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« C’est interdit de parler à Alain », Brigitte Bardot triste pour Alain Delon

Brigitte Bardot n’a pas sa langue dans sa poche. La chanteuse et comédienne s’est confiée avec son honnêteté habituelle au micro de RTL sur la situation familiale d’Alain Delon.

Depuis La Madrague à Saint-Tropez, Brigitte Bardot fait la promotion de sa nouvelle compilation (streaming et vinyle) de 27 morceaux choisis par ses soins, guidée par ses souvenirs. Et elle commente aussi l’actualité. Une actualité proche. Notamment celle d’Alain Delon, 88 ans, diminué par une maladie et placé sous curatelle renforcée le 4 avril dernier.

L’illustre comédien est d’ailleurs au centre d’une guerre médiatique dont Entrevue se faisait l’écho en exclusivité dans son magazine d’avril, via une interview exclusive et en longueur de son fils, Anthony.

Alain Delon est atteint d’un cancer et de problèmes cardiaques. Un quotidien difficile qui provoque l’empathie d’une amie de longue date : l’actrice et chanteuse Brigitte Bardot. 

« Non seulement je pense à lui, mais je pense que malheureusement, il est très très mal entouré », explique, cash, Brigitte Bardot sur RTL, « je pense qu’il aurait besoin de beaucoup d’amour, de compréhension et de tendresse. »

L’actrice confirme qu’il lui est désormais impossible d’avoir un contact direct avec son ami et elle le déplore : « On ne parle pas à Alain, c’est interdit de parler à Alain. Mais je peux, de temps en temps, avoir de ses nouvelles. »

La distance mise par les proches d’Alain Delon n’empêche pas Brigitte Bardot de continuer à dire le plus grand bien du comédien : « On s’adore, j’adore Alain. Il est comme un frère pour moi. Ce qui lui arrive m’atteint profondément. Ça me fait mal. » Elle explique par ailleurs que sa famille qui se déchire et « sa maladie le handicapent ».

Via cette curatelle renforcée, Alain Delon dispose toujours d’une autonomie, sauf en ce qui concerne ses ressources financières.

Maroc-Sahara occidental : la bourde de Netanyahou, Israël rectifie

Oh la boulette ! Dans une carte du monde arabo-musulman présentée jeudi soir par le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou sur LCI, le territoire marocain ne comprend pas le Sahara occidental… Tous les pays arabes apparaissent en vert, à l’image du Maroc, mais le Sahara occidental figure en blanc. Une bourde peu appréciée à Rabat.

Quelques heures plus tard, l’État hébreu a tenu à rappeler qu’il reconnaissait « la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental ». Comment une telle erreur a-t-elle pu être commise sans que cela ne soit voulu ? Dans cette interview très attendue, diffusée jeudi soir sur la chaîne d’info en continu de TF1, Benyamin Netanyahou a tout à coup sorti cette carte et annoncé : « Regardez la carte ici du monde arabe en vert, Israël c’est ce petit point rouge ». Mais c’est bien le Sahara occidental qui a retenu toute l’attention.

« Sous la direction du Premier ministre Netanyahou, Israël a officiellement reconnu la souveraineté du Maroc sur le Sahara occidental en 2023 », indique un communiqué officiel, diffusé en arabe. Histoire de remettre les choses au clair.

Forcément, les réseaux sociaux s’enflamment rapidement. Les captures d’écran fleurissent. De quoi agacer bon nombre de citoyens du monde entier. Le Maroc et Israël ont pourtant normalisé leurs relations en décembre 2020 dans le cadre des accords dits d’Abraham (processus diplomatique soutenu par les Etats-Unis pour faciliter la paix entre Israël et plusieurs pays arabes).

En s’asseyant à la table de la normalisation des relations avec Israël, le Maroc avait obtenu par les Américains la reconnaissance de la « souveraineté marocaine » sur le Sahara occidental. Manque de chance, Benyamin Netanyahou a brandi une « ancienne carte » à l’écran. Si le Maroc veut asseoir sa souveraineté sur cette zone d’Afrique du nord ouest, les indépendantistes sahraouis, soutenus par l’Algérie, tentent de se faire une place.

