L’organisation des Jeux Olympiques et paralympiques de Paris 2024 a invité les médias ce mercredi à découvrir les derniers produits phares à destination du grand public. Entrevue a pu se balader entre les peluches, goûters, vêtements, puzzles ou lunettes de soleil à l’effigie des Jeux.
Les touristes vont particulièrement se régaler. Des souvenirs en pagaille. Pour tous les goûts. Si les installations des sites olympiques ne sont pas tout à fait prêtes en cette mi-juin, les produits aux couleurs des Jeux de Paris 2024 sont déjà disponibles. Ou en restockage imminent pour ceux qui connaissent le plus de succès. Car oui, les ventes sont déjà au rendez-vous, notamment dans les gares et aéroports, où les touristes veulent rentrer avec leur petit (ou gros) souvenir.
Lors de cette présentation presse, plusieurs produits originaux ont particulièrement attiré notre attention. Du côté des peluches, les fameuses Phryges, la mascotte, voilà une nouvelle édition tape à l’oeil. Des mascottes numérotées, en édition limitée, se dotent d’une parure effet brillant. Succès garanti. Attention, le prix peut monter jusqu’à 50 euros. Et pour se les procurer, ce sera uniquement dans de grands magasins.
Pour cette occasion historique, le sculpteur Richard Orlinski a réalisé ses propres créations. Pas de Kong cette fois mais bien des Phryges. À son goût. Des versions classiques, rouges, mais aussi dorées ou argentées. Les produits de l’artiste viennent tout juste d’être révélés. Sortie prévue début juillet (les rouges) et fin juillet (sous forme de drop pour les éditions or et argent). Prix annoncé : 200 euros par figurine.
Au cours de cette visite des produits sous licence Paris 2024, ce qui a retenu notre attention, c’est aussi bien sûr le nombre de vêtements aux couleurs des JO : Coq Sportif, Undiz, Kiabi, Décathlon, etc. Avec une forte volonté d’afficher du Made in France.
Grand succès déjà pour les affiches officielles des Jeux, en version poster ou premium chez OneArt, des étiquettes à bagage, des Tours Eiffel en mode Paris 2024. Succès prévu des espadrilles, aussi, sauf si la météo ne s’améliore pas…
Chips, jeux de cartes, baguette de pain à la française, chaises longues, jeux en bois, livres, bérets, pin’s, bracelets, bijoux, lunettes de soleil, macarons Ladurée… Il y en a pour tous les goûts et toutes les cultures.
Pour les plus soucieux de l’écologie et du recyclage, ces produits sous licence présentés ici seront encore autorisés à la vente jusqu’en janvier 2025, puis pendant quelques mois en promotion via un processus très encadré. Ensuite, ils ne seront plus disponibles qu’en seconde main. Les invendus seront soit recyclés, soit offerts à des associations. Tout est déjà prévu et organisé par la direction de Paris 2024.
Du rire aux larmes. Rafael Fente Damers vient de se qualifier pour les Jeux Olympiques après avoir réalisé les minima lors de la finale du championnat de France de 100 mètres nage libre. Le problème, c’est qu’il a un peu trop laissé exploser sa joie !
Une joie de courte durée. Car Rafael Fente Damers a bien vite compris que quelque chose n’allait pas. À 18 ans seulement, le jeune nageur n’a pu s’empêcher d’hurler son bonheur au moment d’arriver 2e du 100 mètres nage libre de ce championnat de France et de… frapper l’eau.
Malheureusement, son épaule n’a pas supporté. Une grimace de douleur. Cela s’appelle un fail. Touché, il a dû être aidé par le staff médical afin de sortir de l’eau. Obligé de soutenir son propre bras puis de le mettre en écharpe avant d’aller sur le podium. Une scène totalement folle.
Forcément, les suiveurs de la natation n’ont pas manqué d’alerter le célèbre compte de la fictive « Fédération française de la Lose ».
Thierry Henry n’avait pas besoin qu’on le questionne sur le sujet. Ses réponses étaient déjà prêtes. Le sélectionneur de l’équipe de France pour les Jeux Olympiques a confirmé les propos de de Kylian Mbappé et de Marcus Thuram afin de « faire barrage aux extrêmes ».
Thierry Henry se savait attendu sur ce sujet épineux. Les législatives du 30 juin et du 7 juillet. La montée des idées radicales du Rassemblement national en France. Le sélectionneur des Bleus pour Paris 2024 annonce d’emblée qu’il « partage tout ce qui a été dit sur le sujet que vous connaissez bien, si on rentre dans la politique ».
