Les premiers commentaires ne sont pas vraiment élogieux. Le clip d’Arielle Dombasle, sorti à un mois des Jeux Olympiques, a fait saigner quelques tympans… Mais aussi piqué les yeux. Explications.
Chacun célèbre les Jeux à sa façon. Arielle Dombasle a choisi un clip. Une chanson. Intitulée Olympics. Jusque-ici, tout va bien. Mais en reprenant l’air de la Septième Symphonie de Beethoven, elle n’a pas choisi la facilité. Et la réalisation de la vidéo étonne. Voire détonne.
Toujours bonne cliente des médias, celle qui excelle dans les Grosses Têtes sur RTL, avait d’ailleurs récemment déclaré être « prête à nager (dans la Seine), pourquoi pas, je suis une grande nageuse ».
« Il semble qu’il y ait eu vraiment tout un système d’épuration extraordinaire. Je suis sûre qu’il y a beaucoup d’ingénieurs ou de physiciens qui se sont penchés sur la question. Je suis sûre qu’on ne va pas empoisonner tous nos athlètes. Oui, je suis prête à évidemment y plonger. » Tant mieux, car ce n’est pas l’avis de tout le monde.
Dans ce clip pétillant, tourné au Musée des Arts Décoratifs de Paris, Arielle Dombasle est entourée par des acteurs jouant le rôle d’athlètes olympiques. « C’est moi qui ai mis les paroles sur ces harmonies », explique-t-elle dans les Grosses Têtes. « Ce sont des athlètes d’une beauté, qui dansent, qui se déploient dans l’espace, c’est quelque chose d’exaltant. »
Ce titre, dont les paroles sont difficilement compréhensibles, n’a pas encore reçu de commentaires vraiment positifs. Sur les réseaux sociaux, c’en est même devenu une partie de rigolade. « Ce pays va mal », peut-on lire ici. Ou encore ici : « Ca se fait une reconstruction des tympans ? Parce que j’avais un couteau en main et j’ai craqué ».
Lors de la venue de la flamme, Arielle Dombasle chantera également sur le parvis de l’Hôtel de ville à Paris, le 14 juillet, avant de se produire en Île-de-France.