Kylian Mbappé sur CNN : « Je ne souhaite à personne de vivre ça »

Kylian Mbappé au Real Madrid, c’est comme si c’était officiel. En attendant, l’attaquant a rejoint les Bleus pour préparer l’Euro 2024 en Allemagne. Il en a profité aussi pour se confier à CNN. Le média américain l’a notamment interrogé sur sa prolongation de contrat au PSG en 2022…

Cette interview donnée dans le cadre des Globe Soccer Awards Europe, dont il a été élu meilleur joueur masculin, va beaucoup faire parler à Paris. En fin d’été 2021 puis à l’été 2022, il a été question de son départ au Real Madrid. Déjà. Concrètement. Mais le PSG l’avait fermement bloqué.

160M d’euros, puis 180M d’euros, les Madrilènes avaient frappé fort pour racheter la dernière année de contrat du buteur. Le joueur et son entourage sentent alors que c’est le bon moment pour tout le monde de se quitter. Ce n’est pas l’avis de la direction parisienne. Kylian Mbappé s’en explique : « C’était plus que simplement rester au PSG. Il y avait la Coupe du monde au Qatar. Il y avait beaucoup de choses autour de tout ça. C’était une grosse décision, une décision difficile… Mais je ne regrette rien ».

Contraint forcé de rester, l’attaquant est resté très professionnel et a continué à empiler les buts. La déception n’a donc été que de courte durée. Même si une certaine frustration a pu le faire cogiter. Logique. Les objectifs Coupe du monde 2022 et Ligue des champions l’ont bien vite occupé.

« Bien sûr, dans une carrière, tu dois prendre des décisions compliquées et c’est ce que j’ai fait. Mais je suis devenu le meilleur buteur de l’histoire du club et je veux juste me rappeler des bonnes choses. Ce n’était pas une situation facile et je ne souhaite à personne de vivre ça », témoigne le futur attaquant du Real Madrid dans un anglais toujours aussi parfait.

La fin de son histoire parisienne aura été un peu moins reluisante : mis au ban par son coach Luis Enrique depuis février, pas célébré comme il se doit pour son dernier match au Parc des Princes, des tensions sur le plan financier pour lui verser son salaire d’avril et certaines primes… De quoi le toucher mentalement. On comprend mieux pourquoi son niveau de jeu avait baissé depuis quelques mois.

Le jour où Laure Boulleau a surpris Emmanuel Macron torse nu !

Laure Boulleau fait les beaux jours du Canal Football Club sur Canal+. Mais l’ancienne joueuse du PSG et de l’équipe de France participe encore à certains matchs. Notamment avec le Variétés Club de France. Moins de 3 mois après avoir accouché d’une petite Clara, elle a même pu évoluer avec le Président de la République.

À l’occasion d’un match caritatif pour les Pièces jaunes, fin avril, à Plaisir (Yvelines), Laure Boulleau a pu taper la balle en compagnie d’Emmanuel Macron. Un moment unique. Tout comme ce jour de janvier 2024 où elle a reçu de ses main la médaille de l’ordre national du Mérite au grade de chevalier.

Au cours de cette rencontre où figurait notamment Eden Hazard, Robert Pires, Christian Karembeu, Laurent Blanc, Marcel Desailly, Didier Deschamps, Johann Neeskens, Didier Drogba, El-Hadji Diouf, Fabrizio Ravanelli, Mamadou Niang, Taye Taiwo ou Romarin Billong, Laure Boulleau a pu côtoyer beaucoup d’ex-gloires du football. Et partager le vestiaire avec le Président de la République. Un moment intime qu’elle raconte chez Guillaume Pley, dans « Legend », son émission disponible sur YouTube.

