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Fin des Jeux : toute l’émotion de Laurent Luyat au moment de rendre l’antenne

Un mois et demi de folie. À un moment, il fallait bien que cela s’arrête. Après la formidable cérémonie de clôture électro, il est l’heure de rendre l’antenne. Forcément, après autant d’heures de direct, Laurent Luyat avait la larme à l’oeil sur France 2, dimanche soir.

« Moi, je suis ému aussi parce qu’on a vécu un été incroyable. Depuis Roland Garros, le Tour de France, les JO et les Jeux Paralympiques, ça a été que des émotions. Et ça a été tellement de joies. Donc je voulais vous remercier tous. C’est un peu la fin d’une aventure incroyable. Je le fais depuis longtemps ce métier, mais là, c’est énormissime. Merci à tous et aux téléspectateurs.« 

Auradou et Jegou libres de rentrer en France, la victime présumée témoigne dans Envoyé Spécial

Ils sont libres. Mais pas sortie d’affaire. Les deux rugbyment du XV de France mis en examen en Argentine pour viol aggravé en réunion devraient pouvoir revenir en France ce mardi, leur avocat leur a obtenu la levée de l’interdiction de quitter le pays.

Après la résolution d’un ultime acte de procédure, Hugo Auradou et Oscar Jegou devraient pouvoir prendre le premier vol pour la France depuis Buenos Aires (Argentine).

La juge Eleonora Arenas du ministère public de Mendoza devait aujourd’hui statuer sur une éventuelle extension des expertises psychologiques et psychiatriques des deux rugbymen, demandée par les avocats de la plaignante.

Le deuxième ligne de Pau et le troisième ligne de La Rochelle ont reçu avec soulagement le communiqué du parquet local, leur indiquant qu’ils peuvent « quitter le pays dès maintenant« .

S’ils sont toujours présumés innocents, Hugo Auradou et Oscar Jegou attendent désormais que le ministère public se prononce sur la demande de non-lieu, défendue par leur avocat.

Après 47 jours à Mendoza, les deux joueurs de 21 ans avaient obtenu ensuite de vivre sous résidence surveillée, avec bracelet électronique à Buenos Aires.

Alors qu’ils continuent de clamer leur innocence, reconnaissant l’acte sexuel mais pas avec violence, la plaignante a fait une tentative de suicide lundi dernier. Ils récupéreront ce mardi leurs passeports et pourront ainsi rejoindre la France. Un retour très attendu par leurs familles, notamment.

L’émission Envoyé Spécial promet des révélations, le jeudi 12 septembre à 21h sur France 2, avec le témoignage de la victime présumée.

Léa Salamé vivement critiquée après son attitude sur le plateau de « Quels Jeux ! »

Les Jeux Olympiques sont le terrain de jeu des sportifs mais aussi des médias. Avec une quantité importante d’interviews d’après-compétition. Les journalistes cherchent à saisir le moment d’émotions, la petite phrase, voire le buzz… L’animatrice de « Quels Jeux ! » sur France 2 a été vivement critiquée, pour avoir manqué d’empathie.

Sa volonté d’écourter l’interview pour rentrer dans les délais de diffusion calés à l’avance n’est pas passée auprès des internautes et téléspectateurs. Léa Salamé aurait-elle franchement manqué d’empathie ? C’est ce que lui reproche bons nombres de messages via les réseaux sociaux.

Peu spécialiste du sport, Léa Salamé a osé demander à la mère de Thaïs Méheust, jeune cavalière décédée il y a 5 ans écrasée par ce cheval, si elle en veut à ce « cheval qui a tué sa fille »… Indécent ?

Question ignoble selon certains commentaires de téléspectateurs des Jeux Olympiques, médusés devant cette maman en larmes.

La journaliste a-t-elle été trop loin ? « C’était le rêve de votre fille de gagner ces Jeux… Quand elle meurt, qu’est-ce qui se passe dans votre tête pour vous dire, je veux que son cheval, responsable d’une certaine manière de sa mort, aille aux Jeux sans elle ? »

Un autre extrait d’interview est également très commenté. Alors qu’elle reçoit sur le plateau de « Quels Jeux ! » Amandine Buchard, médaillée d’argent en judo, elle la coupe en pleine confession intime.

