, l’improbable se produit.

L’Anglais Jonathan Rowe vient récupère un ballon consécutif à un très mauvais dégagement de Lucas Perri, il se faufile entre les défenseurs et décoche un tir qui finit petit filet opposé ! L’OM l’a fait. Avec un coeur énorme. Un match qui restera dans l’Histoire de cette saison de Ligue 1.

Humiliation totale : Nice fête ses 120 ans en inscrivant 8 buts à l’AS Saint Étienne !

Soirée d’anniversaire magique pour l’OGC Nice. Avec un résultat historique. Ce n’est plus une claque, ni une déculottée, mais une humiliation totale qu’ont infligé les Aiglons aux Stéphanois (8-0). Un score fleuve pour lancer cette 5e journée de Ligue 1 qui se terminera par l’Olympico, dimanche soir, OL-OM.

Nice avait promis un jeu plus offensif avec l’arrivée de Franck Haise sur le banc, en début de saison. C’est finalement un festival auquel ont eu droit les supporters de l’Allianz Riviera pour ce match face aux Verts de Saint Etienne.

Deux buts en 7 minutes, le ton était donné. De la réussite d’un côté, des cadeaux de l’autre. Des espaces fous au coeur du jeu stéphanois. Tanguy Ndombélé, de retour en L1 après avoir pas mal erré à l’étranger, signe le but du 2-0, bien seul et pas attaqué dans la surface (7e). Ce but résume le début de match surréaliste de l’ASSE.

Tous les joueurs offensifs, ou presque, se sont régalés et ont marqué pour les rouges et noirs. 120 ans, ça se fête, alors Youssoufa Moukoko s’est offert son premier doublé en L1. Mohamed Ali Cho a régalé et lui aussi marqué son petit but d’une frappe sublime.

Evan Guessand, parfois décrié, se faufile dans la défense (fantôme) et réalise un petit festival. Les Verts ont coulé un par un, individuellement et collectivement. Sans être capable de se réveiller.

Forcément, une telle contre-performance pause la question du maintien en poste de l’entraîneur des Verts, Olivier Dall’Oglio. Avant la suite de cette 5e journée, Saint Etienne est 16e avec 3 petits points et une différence de buts de -14 !

Nice a frappé un grand coup. 5 buts après 30 minutes de jeu, puis 6-0 à la pause. Jeu, set et match, déjà. Mais les Aiglons ne se sont pas arrêtés là. Saint Etienne ne réagira jamais. Aucun sursaut d’orgueil. Sofiane Diop puis Rosario, sur penalty, finiront le travail (8-0, 86e).

Côté statistiques : jamais Saint Etienne n’avait subi une telle déconvenue depuis un 9-0 en 1951-52. En 1957-58, Nice l’avait emporté par une telle marge face à Sedan…

Les supporters de Saint Etienne, eux, ont quitté le stade avant même la mi-temps. Les Verts joueront le dimanche 29 septembre à Nantes dans le cadre de la 6e journée. L’opération rachat passe par-là.

Un joueur de Liverpool veut racheter le FC Nantes ! Waldemar Kita ouvre la porte ?

Et si le FC Nantes était le prochain club de Ligue 1 a changé de propriétaires ? Depuis plusieurs saisons, via un marasme économique général, tous les clubs de L1 (ou presque) sont à vendre. Dans le journal L’Equipe, ce vendredi, on apprend que le club de Waldemar Kita serait sensible aux avances d’un grand joueur anglais.

Trent Alexander-Arnold en future propriétaire du FC Nantes ? C’est la rumeur qui fait parler dans le monde du football. D’après les informations de Bernard Lions pour L’Equipe, c’est via le fonds d’investissement londonien créé par son père, Michael, que le défenseur de Liverpool et de l’équipe d’Angleterre aurait émis une offre auprès de Waldemar Kita.