Alors que Kylian Mbappé a parlé de « faire barrage aux extrêmes » sans nommer l’extrême droite et que Marcus Thuram a clairement indiqué vouloir empêcher que le RN prenne le pouvoir en France, Thierry Henry axe sa communication sur « allez voter » !
En conférence de presse, ce lundi matin, afin de présenter la dernière mouture de sa sélection de joueurs pour les JO, Thierry Henry se montre clair : « Je peux citer Marcus, Ousmane, Kylian, le coach… Ce qui peut faire barrage aux extrêmes c’est voter donc… Allez voter ! Personnellement je suis contre tout ce qui diviseet un peu plus, si vous voulez, quelque part, unir. »
Une première dans l’histoire. Un marathon dans le marathon. Le samedi 10 août, vers 21h, 40 048 coureurs vont s’élancer pour le premier marathon des Jeux Olympiques et Paralympiques réalisé par des sportifs amateurs. Et ce, sur le même parcours que celui des professionnels.
20 024 coureurs sur 42,195 km et 20 024 coureurs tirés au sort pour courir le 10 km. Les médailles des finishers viennent d’être dévoilés.
Paris 2024 s’est associé à Orange pour organiser ce marathon unique dans l’histoire des Jeux Olympiques. Un Marathon pour tous avec une parité totale hommes-femmes. Et un top départ prévu l’avant dernier jour des JO, entre les marathons hommes (samedi matin) et femmes (le dimanche matin, dernier jour des Jeux). Ceux des professionnels, qui ont prévu de courir à une toute autre allure…
Ce mardi, Orange a dévoilé les médailles de cette course inédite. Deux modèles différents selon le parcours. Une vidéo qui a de quoi motiver un peu plus les 40 048 heureux élus.
Chaque médaille pèse 150 grammes pour 85 millimètres de hauteur et 77 millimètres de largeur. Un souvenir très particulier de cette épreuve qui s’annonce difficile. Jamais un marathon olympique n’avait connu de tels dénivelés. Avec notamment la célèbre côte de la route du pavé des gardes dans le sens Versailles-Paris. Avec des pourcentages entre 9% et 15% par endroits. Bon courage !
Il mettra fin à sa carrière de légende du BMX à la fin de l’année 2024. En attendant un possible 10e titre de champion du monde, Matthias Dandois endosse la responsabilité de représenter tous les sports nouveaux aux JO de Paris. Entretien avec « monsieur l’ambassadeur », à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
Thibaud Vézirian : Matthias, on a besoin d’y voir plus clair. Le BMX a fait son entrée aux Jeux Olympiques en 2008 à Pékin (Chine), mais ce n’est pas au programme officiel des JO de Paris…
Matthias Dandois : Le BMX, ce sont plusieurs disciplines. Si les courses de BMX, la race, sont bien entrées aux JO 2008, ça n’a rien à voir avec le freestyle par exemple. Le BMX freestyle, il y a des sauts, des rampes… C’est arrivé à Tokyo au Japon en 2021. Le BMX flat, troisième discipline, c’est mon sport ! Il entre en sport de démonstration aux JO de Paris pour finaliser son arrivée à Los Angeles en sport officiel. À Paris, place de la Concorde, le but sera de faire mon run habituel. C’est une exhibition pour faire la meilleure présentation de notre sport, avec des tricks (des figures) que je connais par cœur. Ça va être un kif de ouf, avec zéro pression. J’ai déjà tout gagné dans mon sport.
Être ambassadeur des nouveaux sports aux JO de Paris, ça consiste en quoi ?
Il s’agit de porter la parole des disciplines alternatives, d’aller réunion de consulting avec le CIO (comité international olympique), etc. L’idée, derrière cela, c’est de faire baisser la moyenne d’âge des audiences télé. Aujourd’hui, on ne va pas se mentir, c’est entre 58 et 60 ans. Il faut aller chercher les jeunes. C’est une question de business, rendre les Jeux plus cool, améliorer les droits télé. Je représente le skate, le BMX, le break, je vais participer à la cérémonie d’ouverture et je ferai donc les démonstrations de BMX flat les 30 et 31 juillet.
Le karaté a justement disparu des sports représentés aux JO de Paris, ce n’est plus un sport assez « cool » ?