« C’est un peu surréaliste, tu as l’impression d’être dans un film de science-fiction », confie-t-elle, tout sourire. « Il arrive. Il devait se changer et, comme j’étais la seule fille dans le vestiaire, je me suis dit: ‘Tiens, je vais rester incognito dans un angle, ça va être trop drôle’. Le voir en maillot de foot, c’est drôle, mais le voir en sous-vêtements, c’est encore mieux. »

Au moment où l’on s’attend à des révélations sur ce moment privé dans le vestiaire, Laure Boulleau tempère : « En fait, il y a quelqu’un du cabinet du Président qui est venu : ‘Je pense que ce serait bien que vous sortiez du vestiaire le temps que le Président se change’ (voix grave). Je suis sortie, on m’a mis un petit coup de pression quand même… Mais il a changé son maillot à la mi-temps, donc je l’ai quand même vu torse nu. Ça m’a faire rire, c’est lunaire ! »

Une scène un peu hors du temps. Un moment que Laure Boulleau n’aurait jamais imaginé vivre.

Qui a dit « Marseille n’est plus vraiment une ville française ? »

C’est la polémique du jour. Pas besoin de laisser du suspense, invité de la matinale de BFM TV, c’est Éric Zemmour qui accapare l’attention. Interrogé au sujet du trafic de drogue qui gangrène la France, l’homme politique a fait vivement réagir.

« Vous savez qu’en France, aujourd’hui, il y a le double de points de deal que de McDonald’s ? » Poursuivant : « Et pourquoi il y en a partout ? Parce que Emmanuel Macron a répandu l’immigration partout en France. » Certains commentaires publiés sous l’extrait vidéo sur X plaisantent de cette comparaison : « J’ai toujours pensé qu’il y avait trop de fast food en France »…

Corrélation entre trafic de drogue et immigration, un lien évident selon Eric Zemmour. Un vaste sujet qui aurait mérité un peu plus d’explications, notamment d’évoquer l’impact de la pauvreté. De même, la question de la légalisation du cannabis aurait pu lui être à nouveau posée afin de régler ou non le problème du trafic de drogue.

« Pourquoi Marseille est le coeur de tout ça ? Parce que Marseille n’est plus vraiment une ville française. C’est encore sur le sol français mais la population ne vit plus là-bas selon les canons français. »

Forcément, sur les réseaux sociaux, les commentaires outrés pleuvent : « Vous ne connaissez rien au sujet », « vous faites des liens là sortis de nulle part » ou encore « rien à voir. C’est le résultat de 50 ans de prohibition. Il n’y a plus de points de deal au Canada ».

Mosaïc : Redouane Bougheraba, deux invités surprise… Prêts pour le show football, humour et musique de l’année ?

L’événement prend de l’ampleur. Pour sa 4e édition, Mosaïc s’installe le dimanche 26 mai aux Folies Bergères à Paris. Ce show unique qui réunit football, stand-up et musique sera à nouveau capté par Amazon pour une diffusion du « Champions Rire 2 » à l’automne (uniquement la partie humour).

Entrevue a pu interroger un des fondateurs de ce concept de soirée fait pour rassembler et mélanger les genres. Malick Sall est bien connu des artistes et sportifs puisque sa conciergerie est à leur service depuis une dizaine d’années. Désormais, avec les autres co-fondateurs (Mohamed Miskakah, Nordine Kebir, Xavier Isaia et Smaïl Bouabdellah), il passe une partie de son temps à organiser ce show aux multiples dimensions.

Thibaud Vézirian. Malick, c’est la 4e édition de Mosaïc, qu’est-ce qui va rendre l’événement spécial cette année ?

Malick Sall (Mosaïc). Bénéficier de Redouane Bougheraba en tant qu’host (animateur) de la soirée, c’est déjà quelque chose de très spécial. Avec son énergie, on sait qu’on ne va pas s’ennuyer. Il prendra la parole entre chaque performance d’artistes. Il y aura par exemple Nordine Ganso, Ahmed Sparrow, Booder, Bun Hay Mean, Ilyes Mela, Emy Bng, Charles Nouveau, Younes Depardieu, Sacko Camara ou Meryem Benoua. La partie musique sera cette année assurée par Imen Es. La chanteuse aux près de 1 millions d’abonnés sur Instagram.