Après plusieurs rendez-vous, les Anglais auraient formulé une offre orale de 100 millions d’euros, accompagnée de 40 millions d’euros de bonus. Si les médias anglais doutent de la véracité de l’offre, après s’être entretenus avec des proches du joueur, Entrevue est en mesure de confirmer que ces chiffres correspondent à ce qu’en espère le clan Kita depuis plusieurs saisons.

En effet, plusieurs hommes d’affaires français ou étrangers se sont déjà manifestés auprès du FC Nantes pour connaître les prétentions financières. L’un d’eux nous a confié qu’il estimait la valeur du club à « environ 80 millions d’euros, pas plus« . Les sommes demandées, environ 100 millions d’euros, lui ont semblé bien vite rédhibitoires.

Le numéro 66 et capitaine de Liverpool serait donc en pôle pour ce rachat ? Ou alors certaines sources proches du club nantais ont-elles tenté de faire parler de la vente pour attirer de riches investisseurs ? C’est un sujet évoqué largement ce midi dans l’émission Le Dèj Foot sur Twitch. En plaçant la barre autour de 100-140 millions d’euros, le prix continue en tout cas de faire sourire dans le milieu des affaires.

Si tel est le futur prix de vente, ce serait alors un coup de maître. D’autant plus vu la situation de la L1, entre droits TV à la baisse et spectacle dégradé, avec le départ des stars internationales.

Propriétaire depuis 2007 d’un FC Nantes aux abois sportivement, souvent à la limite de la relégation, Waldemar Kita vient de quitter son poste au sein du conseil d’administration de la Ligue de Football Professionnel (LFP). Est-ce un signe qui montrerait que l’homme d’affaires souhaite s’éloigner du monde du football ? Un monde où il a toujours été ciblé négativement par ses propres supporters. A-t-il été une seule saison en odeur de sainteté parmi les amoureux des Canaris ? Difficile à dire.

L’Equipe du vendredi 20 septembre 2024

« Un jour Adrien Rabiot va revenir avec une équipe et va leur faire mal (au PSG) » : le voilà à l’OM !

Adrien Rabiot doit arriver en début de soirée à l’aéroport de Marignane. Il passera mardi sa visite médicale, préalable à l’officialisation de son transfert à l’Olympique de Marseille.

C’est un coup de tonnerre pour l’OM et pour la Ligue 1. Le milieu international français de 29 ans, Adrien Rabiot, va s’engager dans les prochaines heures avec l’Olympique de Marseille, ennemi juré du PSG, club où il a été formé.

Sur les réseaux sociaux, les débats sont enflammés au sujet de l’ex-milieu parisien : est-il vraiment un supporter de l’OM depuis son tout jeune âge, comme l’avait dévoilé So Foot ? Va-t-il relancer sa carrière alors qu’il atteint l’âge de son prime ? Sera-t-il apte physiquement pour le classico du 27 octobre ? Sans aucun doute.

De nombreuses images ressortent sur les comptes de supporters sur X : notamment celles ci-dessous où les ultras du Collectif Ultras Paris (CUP) demandent à Adrien Rabiot de « rester avec nous », « t’es un p***** de Parisien, t’as ça dans le sang !« … Pas vraiment…

En tout cas, c’est Hatem Ben Arfa, lui aussi passé par le PSG et l’OM qui a joué les devins au sujet de la carrière d’Adrien Rabiot. Déjà en 2019, « HBA » insistait pour dire qu' »un jour Adrien Rabiot va revenir avec une équipe et va leur faire mal« . Premier élément de réponse le dimanche 27 octobre pour le classique de feu OM-PSG, à l’Orange Vélodrome.

