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Clin d’oeil à Laurent Baffie, la vidéo virale très réussie de Moussa Niakhaté et Laurent Prud’homme (OL)

L’Olympique lyonnais revit. Après un début de saison une nouvelle fois laborieux, l’OL remonte au classement. Avec sa nette victoire (0-4) au Havre, le week-end dernier, c’est tout un club qui a retrouvé le sourire.

À l’image de l’équipe de communication, qui n’hésite plus à poster de petites séquences insolites. Bien senties.

Quand les résultats vont, tout va. Ainsi, c’est le Directeur général du club, en personne, Laurent Prud’homme, qui est venu jouer la comédie dans la dernière vidéo postée sur les réseaux sociaux du club lyonnais.

Avec le défenseur central sénégalais, Moussa Niakhaté, ils jouent une petite scène où le DG bouscule le joueur : « Oh tu joues à quoi là ? Ah… Laurent, ça va ?« , faisant référence à une vidéo de Laurent Baffie devenue virale.

@l.baffieofficiel

Star malgré lui ! Merci à la ville de Poissy pour son excellent reportage. villepoissy @villepoissy

♬ son original – Laurent Baffie-Compte Officiel – Laurent Baffie-Compte Officiel

Mais il n’y a pas que cette référence dans la vidéo de l’Olympique lyonnais (à regarder en bas de page).

Moussa Niakhaté revient tout juste de sélection sénégalaise. Dans ses bagages, il a pris des tenues traditionnelles pour tous ses coéquipiers ! Du plus bel effet.

Ainsi, le Directeur général de l’OL, l’excellent Laurent Prud’homme, a joué le jeu à 100% : la référence à Laurent Baffie, la requête d’une tenue traditionnelle sénégalaise auprès de son joueur. C’est réussi ! On en redemande.

Qui pour sauver Montpellier ? En panne d’idées, Laurent Nicollin se tourne (encore) vers Jean-Louis Gasset

Il a redressé héroïquement un OM en plein marasme en fin de saison dernière. À 70 ans, certains pensaient que ce serait sa dernière aventure en tant qu’entraîneur d’une équipe de Ligue 1, mais non !

Jean-Louis Gasset est de retour sur le banc du Montpellier Hérault jusqu’à la fin de la saison pour une opération sauvetage périlleuse vu la qualité de l’effectif. Une information L’Equipe qu’Entrevue est en mesure de vous confirmer.

Déjà coach de Montpellier en 1998 puis en 2017, sans trop de succès et souvent dans des situations compliquées, Jean-Louis Gasset n’aura pas la vie facile. Il faudra faire mieux que Michel Der Zakarian, 4 points en 8 matchs pour se sauver.

Laurent Nicollin a décidé de confier l’avenir du club à un ami de la maison. Drôle d’idée. En somme, comment faire du neuf avec du vieux ?

Comme l’expliquait le journaliste d’Entrevue Thibaud Vézirian après MHSC-OM (0-5), dimanche soir, « il faudra plus qu’un grand coach pour sauver Montpellier, la qualité de l’effectif et le nombre d’absents clés sont plus qu’une épine dans le pied du club« .

Lanterne rouge de L1 après 8 journées, les hommes de La Paillade paraissent totalement déboussolés. La calinothérapie fonctionnera-t-elle avec un groupe en manque de leader, de buteur, de technique, de défense….?

Après des expériences manquées à Bordeaux puis avec la Côte d’Ivoire, bien que le pays soit devenu champion d’Afrique dans la foulée de son départ, Jean-Louis Gasset débarque en sauveur à Montpellier. Il sera accompagné de son fidèle acolyte, Ghislain Printant, dans son staff.

Montpellier reçoit Toulouse, dimanche à 17 heures, le duel de deux équipes en grandes difficultés.

Nouveau trophée et nouvelles médailles de champion de Ligue 1, les bons choix de la LFP ?

