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Le Paris FC écoule ses maillots collector en moins de 55 minutes !

Le Paris FC rêve plus grand, lui aussi, à l’instar de son voisin le Paris-SG. Et pour susciter la curiosité dans cette ville pas franchement attirée par le football, il faut se démarquer. En marge de la réception du FC Metz, en Ligue 2, le week-end dernier, le club avait organisé le lancement d’un maillot événement. En présence de son ambassadeur, Raï Souza Vieira de Oliveira.

Rendez-vous est donné vendredi matin, chez Maison 5, au 66 rue Saint-Dominique à Paris. L’ex-gloire de la sélection brésilienne et du PSG, Raï, attend les fans du Paris FC, venus récupérer le graal. L’élégant ambassadeur du PFC doit rester de 11h à 16h… En moins d’une heure, le job est fait. Il ne reste plus rien, éteignez les lumières, baissez les rideaux.

555 maillots seulement de cette édition Paris FC x Renault 5 viennent d’être commercialisés. Le maillot reprend ainsi les couleurs des nouvelles R5… Du plus bel effet.

Parmi ces maillots, 55 possèdent un QR Code. Pour les chanceux, ce QR Code leur donnera des possibilités pendant la saison de participer à des repas avec les joueurs, d’accompagner l’effectif en déplacement ou d’assister aux matchs en VIP. Souvenirs fabuleux garantis.

@thibaudvezirian

Quand le #ParisFC sort son maillot collector, édition limitée à 555 maillots, avec 55 QR codes pour des accès VIP…. J’ai raté Raï pour cette fois, il était parti déjeuner, arf… #pourtoi #footballtiktok #Ligue2

♬ son original – TV

Clin d’oeil à la R5 toujours, les joueurs porteront ce maillot spécial pendant 5 rencontres (seulement). Pour l’instant, cela ne leur a pas porté chance : défaite 1-2 à domicile au stade Charléty, face au FC Metz, un concurrent direct à la montée en Ligue 1.

Mais avec le charisme de Raï, le talent des équipes marketing, et des recrues comme Jean-Philippe Krasso ou Maxime Lopez, le Paris FC semble sur le bon chemin pour accéder aux sommets.

L’OM attire Adrien Rabiot, l’improbable transfert de dernière minute

L’Olympique de Marseille vient de faire fuiter ce soir une énorme information mercato, relayée par le grand manitou des infos transfert, l’Italien Fabrizio Romano. Adrien Rabiot serait tout proche de s’engager avec le club phocéen. Un deal confirmé aussi par le patron des South Winners, Rachid Zeroual.

À 29 ans, après 5 saisons en Italie à la Juventus Turin, le milieu international français n’a plus de club. Malgré sa fin de contrat et son statut de joueur libre, aucun club de « Ligue des Champions » ou jouant la future « Coupe du monde des clubs » en juin, n’a daigné s’intéresser vraiment à lui cet été. Ces deux critères étaient ceux du clan Rabiot, soucieux de voir évoluer le joueur encore une fois chez un grand d’Europe. Une certaine logique vu le niveau du joueur.

Rembarré par la Juventus après un rendez-vous infructueux selon la Vieille Dame, comme Entrevue l’avait dévoilé en exclusivité en juin, Adrien Rabiot a attendu tranquillement la fin de l’Euro pour se soucier de son avenir. Sauf que les soucis financiers de beaucoup de clubs, qui doivent réduire la voilure, n’ont pas permis de folie cet été.

Quand un joueur international devient libre, son camp espère toujours obtenir un très beau contrat : prime à la signature conséquente et salaire adéquat. Adrien Rabiot a attendu, en vain. Au point de ne pas être convié par Didier Deschamps lors du dernier rassemblement.

Justement, c’est pendant la trêve internationale que l’OM se serait penché sur le « cas Adrien Rabiot ». Fervent supporter de l’Olympique de Marseille quand il était adolescent, malgré sa formation au Paris-Saint Germain, le joueur aurait été très à l’écoute des arguments marseillais.

