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Finale de la Ligue des Champions 2027 à Marseille ? Jibrayel dit oui, les supporters y croient fort

Le stade San Siro/Giuseppe Meazza ne sera pas celui de la finale de la Ligue des Champions 2027. Initialement choisie, la ville de Milan laisse sa place. Car le chantier du futur grand stade de la ville n’est pas assez précis pour garantir la bonne tenue de la finale de la plus prestigieuse des Coupes d’Europe de football.

Exit San Siro, place à l’Orange Vélodrome (qui aura d’ici là changer de naming) en 2027 ? Les supporters de l’Olympique de Marseille y croit. S’il y a bien un peuple de football en France, c’est à Marseille. Après la victoire en finale en 1993, revivre de telles émotions, même via d’autres clubs, serait assez symbolique. Sauf si Paris venait à se hisser à ce stade de la compétition dans 3 ans, bien sûr…

Alors que l’UEFA a annoncé mardi 24 septembre que la finale de la Ligue des Champions 2027 ne se tiendrait pas à Milan, l’adjoint au maire chargé des sports, Sébastien Jibrayel, a sauté sur l’occasion pour que la ville se porte candidate. Et tous les Olympiens se mettent à défendre la candidature du stade Vélodrome. Un projet soutenu bien sûr par le maire Benoît Payan.

Un tweet sous lequel il n’a pas permis aux tweetos de répondre. Mais nombreux sont ceux à avoir posté des messages sur le sujet dans la foulée.

L’élu s’est confié au Méridional : « Ce serait une consécration. Marseille est une ville qui vibre pour le football, même si d’autres sports y sont pratiqués. Depuis mon tweet, j’ai reçu une avalanche de messages de supporters, me disant : ‘C’est notre rêve, d’avoir la finale de la Ligue des Champions dans notre stade !’. Ce serait la réalisation d’un rêve collectif, celui de voir cette finale se dérouler au Vélodrome. » Un bon point pour amorcer le lobbying auprès de l’UEFA ?

Certains supporters de l’OM, plus rêveurs que d’autres, s’imaginent même en finale ce jour-là… Ce sera difficile à réaliser, 3 saisons nous séparent seulement de l’événement. Le gap à combler avec les grandes équipes européennes semble encore bien trop élevé. Mais rien n’est impossible dans le football. On a toujours le droit de rêver.

D’autant que pour ceux qui ont suivi en détails tout ce qui se trame en coulisses concernant la cession du club (cf. l’enquête), les parties concernées (issues du consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite), avec qui Entrevue a pu s’entretenir, semblent toujours confiantes pour qu’une officialisation puisse enfin se faire dans les mois à venir. Il en va de la survie de la Ligue 1 et du grand renouveau de l’OM.

Il encense Wembanyama et voit les basketteurs français champions olympiques en 2028 !

On l’appelait « l’agent zéro », référence à son numéro de maillot. Après de brillantes saisons en NBA, Gilbert Arenas, 42 ans, régale désormais de ses analyses basket. Peu après la fin des Jeux Olympiques de Paris 2024, qui a vu Team USA dominer la France une nouvelle fois en finale, l’ex-basketteur s’est montré élogieux envers les Bleus…

Tout change du côté de l’équipe de France de basket, départ de l’entraîneur Vincent Collet, retraite internationale de Nicolas Batum, départ de Evan Fournier à l’Olympiakos, et pourtant, les Bleus restent ultra-respectés. Après leur médaille d’argent aux JO, et avec l’éclosion folle de Victor Wembanyama, promis à devenir le meilleur joueur du monde dans les prochaines années, leurs adversaires craignent déjà de les voir tout rafler.

À l’image des derniers propos de l’ex-meneur des Wizards de Washington (NBA), Gilbert Arenas, l’équipe de France fait peur.

« Je me fais du souci pour L.A. 2028, leur meilleur joueur n’avait que 19 ans cette année et les USA ont peiné à gagner. En 2028, il aura 24 ans ! Et les joueurs qui vont l’accompagner auront aussi 23-24 ans. Sans compter les deux jeunes draftés cette année (Zaccharie Risacher et Alexandre Sarr), qui vont venir s’incorporer dans cette équipe« , commente Gilbert Arenas.

