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Face à la Belgique, Deschamps va tout changer

L’heure de vérité. Le choc des huitièmes de finale France-Belgique va forcément faire des malheureux. D’autant que les deux équipes n’ont pas brillé depuis le début de la compétition. Didier Deschamps s’apprête donc modifier l’animation de son équipe.

« Je ne change pas pour changer, mais je peux apporter des modifications. » Didier Deschamps est un pragmatique. Ses Bleus ne jouent pas le football désiré depuis le début de la compétition. Alors pour ces 8e de finale décisifs, l’équipe de France devrait encore avoir un nouveau visage face à la Belgique à 18h.

Le sélectionneur des Bleus devrait ranger au placard son système avec des ailiers purs. Ousmane Dembélé n’ayant jamais brillé lors des trois premiers matchs malgré trois titularisations. Et Bradley Barcola, aperçu lors du dernier match, n’affiche pas toutes les complémentarités avec un Kylian Mbappé avant-centre.

Alors afin de ne pas se passer du délicieux Antoine Griezmann, Didier Deschamps devrait modifier son milieu de terrain et son attaque. Jamais vu depuis environ trois ans, un système en 4-4-2 losange pourrait être testé en fin de journée. Avec Antoine Griezmann en électron libre derrière un duo d’attaque Mbappé-Thuram. Un Kylian Mbappé plus libre et un Marcus Thuram là pour le pressing, les fausses pistes, le harcèlement permanent. Une façon de mettre son capitaine dans les meilleures dispositions, suite à sa blessure au nez lors du premier match.

Au milieu de terrain, le trio de talents Kanté-Tchouaméni-Rabiot devra régner face au milieu belge. La bataille du milieu de terrain sera plus que jamais capitale. Le trio devra aussi compenser les montées de Théo Hernandez à gauche et le manque de repli habituel de Kylian Mbappé. Pas une mince affaire.

« L’important pour moi, ce sont les deux animations : offensives et défensives. Avec toujours l’objectif de mettre l’ensemble des joueurs, si c’est possible, dans la meilleure situation », estime Didier Deschamps en conférence de presse. « Certains diront peut être que je change, donc que je n’ai pas trouvé (le système adéquat), et quand j’avais trouvé, je n’avais pas de plan B… Je ne change pas pour changer. »

Enfin, le sélectionneur rassure les « les superstitieux, 𝗷’𝗮𝗶 𝗮𝘁𝘁𝗲𝗻𝗱𝘂 𝗺𝗼𝗻 𝘁𝗿𝗼𝗶𝘀𝗶𝗲̀𝗺𝗲 𝗘𝘂𝗿𝗼 𝗲𝗻 𝘁𝗮𝗻𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗼𝘂𝗲𝘂𝗿 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝗹𝗲 𝗿𝗲𝗺𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝗿. Alors est-ce qu’il fallait que j’attende mon troisième comme sélectionneur ? On verra. »

Voilà à quoi pourrait ressembler le 11 de l’équipe de France face à la Belgique à 18h : Maignan – Koundé/Upamecano/Saliba/Hernandez – Kanté/Tchouaméni/Rabiot – Griezmann – Thuram/Mbappé.

« C’est chiant… » Avant d’affronter la Belgique, Kylian Mbappé en a marre

Il ne s’était pas encore présenté devant la presse depuis sa blessure au nez, lors du premier match des Bleus à l’Euro 2024. Kylian Mbappé est intervenu, aujourd’hui, tout sourire, un brin chambreur, très concerné devant la presse.

À 24 heures du choc des huitièmes de finale de l’Euro, France-Belgique, Kylian Mbappé s’est montré très souriant, très détendu au moment de répondre aux questions des médias. Questionné pour la première fois sur le port de son masque, afin de protéger son nez blessé lors du premier match face à l’Autriche (1-0), Kylian Mbappé a répondu avec honnêteté.