Hatem Ben Arfa, parti lui-aussi en mauvais termes avec le président du PSG, avait aussi déclaré : « Dans la vie comme je l’ai dit, par rapport au président du PSG, il ne faut jamais sous-estimer son adversaire, un jour il revient, il est plus fort. Il faut toujours respecter l’humain.« 

Puis : « Quand on ne le respecte pas, à un moment donné, tu le paies. Et je pense qu’Adrien Rabiot va revenir un jour avec une équipe et va leur faire mal. Parce que c’est la vie. Quand tu donnes le mauvais, tu reçois le mauvais. On doit respecter l’être humain.« 

On se souvient qu’Adrien Rabiot avait rejoint la Juventus Turin en 2019 dans des circonstances chaotiques. En fin de contrat au PSG, son refus de prolonger lui avait valu six mois hors de terrain, mis au ban par la direction parisienne.

Plus d’informations sur la venue d’Adrien Rabiot à l’OM dans l’émission Le Dèj Foot, sur Twitch/X/Kick et TikTok en direct de 12h30 à 14h30.

Piratage, salaire et gestion moins solitaire : comment Vincent Labrune veut transformer la LFP

Si Vincent Labrune a été réélu pour 4 ans avec plus de 85% de voix en sa faveur, le président de la Ligue de Football Professionnel (LFP) annonce avoir entendu la large vague de contestations qui s’est étendue depuis des semaines.

Dans son premier discours d’après réélection, Vincent Labrune a d’emblée insisté sur plusieurs chantiers prioritaires. Le premier, très symbolique, est celui de son salaire. Fixé à 1,2M€ par an, il a toujours fait jaser jusque dans les instances. Le boss de la LFP a indiqué que « la première (priorité), c’est la baisse des charges« . Un problème bien français, plus large que le seul football hexagonal.

« Celui qui doit donner l’exemple, c’est le président de la LFP qui lui aussi devra faire des gestes importants en termes de révision à la baisse de sa rémunération. » Reste à savoir dans quelle proportion son salaire sera révisé.

Son adversaire nettement battu, Cyril Linette, avait annoncé vouloir baisser le salaire du président de la LFP de 50% en cas d’élection.

Autre sujet repris avec fermeté devant les caméras par Vincent Labrune : le piratage, « la priorité absolue à très court terme« . Vaste débat, tant les instances ont toujours des années de retard sur les pirates. L’industrie de la musique a mis 10 ans à courir après les fraudeurs avant de lancer au bon prix avec la majorité des contenus des plateformes comme Spotify ou Deezer. Depuis, le piratage musical est retombé à des niveaux « acceptables« . Le monde médiatique ne semble pas encore prêt à cela.

« Dès demain, on va s’attaquer au piratage sans peur sur tous les terrains : médiatique, politique, juridique. Le piratage c’est comme voler le sac d’une vieille dame sur un marché. Ici, on trouve normal que des médias expliquent comment un IPTV marche » », détaille Vincent Labrune. De belles paroles qui semblent difficilement suivies de faits. L’abonnement à DAZN reste cher pour le marché français, vu le contenu proposé en échange (basket français, L1 et sports de combat).

« On doit travailler à créer de la valeur ensemble avec DAZN. Donc, dès demain matin, on a prévu un collège Ligue 1 avec l’ensemble des clubs pour voir comment on peut accélérer le succès de cette plateforme. On peut appuyer fort pour la lutte contre le piratage qui est un fléau« , insiste Vincent Labrune.

Que veut-il dire par « appuyer fort pour la lutte contre le piratage«  ? Les leviers pour contrer l’IPTV n’existent pas. Sauf à proposer un prix d’abonnement à la L1 via DAZN à prix très (très) attractif. Pas gagné. Les fans de football en France ont été profondément vexé d’être pris pour des pigeons en ce début de saison. Il va falloir réconcilier tous les acteurs. Les pirates sont intraçables et renouvellent leurs canaux de diffusion sans cesse via Telegram ou d’autres réseaux sociaux. Les défier en frontal pour faire accepter le tarif de la L1 est peine perdue. La visibilité de la L1 est désormais à un niveau le plus bas depuis de nombreuses années.

