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Tentative d’assassinat contre Donald Trump : les premières images du tireur (TMZ)

Serait-ce le tournant de cette campagne pour la présidence des Etats-Unis ? Les images de la tentative d’assassinat sur Donald Trump, en plein meeting, cette nuit, font le tour du monde. Sain et sauf, mais touché à l’oreille, Donald Trump reçoit de nombreux témoignages de soutien.

En ce 14 juillet, jour de fête national, Emmanuel Macron avait bien d’autres préoccupations. Mais il a tout de même tweeté pour témoigner de son soutien envers Donald Trump suite à cette tentative d’assassinat.

« Mes pensées au Président Donald Trump, victime d’une tentative d’assassinat, à qui j’adresse mes vœux de prompt rétablissement. Un militant est décédé, plusieurs sont blessés. C’est un drame pour nos démocraties. La France partage le choc et l’indignation du peuple américain. »

Des milliers de messages afflux sur les différents réseaux sociaux suite à ce geste horrible. D’après de premières informations du FBI, le tireur aurait été identifié et serait un certain Thomas Matthew Crooks, 20 ans, de Bethel Park, Pennsylvanie. TMZ a obtenu les premières images du tireur, allongé sur un toit, fusil à la main.

Une scène qui rappelle celle de l’assassinat du Président Kennedy… Et qui semble offrir un boulevard vers l’élection de président des Etats-Unis à Donald Trump.

Le patron du réseau social X (ex-Twitter) et soutien de Donald Trump, Elon Musk, a lui aussi laissé un post de soutien envers le candidat des Républicains.

Julian Assange est libre après 5 ans d’emprisonnement

« À tous ceux qui ont travaillé à sa liberté, merci. » Le compte Wikileaks salue la libération de Julian Assange. Cette date restera dans l’histoire. Le lanceur d’alertes est libéré après 5 ans de détention, il avait dénoncé trop bruyamment les crimes des autres…

Tout un symbole. Julian Assange est libre. Des images reprises dans le monde entier. Ce lundi 24 juin 2024 restera une date historique. Notamment pour tous ceux qui se battent pour informer librement.

« Libre » reste tout de même un bien grand mot. Car l’Australien a bien quitté lundi le Royaume-Uni à bord d’un avion mais c’est seulement après avoir négocié un accord de plaider coupable avec la justice américaine qui réclamait son extradition.

Poursuivi pour avoir divulgué des centaines de milliers de documents confidentiels, Julian Assange doit comparaître mercredi devant un tribunal fédéral des îles Mariannes, territoire américain du Pacifique.

Les images diffusées par le compte X de Wikileaks font en tout cas chaud au coeur aux milliers (millions ?) de soutiens de Julian Assange. Parmi, notamment Jean-Luc Mélenchon. Et bien sûr à toute la famille du Suédois. À commencer par sa femme et son fils, Gabriel, qui ne l’a jamais connu libre.

L’Australien de 52 ans était incarcéré depuis 2019 dans une prison de haute sécurité proche de Londres. Désormais poursuivi pour « complot pour obtenir et divulguer des informations relevant de la défense nationale », Julian Assange devrait plaider coupable de ce seul chef, selon les documents judiciaires rendus publics, qui citent également sa complice, la militaire américaine Chelsea Manning, à l’origine de cette fuite massive.

Pourquoi parler de liberté si Julian Assange va passer demain devant un tribunal américain ? Julian Assange devrait être condamné à 62 mois de prison, une peine déjà purgée en détention provisoire à Londres. Il pourra donc rejoindre l’Australie, libre.

Sa femme, Stella, avocate avec qui il est marié depuis 2022, n’a jamais rien lâché. Agitant la sphère médiatique autant que possible.

« Je suis reconnaissante que le calvaire de mon fils touche enfin à sa fin. Cela montre l’importance et le pouvoir de la diplomatie discrète », a relevé sa mère, Christine Assange, dans un communiqué. « Beaucoup se sont servis de la situation de mon fils pour promouvoir leur propre cause. Je suis donc reconnaissante envers les personnes invisibles et travailleuses qui ont fait passer le bien-être de Julian en premier ».