C’est un lobbying de tous les instants. Tu ne peux pas faire entrer aux JO n’importe quel sport. Quand un sport d’une catégorie sort, il faut le remplacer par un sport de même catégorie. Le break est considéré comme un sport de combat. Ils ont donc dû faire sortir un équivalent. C’est tombé sur le karaté car cela faisait le moins d’audience. C’est qui est d’ailleurs assez bête (il sourit) car on avait un énorme espoir de médaille, avec Steven Da Costa. C’est un jeu de chaises musicales et ça ne fait pas que des heureux, c’est logique.
Interview en intégralité à retrouver dans le numéro d’Entrevue de mai 2024.
Le petit garçon qui rêvait d’être un champion a écrit le livre de sa vie. À 37 ans, Yann Rayepin est en pleine promotion de son premier livre, qui raconte son parcours. Celui d’un ex-champion de gymnastique. Il s’est confié à Entrevue.
Détenteur de 14 titres nationaux, individuels et par équipe, Yann Rayepin vit désormais près de Genève (Suisse), du côté français. D’abord chargé d’affaires pour de grosses entreprises, puis ingénieur d’affaires, il s’est ensuite consacré entièrement à son projet de livre. Afin de livrer sa vérité sur son parcours et aider les nouvelles générations de sportifs.
Thibaud Vézirian. Bonjour Yann, vous avez eu l’envie d’écrire ce livre, « Déraciné », qui raconte l’histoire vraie d’un petit garçon qui voulait devenir un champion. Comme beaucoup d’ailleurs. Qu’est-ce qui vous a poussé à le faire ?
Yann Rayepin. Je suis parti très tôt de l’île de la Réunion, vers 9 ou 10 ans. Sans mes parents. Je suis d’abord arrivé en internat pour 3 ans à Avignon, ça a été un choc. Mes parents sont restés vivre à 10 000 kilomètres, à Saint-André, je suis donc devenu autonome et indépendant très tôt. Si j’ai eu une belle carrière de gymnaste, je souhaitais en raconter les péripéties, les difficultés. Et surtout parler de l’impréparation à l’après-carrière de sportif de haut niveau. Il n’y avait pas d’accompagnement pour ça. J’ai donc eu cette envie de transmettre quelque chose. À mes enfants, de 5 et 9 ans, à mes parents aussi, car à l’époque, on ne se disait pas grand chose de ce qui se passait au quotidien.
Thibaud Vézirian. Il n’y avait ni téléphone, ni visio, ni tablette. Un tout petit peu Internet dans cette fin des années 90 que vous décrivez dans votre livre. Vous vous sentiez seul ?
Yann Rayepin. J’étais seul. Sans papa, sans maman. Mais j’ai été ensuite le premier sportif de haut niveau à intégrer l’EDHEC, une école de commerce à Antibes, sans horaire aménagé pour les sportifs de haut niveau. Je bénéficie alors de la gratuité de l’école et c’est tout. Mais l’idée de ce livre n’est pas de parler de la solitude en internat. J’ai eu l’envie profonde de partager la partie immergée de l’iceberg : la reconversion professionnelle et les sport-études, dont le terme est galvaudé. Les entraineurs et fédérations ne sont pas très contents quand on veut faire des études secondaires. Ce n’est pas leur objectif du tout.
T.V. Votre reconversion professionnelle vous est rapidement apparue comme primordiale ? C’est une preuve de grande maturité quand on est adolescent ou jeune adulte.
Yann Rayepin. Préparer ma reconversion professionnelle était le plus important. Et parler de ce chemin difficile aussi. On ne parle jamais de cette zone d’ombre, ce manque d’accompagnement, on est mis sur un piédestal en tant que sportif de haut niveau mais l’accompagnement ne suit pas. Je suis allé toquer à la porte de l’EDHEC : c’était la seule école à ne pas faire d’horaires aménagées pour les sportifs de haut niveau. Ils m’ont dit d’aller d’abord passer mon concours. Je l’ai fait. Avec la deuxième meilleure note à l’oral. J’étais le premier sportif de haut niveau à intégrer l’école. J’ai été exempté d’assiduité mais pas des examens. Je devais rattraper les cours en plus de mes deux entraînements par jour.
T.V. Avec cet emploi du temps hyper chargé, on se dit qu’être sportif de haut niveau, en dehors du football et certains salaires mirobolants, peut-être, c’est un monde infernal si on veut viser une aussi belle carrière professionnelle derrière, non ?