Avant d’ajouter : « Ils vont avoir 5 joueurs de leur équipe à au moins 2m10 et avec énormément de mobilité. » Indéfendable ?

Paris 2024 : Fantastiques basketteurs français face à l’Allemagne (73-69), ils sont en finale !

Si décevants pendant la phase de poules, l’équipe de France de basket 5×5 est en finale des Jeux Olympiques de Paris 2024. Après une prestation majuscule face à l’Allemagne, favorite, les Bleus rencontreront sans doute Team USA pour un remake de la finale de Tokyo 2021, samedi soir (21h30).

Dans une arena de Bercy incandescente, l’équipe de France de basket a totalement fait déjouer l’Allemagne, championne du monde en titre. Battue sèchement en poules par cette même équipe, la France a montré un tout autre visage, comme face au Canada, en quart de finale.

D’abord dominés en début de match, les Bleus ont bien vite resserré les rangs. Et ils reviennent au score à la mi-temps (33-33). Autour d’un Isaia Cordinier (Virtus Bologne) omniprésent, d’un Mathias Lessort (Panathinaïkos) déménageur, Nicolas Batum (Los Angeles Clippers) en spécialiste des contres stratosphériques et d’un Victor Wembanyama monstre défensif et maître passeur, les Bleus sont des morts de faim.

Chacun son rôle, chacun apporte sa pierre à l’édifice. Et les Allemands perdent pied. La France prend alors 10 points d’avance. Six minutes de la fin. Le match devient toujours plus irrespirable.

Chaque possession est un combat. 3’40 à jouer et 9 points d’avance pour les hommes de Vincent Collet. 3 minutes à jouer, 6 points d’écart, les Allemands sont là. Si près, si loin. Les défenses prennent le pas. Moins 2 minutes à jouer, toujours 6 points d’avance pour les Bleus. Tension maximum.

La France fait tourner le chrono et perd des ballons… Les mains tremblent un peu. Il faut être lucide jusqu’au bout. En mode MVP, Guershon Yabusele se sacrifie et prend une sixième faute. Le nouveau joueur des Nets de Brooklyn Dennis Schröder marque dans la foulée, 4 points d’écart (69-65).

Les Bleus marquent sur un lancer mais Franz Wagner plante une banderille longue distance (70-68), jusque-là pourtant à seulement 3/9 au tir ! Irrespirable. Douze secondes à jouer, balle aux Bleus. Faute sur Victor Wembanyama, qui marque un lancer sur deux (71-68). L’Allemagne a la balle de l’égalisation, Dennis Schröder échoue.

Moment historique pour le basket français, seconde finale olympiques en trois ans ! Sans doute à nouveau face aux Etats-Unis, qui affrontent la Serbie ce soir (21h). C’est fou !

Le basket 3X3 français vice-champion olympique, battu à la dernière seconde

Jusqu’au bout du suspense. Les basketteurs 3X3 français ont réalisé un exceptionnel tournoi, remportant une historique médaille d’argent. Après avoir éliminé les champions olympiques en demi-finale, les Bleus échouent en prolongation face aux Pays-Bas (17-18). Cruel.

Des matchs haletants, des joueurs entreprenants, un collectif et de la réussite… Tout le contraire de nos Bleus du basket 5X5, actuellement. L’équipe de France de basket 3X3 nous aura fait rêver pendant tout leur parcours aux JO de Paris 2024.

Dans le cadre fabuleux de la place de la Concorde, ce lundi soir, c’est nouvelle page magnifique de leur histoire commune qui s’est écrite. Poussés par un public en feu, ils battent les Lettons, champions olympiques en titre. Sur un lancer franc décisif. À 22h30, les voilà en finale face à des Néerlandais redoutables. Un match serré, une intensité folle et une courte défaite. Nos Bleus remportent l’argent au terme d’une finale étouffante.

Un tir à 2 points décisif des Pays-Bas à l’ultime seconde, et le rêve s’envole. C’est le sport. Merci pour les émotions : Lucas Dussoulier, Jules Rambaut, Franck Seguela, Timothé Vergiat, vous êtes entrés dans le coeur des Français !

JO, rugby à 7 : Brillants Bleus face à l’Afrique du Sud (19-5), finale à 19h45 !