Cet accord historique met fin à un feuilleton dramatique qui a duré près de 14 ans. Julian Assange avait alors rendu public plus de 700 000 documents confidentiels et compromettants pour les activités militaires et diplomatiques américaines. Avec des révélations terribles concernant l’Irak et l’Afghanistan.

Une vidéo, en particulier, avait suscité une vague d’émotions. Des civils, dont deux journalistes de l’agence Reuters, tués par les tirs d’un hélicoptère de combat américain en Irak en juillet 2007. En vertu de la loi sur l’espionnage, Julian Assange encourait 175 années de prison…

80 ans du Débarquement en Normandie : Moment gênant pour Joe Biden

Joe Biden n’en est plus à son coup d’essai. Régulièrement moqué sur les réseaux sociaux, le Président américain a encore fait parler de lui, aujourd’hui, à l’occasion des commémorations des 80 ans du Débarquement en Normandie.

Ce n’est pas beau de se moquer. Mais c’est souvent le jeu sur les réseaux sociaux. Sur X, particulièrement. Joe Biden a tendu la joue, ce jeudi, à l’occasion du D-Day, les 80 ans du Débarquement en Normandie.

Le Président des Etats-Unis était sur scène, avec son épouse, à côté du couple présidentiel français Emmanuel et Brigitte Macron. C’est là que l’homme de 81 ans a tenté de s’asseoir… dans le vide. Cela aurait pu même être dangereux. Aucune chaise, ni tabouret n’était installé sur scène. Un moment gênant devant les caméras du monde entier.

De nombreux opposants politiques ou simples citoyens s’en donnent à coeur joie via diverses publications en ligne. L’un d’eux souligne qu’en une journée, vidéos à l’appui, Joe Biden a réalisé la prouesse de « vouloir s’asseoir sur une chaise fantôme », d’« oublier ensuite où était son siège », de « parler du nombre de Russes morts en Ukraine » ou encore de « s’éloigner alors qu’Emmanuel Macron saluait les vétérans de l’armée »… Une autre ironise sur le fait que Joe Biden est « totalement prêt » à rempiler pour 4 ans… Pas gagné.

Crocodile Dundee pour de vrai en Floride !

Mike Dragich n’en est pas à son coup d’essai. Ce vétéran de l’armée américaine a réussi à maîtriser un alligator de plus deux mètres, en pleine rue, sans arme, sans chaussure ! Une image qui fait le tour du monde depuis quelques heures.

La scène se passe en Floride (Etats-Unis), du côté de Jacksonville. L’animal mesure environ 2,40 mètres. Aperçu errant dans les rues d’un quartier résidentiel en pleine journée, il est tombé sur le chemin de Mike Dragich. Passionné de MMA (mixed martial arts), l’homme neutralise l’animal en quelques secondes. C’est digne d’un film d’action. Les gestes parfaits, aux bons moments. Et heureusement pour cet homme.

Sur ces images du média local News3jax, on découvre aussi que cet homme a déjà un surnom, « Bluecollar Brawler », le bagarreur au collier bleu. Ce vétéran de l’armée US aurait été sollicité par le shérif de la ville alors qu’il assistait à un match de hockey. Ainsi, il déboule sans matériel pour éviter le pire aux habitants du quartier.

Short, débardeur, pieds nus… Et ce « Crocodile Dundee » des temps modernes maîtrise l’alligator. Les smartphones sont de sortie pour immortaliser la scène. Les médias américains précisent à tous ceux qui regardent ces images de ne pas tenter de réaliser cette capture eux-mêmes si ils tombent par hasard sur un alligator… On s’en serait douté.

