fbpx

Dans la légende du sport, LeBron James accueille son fils Bronny aux Lakers

Une nuit historique dans le sport mondial. À l’occasion de la seconde soirée de la draft NBA, la sélection des meilleurs jeunes joueurs, le vétéran légendaire LeBron James, 40 ans, a reçu un immense cadeau. Les Los Angeles Lakers ont choisi… son fils, Bronny ! Père et fils coéquipiers, du jamais vu.

La draft NBA est une loterie. Mais pas pour tout le monde. Quand votre papa s’appelle LeBron James, c’est un peu différent. Bronny James, 19 ans, a connu deux moments de grâce cette nuit. Sélectionné en 55e position par les Los Angeles Lakers, il va débuter sa carrière dans une franchise mythique. Et comme son illustre père, 39 ans, vient de re-signer pour 3 saisons à L.A., Bronny va donc évoluer aux côtés de LeBron !

Pour cela, rien n’a été simple. Même si Bronny James n’était pas le prospect le plus désiré par toutes les équipes (à la différence de nos Français Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr), il fallait tout de même écarter la concurrence. Les Lakers ne possédaient que le 55e choix de draft… Alors Rich Paul, le célèbre agent de LeBron a dû s’employer. Par la force ?

Pour réunir le premier duo père-fils de l’histoire de la NBA, de surcroit en tant que coéquipiers, l’agent aurait même été jusqu’à proférer des menaces ! « Si vous le prenez à la place des Lakers, j’envoie le petit en Australie ! »

Des menaces qui ont visiblement fonctionné. Puisqu’aucune équipe n’a jugé bon de piquer Bronny aux Lakers. Pas même les ennemis ultimes, les Boston Celtics, pourtant détenteurs du 54e choix.

Côté français, bonne pioche pour Melvin Ajinca, 20 ans, choisi en 51e position par les New York Knicks puis directement envoyé aux Dallas Mavericks, le dernier finaliste NBA. L’ailier de Saint-Quentin est le cinquième et dernier Français drafté cette semaine. Il s’ajoute à la liste composée de Zaccharie Risacher, numéro 1, Alexandre Sarr, deuxième, Tidjane Salaün, sixième, et Pacôme Dadiet, 25e.

La statue hommage à Kobe Bryant fait un gros flop

On se souvient de la statue complètement ratée, sur l’île de Madère, pour rendre hommage à la carrière fantastique de Cristiano Ronaldo. C’est encore une histoire de statue, mais cette fois, elle est ressemblante, et c’est déjà pas mal.

À Los Angeles, tous les fans des Lakers souhaitaient avoir un monument mythique pour se souvenir de Kobe Bryant, décédé tragiquement le 26 janvier 2020, dans un accident d’hélicoptère, en présence d’une de ses filles. C’est chose faite depuis début février. Sauf que certains ont été regarder de plus près… Aïe.

Si cette statue de la légende des Lakers, quintuple champion NBA, double champion olympique, reproduit bien la mimique index levé de l’ex numéro 8 et numéro 24, des détails sont désolants.

Le 22 janvier 2006, Kobe Bryant inscrivait 81 points avec les Los Angeles Lakers face aux Toronto Raptors. Un moment d’histoire du sport mondial. Pour la mémoire, les Lakers ont donc voulu reproduire sur le côté de la statue, devant la Crypto.com Arena, la feuille de match de cette folle rencontre. Le problème, c’est que plusieurs fautes sautent aux yeux.

Un ex-joueur des Lakers, Von Wafer, a été rebaptisé « Wom Wafer ». Chez les Raptors, José Calderon est devenu « José Calderson ». Et quand on aperçoit la liste des joueurs non entrés en jeu sur « décision » de l’entraîneur, on peut lire « decicion » avec deux c… Ça la fout mal.

Selon le porte-parole des Lakers, la franchise n’aurait pas attendu les moqueries des réseaux sociaux pour agir et il est prévu que des modifications soient rapidement apportées.

Si rigoureux et travailleur, Kobe Bryant appréciera. De là-haut. Il y a six ans, il remportait d’ailleurs un Oscar, celui du meilleur court-métrage d’animation avec « Dear Basketball ».