Un duo Pierre-Emile Højbjerg-Adrien Rabiot au milieu de terrain fait déjà rêver les supporters marseillais. Un duo d’internationaux que l’OM n’aurait jamais pu faire signer avant l’été 2021, date à laquelle le club a pris un étonnant virage économique et sportif. Avec des investissements massifs sur le marché des transferts.

L’arrivée possible d’un tel joueur finit par ne plus trop étonner certains supporters, qui ne se souviennent plus des saisons difficiles, entre 2016 et 2021 par exemple, avec si peu de talents sur la pelouse.

Qui dit Adrien Rabiot, dit grosses primes et gros salaire. Pour une grosse place dans le vestiaire. Du côté de l’OM, on laisse entendre que le joueur aurait fait des « efforts énormes » pour venir. Pas vraiment le style de la maison. Mais pour jouer pour Roberto De Zerbi et devant un Orange Vélodrome incandescent, certains joueurs seraient prêts à jouer gratuitement. Ou presque. Jolie histoire.

La réalité, c’est que son salaire restera conséquent et assez surprenant si on se réfère à la situation globale de la L1, les droits TV et le fait que l’OM ne joue aucune Coupe d’Europe. Mais depuis 2021, l’OM n’est plus à une bizarrerie économique près. Et ne parlons pas de sa prime à la signature, un sujet qui devrait rester mystérieux quelques temps. Mais une prime qui généralement en décide plus d’un…

À vrai dire, peu importe le mic-mac financier. Avec le rapatriement en L1 d’un titulaire de l’équipe de France, on ne peut que se réjouir.

Et aussi parce que petit à petit, malgré la triste saison dernière, l’OM grandit et semble redevenir un concurrent direct au PSG. Enfin.

Qu’est-ce que ce sera quand le club officialisera les tractations chaotiques au sujet de l’officialisation de sa cession à un consortium mené par l’Arabie Saoudite ? Des informations encore confirmées récemment à Marseille et dans le camp des repreneurs. Une histoire rocambolesque et interminable. À ce moment-là, on pourra parler d’un nouveau départ pour la Ligue 1.

EDIT 22h10 : L’Olympique de Marseille confirme avoir trouvé un accord de principe avec Adrien Rabiot.

Plus efficace, l’OM fête ses 125 ans par une victoire, le bijou de Luis Henrique

L’Olympique de Marseille fête dignement ses 125 ans avec une 3e victoire en 4 matchs de Ligue 1 cette saison. Si l’OM a terminé la rencontre à 10, Nice a manqué de réalisme pour pouvoir espérer mieux. Marseille est leader provisoirement, en attendant PSG-Brest, ce samedi soir.

Dans un match cadenassé, il faut souvent miser sur un éclair de génie d’un joueur formidable ou sur une erreur de l’adversaire. Il y a eu un peu des deux pour l’Olympique de Marseille, ce samedi après-midi.

Alors que le club fêtait ses 125 ans en grande pompe, avec deux jolis maillots en série limitée, l’objectif était d’offrir une première victoire cette saison en championnat devant son (extraordinaire) public.

Des tifos splendides, une ambiance de feu… Et quelques changements dans la composition d’équipe de Roberto De Zerbi pour commencer le match. Exit Elye Wahi, gêné par des soucis physiques cette semaine, place à la recrue Neal Maupay.

Et c’est bien lui, l’ancien Niçois, qui a débloqué la rencontre. Dans un match fermé, avec peu d’occasions de buts, l’ex-attaquant d’Everton a profité d’un mauvais jugement de la défense adverse pour marquer de la tête, en renard des surfaces (1-0, 40e). Le match est enfin lancé.

Face à de timides et peu réalistes niçois, à l’image d’Evan Guessand qui a manqué de justesse dans la surface olympienne, Nice n’y a jamais vraiment cru.

