Quand Thierry Henry, consultant pour la chaîne anglaise CBS, interviewe son ex-joueur de l’équipe de France olympique Maghnes Akliouche, cela laisse place à une séquence entre sourires et malaises...
Remarquable buteur face au FC Barcelone, jeudi soir au stade Louis II, dans la victoire de l’AS Monaco en Ligue des Champions (2-1), le milieu offensif international espoir Maghnes Akliouche n’en finit plus d’impressionner.
Après la rencontre, où il aurait pu être l’homme du match à la place du dernier buteur George Ilenikhena, Maghnes Akliouche a répondu aux questions de CBS Sports.
Sur le plateau, en compagnie de Jamie Carragher et Micah Richard, Thierry Henry est situé juste à côté de la présentatrice Kate Abdo, qui lui confie l’interview de son ancien joueur.
On sent alors que ce n’est pas spécialement préparé : « quelles émotions as-tu ressenti quand tu as inscrit ton but ?« , « quel est l’objectif de la saison de l’AS Monaco?« , « est-ce que tu penses que tu peux aller chercher les 10 buts cette année ?« … Thierry Henry a endossé d’un peu trop près le costume de journaliste. Et un peu moins celui de consultant spécialiste.
Des questions qui appelaient des réponses bateau. Même le joueur de 22 ans a paru un peu désabusé, rentrant dans des poncifs sans intérêt. Son langage corporel faisait office de réponse.
La seule question vraiment intéressante est finalement venue de Kate Abdo : « comment était Thierry Henry comme entraîneur ?« . De quoi faire sourire le plateau.
C’est ce mardi que l’on connaîtra l’avenir à court terme des Girondins de Bordeaux. Le redressement judiciaire devrait être prolongé par le Tribunal de commerce, le club aurait aussi pu être tout simplement liquidé. Mais Gérard Lopez, son président et propriétaire, garde confiance. Contre vents et marées.
Rétrogradé en National 2 (la 4e division), les Girondins de Bordeaux sont un ovni dans le paysage du football amateur. Et son propriétaire, Gérard Lopez, est un paria dans celui du football français. Coupable d’avoir laissé s’accumuler des millions d’euros de dettes et d’avoir fait descendre le club de L1 en N2, le patron s’accroche. Comme il l’affirmait encore haut et fort à Sud Ouest et France Bleu Aquitaine, lundi.
Bordeaux peut-il encore tomber plus bas ? « Notre budget et les processus légaux et financiers sont en place. Le budget net s’élèvera entre 7 et 8 millions d’euros. La masse salariale joueurs en représente comme toujours la plus grosse partie. Il a fallu que je fasse un apport et il est possible que je doive en faire encore un petit mais on est dans les clous.Nous sommes dans une période d’observation où nous ne sommes pas libres gestionnaires, toutes les décisions sont prises avec l’aval du tribunal. On a une bonne relation avec eux. On a toujours fait ce qu’ils nous ont demandé. Nous y allons sereinement.«
Est-il encore l’homme de la situation ? « Aujourd’hui, j’ai envie de faire remonter un club qui déchaîne les passions. J’ai juste envie que le club se retrouve là où il doit être. Je n’ai aucun agenda. J’ai participé à amener le club là où il est aujourd’hui. C’est pour ça que je n’ai pas envie d’abandonner le navire et que je veux aider le club à remonter«
Va-t-il vendre le club ? « Il faudra faire entrer un investisseur, éventuellement que je réinvestisse aussi, ce que je suis prêt à faire. Je pense qu’on peut nettoyer le bilan de manière intelligente. Il serait cavalier de vous dire à combien l’endettement peut tomber, car les négociations n’ont pas encore commencé, mais j’ai une idée assez claire. Je pense que ce sera fait de manière très importante.«
Côté sportif, l’information du site Girondins4ever parue il y a une quinzaine de jours se confirme : L’ex-joueur de Newcastle, Liverpool, West Ham ou Amiens, Andy Carroll, est enregistré les rangs du club au scapulaire. Une prise de taille, avec cet attaquant international anglais de 35 ans (1m93). Reste à savoir comment ce grand professionnel va s’adapter au monde (et au jeu) amateur.