Explosions en Iran : deux versions bien différentes et un appel au calme

Des explosions, des drones abattus. Le centre de l’Iran cible d’attaques non revendiquées, cette nuit. Les Etats-Unis affirment que ces tirs sont des représailles israéliennes. Israël s’abstient de tout commentaire.

Ce vendredi matin, lors d’un déplacement en Finlande, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen envoie un message clair : il est « absolument nécessaire » que la situation reste « stable » au Proche-Orient. L’Union européenne incite les parties prenantes à « s’abstenir de toute nouvelle action ».

La nuit dernière, plusieurs explosions depuis le centre de l’Iran ont été rapportées. Une attaque israélienne selon plusieurs hauts fonctionnaires américains. Une attaque qui ferait suite aux tirs de drones et de missiles contre Israël le weekend dernier. Escalade permanente entre Israël et l’Iran ? Puisque la riposte iranienne faisait déjà suite à l’attaque de l’annexe de l’ambassade d’Iran en Syrie, le 1er avril.

Plus précisément, l’agence de presse iranienne Fars rapporte trois explosions près d’une base militaire à Qahjavarestan, entre la ville d’Ispahan et son aéroport. Des drones ont été abattus mais il n’y a pas eu d’attaque par missiles. Mais selon l’Iran, « aucune information fait état d’une attaque de l’étranger ». Vu le peu de dégâts, est-ce une volonté d’éviter justement d’entrer dans un conflit violent et permanent avec Israël ?

Car du côté de Washington, les informations du Washington Post semblent assez claires : Israël voulait montrer sa capacité à frapper l’intérieur du pays. Des informations d’une attaque connues aux Etats-Unis depuis jeudi.

Le journal américain The New York Times cite quant à lui des responsables iraniens. Selon eux, l’attaque aurait été menée par de petits drones, possiblement lancés depuis le territoire iranien, et les défenses aériennes « n’ont pas détecté d’objets volants non identifiés franchissant l’espace aérien iranien ». Un récit parallèle afin d’éviter un conflit frontal qui s’enliserait dans une guerre régionale ?

Les États-Unis affirment avoir été prévenus jeudi de l’attaque israélienne sur l’Iran mais ils n’ont ni approuvé l’opération ni joué aucun rôle dans son exécution, ont déclaré plusieurs responsables cités par les chaînes NBC et CNN.

Téhéran promet de réagir à la « moindre action » d’Israël

C’est un avertissement qui a le mérite d’être clair. Et qui plonge le monde dans toujours plus d’incertitudes. Le président iranien, Ebrahim Raïssi, s’est montré catégorique, via un communiqué publiqué ce mardi : Il prévient Israël que « la moindre action » contre « les intérêts de l’Iran » provoquerait « une réponse sévère » de son pays.

Ce communiqué diffusé par l’agence de presse iranienne ISNA annonce « une réponse étendue et douloureuse contre tous les auteurs » d’une attaque israélienne. Lors d’un entretien téléphonique avec l’émir du Qatar, Tamim Ben Hamad Al Thani, tard ce lundi, Ebrahim Raïssi explique que « son pays exerce son droit à l’autodéfense », suite à l’attaque d’Israël sur une annexe de l’ambassade d’Iran à Damas, en Syrie, le 1er avril. Précisant par ailleurs qu’une « cause de tension dans la région » est « le soutien aveugle de certains pays occidentaux au régime sioniste ».

Des déclarations fermes et angoissantes pour le monde entier. Car en parallèle, le ministre des affaires étrangères israélien appelle ses homologues de 32 pays, dont la France, à prendre des sanctions contre l’Iran.

Israël Katz a envoyé ce mardi matin des lettres et « a parlé avec des dizaines de ministres des affaires étrangères et de personnalités du monde entier appelant à imposer des sanctions contre le projet de missile iranien et à ce que le corps des gardiens de la révolution islamique soit inscrit sur la liste des organisations terroristes ». Des mesures qu’il estime aptes à « freiner et affaiblir » la République islamique.