Melvin Bard a touché le poteau de Geronimo Rulli, d’une somptueuse reprise de volée, puis Rosario a également manqué d’efficacité, après un ballon relâché par Geronimo Rulli. Le gardien argentin n’était pas dans un grand jour mais il a connu beaucoup de réussite, c’est bon signe.

En seconde période, Nice ne semble jamais en mesure de revenir : pas de penalty sur un accrochage entre Mason Greenwood et Ali Abdi… Tous les moments clés du match ont tourné en faveur de l’OM.

Quand on revoit le petit numéro réalisé par Luis Henrique, auteur d’un but splendide suite à une remise d’Amine Harit, il ne pouvait en fait rien arriver aux Olympiens. Avec un Pierre-Emile Højbjerg, capitaine, toujours aussi serein, cette équipe sait ce qu’elle doit faire et sait où elle va. Ce qui change déjà beaucoup par rapport à la saison dernière.

Même l’exclusion sévère de Derek Cornelius, pour avoir gagné du temps (second carton jaune), n’a pas fait tanguer le bateau bleu et blanc. L’Orange Vélodrome est en fête, l’OM est leader.

L’OM fête ses 125 ans face à Nice, à 17h, le nouveau maillot fait recette

Quoi de mieux qu’une victoire face à « l’ennemi » niçois pour célébrer un anniversaire ? C’est ce que se disent les supporters olympiens. 125 ans, ça se fête…

Avant même le coup d’envoi, match à suivre à 17h sur beIN sports, le club a déjà réussi son coup. Deux nouveaux maillots totalement inédits viennent de sortir. Et sont pris d’assaut sur le site Internet de l’OM depuis quelques heures. Pour beaucoup, ils s’affichent déjà « indisponibles ».

Les amateurs de couleurs, dessins ou autres créations originales sur un maillot de football vont être déçus : sobriété, efficacité. Un maillot blanc pour les joueurs de champ. Un maillot tout noir pour le gardien. Du plus bel effet. La classe. Pas de fioriture. Un « retour à la génèse » comme l’indique l’Olympique de Marseille sur son site Internet.

Un col « polo » pour couronner le tout, beau rappel aux maillots d’antan et voilà comme l’OM et son équipementier Puma font quasi-l’unanimité sur le sujet.

Pour ceux qui se demandent d’où sort ce logo spécial de l’OM, rien de neuf ! Tout le contraire. C’est le retour du premier logo, celui de 1899 et 1935, de René Dufaure de Montmirail, l’homme du « Droit au But ». 

Avec justesse, le partenaire principal du club, CMA CGM, s’incline : la publicité est là, bien là sur le devant du maillot, mais en ton sur ton. Sympa. Un maillot que les supporters ne manqueront pas de porter dans la vie de tous les jours. Comme cela se fait déjà beaucoup partout. Et oui.

Seul hic, le prix, bien sûr. C’est un événement, c’est un maillot spécial en attendant ce match spécial, OM-Nice… Alors il faudra débourser 99 euros ! Ouch. La marge est belle, comme avec tous les maillots de football. Vaste débat. Mais on peut déjà lire quelques messages sur les réseaux sociaux du type : « Je n’ai pas payé DAZN, alors je peux me faire ce petit plaisir ! » La LFP appréciera.

En attendant, l’OM tentera d’aller chercher une 3e victoire en 4 journées, cet après-midi, 17h face à l’OGC Nice de Franck Haise, qui revient en forme. Un choc de L1 intéressant tant les hommes de Roberto De Zerbi suscitent curiosité et quelques doutes aussi, notamment défensivement. Un match débridé qui pourrait nous offrir du spectacle.

Ci-dessous, revue de presse : les compositions d’équipes probables selon le journal L’Equipe. Avec Neal Maupay, nouvelle recrue de la fin août, en position d’avant-centre, Elye Wahi ayant eu des soucis physiques pendant la trêve internationale.

