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L’OM attire Adrien Rabiot, l’improbable transfert de dernière minute

L’Olympique de Marseille vient de faire fuiter ce soir une énorme information mercato, relayée par le grand manitou des infos transfert, l’Italien Fabrizio Romano. Adrien Rabiot serait tout proche de s’engager avec le club phocéen. Un deal confirmé aussi par le patron des South Winners, Rachid Zeroual.

À 29 ans, après 5 saisons en Italie à la Juventus Turin, le milieu international français n’a plus de club. Malgré sa fin de contrat et son statut de joueur libre, aucun club de « Ligue des Champions » ou jouant la future « Coupe du monde des clubs » en juin, n’a daigné s’intéresser vraiment à lui cet été. Ces deux critères étaient ceux du clan Rabiot, soucieux de voir évoluer le joueur encore une fois chez un grand d’Europe. Une certaine logique vu le niveau du joueur.

Rembarré par la Juventus après un rendez-vous infructueux selon la Vieille Dame, comme Entrevue l’avait dévoilé en exclusivité en juin, Adrien Rabiot a attendu tranquillement la fin de l’Euro pour se soucier de son avenir. Sauf que les soucis financiers de beaucoup de clubs, qui doivent réduire la voilure, n’ont pas permis de folie cet été.

Quand un joueur international devient libre, son camp espère toujours obtenir un très beau contrat : prime à la signature conséquente et salaire adéquat. Adrien Rabiot a attendu, en vain. Au point de ne pas être convié par Didier Deschamps lors du dernier rassemblement.

Justement, c’est pendant la trêve internationale que l’OM se serait penché sur le « cas Adrien Rabiot ». Fervent supporter de l’Olympique de Marseille quand il était adolescent, malgré sa formation au Paris-Saint Germain, le joueur aurait été très à l’écoute des arguments marseillais.

Un duo Pierre-Emile Højbjerg-Adrien Rabiot au milieu de terrain fait déjà rêver les supporters marseillais. Un duo d’internationaux que l’OM n’aurait jamais pu faire signer avant l’été 2021, date à laquelle le club a pris un étonnant virage économique et sportif. Avec des investissements massifs sur le marché des transferts.

L’arrivée possible d’un tel joueur finit par ne plus trop étonner certains supporters, qui ne se souviennent plus des saisons difficiles, entre 2016 et 2021 par exemple, avec si peu de talents sur la pelouse.

Qui dit Adrien Rabiot, dit grosses primes et gros salaire. Pour une grosse place dans le vestiaire. Du côté de l’OM, on laisse entendre que le joueur aurait fait des « efforts énormes » pour venir. Pas vraiment le style de la maison. Mais pour jouer pour Roberto De Zerbi et devant un Orange Vélodrome incandescent, certains joueurs seraient prêts à jouer gratuitement. Ou presque. Jolie histoire.

La réalité, c’est que son salaire restera conséquent et assez surprenant si on se réfère à la situation globale de la L1, les droits TV et le fait que l’OM ne joue aucune Coupe d’Europe. Mais depuis 2021, l’OM n’est plus à une bizarrerie économique près. Et ne parlons pas de sa prime à la signature, un sujet qui devrait rester mystérieux quelques temps. Mais une prime qui généralement en décide plus d’un…

À vrai dire, peu importe le mic-mac financier. Avec le rapatriement en L1 d’un titulaire de l’équipe de France, on ne peut que se réjouir.

Et aussi parce que petit à petit, malgré la triste saison dernière, l’OM grandit et semble redevenir un concurrent direct au PSG. Enfin.

Qu’est-ce que ce sera quand le club officialisera les tractations chaotiques au sujet de l’officialisation de sa cession à un consortium mené par l’Arabie Saoudite ? Des informations encore confirmées récemment à Marseille et dans le camp des repreneurs. Une histoire rocambolesque et interminable. À ce moment-là, on pourra parler d’un nouveau départ pour la Ligue 1.

EDIT 22h10 : L’Olympique de Marseille confirme avoir trouvé un accord de principe avec Adrien Rabiot.

Racisme anti-français : Wesley Fofana a mis les choses au clair avec Enzo Fernandez (Chelsea)

Après la finale de la Copa America, cet été, les Argentins s’étaient (encore une fois) laissé aller à des chants racistes envers les Français. Le défenseur de Chelsea Wesley Fofana avait choisi de ne pas laisser passer une énième fois. Il avait donc réagi vivement via les réseaux sociaux.