C’est si facile (et si récurrent) de taper sur la Ligue de Football Professionnel (LFP). Après le fiasco des derniers droits TV de la Ligue 1, la LFP met les bouchées doubles pour faire renaître le football français. En commençant par l’image des futures champions de France.

De nouvelles médailles et un nouveau trophée, voilà les annonces de la Ligue en cette fin de semaine. Vincent Labrune et ses équipes ont reçu certains médias ce jeudi au siège de la Ligue.

Exit l’Hexagoal et sa référence marquée à l’Hexagone. Place à des inspirations plus… américaines. On sait le président de la LFP très fan des sports US. Ceci explique sûrement cela.

Si ce nouveau trophée de 54 cm pour 13 kilos était celui de la NBA (basket américain), on ne s’en serait pas étonné. Il lui ressemble comme deux gouttes d’eau. Une coupe en laiton nickelé doré où apparaissent les insignes « L1 », dans une sorte de « V » de victoire…

Sur le socle, on distingue les noms des anciens vainqueurs du championnat depuis 1932.

Qui est à l’origine de cette création sans nom spécifique ? Mathias Kiss (ci-dessus en photo), avec la Maison Christofle. Pour accompagner cette coupe, des médailles très « rappeur américain » seront décernées aux vainqueurs.

« On est assez fier. Un trophée c’est quelque chose de majeur, cela incarne une discipline, une compétition et une marque. C’est à la fois un objet sportif convoité par un joueur mais aussi un attribut de marque qui fait rêver. On veut passer avec la Ligue d’une marque institutionnelle à une marque émotionnelle », a expliqué Vincent Labrune en marge de la présentation.

Remis en place par Pierre Lees-Melou (Stade Brestois), Daniel Riolo se défend

Une passe d’arme dont raffole les réseaux sociaux. Le virulent journaliste d’RMC, Daniel Riolo, remis en place par le milieu de terrain brestois Pierre Lees-Melou. Après la victoire de Brest face au Havre (2-0), ce week-end, le joueur a pu se présenter devant la presse pour la première fois depuis le mois de mai. Il était écarté des terrains pour cause de blessure au péroné.

D’après Daniel Riolo, Pierre Lees-Melou aurait « un peu traîné des pieds » pour reprendre la compétition avec Brest après sa fracture du péroné en mai. Le brillant milieu de terrain aurait aimé être transféré vers un club plus prestigieux cet été.

Faux, lui répond ouvertement le joueur : « J’ai de bons rapports avec les journalistes, à part un qui a parlé sur moi. Un consultant qui a apparemment une deuxième carrière de chirurgien. Il sait plus de choses que le chirurgien actuel. Je lui demanderai des conseils la prochaine fois. Qu’il me contacte s’il veut des infos au lieu de dire des conneries à l’antenne. Si j’étais absent, c’est uniquement à cause de ma blessure. Il l’a dit au conditionnel, je ne peux pas lui en vouloir. Nous aussi, joueurs, parfois on dit des conneries… Il fait son métier.« 

Interrogé à ce sujet dans l’After d’RMC, lundi soir, Daniel Riolo a réagi à son tour : « Je ne suis pas consultant, je suis journaliste« , clarifie-t-il déjà. Même si le grand public s’y perd complètement désormais…

« Un journaliste ne donne pas qu’un avis, il a également des informations. Non, Monsieur Lees-Melou, je n’ai pas raconté des conneries et je pense que vous auriez pu revenir avant. Ça a été dit par d’autres journalistes. Au-delà de la blessure, le fait de ne pas être parti fait que vous avez un peu traîné des pieds pour revenir. Ce n’est pas une carrière de chirurgien que j’aurais pu entamer mais peut-être de psy ou de préparateur qui fait le lien entre la tête et les jambes. Je veux bien être chambrer sur le fait que je sois un psy de comptoir s’il veut.« 

À vous de juger. Les deux hommes n’auront définitivement pas la même version de l’histoire.


Pour revoir le grand debrief de la 7e journée de Ligue 1, voici le replay du Dèj Foot, l’émission en live streaming chaque midi, animée par le journaliste d’Entrevue, Thibaud Vézirian.