Pour ce match très attendu, et la fête des 125 ans, de nombreux tifos sont attendus dans le stade en avant match, notamment du côté de la tribune des South Winners.

Thibaud Vézirian

LaLiga espagnole instaure « le geste d’incident raciste » dans tous ses matchs

Réputée pour être un championnat aux relents racistes, régulièrement pointée du doigt par le Brésilien Vinicius Jr., la ligue de football espagnole vient de prendre une décision ferme pour endiguer le racisme dans les stades. Un fléau en Espagne, mais pas uniquement là-bas.

Cela s’appelle « le geste d’incident raciste« . La Fédération espagnole de football et LaLiga ont mis en place 3 décisions possibles pour l’arbitre central en cas d’incidents racistes. D’abord, l’arrêt temporaire de la rencontre.

Si les cris de singe ou autres insultes racistes perdurent malgré l’arrêt temporaire, l’arbitre peut ensuite procéder à la suspension temporaire du match. Les équipes sont alors invitées à regagner les vestiaires. Enfin, si la situation déborde toujours (et que les officiers de sécurité ne mettent pas la main sur les fautifs, alors même que tous les stades du monde professionnel sont équipés de caméras de surveillance), l’arbitre aura le choix de siffler l’arrêt définitif du match.

Racisme anti-français : Wesley Fofana a mis les choses au clair avec Enzo Fernandez (Chelsea)

Après la finale de la Copa America, cet été, les Argentins s’étaient (encore une fois) laissé aller à des chants racistes envers les Français. Le défenseur de Chelsea Wesley Fofana avait choisi de ne pas laisser passer une énième fois. Il avait donc réagi vivement via les réseaux sociaux.

À la reprise de l’entraînement à Chelsea (Angleterre), Enzo Fernandez, protagoniste principal des chants racistes, était attendu de pied ferme. Dans un climat que l’on devinait assez électrique. Le club a eu la bonne idée d’organiser un rendez-vous entre l’Argentin et le Français de 23 ans.

Pour Free Foot, le défenseur international français a accepté de raconter la scène et d’apaiser les tensions. Oui, il faut refaire l’éducation d’Enzo Fernandez mais aussi d’une partie du peuple argentin. Malheureusement.

« Cela s’est réglé d’une très bonne manière. On a fait une réunion. On a expliqué pourquoi on l’avait mal pris. C’était important qu’il comprenne pourquoi on l’avait mal pris. Il n’avait pas compris que c’était quelque chose de grave. La meilleure chose à faire, c’est de l’éduquer. Dans certains pays, certaines choses sont acceptables. Mais dans d’autres, c’est très grave et puni par la justice. »

Il conclut : « Je pense qu’il a compris. Maintenant, on avance, on est une équipe, c’est un grand joueur, un exemple donc j’espère qu’il sera amené à être un exemple de la bonne manière pour tout le monde.« 

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Wesley Fofana déclare à nouveau sa flamme à l’OM

John Textor se perd dans les chiffres mais tout va bien à l’OL !

Le patron américain de l’Olympique lyonnais, John Textor, s’est présenté devant la presse mercredi, afin de clarifier la situation financière du club, sujette à bien des débats. Et à rassurer les supporters vis-à-vis du mauvais début de saison. Lyon est 14e de Ligue 1 après 3 journées.

John Textor est un personnage unique. À la tête du Eagle Football Group, il jongle entre plusieurs clubs de football. Tantôt à Botafogo (Brésil), tantôt à Lyon, et parfois entre Crystal Palace (Angleterre) et Molenbeek (Belgique), il s’adapte, étonne et détonne.

