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Trafic sexuel, affaires Diddy : révélations prochaines des noms de stars impliquées ?

Cela fait grand bruit aux Etats-Unis. Le scandale de trafic sexuel présumé dans lequel est empêtré l’homme d’affaires et rappeur P. Diddy pourrait éclabousser bien d’autres artistes et stars américaines.

Les médias américains suivent l’affaire de très près. Après la mise en examen de Sean Combs, alias P. Diddy, pour trafic sexuel, après l’amoncellement de plaintes (120, désormais !) pour violences sexuelles, d’autres stars impliquées dans ces soirées « Freaks off » pourraient être jetées en pâture. C’est qu’affirme l’avocat des victimes du rappeur.

Les procureurs fédéraux de New York estiment que « pendant des décennies », Diddy a « abusé, menacé et contraint des femmes et d’autres autour de lui à satisfaire ses désirs sexuels, protéger sa réputation et dissimuler ses actes ». Tout était organisé méticuleusement lors de fêtes dans des chambres d’hôtels ou palaces hollywoodiens ou new yorkais, parfois durant plusieurs jours.

Alors que plus de 120 plaintes sont en cours, l’avocat des victimes pensent sûrement mettre un grand coup de pied dans la fourmilière des abus de stars depuis des décennies. « Les noms vous choqueront, et il y en a beaucoup, beaucoup de personnes puissantes…« , précise-t-il.

Attention, tout de même, de fausses listes de noms de personnalités potentiellement impliquées circulent sur les réseaux sociaux. Des stars présumées innocentes qui voient leurs noms salis. La justice américaine fera bien vite son travail.

« Libérez mes chats ! » : guerre de voisinage sur fond de racisme

Elle doit être sympa la fête des voisins… Bientôt 4 ans que ça dure. Une histoire de voisinage qui tourne au vinaigre. Les histoires les plus courtes sont pourtant les meilleures… Il faudrait le rappeler à cette habitante de Saint-André-le-Gaz en Isère. Elle visite chaque jour ses voisins pour les accuser de voler ses chats pour les manger !

Il faut se pincer pour y croire. Le récit est signé Le Dauphiné Libéré, complété par les détails du Progrès. Martine Le a contacté la mairie de Saint-André-le-Gaz, la gendarmerie et un conciliateur de justice pour résoudre cette affreuse situation. Rien ne bouge.

Depuis quatre ans, « qu’il pleuve ou qu’il neige », la pression est permanente. « Elle a commencé à venir les réclamer devant le portail au mois de mai 2020 », se souvient Martine Le. « Depuis, c’est pratiquement tous les jours ».

D’origine asiatique, ce couple reçoit ces attaques quotidiennes sur fond de racisme. Un racisme ordinaire. D’autant plus terrible. « Libérez mes chats. Libérez mes chats. Libérez mes chats », voilà les mots répétés inlassablement devant le portail.

Un scénario qui a poussé la famille à s’équiper de caméras de vidéosurveillance pour tout enregistrer. Exemple, le 24 mars 2024 : première venue enregistrée à 7h38. La dernière à 20h58. Sans sonner, d’après Le Progrès, qui précise que la voisine est vue en train de frapper le portail à l’aide d’une canne. Cas psychiatrique ? Guerre de voisinage ? Racisme ?

Le problème, c’est que la version diffère si vous interrogez la « harceleuse ». « Tous les jours, ils mettent des appâts derrière leur maison pour les attraper », affirme la voisine repérée par les caméras de surveillance. Cette dernière reconnaît d’ailleurs ses « visites » quotidiennes pour demander le retour de ses chats…

« Lorsque mon chat a commencé à disparaître, il y a quatre ans, j’ai mis des mots dans les boîtes aux lettres du quartier », détaille-t-elle au Progrès. « Puis dans des boîtes aux lettres de manière individuelle. Lorsque j’ai déposé un papier dans leur boîte aux lettres, mon chat est revenu. C’est une preuve ». Suffisant ? Une drôle d’enquête et de drôles de conclusions. Mais la propriétaire des chats explique aussi que ses chats rentrent quotidiennement à son domicile. Donc tout va bien, non ?

Conciliante, Martine Le a contacté la mairie, la gendarmerie et un conciliateur de justice pour mettre fin à ce conflit. Elle précise même avoir proposé à sa voisine de venir récupérer ses chats chez elle. Sauf qu’il n’y en aurait pas…

« Nous sommes asiatiques, d’origine vietnamienne, nous ne mangeons ni les chats ni les chiens », se sent-elle obligée de préciser. D’autant qu’il serait compliqué que ces chats soient mangés puisque la propriétaire affirme que ses animaux rentrent chaque soir…

Une affaire loin d’être réglée. Faudrait-il en passer par l’installation de GPS sur les colliers des animaux afin de tracer leurs déplacements ? Une idée qu’Entrevue leur suggère…