Football, stand-up et musique, ça n’existe nulle part ailleurs ce format… À quoi doit-on s’attendre ?

Au départ, en 2020, en plein Covid, on s’est dit qu’on allait créer un événement pour rassembler les gens. Marre de voir la société se diviser, marre de ne pas se voir. Alors avec Nordine Kebir et Mohamed Miskakah de la société MK Best, on a pensé réunir tout ce qu’on aime : le football, rire et la musique. Ce sont des univers différents mais avec des gens qui se ressemblent aussi. Et qui s’adorent. MK Best organisait des matchs de foot avec des personnalités depuis 15 ans, donc ils avaient déjà de l’expérience dans le domaine de l’événementiel. Mosaïc s’est donc fait naturellement. D’abord au Parc des princes puis au Cirque d’hiver. Et cette année aux Folies Bergères.

Les humoristes adorent chambrer le public, il y aura encore des têtes connues dans la salle le 26 mai ?

Des footballeurs et anciens footballeurs ont en effet prévu de venir assister au spectacle. Notamment Robert Pires, Eric Abidal, Olivier Dacourt et des joueurs du PSG. Mais les concernant, ça dépendra du résultat de la finale de la Coupe de France face à Lyon la veille. Si ils perdent, je doute qu’ils aient envie de venir rigoler. On ne peut pas tout dire sur la soirée : il y aura deux belles surprises cette année parmi les invités. Je n’en dis pas plus.

Vous pensez à délocaliser le spectacle hors de Paris ?

On nous a déjà proposé de venir à Monaco et à Marseille… Mais aussi à Dubaï et au Qatar. Alors, oui, pourquoi pas Marseille pour commencer ? Dès l’année prochaine. Ce serait beau de proposer de plus grandes salles et un encore plus gros show.


Mosaïc « Champions Rire 2 », aux Folies Bergères (Paris), le dimanche 26 mai. Ouverture des portes à 19h. Billetterie disponible ici : https://www.foliesbergere.com/fr/manifestation/225/champions_rire_2

Léa Salamé : « Ce qui compte, c’est qu’il y ait un moment »

C’est la magie des réseaux sociaux. Une boîte à archives qui vous fait ressortir une petite phrase de nulle part. Ces dernières heures, c’est Léa Salamé qui en fait les frais. Les propos de la journaliste de la matinale (7/9H) sur France Inter et de l’émission Quelle époque sur France 2 font énormément réagir.

En cause, l’extrait d’un entretien donné au média en ligne Konbini. Cette interview date d’avril 2023. Une petite phrase était complètement passée en dehors de radars et de la vigilance de certaines langues de vipère sur X (ex-Twitter). Et aussi des fervents défenseurs du métier de journaliste.

Léa Salamé possède sa propre théorie sur l’information et la recherche de la vérité. Une théorie qui ne colle d’ailleurs pas tout à fait avec ce que certains ont comme image du métier de journaliste.

« Le plus important, évidemment que ce n’est pas la question, c’est le moment. Ce n’est même pas la réponse, c’est le moment. C’est-à-dire que peu importe la question, peu importe la réponse. Il faut qu’il y ait un moment. Moi, mon obsession le matin sur Inter, par exemple, c’est qu’il y ait un moment. C’est pas d’aller chercher, déceler la vérité, c’est qu’il y ait un moment. »

Voilà une journaliste qui aurait donc abandonné l’idée d’aller chercher la vérité auprès de ses interlocuteurs. Surtout si on sort sa phrase du contexte. Léa Salamé préférant donc « la séquence forte », « le buzz », comme l’analysent beaucoup d’internautes via les réseaux sociaux.