Le rêve d’Antoine Dupont prend forme. Les Bleus du rugby à 7 vont remporter une médaille olympique ! Mais laquelle ? L’or ou l’argent. Après sa magnifique victoire en demi-finale face à l’Afrique du Sud (19-5), cet après-midi, la France rencontre les îles Fidji en finale, à 19h45 !

Une petite revanche. Après la finale perdue face à l’Afrique du sud en quart de finale de la dernière Coupe du monde de rugby à XV, les Bleus du rugby à 7 savourent. Ils l’ont fait. Les voilà médaillés olympiques ! Reste à savoir quelle médaille…

Face à l’Afrique du sud, ce samedi après-midi, ils ont mis tous les ingrédients pour réussir, malgré quelques fautes de main, leur abnégation, leur intelligence et leur détermination ont été capitaux.

Vainqueurs 19-5, ce VII de France nous a encore fait vibrer. Après la grande soirée de vendredi, et cette cérémonie d’ouverture grandiose, saluée dans le monde entier, l’équipe de France de rugby à 7 peut ce soir nous offrir une première médaille d’or ! Ce sera dur, face au Fidji, vainqueur facilement des Bleus en poules. Mais en rugby à 7, tout va très vite…

Antoine Dupont sait très bien que cela sera compliqué, mais l’ambition est là : « Quand j’ai intégré ce groupe pour la première fois, c’était l’ambition qui était déjà présente et que j’avais moi aussi. Désormais, nous ne sommes plus qu’à une marche, il faut vite se projeter et il n’y a plus qu’à. »

16e Copa America pour l’Argentine, 45e titre pour Léo Messi

L’Argentine est la meilleure équipe du monde. Vainqueur de sa 16e Copa America, l’équipe menée par Léo Messi enchaîne Coupe du monde et Copa en moins de deux ans. Un sacre acquis cette nuit sur un but de Lautaro Martinez en prolongations (1-0) face à la Colombie.

Lionel Messi boîte bas. Sa cheville a doublé de volume. Il n’a pas pu terminer la rencontre. Mais la légende du football mondial est bien là au moment de soulever cette Copa America. Alors que le Brésil a encore une fois déçu, l’Argentine a su s’arracher pour aller chercher ce trophée majeur.

En voyant les images de Lionel Messi, en pleurs, sur le banc des remplaçants, quelques instants après sa sortie sur blessure (65e), les Argentins ont eu très peur pour l’issue de cette rencontre. Mais l’Albiceleste a de la ressource, avec un banc bien garni.

Il a fallu attendre la seconde période des prolongations pour voir Lautaro Martinez, entré en jeu à la place de Julian Alvarez, tromper la vigilance de la défense colombienne et décocher un tir croisé vainqueur (1-0, 112e). L’Argentine peut exulter. Une seizième Copa America ! L’ancien parisien Angel Di Maria, 36 ans, a participé à son dernier match avec sa sélection. Quoi de mieux que de partir sur un tel titre ?

Et pour Léo Messi, c’est un 45e titre personnel ! Une carrière folle, légendaire. 1069 matchs, 839 buts, 4 Ligue des Champions, 10 Liga espagnole, 7 Coupes du Roi, 8 Supercoupes d’Espagne, 2 Ligue 1, 1 trophée des champions, 3 Supercoupes d’Europe, 3 Coupes du Monde des Clubs, 1 Coupe du monde, 2 Copa America, 1 médaille d’or aux Jeux olympiques, 8 ballon d’or, etc.

Incidents racistes, dysfonctionnements des autorités : le triste bilan après OL-PSG

La fête du football a encore une fois été gâchée par quelques individus. Samedi, à quelques heures de la finale de Coupe de France remportée par le PSG (1-2), des affrontements ont eu lieu entre supporters lyonnais et parisiens, sur l’autoroute A1.

Plus de 24 heures après les faits, l’heure est au bilan. La Préfecture du Nord fait le point sur la situation : « Les forces de sécurité ont procédé à 10 interpellations, dressé 8 amendes forfaitaires délictuelles et sont intervenus pour 1 ivresse publique et manifeste ».

On apprend ensuite dans le communiqué que « 8 policiers ont été légèrement blessés. 14 supporters ont nécessité une prise en charge médicale. Un bus a été incendié et 2 autres endommagés ». Si l’enquête policière est en cours pour connaître les causes des incidents, L’Equipe a déjà remonté le fil de ces tristes bagarres.

