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Paris 2024 : Et une, et deux, et trois victoires pour les Bleus de Thierry Henry

Cela pouvait-il mieux commencer ? 3 victoires en 3 matchs pour l’équipe de France de football masculin dans cette phase de poules des Jeux Olympiques Paris 2024. Ce mardi soir, les Bleus se sont imposés 3-0, avec une équipe remaniée, face à la Nouvelle-Zélande.

Dans un stade Vélodrome encore une fois très bruyant, l’équipe de France olympique de football se qualifie pour les quarts de finale. 3 victoires et aucun but encaissé. Un bon démarrage !

3-0 face aux Etats-Unis, 1-0 difficile face à la Guinée et enfin, un nouveau 3-0 face aux Néo-Zélandais. Thierry Henry a même fait tourner son effectif, titularisant l’excellent gardien du Paris FC, Obed Nkambadio, ou encore Rayan Cherki, Désiré Doué et Arnaud Kalimuendo. Les deux derniers ont été à la fête, buteurs, tout comme Jean-Philippe Mateta.

Les hommes de Thierry Henry ont étouffé petit à petit leurs adversaires, sous la chaleur accablante de Marseille. Et les voilà qualifiés pour les quarts de finale.

Un quart à vivre comme un sommet, vendredi soir 21h, au Matmut Atlantique de Bordeaux : l’Argentine se dresse sur leur chemin. Des Argentins toujours plus ennemis des Bleus, depuis la finale de la Coupe du monde 2022 et encore plus depuis les chants racistes à l’encontre des Français.

Strazel stratosphérique ! Les Bleus sauvés face au Japon, c’est inquiétant !

Dans la douleur. Une victoire en prolongation 94-90 face au Japon et beaucoup de questions pour l’équipe de France de basket. Le coach Vincent Collet ne trouve décidément pas la recette, alors que l’effectif dispose d’individualités d’exception. Inquiétant avant la suite ?

Dans un stade Pierre Mauroy (Lille) avec 27 000 spectateurs en ébullition, l’équipe de France de basket devait se rassurer, après une première victoire correcte, mais sans plus face au Brésil (78-66). Cela n’a pas du tout été le cas. Au contraire, face à des Japonais décomplexés, les Bleus ont totalement déjoué. Se faisant peur jusqu’au bout.

Incapables d’appuyer là où ça fait mal, dans la raquette, malgré la présence des mastodontes Rudy Gobert et Victor Wembanyama, la France patine. Dominée par le Japon, l’équipe d’un Vincent Collet, très décrié par les supporters des Bleus, a trouvé une bouée de sauvetage improbable, nommée Mathew Strazel !

Le jeune joueur de Monaco a décoché un tir à 3 points surréaliste, obtenant en plus la faute, à quelques secondes de la fin du match. Sur le lancer suivant, il égalise avec relâchement (82-82). Une occasion à 4 points qui fera date. Mais qui permet en fait uniquement aux Français de rentrer dans les clous de leur objectif…

Toute autre performance qu’une victoire face au Japon aurait été vécue comme un cataclysme pour les vice-champions olympiques.

La France se rapproche des quarts de finale avant le choc de vendredi face à l’Allemagne. Mais comment analyser cette terne prestation ? Avec un duo Gobert-Wembanyama, comment les Bleus n’arrivent-ils pas à faire craquer les défenses à l’intérieur ? Vincent Collet semble incapable d’imprimer un plan de jeu clair à cette équipe talentueuse.

Côté statistiques, 18 points, 11 rebonds et 6 passes pour la star « Wemby », 14 points et 6 passes pour un Evan Fournier retrouvé, Mathew Strazel facteur X avec 17 points. Et un capitaine, Nicolas Batum, présent dans tous les compartiments du jeu, comme à son habitude.

Prochain rendez-vous, vendredi 21h, face à l’Allemagne. On tremble déjà.

Clarisse Agbegnénou en bronze mais déçue, Antoine Griezmann trouve les mots

La judokate Clarisse Agbégnénou l’avait annoncé haut et fort : la médaille d’or ou rien ! Ce sera le bronze… Et ce n’est pas rien. Même si la championne aurait aimé faire (beaucoup) mieux.

Deux ans après être devenue maman, sous les yeux de sa fille Athéna, Clarisse Agbégnénou s’était lancée un défi hors normes : devenir championne olympique à domicile, en moins de 63 kg. Après avoir connu l’or deux fois aux Jeux de Tokyo (2020) et l’argent à Rio (2016), elle était inconsolable ce mardi en obtenant le seule couleur de médaille qui lui manquait.

Face à une telle désillusion pour une championne aux ambitions si élevées, un autre champion s’est empressé de la soutenir : Antoine Griezmann. Spectateur assidu des Jeux pendant ses vacances post-Euro 2024, l’attaquant (plutôt milieu désormais) de l’équipe de France de football a trouvé les mots.

« Bravo Clarisse, la médaille d’or est dans tes bras ». Bien sûr. Sa fille, Athéna, 2 ans.