C’est un retour aux sources pour l’ex-animateur de la Matinale de BFM TV puis de RMC. Après son come back médiatique sur Sud Radio à l’été 2022, le journaliste 75 ans va reprendre à la rentrée l’animation de la Matinale de la station.
C’est une information TV Mag de la journaliste Sarah Lecoeuvre : deux ans après avoir été écarté de BFM TV/RMC par Marc-Olivier Fogiel, dont il a animé la tranche du réveil entre 2001 et 2020, Jean-Jacques Bourdin revient à ce qu’il connaît bien : animer une Matinale d’information.
À partir du lundi 2 septembre, de 7h à 9h, tout en conservant son interview politique de 8h30, le journaliste, accusé d’agression sexuelle et licencié en 2022 de BFM/RMC (la plainte a été classée sans suite), remplacera Patrick Roger et retrouvera donc les réveils nocturnes ainsi que le plateau de Sud Radio.
La France est concentrée sur l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Rien d’autre, semble-t-il. Interviewé ce mardi soir, au 20 heures, à trois jours de la cérémonie d’ouverture des JO, Emmanuel Macron s’est montré déterminé.
« Jusqu’à la mi-août, on doit être concentré sur les Jeux, et à partir de là, ce sera de ma responsabilité de nommer un Premier ministre. » Une sorte de trêve olympique revisitée. Emmanuel Macron confirme qu’il ne nommera pas de nouveau gouvernement avant la fin des JO.
Interrogé par Nathalie Ianetta et Thomas Sotto pour France 2, France Inter et France Info, le Président de la République affirme qu’il souhaite de « la stabilité » et ne souhaite pas « créer un désordre » alors que les ministres engagés auprès des Jeux ont eu « un engagement remarquable ».
« Dés qu’on le pourra, ma volonté, c’est de constituer un gouvernement en effet, le pays a besoin d’un gouvernement pour prendre les décisions, préparer un budget » avec « le rassemblement le plus large pour lui permettre d’agir et d’avoir de la stabilité ».
Déjà beaucoup de commentaires politiques via les réseaux sociaux, notamment sur X. La députée écologiste Sandrine Rousseau n’a pas manqué le Président : « Emmanuel Macron qui cadenasse tout, jusqu’à mi-août, pour ne pas avoir à reconnaître que nous sommes arrivés en tête », estime-t-elle.
Entendu pour la première fois depuis les élections législatives anticipées, Emmanuel Macron a aussi estimé que le Nouveau Front populaire « n’avait pas obtenu de majorité qu’elle qu’elle soit » à l’Assemblée, rejetant de facto la proposition de la gauche de nommer sa candidate, Lucie Castets, à Matignon.
Côté Nouveau Front Populaire, Jean-Luc Melenchon n’a pas apprécié. Sur X, il fulmine une nouvelle fois : « Le Président refuse le résultat de l’élection et veut nous imposer de force son nouveau Front républicain et nous obliger à renoncer à notre programme pour faire une alliance avec lui. Il n’en est pas question. Respectez le vote des Français. Il doit se soumettre ou se démettre ! » Aucune démission d’Emmanuel Macron n’est envisagé.
C’est la première fois qu’en France que l’on désigne un ancien sportif en tant que capitaine de l’équipe de France des Jeux Olympiques. L’ex-légende du handball Jackson Richardson sera auprès des athlètes pendant toute la durée des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Rencontre avec l’ancien meilleur joueur de handball de la planète (1995), désormais grand-père et père d’un champion olympique (Melvyn Richardson).
Il se confie à Entrevue le lendemain de ses 55 ans, un anniversaire fêté chez lui, sur l’île de la Réunion, quelques jours après avoir été porteur de la flamme olympique. Tout un symbole.
Thibaud Vézirian. Être capitaine de l’équipe de France Olympique et chef de mission Olympique, ça consiste en quoi ?