Yann Rayepin. J’étais le patient zéro ! Le petit garçon que j’étais s’est bien vite rendu compte que la marche allait être assez élevée. Heureusement, tout s’est accéléré ensuite : après avoir eu mon diplôme d’entraîneur, vers 19-20 ans, l’EDHEC va me suivre jusqu’à l’INSEP en ouvrant un cursus de e-learning pour sportifs de haut niveau. J’étais le défricheur. Mais ça a été très difficile comme période, ce manque d’accompagnement. Il a fallu redoubler d’efforts. Aujourd’hui, être sportif de haut niveau ne vous garantit pas de carrière professionnelle par la suite. Les entreprises sont peu au fait du sport de haut niveau, on nous caricature de « bourrin ».
T.V. Écrire a été aussi un moyen de dénoncer de toutes les sombres affaires qui tournent autour de la Fédération de gymnastique ?
Y.R. Écrire, au début, je l’ai fait pour mes enfants. Comment ça se fait que la famille de papa est à la Réunion ? Comment ça se fait que papa était en équipe de France ? Ce sera intéressant pour eux de le lire un jour. Laisser une trace. Raconter tout ça à ma famille, mes parents. Ils ne savaient pas ce qui se passait à l’époque, comment étaient les entraineurs, comment c’était à l’entraînement. Il ne fallait pas communiquer. La Fédération a connu beaucoup d’histoires très limites. Ce partage d’expériences permet de faire évoluer les choses. Je n’ai pas été confronté à ces problèmes-là, même si c’était à mon époque. Ça correspondait à une façon de faire, où ce n’était pas grave s’il y avait de la casse. Le problème, c’est que ce sont toujours les mêmes qui sont là, aux commandes. C’est très compliqué pour un ancien sportif de haut niveau de rester ami avec cette Fédération. Je n’ai pas eu de rancœur en écrivant mais ce livre, c’était une main tendue pour mettre des choses en place, changer, évoluer. Et accepter les erreurs. Je ne peux pas dire que ça en prenne le chemin.
T.V. On peut tout de même dire que certaines affaires ont éclaté, notamment via des témoignages de femmes.
Y.R. Côté masculin, il y a eu beaucoup moins de courage que du côté féminin pour dévoiler des choses, dénoncer, tenir ensemble. L’omerta est plus présente chez les garçons. Mais mon combat, comme je n’ai pas été confronté à des violences physiques, c’est autre chose. Des violences morales, oui, j’en ai connu. Un manque d’accompagnement au niveau de la Fédération, oui, c’est clair. Une personne en charge de la formation me disait ne pas connaître l’EDHEC et que ça ne me servirait à rien d’intégrer cette école. Et maintenant cette personne est chargée de la reconversion professionnelle des athlètes depuis la Fédération, c’est absurde…
T.V. Avec autant de bâtons dans les roues, comment vous vous en êtes sorti ?
Y.R. J’ai eu la chance d’avoir un mental. Et on le renforce au fur et à mesure des expériences. Beaucoup de jeunes se cassent la gueule parce qu’ils ne peuvent pas suivre mentalement. On n’avait pas de téléphone à l’époque, à la fin des années 1990. Dans le froid, sans papa, sans maman. Même s’il y a pire qu’Avignon. Le choc était déjà là. C’est un livre qui s’appuie sur le fait de vouloir vivre ses rêves. Je me suis accroché, j’ai passé outre, j’ai franchi ces barrières, je suis venu pour ça. Et je vais réussir. Nous ne sommes pas tous des Teddy Riner ou des Zinedine Zidane mais on peut accéder à ses rêves. Je raconte ce parcours-là, ce déracinement-là. Quand on quitte le cocon familial.
T.V. Hormis les titres, quelle a été votre plus grande satisfaction ?
Y.R. Tout ! 14 titres nationaux, une médaille européenne, un diplôme de l’EDHEC, être élève à Sciences Po Paris, travailler avec les Nations Unis pour lutter contre le décrochage scolaire à Madagascar… Tout, tout ! Ce livre, c’est une nouvelle aventure. J’ai rencontré l’écrivain et enseignant Alain Mabanckou, au salon du livre à Genève, il m’a félicité. C’est génial. Et réussir à attirer l’attention des médias, c’est beau aussi.