À la reprise de l’entraînement à Chelsea (Angleterre), Enzo Fernandez, protagoniste principal des chants racistes, était attendu de pied ferme. Dans un climat que l’on devinait assez électrique. Le club a eu la bonne idée d’organiser un rendez-vous entre l’Argentin et le Français de 23 ans.

Pour Free Foot, le défenseur international français a accepté de raconter la scène et d’apaiser les tensions. Oui, il faut refaire l’éducation d’Enzo Fernandez mais aussi d’une partie du peuple argentin. Malheureusement.

« Cela s’est réglé d’une très bonne manière. On a fait une réunion. On a expliqué pourquoi on l’avait mal pris. C’était important qu’il comprenne pourquoi on l’avait mal pris. Il n’avait pas compris que c’était quelque chose de grave. La meilleure chose à faire, c’est de l’éduquer. Dans certains pays, certaines choses sont acceptables. Mais dans d’autres, c’est très grave et puni par la justice. »

Il conclut : « Je pense qu’il a compris. Maintenant, on avance, on est une équipe, c’est un grand joueur, un exemple donc j’espère qu’il sera amené à être un exemple de la bonne manière pour tout le monde.« 

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Le FC Porto pionnier d’une nouvelle ère : lancement du portail de transparence public

Alors que la manque de transparence et de démocratie ont été pointés du doigt ces dernières semaines au sein de la Ligue de Football Professionnel (LFP) en France, le FC Porto (Portugal) innove. Avec le lancement d’un portail de transparence public. Les supporters sont conquis. Les rois de la magouille, un peu moins.

André Villas-Boas ne déçoit pas. Le nouveau président du FC Porto (et ex-entraîneur de l’OM) a choisi la transparence. Dans ses propos publics, il n’élude ni les problèmes, ni les décisions difficiles à prendre. Et dans les faits, le voilà à la tête d’une idée forte : mettre en place un portail de la transparence.

Concrètement, à quoi cela ressemble et à quoi ça sert ? Cela ressemble à rien d’autre puisque c’est unique en son genre. Le FC Porto est le pionnier. Et on espère que cela fera des émules…

Si vous n’avez rien à vous reprocher, en quoi cette transparence peut vous gêner ? Les fans sont déjà conquis, de ce que l’on peut lire sur les réseaux sociaux.

Cette plateforme donnera accès publiquement aux montants des transferts, aux salaires des différents membres du club, aux commissions, aux dividendes et autres données financières du club, via des documents sur les infrastructures, les dettes et tout ce que les fans du club voudraient savoir pour vérifier sa bonne gestion.

« Tout doit être clair et disponible, chacun peut obtenir toutes les informations pertinentes sur l’organisation du club, que ce soit concernant sur les investisseurs, les actionnaires, les prestataires, etc. », explique André Villas-Boas dans cette vidéo de présentation.

Se relever ou plonger ? Le défi des Bleus face à la Belgique ce soir, les compos probables

Ce n’est que la Ligue des Nations, mais quand même. L’équipe de France de Didier Deschamps ne nous a jamais habitué à ça. Deux défaites de suite ? Inconcevable. Alors les Bleus doivent se retrousser les manches ce soir, face à la Belgique, pour ce deuxième match de poules.

Le Groupama Stadium (Décines) et tous les supporters des Bleus seront très attentifs à la performance de l’équipe de France ce soir, face à la Belgique. Ligue des Nations ou pas, la claque reçue vendredi (1-3) face à l’Italie doit bien vite faire partie du passé.

Après les forfaits de Warren Zaïre-Emery, Loïc Badé, Aurélien Tchouaméni ou Wesley Fofana, Didier Deschamps cherche à reconstruire son collectif. Tout en gardant l’assise défensive des Bleus, qui avait tant fait leur force. Aujourd’hui, plus rien ne semble tourner rond : ni devant, ni derrière. Malgré la présence de stars mondiales (Mbappé, Griezmann) ou de références à leur poste (Saliba, Maignan).

Mais dans le football, le talent individuel ne suffit pas. Ainsi, malgré les fulgurances de Bradley Barcola, promis à un brillant avenir, les Italiens ont totalement déjoué les plans français.

Ce lundi soir, quelques heures avant de retrouver leurs clubs respectifs, les Bleus vont tomber sur une équipe revancharde, à nouveau éliminée par la France à l’Euro 2024, cette fois en quarts de finale.

Avec le dynamique Loïs Openda (RB Leipzig), et des ailes surpuissantes -Johan Bakayoko (PSV Eindhoven) et Jérémy Doku (Manchester City)-, la Belgique a de quoi faire reculer les Bleus. Didier Deschamps pourrait ainsi se passer de Théo Hernandez, pas dans son assiette face à l’Italie, et d’Ibrahima Konaté.