« Je ne peux jouer que comme ça, je dois lui dire merci au masque. »

« Je ne pensais pas mais jouer avec un masque, c’est une horreur absolue. J’ai changé de masque parce qu’à chaque fois, il y avait quelque chose qui n’allait pas. Ça limite la vision, la sueur reste bloquée, j’avais l’impression les premiers jours d’être en 3D et de voir l’Euro en VIP ! »

Il livre son ressenti en totale transparence : « Dès que je pourrai l’enlever, je vais l’enlever. C’est chiant. Je n’ai pas le choix, je ne peux jouer sans. Vous l’avez vu, j’ai changé de masque cinq fois, et encore, il n’y pas eu toutes les photos, j’ai changé encore plus… Mais ma compétition va être comme ça, avec ça et en aucun cas ce sera une excuse. Je ne peux jouer que comme ça, je dois lui dire merci au masque. »

Interrogé avant les résultats du premier tour des élections législatives, le capitaine des Bleus s’est montré inquiet et a pris un ton plus sérieux : « Va falloir qu’on fasse quelque chose, on va se réunir avec les gars »…

Rendez-vous lundi, 18 heures, pour soutenir les Bleus face à la Belgique.

EURO 2024, huitièmes de finale : l’Angleterre miraculée, l’Espagne rouleau compresseur

Les Géorgiens ont tout tenté, ils ont même mené au score mais les Espagnols sont décidément irrésistibles dans cet Euro 2024. Ce dimanche soir, la Roja n’a pas fait de détails (4-1) alors que juste avant, les Anglais sont sortis du piège slovaque par miracle (2-1)…

Espagne vs Allemagne, immense affiche des prochains quarts de finale de l’Euro, en fin de semaine. Pour retrouver le pays hôte de la compétition, les Espagnols se sont fait quelques petites frayeurs. Face à l’équipe surprise de l’Euro, il fallait se montrer très sérieux. Avec son but contre son camp avant la vingtième minute de jeu, Robin Le Normand est le seul joueur à avoir marqué contre l’Espagne dans cet Euro 2024… Statistique marquante.

Mais après l’ouverture du score des Géorgiens, les Espagnols ont mis le rouleau compresseur collectif en marche. Avec un Fabien Ruiz, le milieu de terrain du PSG, dans tous les bons coups. Constamment cherché par ses coéquipiers, il excelle et marque à nouveau ce soir. Contesté au Paris-SG par certains supporters, il remet les pendules dans une équipe portée sur le collectif.

L’égalisation de Rodri avant la pause fait mal aux Géorgiens coachés par Willy Sagnol et dont les cages sont gardés par le solide portier Giorgi Mamardashvili. Les Espagnols ont marqué au bon moment, la Géorgie ne s’en relèvera pas.

Par la suite, la Roja déroule, fait tourner son effectif et empile les buts. En moins de trente minutes, avec Nico Williams et Dani Olmo buteurs, la différence est faite (4-1).

Quelques heures avant, l’Angleterre a eu besoin de la prolongation pour se sortir du piège slovaque. À nouveau sans génie, les Three Lions peuvent se reposer sur leurs immenses talents. À commencer par Jude Bellingham, le génial milieu de terrain du Real Madrid. Buteur d’un fantastique retourné acrobatique pendant les arrêts de jeu, son égalisation renverse totalement la situation.

Dans la foulée, Harry Kane débloque son compteur buteur, en renard de surface (2-1). Les Slovaques sont KO. Les Anglais affronteront la Suisse, vainqueur de l’Italie la veille, en quarts de finale.

L’Allemagne se qualifie pour les quarts de son Euro sur un but polémique

Malgré les intempéries, malgré de solides Danois, l’Allemagne se sort du piège des huitièmes de finale et verra les quarts. Une victoire 2-0 face au Danemark mais une victoire pas si nette que cela… Explications.

L’Allemagne attend l’Espagne de pied ferme en quarts de finale de l’Euro. À moins que la Géorgie ne crée une immense surprise. L’affiche serait belle. Mais avant cela, la Mannschaft a dû batailler ferme pour éliminer les Danois de Kasper Schmeichel.