Dans les colonnes du Monde, Josep Borrell, chef de la diplomatie de l’Union européenne (UE), explique que « pour mettre en place des sanctions, il faut des choses sanctionnables ». Pour classer les gardiens de la révolution islamique sur la liste des organisations terroristes, « il faut qu’une autorité judiciaire d’un État membre considère que cette organisation a commis un acte terroriste. Ce n’est pas le cas jusqu’à présent ».

Le G7 s’organise pour éviter une guerre avec l’Iran

La Maison Blanche appelle à une désescalade du conflit, ce dimanche. Après une nuit de peur, où l’Iran a mené une attaque préméditée sur Israël, envoyant missiles et drones sur le dôme de fer. Des tirs lancés en réponse aux assauts israéliens sur son ambassade en Syrie, début avril.

Après les frappes, l’appel au calme. Les Etats-Unis ont déclaré ce dimanche 14 avril ne pas vouloir d’une « escalade » ni d’une « guerre étendue avec l’Iran ». John Kirby, le porte-parole du Conseil national de sécurité de la Maison Blanche, a mis au clair les intentions américaines.

Pour autant, vu de France, le quai d’Orsay demande aux ressortissants français de quitter l’Iran. Au moins « temporairement ». À cause justement du « risque d’escalade militaire »… Qui suivre ? Les décisions se prennent au jour le jour. Vendredi, en prévention de frappes iraniennes annoncées de toute part, Paris avait déjà demandé aux Français d’éviter de voyager dans ce pays, mais aussi « au Liban, en Israël et dans les territoires palestiniens ».

Suite aux attaques de l’Iran sur le territoire israélien, la nuit dernière, le Royaume-Uni a confirmé avoir abattu des missiles et drones de combat. Tout cela dans le cadre d’un « effort international coordonné ». Selon l’armée israélienne, ces attaques n’ont pas engendré de destruction importante. Selon l’agence officielle iranienne Irna, les tirs ont bien provoqué de « sérieux dégâts ». Communication contre communication. Une fillette est toujours entre la vie et la mort après avoir été touchée par des débris de drone dans la ville d’Arad.

La seule lueur d’espoir vient peut-être de ces déclarations iraniennes. Pour le général Mohammad Bagheri, l’affaire serait close. « L’opération Promesse honnête a été menée avec succès entre hier soir et ce matin, et a atteint tous ses objectifs », a expliqué le chef des forces armées du pays. Précisant qu’il fallait voir ces attaques comme une réponse à la frappe attribuée à Israël de son consulat à Damas (Syrie) le 1er avril (16 mort).

À suivre, le compte-rendu de la réunion extraordinaire des pays du G7, convoqués par Joe Biden cet après-midi. Les dirigeants de la France, des Etats-Unis, du Canada, du Japon, du Royaume-Uni, de l’Italie et de l’Allemagne doivent en ce moment coordonner une « réponse diplomatique unie ». Enfin, une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU est prévue dimanche à 22 heures.

Percuté par un cargo, un pont s’effondre (vidéo)

Des images spectaculaires et inquiétantes. Pour un accident majeur. De quoi faire énormément réagir dans le monde entier sur les réseaux sociaux.

Le pont Francis Scott Key à Baltimore (Maryland, Etats-Unis) s’est effondré, vers 1h35 ce mardi, après avoir été percuté par un cargo. Les vidéos totalisent des millions de vues : on y voit l’effondrement du pont causé par le choc avec l’imposant navire.

L’autorité des transports du Maryland a communiqué sur le réseau social X pour informer les populations et préconiser aux automobilistes d’éviter la zone.

La police de Baltimore a communiqué à la chaîne NBC que des personnes sont tombées dans la rivière, « possiblement une vingtaine ». Ainsi que des voitures. Les secours sont à pied d’œuvre.

Certains internautes ont déjà retrouvé avec nostalgie des images d’archives de ce célèbre pont de Baltimore, utilisé notamment pour une scène de la saison 2 de la série multi-récompensée « The Wire ».