Jackson Richardson. J’ai un objectif avec le CNOSF, le Comité National Olympique des Sportifs Français, c’est de mettre les athlètes en conditions idéales pour pouvoir performer. Faire ce qu’ils savent faire du mieux possible et récupérer le maximum de médailles. Je m’occupe de tout ce qui est logistique, les accréditations, l’hébergement, les transports, tout ce qui doit les mettre dans les bonnes conditions. Mon rôle est d’être proche des athlètes, de pouvoir apporter aussi mon expérience et surtout de créer une unité. Je dois accompagner ces personnes-là, même dans les moments difficiles. Un rôle de grand frère. Et leur premier supporter.
Quatre participations aux Jeux, une médaille de bronze à Barcelone, meilleur joueur du monde en 1995, double champion du monde, un style unique avec des dreads légendaires, porte-drapeau à Athènes 2004. Vous avez une bonne étoile ?
Bien sûr. Un grand oui. Là, justement, quand je viens ici, je suis chez moi à La Réunion, à Saint-Pierre, dans ma famille. C’est une force. Quand je vais dans la rue, je vois des personnes avec qui j’étais à l’école qui vivent aujourd’hui dans la rue. Ne jamais oublier d’où je viens. C’est ce que me dit toujours mon père, ces valeurs-là. Un arbre qui n’a pas de racine n’a pas d’intérieur.
Vous avez raconté avoir été moqué en arrivant de la Réunion. On vous disait d’articuler, de descendre de votre cocotier, du racisme pur des années 80-90. Vous n’étiez pas le bienvenu ?
Je n’avais pas vraiment de problème de racisme. On me faisait juste comprendre que je n’étais pas forcément à ma place. Je n’avais pas cette facilité à m’exprimer en Français. J’étais jeune, j’avais peur de faire des fautes de Français et l’habitude de parler uniquement le Créole.
Sur fond de racisme, vous aviez pris une claque en politique, en 1994…
Je jouais à l’OM-Vitrolles. Le maire de Vitrolles m’a donné l’opportunité de pratiquer mon sport et de gagner ma vie. En fait, le président Jean-Claude Tapie et le maire de Vitrolles avaient comme opposition le Front National. On m’a demandé de faire un discours pour parler de ma ville. Si le FN passait, fin de la subvention pour le handball. J’ai parlé mais je ne me suis pas rendu compte de l’impact que ça allait avoir. Je rentre chez moi, je vois Jean-Marie Le Pen dans les JT de 20 heures déclarer : « ce noir américain depuis pas très longtemps naturalisé ne devrait s’occuper que de son sport au lieu de la politique »… Pendant deux ou trois mois, je ne répondais plus au téléphone car je recevais des menaces de mort. J’étais obligé de changer de chemin car j’avais peur d’être suivi entre Vitrolles et chez moi. La politique, j’ai compris… Il y a des choses avec lesquelles il ne faut pas jouer.
C’est terrible…
J’en parle parce que c’est ce que j’ai vécu. Quand je jouais en Allemagne, j’étais le joueur de couleur. Vous partez en déplacement et on vous fait des bruits de singes pendant le match. Ça me transformait, j’avais envie de faire plus à cause de ça. A la fin du match, ces gens-là demandaient des autographes. J’en rigolais.
Vous voulez en savoir plus ? Retrouvez dès maintenant l’intégralité de cette interview exceptionnelle dans le nouveau numéro d’Entrevue juillet-août, actuellement en vente.
Un match étouffant. Un suspense à son comble. Les supporters pensaient même que ce 8e de finale de l’Euro entre la France et la Belgique allait nous emmener jusqu’au bout de la nuit, aux tirs au but. Mais Randal Kolo Muani est entré, plein d’envie, son tir croisé a été dévié… et voilà les Bleus en quarts de finale.
À vaincre sans péril, on triomphe sans gloire… Les Bleus sont qualifiés. Non s’en nous avoir fait piquer du nez. Au terme d’un match sans spectacle, sans rythme et sans grosse occasion de but, l’équipe de France a une nouvelle fois envoyée ses cousins belges à la maison.