Dans une rencontre interrompue par de violents orages, les 22 acteurs ont eu toutes les peines du monde à ouvrir le score. Et comme souvent dans le football, c’est juste après qu’une occasion nette vous soit refusée que vous encaissez un but.

Le Danemark enrage. Au retour des vestiaires, alors que l’orage traîne encore dans les parages, les Danois dominent, poussent fort. L’ancien lyonnais Andersen pense même ouvrir le score après un cafouillage en pleine surface. La VAR annule sa réalisation pour un hors-jeu au millimètre, une règle aberrante qu’il va falloir revoir très vite, tant elle va à l’encontre de l’esprit du football. Un but refusé qui fera énormément parler.

Car dans les secondes qui suivent. L’Allemagne reprend le jeu à son compte. Sur le côté droit de la surface, Andersen, encore lui, est coupable de ne pas ranger sa main droite derrière son dos. Le centre allemand vient effleurer son bras. La VAR indique à l’arbitre le point de penalty : 1-0, Kaï Havertz (53e). Le Danemark enrage puis perd le fil du match.

Si on récapitule : un but du Danemark refusé pour 3 centimètres, alors que le départ du ballon est en fait impossible à juger à la VAR avec autant de précision. Le penalty pour l’Allemagne pour une main clairement involontaire et non préjudiciable pour la suite de l’action. Et enfin, si on regarde bien, sur le penalty de Kai Havertz, il coupe sa course d’élan et marque. Ce qui aurait pu être sanctionné.

À la 68e minute, un des meilleurs joueurs du tournoi, Jamal Musiala, met fin à tout suspense (2-0). Pour son Euro, à domicile, l’Allemagne voit les Dieux du football oeuvrer en sa faveur… Place à la suite.

Les Bleus déçoivent encore (1-1) mais se qualifient pour les huitièmes

L’équipe de France verra les huitièmes de finale de l’Euro. Encore heureux vu l’effectif présent en Allemagne. Mais après ce nouveau match nul (1-1) face à la Pologne, pourtant déjà éliminée avant la rencontre, le niveau des Bleus interroge.

Avec le retour de Kylian Mbappé, titulaire et masqué, tous les espoirs étaient permis pour les Bleus. Face à une équipe de Pologne déjà éliminée, il fallait gagner pour assurer la première place du groupe. D’autant que les Pays-Bas perdaient dans le même temps face à l’Autriche (2-3).

Problème, déjà poussive lors des deux précédentes rencontres, l’équipe de France a encore étalé ses lacunes offensives. Un manque de réussite terrible. Il a d’ailleurs fallu un penalty, transformé par Kylian Mbappé facilement, pour que la France prenne les devants (1-0, 56e). Avant cela, ce fut encore un festival d’occasions manquées. Avec un Ousmane Dembélé toujours aussi inefficace. Et des tricolores trop dans la gestion.

Didier Deschamps avait choisi d’aligner l’attaque du Paris-Saint Germain : Barcola-Mbappé-Dembélé. Ce ne fut pas une totale réussite. Aucune titularisation pour Olivier Giroud, ni pour Kingsley Coman, cela interroge. Eux qui apportent d’autres solutions dans le jeu.

Dans le football, quand on rate la cible trop souvent, quand on manque des occasions nettes à 4 contre 2 ou pire, on est forcément puni. Ça n’a pas manqué. Dayot Upamecano commet une légère faute dans la surface. C’est un penalty logique, vérifié à la VAR.

« Magic » Mike Maignan face à Robert Lewandowski. Le Polonais s’élance, stoppe plusieurs fois sa course sans que l’arbitre ne trouve à redire. Le gardien arrête brillamment le tir ! Magnifique. Mais l’arbitre estime que le Français est parti trop tôt. Réflexe logique, vu le nombre de feintes réalisées par l’attaquant adverse.