Au sein de ce turnover obligatoire, vu l’enchaînement des matchs tous les trois jours, d’autres nouvelles têtes pourraient être titulaires ce soir à Décines. Sur demande de Carlo Ancelotti (Real Madrid), le capitaine Kylian Mbappé pourrait être laissé au repos. Ce qui ravivera encore les débats si jamais les Bleus venaient à réussir une belle prestation…

Ainsi, le brillant Michael Olise pourrait conserver une place de titulaire, en soutien de Marcus Thuram, toujours utile pour offrir des appels et créer des espaces aux coéquipiers. Sur les ailes, beaucoup d’interrogations dans ce 4-2-3-1 : les Parisiens Ousmane Dembélé et Randal Kolo Muani seront-ils en charge d’animer les couloirs ?

Le double pivot défensif du milieu pourrait être confié à Manu Koné, puissant et mobile, et à Youssouf Fofana, au détriment de N’Golo Kanté.

(revue de presse : L’Equipe du lundi 9 septembre)

Voici la liste de tous les symboles qui resteront des Jeux

L’ambiance, la fête, la communion… Les Jeux Olympiques et Paralympique de Paris 2024 resteront à jamais gravés dans les mémoires. Un été réussi. Et pour que ce moment se prolonge le plus possible, voici la liste des symboles et équipements qui seront conservés.

Quand on pense JO, on pense forcément aux anneaux olympiques. Anne Hidalgo a promis de les conserver sur la Tour Eiffel. Pas dans le même format, car les anneaux actuels créent par Arcelor Mittal sont trop lourds pour la structure. Pour le moment, la maire de Paris souhaite qu’ils restent sur la Tour Eiffel jusqu’aux prochains, à Los Angeles en 2028.

Dans le même ordre d’idée, les trois agitos (rouge, bleu et vert) installés sur l’Arc de Triomphe devraient être déplacés sur le rond point des Champs Elysées. Un peu plus bas, donc.

La vasque, sans la flamme, reste un dossier sujet à négociations. Si la mairie de Paris souhaite qu’elle devienne un lieu de visites touristiques au coeur du jardin des Tuileries, il lui faut l’approbation du ministère de la Culture.

Concernant les statues, que l’on a vu sortir de l’eau lors de la cérémonie d’ouverture, plusieurs d’entre elles seront positionnés près de l’Adidas Arena de la porte de la Chapelle. La ville de Saint Nazaire aimerait hériter de la figure de l’ancienne ministre Simone Veil. Alors que la Baule et Le Croisic bataillent pour celle d’Alice Milliat, pionnière du sport féminin.

La cloche en bronze, sonnée lors de chaque victoire lors des compétitions d’athlétisme au Stade de France, va prendre la direction de Notre-Dame-de-Paris.

Différents équipements, de judo au taekwondo, en passant par les modules de skateboard, seront offertes aux fédérations concernées ou réinstallés dans plusieurs villes qui se sont portés candidates.

Même chose pour les bassins olympiques et piscine d’entraînement. Le centre aquatique olympique, face au Stade de France (Saint-Denis), a été construit spécialement pour les Jeux. Il sera ouvert au grand public en juin 2025 après plusieurs mois de travaux. La piscine olympique du 50 mètres de Léon Marchand sera déplacée à Sevran, en Seine-Saint-Denis.

Les Bleus du cécifoot réalisent l’exploit d’une vie !

Ils étaient loin d’être les favoris du tournoi, encore moins ceux de la finale face à l’Argentine. Mais ils l’ont fait ! Au stade de la Tour Eiffel, Frédéric Villeroux s’écroule au sol, il vient de marquer le tir au but de la victoire (1-1, 3-2 t.a.b.). Le public exulte, les Bleus sont champions paralympiques.

Privés d’Yvan Wouandji quelques semaines avant le début de l’épreuve, leur joueur le plus médiatisé et le plus suivi sur les réseaux sociaux, personne ne se souciait trop du sort de l’équipe de France de cécifoot. Encore moins avec la gifle reçue en poule face au Brésil (0-3). Mais ils ont du coeur. Ils ont du talent.

Et même face à l’ogre argentin, ce samedi soir, ils ont tenu le choc. Avec envie et détermination. Soutenus par toute la France, les Bleus du cécifoot ont réalisé un tour de force et déjoué tous les pronostics. Frédéric Villeroux avait ouvert le score au terme d’un rush monumental. Mais l’Argentine est revenue : place aux tirs au but.