Nice 1-1 PSG : Paris à deux vitesses, Monaco prend la tête, Bradley Barcola frustré

Encore un Paris-SG a deux vitesses, ce dimanche soir, en clôture de la 7e journée de Ligue 1. Très décevants en première période, bousculés par des Niçois qui avaient deux jours de moins de récupération, les Parisiens ont couru après le score et sauvé un point…

Des maux de tête pour Luis Enrique ? Son jeu de possession à défaut d’être un jeu de préparation vers des actions de but deviennent toujours plus stérile. Les équipes adverses lisent de mieux en mieux les schémas de jeu parisiens. L’OGC Nice en est le dernier exemple. L’équipe de Franck Haise, décevante à Rome jeudi, a pu s’appuyer sur beaucoup de mouvements, un Tanguy Ndombélé de retour au top et à une belle efficacité pour gêner l’ogre parisien.

L’ouverture du score niçoise, sur un tir d’Ali Abdi dévié par Nuno Mendes (39e), est alors plutôt justifiée. Les Aiglons procèdent en contre, avec un bloc bas idéal pour pointer du doigt le manque de profondeur du PSG, et des attaquants très intelligents.

Après la pause, Luis Enrique enterre définitivement le moral de son seul attaquant de pointe de l’effectif (en l’absence de Gonçalo Ramos), Randal Kolo-Muani. Quasi-taulier chez les Bleus, le voilà toujours plus reléguer au fond du tiroir à idées de son coach espagnol. Certes, il n’a pas brillé en première période. Mais utiliser Randal Kolo-Muani en attaquant de position, en pivot dos au but, englué dans l’entonnoir, c’est mission impossible vu ses qualités.

Le Coréen Kang-In Lee le remplace. Et en effet, Paris ne peine à faire mieux qu’en première période. Deux fois plus d’occasions, deux plus de moments chauds devant le but de Marcin Bulka. Et finalement, bis repetita du premier but, c’est un tir contré assez inoffensif (pied droit !) de Nuno Mendes qui finit au fond des filets (1-1, 52e).

Interrogé après la rencontre, l’ailier du club de la capitale Bradley Barcola n’a pas tergiversé : « La première mi-temps, on n’était pas dedans. La seconde, c’était beaucoup mieux. C’est toujours difficile de jouer ici« , avant d’ajouter : « ce qu’il manque au PSG ? Je ne sais pas, plus d’envie peut-être« .

Paris ne perd pas. C’est déjà ça. Mais Monaco a encore gagné, à Rennes cette fois. L’ASM est le nouveau leader de cette L1, deux longueurs devant le PSG.

Lyon, vainqueur de Nantes (2-0), poursuit sa remontée. L’OL est à quatre points de Marseille, qui cale après son nul à domicile face à Angers (1-1).

Dans le bas de tableau, belle opération de l’ASSE, vainqueur de l’AJ Auxerre. Montpellier et Toulouse, encore battus, sont relégables.


Léo Messi a un goût amer de son passage au PSG : « la mierda » !

On le savait déjà. Ses derniers mots le confirment encore. Lionel Messi ne gardera pas un souvenir impérissable de ses deux saisons au Paris-Saint Germain.

Le champion du monde argentin est parti s’amuser sur les terrains plus paisibles de Major League Soccer (MLS) aux Etats-Unis. Paris et la Ligue 1 lui ont semble-t-il laissé un goût amer. Depuis Miami, il n’a pas arrêté d’évoquer son passage (à moitié) raté au PSG.

Lors d’un match de l’Inter Miami, la Pulga a confié à Brecht Dejaegere, joueur belge du Charlotte FC, que son passage au Paris-SG était « de la mierda« . Le Belge s’en est empêché à la RTBF.

« Il m’a dit que, pour lui, au PSG, c’était ‘la mierda’. » Pas besoin de traduction.