Une curieuse conception du journalisme, qui fait bondir les fervents défenseurs du métier. Le journalisme a beaucoup évolué ces dernières années. La société, aussi, parallèlement. On dit souvent que le journalisme est aussi un reflet de la société.

En effet, les directions de plusieurs médias cherchent dorénavant les reprises. Une émission qui ne fait pas réagir sur les réseaux sociaux, dont les extraits ne sont pas repris par l’AFP ou d’autres médias, n’est plus une bonne émission…

La course à l’audience, aux clics, passe par l’engagement des auditeurs/téléspectateurs/viewers. Et susciter des réactions négatives sur un sujet est le gage d’obtenir de bonnes audiences. Un cercle vicieux.

Rima Hassan et Manuel Bompard exaspérés par les questions d’Oriane Mancini

Une question qui ne passe pas. Ni pour Manuel Bompard, ni pour toute la France Insoumise, révoltée à ce sujet sur les différents réseaux sociaux. Ce lundi 29 avril 2024, dans « Bonjour chez vous » (Public Sénat), Oriane Mancini interviewe Manuel Bompard pour commenter l’actualité et notamment les blocages devant Sciences Po Paris.

À ce sujet, Oriane Mancini l’interpelle : « Juste, il y a tweet de Rima Hassan, publié vendredi, et qui dit ‘Venez à Sciences Po, l’heure est au soulèvement’. Est-ce que vous appelez au soulèvement ? (…) Est-ce que vous savez comment on traduit ‘soulèvement’ en arabe ? »

Oriane Mancini répond elle-même : « On traduit ça ‘intifada’. Est-ce que vous appelez à l’intifada ? » Une référence aux centaines de morts en Palestine et en Israël lors des intifadas de 1987 à 1993 puis de 2000 à 2005.

Visiblement très surpris, Manuel Bompard réagit aussi sec : « Et en Polonais ? Mais qu’est-ce que c’est que cette histoire ? ».

« On imagine que Rima Hassan qui est franco-palestinienne n’a pas utilisé ce mot complètement au hasard », ose encore Oriane Mancini. « Non, Madame, franchement. S’il vous plaît. Vous pensez que parce que madame Rima Hassan est franco-palestinienne, il faut traduire l’ensemble des mots qu’elle utilise ? Elle a utilisé ce mot pour ce qu’il veut dire en France. Ça veut dire ‘révoltez-vous face au fait que vous avez un pouvoir politique aujourd’hui qui ne fait rien de conséquent pour que ces massacres s’arrêtent’. Tout simplement », a répondu le responsable de la France insoumise. 

Un échange virulent en plateau et un fort écho via les réseaux sociaux. Sur X, Manuel Bompard assure que « ce racisme est insupportable ». Rima Hassan, en personne, rebondit sur cette affaire : « Bonjour Oriane Mancini, ça va le racisme ordinaire ? ». Puis elle va jusqu’à publier une liste de plusieurs tweets likés (aimés) par Oriane Mancini. Où celle-ci aurait manifestement le soutien de citoyens proches d’Eric Zemmour ou de l’extrême droite. Les deux camps se rendent coup pour coup.

« Mais où sommes-nous ? Où sont les questions sur les charniers découverts à Gaza ? Sur la libération des otages ? Il faut que cesse ce débat médiatique asphyxiant », ajoute Clémentine Autain. « Cette séquence est écœurante. Public Sénat, c’est ça votre vision du service public ? », questionne Clémence Guetté.

Du « journalisme raciste » pour Paul Vannier, député LFI du Val d’Oise. Enfin, le toujours très connecté Thomas Portes n’y va avec le dos de la cuillère : « Vous êtes à vomir ! », du « racisme ordinaire ».

Soucieuse de ne pas en rajouter, la chaîne Public Sénat a réagi sobrement à la polémique via Pure Médias : « La journaliste de Public Sénat a fait preuve de professionnalisme en analysant la position d’une candidate à l’aune des thématiques qu’elle a décidé de mettre en avant, en l’espèce la Palestine ».