Emmanuel Macron recommande UN compte d’athlète à suivre pendant ces JO…

Emmanuel Macron en relai de communication star d’un athlète de très haut niveau. Qui n’avait d’ailleurs pas forcément besoin de ça pour qu’on parle de lui. Le Président de la République a réalisé un joli clin d’oeil…

Le journaliste de Paris Match et CNews, Florian Tardif, a glissé une petite confidence hier après-midi concernant une demande du Président de la République. Ce denrier aurait demandé à ses équipes de créer une sorte d’outil numérique, ou une application, afin de suivre en temps réel les résultats de l’ensemble des athlètes français, histoire de ne rien rater et de ne pas se noyer dans du superflu.

Mais depuis, un sportif bien connu des Français émerge dans le paysage des Jeux Olympiques : Antoine Griezmann. Via son compte X, le footballeur, actuellement en vacances post-Euro 2024, dégaine régulièrement son téléphone pour célébrer les succès français. Peu importe le sport, il suit tout !

Ainsi, Emmanuel Macron a répondu au tweet de « Mediavenir » pour assurer que cette fameuse appli de suivi n’est nulle autre qu’Antoine Griezmann…

Nouvelle photo iconique pendant ces Jeux olympiques de Paris 2024 : Gabriel Medina en lévitation

La magie de l’instant. Il est en lévitation. Tout comme. Voici la nouvelle image iconique de ces Jeux Olympiques de Paris 2024, un cliché réalisé par le photographe de l’AFP Jérôme Brouillet. Il a capturé le sensationnel surfeur brésilien Gabriel Medina, pendant les quarts de finale de surf à Tahiti.

Le cliché fait actuellement le tour du monde. Gabriel Medina vole au-dessus de l’océan. Les vagues tahitiennes ne l’atteignent pas. Il ne lui manque en effet que la cape de Superman…

Le Brésilien, grand ami de Neymar Jr., photographié pour l’AFP par Jérôme Brouillet, un moment sensationnel.

Le surfeur Gabriel Medina s’élevant au-dessus des vagues de Teahupo’o, l’un des spots de surf les plus puissants du monde. Cela restera comme une photo marquante de ces Jeux. Un moment hors du temps, aussi.

Beaucoup de photographes auraient voulu avoir ce cliché, cet instant, ce moment. Lui l’a obtenu. La star Gabriel Medina, de trois quarts face, l’index vers le ciel, avec sa planche de surf à la verticale dans son dos. Un super-héros.

« Tous les photographes attendent ce moment. Vous savez que Gabriel Medina, surtout à Teahupo’o, va se lancer et faire quelque chose (…) Le seul moment délicat est de savoir où il va donner un coup de pied », raconte Jérôme Brouillet à l’AFP.

Le cliché est si dingue que certains ont supposé à tort qu’elle avait été photoshopée. Trop beau pour être vrai ? Trop beau, tout simplement.

Sur compte Instagram, Gabriel Medina l’a reposté et reçu déjà près de 4 millions de likes

La prouesse est d’autant plus folle que le photographe n’a pris que 4 photos du surfeur brésilien !

« Quand je prends des photos à Teahupo’o, je ne prends pas de photos en mode rafale, parce qu’à la fin de la journée, si vous appuyez trop fort sur le bouton, vous revenez avec 5 000 photos, et je n’aime pas ça ! », détaille-t-il. Un truc de dingue.

Léa Salamé vivement critiquée après son attitude sur le plateau de « Quels Jeux ! »

Les Jeux Olympiques sont le terrain de jeu des sportifs mais aussi des médias. Avec une quantité importante d’interviews d’après-compétition. Les journalistes cherchent à saisir le moment d’émotions, la petite phrase, voire le buzz… L’animatrice de « Quels Jeux ! » sur France 2 a été vivement critiquée, pour avoir manqué d’empathie.

Sa volonté d’écourter l’interview pour rentrer dans les délais de diffusion calés à l’avance n’est pas passée auprès des internautes et téléspectateurs. Léa Salamé aurait-elle franchement manqué d’empathie ? C’est ce que lui reproche bons nombres de messages via les réseaux sociaux.

Peu spécialiste du sport, Léa Salamé a osé demander à la mère de Thaïs Méheust, jeune cavalière décédée il y a 5 ans écrasée par ce cheval, si elle en veut à ce « cheval qui a tué sa fille »… Indécent ?

Question ignoble selon certains commentaires de téléspectateurs des Jeux Olympiques, médusés devant cette maman en larmes.

La journaliste a-t-elle été trop loin ? « C’était le rêve de votre fille de gagner ces Jeux… Quand elle meurt, qu’est-ce qui se passe dans votre tête pour vous dire, je veux que son cheval, responsable d’une certaine manière de sa mort, aille aux Jeux sans elle ? »

Un autre extrait d’interview est également très commenté. Alors qu’elle reçoit sur le plateau de « Quels Jeux ! » Amandine Buchard, médaillée d’argent en judo, elle la coupe en pleine confession intime.