En conférence de presse ce mercredi, il a une nouvelle fois fait le show. Quitte à se perdre dans ses chiffres. On peut accuser de tout ce que l’on veut l’homme d’affaires mais John Textor mouille le maillot. Et ose même afficher de hautes ambitions. En France, on préfère généralement l’humilité… Alors quand « JT » annonce « viser le titre » et « concurrencer le PSG« , forcément, ça fait jaser.

Financièrement, le journal L’Equipe a plusieurs fois annoncé cet été que le club avait promis de vendre pour 100M€ de joueurs. Ça n’a pas du tout été le cas (environ 40M€) et cela a donc suscité de l’inquiétude…

« Nous, on a la chance d’être une multinationale qui a de bonnes perspectives, car nous avons accès à du cash par d’autres moyens. J’ai déjà financé personnellement 22M€ avant l’été, et je vais ajouter 40M€ dans les semaines à venir. (…) Nous avons actuellement des dettes fournisseurs avec des délais plus longs que d’habitude. Les retards des droits télé et d’autres clubs qui nous devaient de l’argent ont causé ça. C’est un problème de timing. Tout le monde a été impacté et les dettes fournisseurs ont augmenté en proportion. Je le reconnais, des prestataires ont été mis sous stress. Je les remercie pour leur patience et à la fin de l’été la situation sera réglée. »

Il poursuit avec des chiffres plus précis : « Dans notre budget présenté à la DNCG, nous nous sommes engagés à vendre pour 130M€ mais nous avons aussi prévu d’acheter pour 211M€, et ça personne ne l’a dit. Finalement, nous n’avons vendu que pour 40M€ en dépensant 145M€. Nous n’avons pas atteint notre objectif en termes de transferts. Certains joueurs qui étaient sur le départ ont choisi de rester. Il y a un ajustement à faire, nous avions prévu une balance de -80M€, finalement elle est de -105M€, ce n’est pas une si grosse différence que ça. »

Pas de ventes budgétisées à hauteur de 100M€ donc, mais des ventes moins élevées que prévues, et moins de nouveaux joueurs dans l’effectif… Au 12 septembre, c’est aussi une 14e place en Ligue 1 à vite faire oublier par une remontée au classement.

L’Olympique lyonnais se rend ce week-end sur la pelouse de l’AJ Auxerre, match diffusé samedi à 19h sur DAZN.


Longue discussion au sujet de la communication de John Textor (Olympique lyonnais), ce midi dans le Dèj Foot (12h30-14h30), l’émission live streaming du journaliste d’Entrevue Thibaud Vézirian, à suivre en live sur X et Twitch, ou en replay.

Chili-Bolivie (1-2) : L’attaquant chilien devait-il marquer ou s’arrêter après la blessure soudaine du gardien adverse ?

C’est la polémique qui enfle sur les réseaux sociaux et dans les médias sud-américains. Lors de la rencontre de qualification à la Coupe du monde 2026 entre le Chili et la Bolivie (1-2), l’attaquant Eduardo Vargas intercepte un ballon et file marquer… Alors que le gardien bolivien venait de s’écrouler, sur blessure.

Devait-il marquer (ce qu’il a fait) ou s’arrêter ? 39e minute de jeu, Eduardo Vargas récupère le ballon devant Carlos Lampe, le gardien de la sélection bolivienne, pourtant pas sous pression, et file égaliser. Carlos Lampe perd le ballon en s’écroulant net, tout seul. Il vient de subir une rupture du tendon d’Achille. Il sera tenu hors des terrains pendant 8 à 12 mois…

Manque de fair-play ou manque de lucidité sur l’action ? Le Chilien de l’Atlético Mineiro a bien jeté un oeil derrière lui juste avant de marquer. Mais rien ne l’a arrêté. Sur les réseaux sociaux, le joueur se fait violemment reprendre pour son attitude inadmissible.

Il y a une justice dans le football puisque la Bolivie marquera un nouveau but en toute fin de première période. Et le Chili sera battu (1-2). La Roja reste 9e sur 10 au classement de ces qualifications.