Les Bleus sont pénalisés et cette fois, sur la seconde tentative, le numéro 9 du Barça trouve le poteau rentrant (1-1, 79e). Après autant de situations dangereuses, cela leur pendait au nez…

La France termine donc deuxième de son groupe à la surprise générale. L’Autriche s’empare de la première place. Place aux huitièmes de finale. Lundi, concernant les Bleus, qui ne connaissent pas encore le nom de leur adversaire.

« Le premier objectif est atteint, on jouera le 1er juillet et une nouvelle compétition va commencer. Si on marque plus de buts, on a plus de chances de gagner des matches. Je serais beaucoup plus inquiet si on n’avait pas d’occasions », estime Didier Deschamps juste après le match.

Adrien Rabiot se montre plus agacé par la performance globale : « On aurait aimé finir premier mais on n’a pas mis assez pour gagner ce soir. On avait tout entre nos pieds... L’objectif c’était la première place et il n’est pas atteint. »

Une nouvelle compétition démarre en effet. Et la France devra faire beaucoup mieux. En 2016, le Portugal était en échec lors des phases de poules avant d’aller chercher le titre… Alors, pourquoi pas ?

Sans Mbappé, les Bleus sont muets (0-0)

Des occasions ratées, une grosse frayeur et un match nul 0-0, le premier de la compétition. L’équipe de France et les Pays-Bas se quittent dos à dos dans ce deuxième match de la poule D de l’Euro 2024.

Antoine Griezmann va mal dormir. Trois occasions nettes. Trois échecs. Cela lui est rarement arrivé pendant sa carrière. À 33 ans, Grizou portait le brassard de capitaine, en l’absence de Kylian Mbappé, préservé suite à sa blessure au nez, lundi, et placé jusqu’au bout sur le banc des remplaçants.

L’équipe de France est bien entrée dans son match, avec intensité et justesse. Les occasions sont là : un tir de loin bien senti, une balle en or qu’Adrien Rabiot préfère tenter d’offrir à Antoine Griezmann au lieu de marquer. Avec un N’Golo Kanté toujours aussi percutant et le retour d’Aurélien Tchouaméni, l’équipe de France avait de quoi remporter la bataille du milieu.

Mais en positionnant Adrien Rabiot dans un rôle hybride de milieu gauche, milieu axial, Didier Deschamps ne s’est-il pas trompé ? Le remix du rôle de Blaise Matuidi à la Coupe du monde 2018 n’a pas fonctionné. Car le milieu de la Juventus Turin (en fin de contrat au 30 juin) s’est retrouvé dans des positions très offensives inhabituelles pour lui. Et il n’a pas été décisif dans ces zones clés. Pas un hasard.

Ni Antoine Griezmann, ni Marcus Thuram n’ont pu trouver le chemin des filets. Pas plus qu’Ousmane Dembélé, dont c’est assez habituel. Ce dribleur né n’a, une nouvelle fois, pas assez pesé, ni effectué les bons choix. Dans ces conditions, malgré les occasions franches, les Bleus auraient pu être punis et ne pas ramener ce point du match nul.

En seconde période, la bataille est rude. Xavi Simons (qui appartient au PSG mais évolue à Leipzig) pense ouvrir le score d’une reprise limpide. Mais un coéquipier du Néerlandais gêne Mike Maignan, une position de hors jeu signalée logiquement via la VAR.

Les entrées tardives d’Olivier Giroud ou de Kingsley Coman ne permettent pas aux Bleus de prendre les devants. Mais avec de telles ressources offensives (Bradley Barcola et Kylian Mbappé n’ont pas été utlisés), cela laisse quelques regrets. Les supporters en attendaient encore plus des finalistes de la dernière Coupe du monde.

Premier 0-0 de l’Euro 2024, ce score ne fait pas les affaires des Bleus, deuxième du groupe. Un match clé qui n’a pas tourné en la faveur des tricolores. Les Bleus affronteront la Pologne mardi soir. Des Polonais qui sont les premiers éliminés de la compétition. Un match sans enjeu pour eux, un match plein d’enjeux pour l’équipe de France.