Autre sujet évoqué par Vincent Labrune juste après sa réélection : « travailler plus ensemble« . Jugé trop solitaire sur certains dossiers, le président de la LFP se veut rassembleur. Et il souhaite convier tous les acteurs principaux du football français à la table afin de prendre les bonnes décisions à court et moyen terme.

Thibaud Vézirian.

Nouvelles images du hors-jeu polémique lors de Lille-PSG (1-3) mais toujours pas de certitude

Le Parisien dévoile ce matin une nouvelle vidéo de la direction de l’arbitrage du football français, sensée prouver que le litige du hors-jeu sifflé contre les Lillois dimanche face au PSG (1-3) est résolu. Pas si sûr.

Alors que le LOSC pousse le PSG dans ses dernier retranchements, Paris ne mène que 1-2 dimanche soir au stade Pierre Mauroy, en clôture de la 3e journée de Ligue 1. Sur une déviation de Thomas Meunier, Tiago Santos bat Gianluigi Donnarumma. Lille exulte et pense avoir égaliser. Pas du tout. L’arbitre, sans aller consulter la VAR, refuse le but. Les arbitres situés dans le camion d’arbitrage vidéo confirment sa décision.

Face au tollé provoqué par cette décision peu convaincante, la direction de l’arbitrage du football français a décidé de divulguer de nouveaux éléments. Si certains estiment que ces images prouvent bien que le Portugais était hors-jeu, rien n’est moins sûr.

Les images proposées par Le Parisien veulent montrer que Tiago Santos est toujours hors-jeu lorsque Thomas Meunier dévie le ballon. Sauf qu’il paraît encore une fois strictement impossible au vu des images d’être certain que la dernière image proposée est celle où le ballon quitte définitivement le pied de Thomas Meunier.

Ainsi, Tiago Santos semble se trouver hors-jeu pour un bout de pied. La précision des images n’est pas assez bonne pour statuer réellement. Mais d’ailleurs, il est temps de se poser la question : est-ce vraiment ça un hors-jeu ? Les plus rigoureux vous diront que oui, « la règle, c’est la règle« …

La règle a été crée dans le football afin d’éviter que les attaquants campent devant le but adverse. Contre l’esprit du jeu. En 2024, nous en sommes à calculer l’épaisseur d’un cheveux afin de savoir si un joueur est en position licite. C’est aberrant que le football en soit encore là.

Rapidement, la FIFA devrait clarifier ces règles, rendre l’avantage aux attaques, ne pas se focaliser sur un bout de pied, un genou, un bout d’épaule pour annuler ce type d’action dangereuse. Place au jeu !

Soirée animée pour Bradley Barcola et les Bleus, à 4 jours du choc face à l’Italie

L’équipe de France retrouve les joies (ou l’ennui) de la Ligue des Nations, ce vendredi, face à l’Italie sur la remarquable pelouse du Parc des Princes. En attendant, les Bleus se sont réunis ce lundi, à Clairefontaine, deux mois après leur échec en demi-finale de l’Euro face à l’Espagne (2-1).

Alors pour relancer la machine bleue ce lundi, quoi de mieux qu’un dîner de fête ? Ainsi, l’équipe de France de football a publié vers 22h30 une vidéo des célébrations du groupe pour les 22 ans de Bradley Barcola.

La nouvelle star de la Ligue 1 (avec Mason Greenwood), déjà buteur à 4 reprises en trois matchs avec le Paris-SG, a dû se lever devant tout le groupe pour souffler ses bougies. Un anniversaire si particulier qu’il s’en souviendra forcément longtemps.

Sous les applaudissements de ses coéquipiers, l’ailier, debout à côté de N’Golo Kanté et Théo Hernandez, a timidement remercié tout le monde et lancé un bref « j’espère qu’on va gagner les deux matchs et voilà...« 

Pas encore tout à fait à l’aise dans l’exercice de prise de parole en public… Rien de grave.