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Le magnifique geste d’Antoine Griezmann envers une jeune supportrice

C’est le football qu’on aime. Les émotions, les frissons. Pas seulement après un but. Cela peut être aussi après une adorable attention. Toute l’humanité d’Antoine Griezmann en un geste. Un geste simple mais des souvenirs pour la vie.

Alors que l’Atlético de Madrid l’a emporté 3-0 face à Valence, se positionnant à la 2e place du championnat, l’international français a réalisé le geste du week-end. Pas un geste technique mais un geste amical. Attention, émotions fortes.

45e minute de jeu, alors que l’Atlético mène seulement 1-0 (Grizou n’a alors pas encore marqué), il jette un ballon en direction d’une petite fille assise au premier rang avec sa maman. Les stadiers auront la décence de ne pas aller le récupérer. Un cadeau magique, des souvenirs pour toujours.

La joie sur ce visage d’enfant, les yeux en coeur. Toute la magie du football. Un football au grand coeur. Ce sont les images que l’on doit voir plus souvent et les images qu’il faut partager. D’autant plus dans ce monde anxiogène au possible.

Ce lundi matin, la jeune fille est retournée à l’école, fièrement, arborant son ballon de football. Sa maman a posté ce cliché en story Instagram. C’est beau.

Laure Boulleau en burn-out : les confidences

Un témoignage saisissant. Mettre des mots sur des maux, ce n’est parfois pas chose facile. C’est ce qu’a choisi de faire Laure Boulleau, l’ex-joueuse de football au micro de Clique sur Canal+. La consultante C+ s’est confiée comme jamais, devant Mouloud Achour.

C’est un des maux de notre société : le burn-out, la dépression. Laure Boulleau en a été victime. Toujours habituée à vivre à cent à l’heure, elle a été obligée de lever le pied. Télé, réseaux sociaux, sport, vie sociale active… L’ex-joueuse du PSG disait oui à tout.

« Il y a deux ans et demi, trois ans, je ne sais pas ce qu’il s’est passé, je n’arrivais plus à me concentrer, j’avais des trous de mémoire, j’ai commencé à paniquer », confie-t-elle. « J’ai fait des émissions dans lesquelles j’avais l’impression d’être en pilotage automatique, j’étais là sans être là ». Comme un trouble de dépersonnalisation.

Pire que tout, Laure Boulleau a même été jusqu’à penser que « ses jours étaient comptés ».  La maman d’une petite Clara depuis le 19 février avoue avec le recul que son « cerveau n’était plus comme avant. Des noms de joueurs, j’avais du mal à m’en souvenir, même des connus. Les lendemains d’émissions, j’étais épuisée ».

Une sorte de burn-out. Un mal dont elle ne connaissait ni les symptômes, ni comment l’éradiquer : « En voulant tout bien faire, sans savoir dire non, j’ai failli me brûler la tête ».

La consultante de Canal+ a alors choisi le check-up complet. Là voilà en consultation chez de nombreux spécialistes : « J’ai fait tous les examens de la tête en long, en large et en travers. J’avais des symptômes de ouf et il n’y avait rien. Je devenais timbrée. Et j’ai donc consulté un neurologue que j’avais déjà consulté pour les traumas crâniens et qui m’a tout de suite dit ce qui n’allait pas ».”

Désormais mère de famille, la jeune femme voit le monde autrement : « Ma vie a pris un autre sens ».