Pourquoi Kylian Mbappé ne pourra pas porter son masque tricolore pour Pays-Bas/France ?

Jouera, jouera pas. Kylian Mbappé reste incertain pour débuter la rencontre de ce soir, Pays-Bas/France, dans le cadre de l’Euro 2024. Après son choc au nez énorme, reçu face à l’Autriche, lundi soir, le capitaine des Bleus portera dorénavant un masque. Mais pas celui entrevu à l’entraînement.

Kylian Mbappé, Olivier Giroud ou Marcus Thuram à la pointe de l’attaque des Bleus, ce soir, face aux Pays-Bas ? Rendez-vous à 21h, ou un peu avant, pour connaître la composition d’équipe choisie par Didier Deschamps.

Après son énorme coup reçu au nez, dans un duel tête contre épaule entre Kylian Mbappé et Kevin Danso, lundi soir, l’attaquant de l’équipe de France a été sérieusement touché. Les images étaient inquiétantes. Nez cassé. Mais comme l’ont déjà démontré de nombreux sportifs (basketteurs, rugbymen ou autre), le retour à la compétition est possible assez rapidement.

De là à voir le capitaine des Bleus dés ce soir face aux Pays-Bas ? Cela reste une possibilité suite à l’entraînement d’hier. Les supporters de l’équipe de France ont donc aperçu Kylian Mbappé, tout sourire, avec un magnifique masque tricolore. Afin de le protéger des chocs, quand même.

Le hic, c’est que vous ne verrez pas ce masque ce soir. En compétition officielle, l’UEFA reste très rigide. Interdiction d’arborer des fantaisies ou tout simplement les couleurs de votre pays ! Seul un masque uni sera permis. Dommage, ce sera moins festif. Et moins remarqué.

La France a rendez-vous avec les Pays-Bas, ce soir, 21h. Deuxième match de poules, après la victoire 1-0 face à l’Autriche. Un nul ou une victoire enverrait déjà les Bleus en 8e de finale.

Des idées de masques pour Kylian Mbappé ? Toutes les propositions dévoilées

L’image a fait le tour du monde. Après une reprise de la tête, Kylian Mbappé percute le Lensois Kevin Danso. Son nez prend le choc de plein fouet. En sang, le capitaine des Bleus doit quitter le terrain. Heureusement, cette nuit, les nouvelles sont plutôt rassurantes.

Kylian Mbappé devrait pouvoir éviter l’opération. Et revenir au jeu d’ici 10-15 jours. Histoire de participer sereinement au possible 8e de finale de l’Euro avec les Bleus. Le nouveau madrilène a tristement débuté cette compétition. Même s’il est à l’origine du but contre son camp victorieux de la France face à l’Autriche, lundi soir (0-1), l’attaquant n’a pas été en réussite. À l’image son face-à-face raté de la 55e minute de jeu.

Comme pour rassurer les supporters des Bleus, Kylian Mbappé a posté un tweet à 1h26 du matin. « Des idées de masques ? », interroge-t-il. Oui, énormément, même ! Ce message a provoqué un déferlement de réactions, tantôt des tweets humoristiques, tantôt plus sérieux.

L’idée d’un masque de Tortue Ninja, surnom dont il a très vite été affublé, est revenue massivement. D’autres grands sportifs ont déjà eu des soucis au nez, ainsi, beaucoup d’internautes ont aussi proposé à l’attaquant tricolore de porter le même masque que LeBron James, autre légende du sport.

Les fans de catch ont quant à eux penser au masque de luchador de Rey Mysterio, célèbre spectaculaire lutteur mexicain de la WWE.

Plus premier degré, certains lui conseillent celui porté longue durée par le Nigérian du Napoli Victor Oshimen.

Si Kylian Mbappé a besoin de conseils concernant le port du masque, il pourra aussi demander à son ami et ex-coéquipier du Paris-Saint Germain, l’Espagnol Sergio Ramos, victime lui-aussi en son temps d’une blessure au nez.