Alors forcément, après la rencontre, l’heure est au soulagement. Les Bleus sont en quarts de finale et joueront vendredi un gros morceau : le Portugal ! À moins que la Slovénie ne créé l’exploit ce soir…
Interrogé par un journaliste, Antoine Griezmann l’a mauvaise que l’on puisse critiquer les Bleus. Le joueur clé de l’Atlético de Madrid a dû s’adapter, lui qui n’avait plus jouer ailier droit depuis des années. Une position qui ne lui convient guère. Lui, si brillant habituellement, en arrive à déjouer dans cet Euro.
« C’était encore un nouveau système pour nous, il faut s’habituer. Mon positionnement sur le côté ? Je l’ai appris ce matin. Je suis au service du coach et de l’équipe, on s’adapte. Un sacrifice ? Non, ça va être mal repris. Le coach m’a dit de jouer ici, je joue ici. Peu importe où je joue, je vais me donner à fond. Il sait où j’aime jouer, mais je vais toujours tout donner pour l’équipe, pour ce coach. Il a confiance en moi et j’essaye de lui redonner. »
Mais c’est la petite phrase suivante qui va bien sûr faire couler le plus d’encre (expression d’un autre temps). Ou générer le plus de réactions sur les réseaux sociaux.
Alors que le journaliste de BeIn Sports l’interroge, « petit score mais qualification pour les quarts», Grizou répond du tac-au-tac, « faites pas chier avec un petit score ou quoi, on est en quarts ». C’est le principal, en effet. La petite phrase a été coupée au montage avant de mettre en ligne le replay de l’interview d’après-match…
Interview – Des surprises en pagaille, notamment la présence sur scène du combattant Cédric Doumbé. Redouane Bougheraba esr l’humoriste numéro 1 en France actuellement. Il vient de remplir mercredi et jeudi l’Accor Arena, avec un spectacle rebaptisé « On m’appelle Bercy ».
Plus de 1,4 millions d’abonnés sur Instagram, des vidéos qui totalisent plusieurs millions de vues, des salles pleines… Un engouement rare pour un artiste français. Pour Entrevue, le Marseillais revendiqué se livre, quelques minutes après être sorti de scène. À retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
Thibaud Vézirian : Redouane, tu seras le samedi 22 juin au milieu de l’Orange Vélodrome, pour une représentation unique de ton spectacle. Un rêve de gosse ?
Redouane Bougheraba : C’est exceptionnel ! À Marseille, ma ville, réunir tous ces gens… J’ai fait une réunion aujourd’hui avec la production, on a 27 000 billets vendus. On devrait être à plus de 30 000 quand le magazine va sortir. Et on table sur 40 à 50 000 spectateurs. Je pensais pouvoir faire venir tous ces gens en deux ou trois ans de spectacle mais pas en un soir.
Beaucoup t’ont déjà vu en tournée, sachant qu’avant l’Orange Vélodrome, tu auras déjà rempli l’Accor Arena (Paris) deux fois et la LDLC Arena (Lyon). Marseille sera un show unique ?
Plus de 350 000 spectateurs sont déjà venus sur la tournée. Donc oui, à Marseille, ce sera un nouveau spectacle. Il va y avoir des guests (NDLR : des invités), ça va être un événement unique et historique. Pour faire un stade, tenir les gens, il faut vraiment réaliser un spectacle visuel. Avec beaucoup d’émotions. Il y aura toute ma famille et aussi toute la famille artistique. On va faire un truc de malade ! De grande envergure. À la maison, avec des invités marseillais, voire internationaux. Je ne peux pas en dire plus mais il va y avoir de la musique aussi. On va essayer de choquer les gens ! Coachella, tu connais ? Mais à Marseille !
