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Des Lyonnais en pleine bourre en terres écossaises, Alexandre Lacazette brille (1-4)

L’OL beaucoup trop fort, ce jeudi soir, en Europa League, pour les Glasgow Rangers. Les Ecossais n’ont pas fait le poids longtemps face au talent de l’Olympique lyonnais, solide vainqueur 1-4. On a constaté un vrai écart entre les deux équipes.

Deux victoires en deux matchs, ils font le job avec sérieux et talent. Dans le sillage du remarquable Malick Fofana, dans tous les bons coups et auteur d’un doublé, ou d’un Rayan Cherki, efficace et déterminant, Lyon s’est fait plaisir à Glasgow, ce jeudi soir, en Ligue Europa. Une victoire nette et (quasi) sans bavure.

Seuls bémols, les sorties sur blessure de Clinton Mata, taulier défensif, et de Nemanja Matic, pierre angulaire du milieu de terrain des Gones. Les examens médicaux en diront plus dans les prochaines heures.

Mais même sans l’expérimenté serbe, les Lyonnais ont agi avec sérénité et panache. Voire parfois avec quelques gestes de grande classe. Comme sur ce but d’Alexandre Lacazette, celui du 1-3, d’un tir somptueux en pleine lucarne. Jack Butland ne peut que constater les dégâts.

Troisième victoire d’affilée toute compétition confondue, du spectacle, des buts, un Lacazette décisif, l’OL a enfin lancé sa saison.

Au classement, après deux journées sur huit, l’OL se positionne en tant que co-leader, aux côtés d’équipes comme Tottenham ou la Lazio de Rome, vainqueur de Nice.

Les Bleus de Thierry Henry en finale des Jeux ! Comme en 1984 !

Ils l’ont fait. À l’arraché. En prolongation. 40 ans que le football français attendait cela. L’Egypte leur a donné du fil à retordre mais l’équipe de France olympique de football s’est qualifiée (3-1). Rendez-vous vendredi, 18h, au Parc des Princes, pour une finale palpitante face à l’ennemi espagnol.

L’équipe de France olympique de football va se mettre au vert. 3 jours à Clairefontaine pour préparer cette finale historique face à l’Espagne dans les meilleures conditions. Thierry Henry tient ses hommes, assument ses choix, varient les entraînements, imposent du jeu et un esprit collectif, le groupe adhère. Le grand public aussi.

Et cela s’est encore vu ce lundi soir, à Lyon devant plus de 50 000 personnes, face à l’Egypte. Pour la première fois de la compétition, la défense française a cédé, à l’heure de jeu (0-1). Un moment de flottement dans les esprits français ? Peut être. Mais ils sont bien vite repartis à l’assaut du but égyptien. La France s’est faite peur mais n’a rien lâché.

Le héros de la soirée se nomme Jean-Philippe Mateta, double buteur. D’abord pour égaliser avant la fin du match (1-1, 83e), puis en prolongation (2-1, 99e), pour ouvrir le chemin vers la finale. Il rôde souvent dans la surface, en impose de la tête et travaille toujours pour l’équipe, un modèle d’altruisme pour un attaquant.

Et quand ce n’est pas Jean-Philippe Mateta ou Alexandre Lacazette, Michael Olisé, la révélation de la compétition, s’y met à son tour. Passeur décisif sur l’égalisation, il délivre le camp français d’un plat du pied efficace (3-1, 108e). L’équipe de Thierry Henry poursuit sa mission or olympique. On y croit fort !

Paris 2024 : Et une, et deux, et trois victoires pour les Bleus de Thierry Henry

Cela pouvait-il mieux commencer ? 3 victoires en 3 matchs pour l’équipe de France de football masculin dans cette phase de poules des Jeux Olympiques Paris 2024. Ce mardi soir, les Bleus se sont imposés 3-0, avec une équipe remaniée, face à la Nouvelle-Zélande.

Dans un stade Vélodrome encore une fois très bruyant, l’équipe de France olympique de football se qualifie pour les quarts de finale. 3 victoires et aucun but encaissé. Un bon démarrage !

3-0 face aux Etats-Unis, 1-0 difficile face à la Guinée et enfin, un nouveau 3-0 face aux Néo-Zélandais. Thierry Henry a même fait tourner son effectif, titularisant l’excellent gardien du Paris FC, Obed Nkambadio, ou encore Rayan Cherki, Désiré Doué et Arnaud Kalimuendo. Les deux derniers ont été à la fête, buteurs, tout comme Jean-Philippe Mateta.

Les hommes de Thierry Henry ont étouffé petit à petit leurs adversaires, sous la chaleur accablante de Marseille. Et les voilà qualifiés pour les quarts de finale.

Un quart à vivre comme un sommet, vendredi soir 21h, au Matmut Atlantique de Bordeaux : l’Argentine se dresse sur leur chemin. Des Argentins toujours plus ennemis des Bleus, depuis la finale de la Coupe du monde 2022 et encore plus depuis les chants racistes à l’encontre des Français.

En démonstration face à Lyon, le PSG tout près du titre

Avec ou sans Kylian Mbappé, le PSG marche sur la Ligue 1. En toute logique, vu l’effectif, vu les finances du club, diront les mauvaises langues. Mais cette saison, le Paris-Saint Germain a retrouvé un élan collectif. Fini le star système mis en place suite aux arrivées successives de Neymar, Mbappé puis Messi en clou du spectacle.

Pourtant meilleure équipe de Ligue 1 en 2024, Lyon a constaté très vite les dégâts dimanche soir. Même avec Kylian Mbappé placé sur le banc des remplaçants par Luis Enrique, Paris s’est rapidement et facilement défait de l’OL. Tout a parfaitement démarré. Un but contre son camp de Matic, malheureux sur cette action (1-0, 3e). Puis des déboulés rageurs de l’intenable Barcola, l’ancien lyonnais, qui font mouche. Corner d’Asensio, Beraldo à la conclusion (2-0, 6e). L’écart est déjà fait. À la pause, la messe est dite : 4 buts à 1.

Le Portugais Ramos, si peu utilisé cette saison dans les moments clés (alors qu’il fait partie des buteurs les plus efficaces du championnat), inscrit son doublé. Le Parc des princes chavire. Cela semble une formalité. L’entraîneur lyonnais Pierre Sage n’a pas trouvé la clé pour éviter la même déculottée qu’au match aller (1-4). L’Olympique lyonnais était alors dans les bas fonds du classement, coaché par Laurent Blanc ! Premier de la liste des trois coachs mis en place cette saison…

Ce dimanche soir, c’est la fête dans le camp parisien, sous les regards d’Ousmane Dembélé et Kylian Mbappé, scotchés sur le (douillet) banc des remplaçants jusqu’à la fin. Paris a même pu sereinement fêter son capitaine Marquinhos, détenteur du record du nombre de matchs sous les couleurs rouge et bleu (436 matchs).

La seconde période ne servira qu’à une revue d’effectif, avec l’entrée de certains jeunes comme Senny Mayulu, 17 ans. Paris pourrait être titré dés mercredi, s’il gagne à Lorient et que Monaco ne bat pas Lille (match en retard de la 29e journée).

L’OL aura finalement évité une humiliation. Les Gones se font sérieusement remettre à leur place (8e). Eux qui rêvent de finir en trombe pour accrocher une place européenne. Alexandre Lacazette, le capitaine, au micro de Prime Vidéo est lucide : « Cela va nous permettre de redescendre sur terre« …

Les deux équipes se retrouveront le 25 mai pour la finale de la Coupe de France. D’ici à, les Lyonnais essayeront d’apprendre de leurs erreurs. Une finale, ça se gagne…