Brecht Dejaegere, ancien joueur du TéFéCé, poursuit : « Il en avait marre de se faire siffler. Je lui ai dis que j’avais joué contre lui avec Toulouse au Parc des Princes. Il ne se souvenait pas de moi…« 

Cyril Linette quitte (déjà) la LFP (comme promis)

Il n’a fait que passer. Et il a tenu parole. Ce qui est rare dans le milieu politique. Ou chez certains hauts dirigeants. Cyril Linette annonce ce mercredi quitter le conseil d’administration de la Ligue de Football Professionnel (LFP).

Il a vu, il n’a pas vaincu. Cyril Linette a tenté une campagne expresse pour renverser le pouvoir à la LFP et prendre la place de Vincent Labrune. Mais les (grands) électeurs en ont décidé autrement.

C’est via un processus de parrainages archaïques que Cyril Linette avait pu accéder au conseil d’administration et donc postuler au poste de président de la LFP. Non élu, il quitte son poste, comme décidé à l’avance pendant les tractations (sorte de chantage, au choix) en coulisses.

« Fin de l’épisode ⁦@LFPfr⁩ ! Merci à ceux qui ont cru à mon projet et m’ont aidé d’une manière ou d’une autre. À lire dans ou sur ⁦@lequipe⁩ pour ceux que le sujet intéresse. Je reste évidemment un observateur passionné du foot français !« , écrit-il ce matin sur X.

Ligue 1 – Strasbourg fait sensation, l’OM battu (1-0)

Première contre-performance de l’Olympique de Marseille cette saison, battu à Strasbourg (1-0), une semaine après sa victoire héroïque à Lyon. Le Racing a réalisé un match plein et revient à la 8e place, à quatre points de l’OM, 3e.

Alors que le Paris-SG et l’AS Monaco avaient gagné vendredi et samedi, l’Olympique de Marseille décroche du duo de tête. En clôture de la 6e journée de Ligue 1, les Olympiens de Roberto De Zerbi ont été ballottés par de très vigoureux strasbourgeois. Sensation de ce début de saison dans le jeu, les hommes de l’Anglais Liam Rosenior ont bien mérité leur tour d’honneur devant une Meinau en fête. Une première victoire à domicile face à l’OM depuis près de 20 ans !

Avec la même énergie et préceptes de jeu que lors des cinq matchs précédents, le Racing a eu plusieurs occasions nettes de prendre l’avantage. C’est finalement Diego Moreira, repositionné avec brio latéral gauche, qui crucifie Geronimo Rulli (1-0, 40e). Un but consécutif à une perte de balle d’Amine Harit. Le Belgo-Portugais de 20 ans inscrit son premier but en professionnel.

En difficultés, l’OM réagit en seconde période, Roberto De Zerbi faisant entrer de nombreux éléments offensifs, mais aussi Adrien Rabiot, qui effectuait là ses premières minutes en bleu-blanc.

Face à un très grand Đorđe Petrović, l’OM manque de justesse. Mason Greenwood ne trouve pas la faille, il ne peut jouer les sauveurs à chaque fois. Neal Maupay entre et manque un face-à-face. Ismaël Doukouré est omniprésent, les Alsaciens ont du coeur.

On cherche encore à comprendre le choix de Roberto De Zerbi de titulariser son meilleur joueur, Pierre-Emile Højbjerg, en défense centrale. Alors que Geoffrey Kondogbia avait excellé à ce poste dimanche dernier. Ce dernier semble d’ailleurs moins à l’aise balle au pied et dans ses choix de passes que son compère danois.

Face au pressing incessant des Strasbourgeois, l’OM n’a pas su répondre par une assez bonne maîtrise technique, ni par un jeu en profondeur précis. Marseille est battu pour la première fois de la saison et chute de son petit nuage. Prochaine échéance vendredi, avec la réception d’Angers, client idéal pour se relancer puisque les Angevins n’ont toujours pas gagné une rencontre.

Strasbourg recevra pour la seconde fois consécutive, cette fois ce sera le Racing club de Lens, dimanche à 17 heures. Un autre choc de haut niveau.