« On voit notre adolescence passer très très vite, parfois on ne la voit même pas, parce qu’il faut être performant », explique alors la judokate. Pressée certainement pas des messages dans l’oreillette lui indiquant que le temps imparti pour le direct est écoulé, Léa Salamé la coupe brusquement.

L’athlète vient d’ouvrir son cœur et confie que tout « ça l’a détruit ». Léa Salamé reprend un peu trop sèchement : « ça l’a détruit mais nous, on retient votre médaille, votre victoire. » Une transition (très) mal assurée selon la plupart des commentaires.

Macron confirme qu’il ne nommera pas de nouveau gouvernement avant la fin des Jeux et rejette Lucie Castets

La France est concentrée sur l’organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024. Rien d’autre, semble-t-il. Interviewé ce mardi soir, au 20 heures, à trois jours de la cérémonie d’ouverture des JO, Emmanuel Macron s’est montré déterminé.

« Jusqu’à la mi-août, on doit être concentré sur les Jeux, et à partir de là, ce sera de ma responsabilité de nommer un Premier ministre. » Une sorte de trêve olympique revisitée. Emmanuel Macron confirme qu’il ne nommera pas de nouveau gouvernement avant la fin des JO.

Interrogé par Nathalie Ianetta et Thomas Sotto pour France 2, France Inter et France Info, le Président de la République affirme qu’il souhaite de « la stabilité » et ne souhaite pas « créer un désordre » alors que les ministres engagés auprès des Jeux ont eu « un engagement remarquable ».

« Dés qu’on le pourra, ma volonté, c’est de constituer un gouvernement en effet, le pays a besoin d’un gouvernement pour prendre les décisions, préparer un budget » avec « le rassemblement le plus large pour lui permettre d’agir et d’avoir de la stabilité ».

Déjà beaucoup de commentaires politiques via les réseaux sociaux, notamment sur X. La députée écologiste Sandrine Rousseau n’a pas manqué le Président : « Emmanuel Macron qui cadenasse tout, jusqu’à mi-août, pour ne pas avoir à reconnaître que nous sommes arrivés en tête », estime-t-elle.

Entendu pour la première fois depuis les élections législatives anticipées, Emmanuel Macron a aussi estimé que le Nouveau Front populaire « n’avait pas obtenu de majorité qu’elle qu’elle soit » à l’Assemblée, rejetant de facto la proposition de la gauche de nommer sa candidate, Lucie Castets, à Matignon.

Côté Nouveau Front Populaire, Jean-Luc Melenchon n’a pas apprécié. Sur X, il fulmine une nouvelle fois : « Le Président refuse le résultat de l’élection et veut nous imposer de force son nouveau Front républicain et nous obliger à renoncer à notre programme pour faire une alliance avec lui. Il n’en est pas question. Respectez le vote des Français. Il doit se soumettre ou se démettre ! » Aucune démission d’Emmanuel Macron n’est envisagé.

Européennes : Asselineau défend les petits candidats et fait la joie des réseaux sociaux

L’événement sur France 2, mardi soir, ce n’était pas forcément le débat entre personnalités politiques. Ce qui restera, notamment sur les réseaux sociaux, c’est le coup de gueule de François Asselineau en seconde partie de soirée.

« Je reçois demain des observateurs qui viennent voir comment sont traitées les élections européennes en France… », démarre fort François Asselineau (Union Populaire Républicaine) dans cet extrait vidéo très relayé, sous les applaudissements de Jean Lassalle.

Avant de poursuivre : « Les huit candidats qui sont passés tout à l’heure ont bénéficié 92% du temps de parole. Cela veut dire que les 30 autres listes ont bénéficié de 8% du temps de parole. C’est un scandale la façon dont se déroulent ces élections européennes, où on vient 5 jours avant le scrutin nous demander notre avis à 23h lorsqu’il n’y a plus personne ».

Des propos qui ont généré des centaines de commentaires et des milliers de vues. « On s’en fiche de ses vues YouTube mais il a parfaitement raison à propos des petits candidats, c’est assez dégueulasse comme traitement », remarque un compte X.