« Si je ne peux plus courir, je peux marcher. Si je ne peux plus marcher, je peux ramper… Je ne m’arrêterai jamais ». Céline Dion est une formidable combattante. La chanteuse québécoise va bientôt dévoiler un documentaire très intime, axé sur son combat contre le syndrome de la personne raide.
Si certains parlent de Céline Dion comme surprise de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, la chanteuse québécoise reste focalisée sur son combat quotidien : contre sa maladie neurologique, le « syndrome de la personne raide ».
Sur la chaîne NBC News, le Today Show nous offre un extrait d’interview de la diva. Céline Dion délivre un témoignage poignant. Elle décrit les effets que sa maladie peut provoquer : « C’est comme si quelqu’un vous étranglait. C’est comme si quelqu’un poussait votre larynx, pharynx et c’est comme si on parlait comme ça, et qu’on ne pouvait pas monter ou descendre la voix ».
« Si je ne peux plus courir, je peux marcher. Si je ne peux plus marcher, je peux ramper… Je ne m’arrêterai jamais », confie la star, avec difficultés dans cet extrait vidéo.
Diagnostiquée en 2022, cette maladie neurologique rare lui provoque notamment des spasmes musculaires. Dans ce documentaire Je suis Céline Dion, elle montre toute sa force de combattre.
Même pour parler, on sent que cette maladie affecte gravement sa voix. Et toutes les parties du corps. Avec parfois des crampes terribles. « J’ai l’impression que si je pointe mes pieds, ils resteront dans cette position », confie la Québécoise. Un lourd handicap à porter. « J’ai eu des côtes cassées à un moment donné, parce que parfois, quand c’est très grave, ça peut se casser ».
L’interview complète de Céline Dion est à retrouver sur les réseaux de NBA à partir du 11 juin. Le documentaire Je suis Céline Dion sera diffusé sur Prime Video à partir du 25 juin.
19h28, c’est officiel. Kylian Mbappé est un joueur du Real Madrid. Rien de surprenant. Mais c’est un séisme quand même pour le monde du football. Un des meilleurs joueurs du monde dans le meilleur club du monde, qui vient d’être sacré pour la quinzième fois champion d’Europe. Surpuissant.
Ce que tout le monde attendait depuis des années est arrivé, Kylian Mbappé est madrilène. Un rêve de gosse. D’autant que ce transfert a toujours été inscrit dans son plan de carrière. D’après nos informations, il comptait même rester 3 à 4 saisons seulement au PSG avant de partir au Real Madrid. Mais les aléas politico-financiers l’ont poussé (forcé ?) à rester quelques saisons de plus à Paris.
Alors ce soir, c’est une confirmation énorme qui vient de tomber. Le Real Madrid se dote de l’attaquant le plus craint du football actuel. Pour améliorer encore une équipe déjà si difficile à jouer, championne d’Espagne 2024 et championne d’Europe 2024. Rien que ça.
Les messages de supporters ravis de ce deal pleuvent sur les réseaux sociaux. Mais les stars du ballon n’ont pas tardé non plus à poster des félicitations ou à écrire des messages d’accueil chaleureux. Kylian Mbappé fait l’unanimité.
À commencer par ses nouveaux coéquipiers : les Français Eduardo Camavinga, Ferland Mendy ou Aurélien Tchouaméni, les stars comme l’Anglais Jude Bellingham, Rodrygo ou Vinicius Jr aussi. Entre autres.
Le compte de l’Equipe de France de football a réagi aussi. L’ex-légende madrilène Cristiano Ronaldo, aujourd’hui avant-centre à Al Nassr (deuxième du championnat d’Arabie Saoudite), a également mis un commentaire, sous le post de Kylian Mbappé. Tout comme le spice boy David Beckham, lui aussi passé par le Real Madrid et le PSG ! C’est la totale.
Aussi facile en anglais qu’en espagnol, Kylian Mbappé a quant à lui parlé de « rêve qui devient réalité »,. En diffusant plusieurs photos touchantes, de lui, petit, avec des tenues de son club de coeur, le Real Madrid.
Le capitaine des Bleus vient de signer un contrat de 5 ans avec la Maison Blanche. Si son salaire est inférieur à celui (faramineux) qu’il touchait au Paris-SG (20 millions d’euros bruts contre 70 millions au PSG), il a obtenu une forte prime à la signature : 100 à 115 millions d’euros selon les sources. Kylian Mbappé aurait négocié de garder 80% de ses droits à l’image, selon la presse espagnole. Comme Cristiano Ronaldo en son temps.