« On voit notre adolescence passer très très vite, parfois on ne la voit même pas, parce qu’il faut être performant », explique alors la judokate. Pressée certainement pas des messages dans l’oreillette lui indiquant que le temps imparti pour le direct est écoulé, Léa Salamé la coupe brusquement.

L’athlète vient d’ouvrir son cœur et confie que tout « ça l’a détruit ». Léa Salamé reprend un peu trop sèchement : « ça l’a détruit mais nous, on retient votre médaille, votre victoire. » Une transition (très) mal assurée selon la plupart des commentaires.

La folle histoire derrière le succès du Soudan du Sud, prochain adversaire de Team USA

C’est la plus jeune nation du monde. Et donc une curiosité de ces Jeux Olympiques de Paris 2024. Impressionnants vainqueurs de Porto Rico (90-79) en basket, ses joueurs défient la Dream Team des Etats-Unis mercredi soir. Découvrez qui est derrière la folle réussite de cette équipe…

Mercredi, 21 heures, les yeux du monde entier seront rivés encore une fois sur la performance des Etats-Unis, une équipe de légendes vivantes : LeBron James, Steph Curry, Kevin Durant, Jayson Tatum, Joel Embiid, Anthony Davis, etc. Mais beaucoup pourraient être surpris par le niveau du Soudan du Sud. Vainqueur de Porto Rico (90-79), la première victoire de leur histoire aux JO, cette équipe est l’attraction de ce premier tour.

On passe le couac de l’hymne national lors du premier match de basket face à Porto Rico… Et on se concentre sur l’histoire de cette sélection de basket. Qui n’aurait jamais pu arriver à un tel niveau sans l’aide d’un homme. Une star du basket mondial, ancien All Star NBA. Passé par les Bulls de Chicago ou les Lakers de Los Angeles, rien que ça.

Le Soudan du Sud est un pays nouveau. 10 millions d’habitants environ, aucun accès à la mer, et un indice de pauvreté parmi les pires du monde. Cet Etat dont la capitale est Djouba a fait sécession en 2011. Depuis, l’instabilité prédomine.

Ainsi, difficile de se construire sportivement. Ce pays n’a par exemple aucun terrain indoor. Dans ces conditions, on imagine bien les difficultés financières des fédérations sportives.

Alors, en basket, un homme providentiel est là : Luol Deng. Il finance l’équipe nationale lui-même, de sa poche ! Forcément, il est devenu le président de la fédération de basket du Soudan du Sud.

« Nous n’avons pas le privilège d’avoir des gymnases, des lieux où dormir, tout ce genre d’installations, c’est Luol qui a payé tout ça de sa poche pendant 4 ans… Il a payé les salles de sport, les hôtels, les avions, tous les billets de transport… Bravo à Luol, et à tout le staff, sans eux, nous n’aurions jamais pu réunir tous ces gars, former cette équipe », a expliqué récemment Royal Ivey, le coach du Soudan du Sud à Basket News.

Royal Ivey est un nom qui parle un peu aux plus fins connaisseurs de basket NBA. Natif de New York, éphémère joueur des Hawks d’Atlanta, il peut être fier du chemin accompli. Le Soudan du Sud vient de remporter la première victoire de son histoire aux Jeux. Et ne compte pas s’arrêter là. Prochaine étape, pour le plaisir et pour la gloire, face à Team USA, mercredi soir.

Paris 2024 : Grands débuts pour Clarisse Agbégnenou, le programme français de ce mardi 30 juillet

C’est le grand jour pour Clarisse Agbégnenou, cinq fois championne du monde, cinq fois championne d’Europe, championne olympique en simple et par équipe mixte. Elle débute ses Jeux, à domicile, avec énormément d’ambitions.

Grande journée pour le sport français en ce mardi 30 juillet. L’adjudante Clarisse Agbégnenou entre en lice. Dés 10 heures, le judo hommes et femmes prend place. À suivre en parallèle, la rencontre entre l’Espagne et la France en hockey sur gazon masculin, depuis le stade Yves du Manoir à Colombes.

Egalement à suivre ce matin, le retour dans les bassins de Léon Marchand, après sa première médaille d’or en 400 mètres 4 nages. De l’escrime, du waterpolo (Japon/France), de la boxe masculine… Et la star Simone Biles à suivre cet après-midi en gymnastique artistique.

À 17h15, nouveau rendez-vous basket important, la France du capitaine Nicolas Batum et de la star Victor Wembanyama défient le Japon.

Ce soir, l’équipe de France olympique de football de Thierry Henry tentera une troisième victoire en trois matchs à 19h, face à la Nouvelle-Zélande. En parallèle, les handballeuses défient le Brésil.

Ce soir, un choc France/Canada en volley masculin, du basket 3×3 hommes et femmes, et les finales de surf dans la nuit… Quel programme !

Clarisse Agbégenou a pris le temps d’envoyer un petit message de remerciement à ses nombreux soutiens sur les réseaux sociaux. Et oui, il n’y a pas que du négatif sur X…