Jean Lassalle a choisi le même ton à l’antenne en direct. Et il s’est également fait remarquer. « Est-ce que vous pouvez vous taire, vous, et me laisser répondre ? », a lancé, agacé, le candidat aux Européennes au journaliste. « Je vous pose une question ! », a réagi Guillaume Daret. « Mais, je réponds monsieur. Je n’ai pas besoin de vous ! », a coupé Jean Lassalle.

Après cet ultime débat, le vote se rapproche, rendez-vous dimanche dans les isoloirs pour le verdict.

La chaîne France 24 finalement pas menacée de fermeture ?

C’est le sujet de discussions numéro 1 dans les couloirs de France 24 depuis hier. À Issy-les-Moulineaux, l’inquiétude demeure. Le rapporteur de la mission sur le service public et président de la commission sur l’attribution des fréquences TNT avait laissé entendre que France Info allait remplacer France 24. Avant de rétropédaler ce matin.

Invité de « Télématin » sur France 2, ce mardi, le député Quentin Bataillon fait machine arrière. Ou tout du moins, il rassure la rédaction de France 24.  Selon lui, la marque et les fréquences de France 24 resteront en vie.

Le député Renaissance avait d’abord insisté au micro de France Info pour « pousser » la chaîne d’information « à l’international », poursuivant : « pour remplacer éventuellement France 24 et avoir cette attraction nationale et internationale ». Les mots avaient été clairs. Même s’il fallait pour cela attendre « une réforme structurelle ».

Levée de boucliers, messages sur les réseaux sociaux, en moins de 24 heures, les journalistes s’organisent pour mener la fronde anti-Bataillon. Notamment Vanessa Burggraf, directrice de France 24, elle aussi surprise de cette annonce : « Remplacer quatre chaînes d’information en français, en anglais, en arabe et en espagnol, conçues pour des audiences internationales ? Monsieur Quentin Bataillon, c’est méconnaître nos spécificités. Heureusement, ce n’est pas le projet de l’Etat actionnaire qui mesure l’importance de France 24 ! ».

Face au tollé, Quentin Bataillon joue l’apaisement. Sur France 2, il n’hésite pas à se contredire : « Ce n’est pas supprimer une chaîne ! Au contraire, c’est pouvoir mettre en commun les équipes et mettre en commun les moyens. Ça veut dire qu’à aucun moment on remet en question la marque et les fréquences de France 24. Ils sont connus et reconnus pour leur expertise internationale et leurs réseaux ».

De quoi convaincre la rédaction de France 24 ? Il précise : « Ce n’est même pas une fusion des rédactions. C’est une mise en commun des rédactions. Il faut qu’on puisse puiser dans leurs expertises. » Alors, plutôt fusion ou « mise en commun » des rédactions ? Il va falloir préciser les définitions de ces termes. Tout cela reste très ambigu. Et maladroit.

Grégoire Ludig insiste pour que sa femme Marie Portolano le vouvoie !

Joli moment de télé, ce mercredi, dans Télématin sur France 2. Marie Portolano, enceinte de son troisième enfant, reçoit dans l’émission… Grégoire Ludig, son mari ! C’est la première fois que les deux amoureux se côtoient de si près à la télévision. De quoi déclencher quelques hésitations. Heureusement, les deux ont de la répartie.

Une situation inédite, prise avec de grands sourires. « Bon, on ne va pas faire semblant de se vouvoyer puisque vous avez compris qu’on est mariés dans la vie », insiste la présentatrice. « Moi, j’ai envie de vous vouvoyer Marie Portolano ! », répond du tac-au-tac Grégoire Ludig, comédien devenu célèbre il y a une dizaine d’années via les vidéos humoristiques du Palmashow.

Marie en sourit volontiers et avec son habituelle répartie n’hésite pas à lui lancer un « si vous voulez, on peut se faire un petit kiff, il n’y a pas de problème ! » De quoi déclencher les rires du public, présents sur Vieux-Port à Marseille pour cette émission spéciale délocalisée.

Grégoire Ludig est actuellement à l’affiche du film « L’esprit Coubertin », réalisé par Jérémie Sein avec Benjamin Voisin et Emmanuelle Bercot. Le couple attend un heureux événement pour cet été, Marie Portolano s’absentera donc quelques mois du plateau de Télématin à partir des Jeux Olympiques.