Thibaud Vézirian : Tu as pris une ampleur énorme sur les réseaux sociaux et dans l’univers médiatique. Sur scène, ça paraît très sportif. Tu as une préparation spécifique ? Tu as embauché un staff ? Préparateur physique, mental ? Comme un footballeur…
Redouane Bougheraba : Je reviens d’Inde, pour le tournage d’un film. J’allais tous les jours à la salle de sport. Je fais attention à la nutrition. J’ai perdu 8 kilos ! J’essaie d’arriver fit pour cet événement, comme un grand match. Je me prépare comme une finale de la Champions League ou un match de la Coupe du Monde. Je te jure, je me dis qu’il faut que je sois au top physiquement et psychologiquement. Mais ça va, j’ai plein de potes coachs, je connais plein d’anciens pros, plein de gars qui me suivent et m’envoient de la force, des conseils. L’Orange Vélodrome, c’est un gros événement, on ne va pas se rater. Tu ne peux pas arriver en surpoids. C’est une finale.
Une finale, ça se gagne…
Il faut qu’on mette l’impact physique. Après, je sais que les blagues seront là, le spectacle va être rôdé, il va être exceptionnel. Mais on ne laisse rien au hasard. On ne laisse rien passer. Je dois arriver physiquement au top.
Interview à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
La décadence d’une star d’Hollywood. En quelques années, l’acteur américain Kevin Spacey est passé de millionnaires à un homme endetté. Voire ruiné. Interrogé par Piers Morgan, il a fondu en larmes.
Frank Underwood (House of Cards) a perdu de sa superbe. Au fil des saisons de la série, certes. Mais aussi dans la vraie vie. Kevin Spacey est tombé de son piédestal.
Interviewé par Piers Morgan pendant près d’1h30, le comédien et réalisateur américain n’a pu cacher ses larmes. Depuis 2017, il a tout perdu. Le sexagénaire a notamment évoqué les accusations fallacieuses dont il a fait l’objet. Accusé d’agressions sexuelles par plusieurs hommes, la star a été acquittée de toutes les charges retenues contre lui.
Jeté en pâture, il déclare qu’il a failli mettre fin à ses jours. Piers Morgan revient avec Kevin Spacey sur plusieurs années terribles pour le comédien. Adulé puis détesté, peu de gens ont finalement noté qu’il avait été acquitté.
Kevin Spacey traverse une bien sombre période. Ce mardi 11 juin 2024, l’acteur, réalisateur, scénariste et producteur de cinéma américain était l’invité de Piers Morgan sur le plateau de son émission. L’occasion pour le sexagénaire d’évoquer les accusations dont il a fait l’objet.
Kevin Spacey avait été condamné à payer 31 millions de dollars à la production de House of Cards, série dont il avait été renvoyé suite aux accusations de harcèlement sexuel. La société de production avait reçu des dommages et intérêts suite à la perte de revenus liée au renvoi de l’acteur vedette. La sixième saison de la série ayant été remodelée en dernière minute.
Celui qui a obtenu deux oscars durant sa carrière est endetté « de plusieurs millions ». Il avoue ne plus être en mesure de payer ses factures : « Je dois encore payer des frais juridiques. Je suis en dette, de plusieurs millions ».
« C’est drôle que vous posiez cette question, parce que cette semaine, ma maison à Baltimore doit être vendue. Je dois y retourner pour récupérer mes affaires« , répond-t-il à Piers Morgan après que l’animateur lui ait demandé où il vivait. « Je ne suis pas sûr du lieu où je vais vivre maintenant ».
C’est en 2017 que l’acteur Anthony Rapp l’accuse d’harcèlement sexuel, en pleine vague MeToo. Des faits qui remontent à 1986, alors qu’il n’avait que 14 ans. De nombreuses victimes avaient brisé le silence.
En 2022, Kevin Spacey est jugé non coupable d’attouchements sexuels. Puis à nouveau reconnu non coupable d’agressions sexuels sur quatre hommes dans son procès londonien en 2023. Mais bel et bien coupable d’avoir fait perdre de l’argent à la société de production d’House of Cards.
Dans cette interview, Kevin Spacey révèle par ailleurs qu’Elton John a été le premier à lui envoyer un message de soutien lorsqu’il a été accusé à tort d’agressions sexuelles.