L’éternel Frédéric Villeroux n’aime pas cette épreuve-là. Mais son coach lui a demandé d’y aller, alors il l’a fait. Et il l’a bien fait. Le leaer des Bleus, le plus ancien, a assumé ses responsabilités et marqué. Au point d’envoyer la France sur le toit du monde. Héroïque ! Dans le coeur des Français, ils ont un peu vengé la défaite en finale de la Coupe du monde 2022.

Avant cette dernière journée des Jeux Paralympiques de Paris 2024, la France est toujours présente dans le top 10 avec ses nouvelles médailles du jour. C’est fort !

La chair de poule pendant la Marseillaise, devant la Tour Eiffel, avec ce drapeau tricolore hissé au-dessus des deux nations phares du cécifoot, l’Argentine et le Brésil. Moment d’histoire. Complètement fou.

Avant la finale France-Argentine (cécifoot), ce soir, les Bleus de Didier Deschamps les encouragent

Espérons que cela leur portera chance. Avant la finale des Jeux Paralympiques de Paris 2024 entre la France et l’Argentine, ce samedi soir, en cécifoot, l’équipe de France a reçu un joli message d’encouragements.

Malgré sa performance ratée face à l’Italie (1-3) en Ligue des Nations, l’équipe de Didier Deschamps n’a pas manqué d’envoyer un sympathique message d’encouragement à d’autres Bleus, ceux du cécifoot, en finale des Jeux Paralympiques ce samedi soir face à l’Argentine. À eux d’écrire la plus belle page de leur Histoire.

Didier Deschamps et l’équipe de France de football s’est réunie devant les caméras pour envoyer de la force aux athlètes du cécifoot : « Salut les gars, voilà, on est ensemble pour notre match qui nous attend ce soir (vendredi) mais on est de tout coeur avec vous pour cette finale samedi soir, en vous souhaitant la meilleure réussite. Et à fond avec vous ! Allez les Bleus !« 

Les images de la demi-finale de cécifoot entre la France et la Colombie.

France-Italie (1-3), Ligue des Nations : Les réactions de Didier Deschamps, Antoine Griezmann et Bradley Barcola

Forte déception chez les Bleus après une telle contre-performance à domicile. L’équipe de France de Didier Deschamps ne s’attendait pas à une défaite (1-3) face à l’Italie pour entamer sa campagne 2024-2025 de Ligue des Nations. Les réactions.

Bradley Barcola : « On a très bien commencé. Au fur et à mesure, je pense qu’on a relâché nos affaires et on a pris ces buts. On a été mis en difficultés par ce bloc bas. J’ai bien commencé, j’ai senti que le bloc reculait, faisait des prises à doigt ou à trois. Ça nous a gêné, moi et Michael (Olise). Des points positifs ? J’ai marqué mon premier but en équipe de France, en plus à Paris. On ne peut pas enchaîner deux défaites de suite, on va bien se préparer pour lundi (face à la Belgique). »

Antoine Griezmann (sur TF1) : « Ils ont été meilleurs, on n’a pas été bons dans le pressing, ni défensivement. Bien travailler et revoir ça tactiquement. Comment l’expliquer ? Je ne sais pas. Pourtant, on avait bien commencé, beaucoup d’envie et un bon pressing. On n’a pas su s’arranger tactiquement quand leur défenseur central est venu à l’intérieur en jouant 6. On a eu du mal sur cet aspect là tactiquement et ça nous a posé beaucoup de problèmes. »

Didier Deschamps : « Il faut être factuel. On a bien débuté, on a fait de bonnes choses. Mais on a pas eu la capacité à maintenir sur tout le match. Dans l’effort et le contre-effort, on a eu un adversaire qui nous a fait mal, nous a perforés sur des erreurs de notre part. C’est le haut niveau. Même si je savais très bien avant le début des rassemblements qu’avec la situation des un et des autres, on est loin d’être à notre maximum individuellement. J’ai eu des erreurs individuelles et collectives. C’est une question de placement. Dans les duels dans la deuxième partie de la première période, on en a perdu un peu trop, on a fait des erreurs à la récupération pour la reperdre derrière. C’est donner des munitions à l’adversaire. Maintenir l’adversaire sous pression pendant 90 minutes, on n’en avait pas les moyens. Mais dans ce cas là, il vaut mieux être plus bas et compact.« 

Le résumé et l’analyse de la rencontre à lire sur Entrevue.fr