Selon le média sportif, le car de supporters lyonnais n’avait rien à faire là, en face de ceux des Parisiens, à hauteur du péage. C’est une erreur manifeste des autorités. Les responsabilités seraient donc partagées, ce qui n’enlèverait en rien la bêtise de ces individus. « Le cabinet du ministère de l’Intérieur a donc (encore une fois) transformé la réalité dans sa communication : il y avait bien une escorte policière avec les cars lyonnais, et elle les a emmenés au mauvais endroit, au mauvais moment », insiste le journaliste Hugo Guillemet sur X.

Chaque camp se renvoie ainsi la balle. « L’OL a toujours un énorme problème à régler sur les déplacements avec des mecs bourrés/racistes/violents », poursuit le journaliste qui suit l’Olympique lyonnais.

Autre grave problème concernant l’OL : de graves incidents racistes ont eu lieu en marge de cette finale. « Ils disaient « on va taper du noir » et ils faisaient des cris de singe, ça a duré tout le trajet, toujours les mêmes gars. Moi qui ne suis pas raciste pour un sou, ça me saoule d’être affilié à ces gens-là. Ils étaient alcoolisés dès le matin… », ajoute L’Equipe, concernant le déplacement de supporters lyonnais jusqu’à Lille, samedi.

Sans parler des actes racistes filmés lors de la diffusion du match au Groupama Stadium, samedi soir. Deux individus au premier rang sont pris en flagrant délit de violence envers deux jeunes femmes, dont l’un apparaît voilée. Selon les témoins de la scène, les coups portés font suite à plusieurs mots déplacés. Sous couvert de l’explosion de joie au moment du but lyonnais, un homme violente sciemment une jeune femme.

Et plusieurs témoignages évoquent aussi des insultes racistes lorsque Ousmane Dembélé (PSG) apparaissait sur les écrans géants… Un fléau que le club va devoir vite réprimander. Car cela fait des années que ça dure. L’OL a promis via un message sur X de faire la lumière sur cette affaire.

Autre témoin ayant vécu la même scène de racisme et de violence samedi soir :

Grèce : Stéphanie Frappart évacuée après avoir distribué 3 cartons rouges

Des images détestables. Arbitre de la finale de coupe de Grèce, la Française Stéphanie Frappart a dû être escortées par la police pour sortir du terrain. Coupable selon l’Aris Salonique d’avoir sorti 3 cartons rouges, l’arbitre a subi les foudres des joueurs et du président de l’équipe vaincue dans le temps additionnel.

Trois cartons rouges qui ne passent pas. Les Grecs sont furieux. Stéphanie Frappart a dû être évacuée par les forces de l’ordre à la fin du match. Les joueurs, le staff et le président de l’Aris Salonique sont fous de rage à la fin du match remporté par le Panathinaikos. Ils perdent sévèrement leurs nerfs.

« Pour la première fois dans l’Histoire de la Coupe de Grèce, une femme arbitrera le dernier match de la compétition », s’était pourtant félicitée la Fédération grecque dans un communiqué.

La Française a pourtant sorti un match tout à fait correct. Les cartons rouges n’étant pas spécialement injustifiés. Mais les Grecs sont coutumiers du fait : incapables de se contenir.

En distribuant trois cartons rouges en seconde mi-temps (51e, 65e et 71e), dont deux pour l’Aris, battu sur un but au bout du temps additionnel (90e+7), Stéphanie Frappart ne s’attendait pas à de tels comportements.

Le président de l’Aris Salonique est même venu violemment se rapprocher de l’arbitre après la rencontre. Ce sont les forces de l’ordre qui ont maintenu un cordon de sécurité autour de la Française. Inadmissible ! L’UEFA devra prendre des sanctions fermes rapidement.

D’autant que la Grèce est déjà sujette à des actes insupportables de violence dans le football. Cette finale était d’ailleurs organisée à huis clos afin d’éviter les confrontations entre supporters…

Sa présence en tant que femme arbitre d’une telle finale marquait pourtant l’histoire… On s’en souviendrait finalement dans le mauvais sens. Triste image pour le football grec. La victoire du Panathinaïkos restera anecdotique.