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Secoués en première mi-temps, les Bleus dominent encore une fois la Belgique (1-2)

Deux victoires en deux matchs pour les Bleus, lors de ce rassemblement si particulier, sans Antoine Griezmann (retraité), ni Kylian Mbappé (excusé). La Belgique a à nouveau fait les frais de l’efficacité française…

Cela fait plus de 40 ans que les Diables Rouges n’arrivent plus à battre l’équipe de France de football (1981). Situation incroyable quand on connaît les talents que composent l’effectif belge.

Ce soir, à Bruxelles, la Belgique a fait illusion une mi-temps : incapable d’ouvrir le score, elle a été punie sur un penalty transformé par Randal Kolo-Muani, toujours aussi fiable chez les Bleus (0-1, 35e). Dommage que Luis Enrique ne lui accorde pas sa confiance au PSG, le faisant déjouer en l’utilisant à contre-emploi… Il sait pourtant marquer des buts, et il vient de le rappeler.

Si les Belges reviennent au score juste avant la pause (1-1, 45e+2) via Loïs Openda, ce sont les Français qui reprennent le match du bon pied après la pause.

Randal Kolo-Muani, encore lui, reprend un centre de Lucas Digne, et double la mise d’une reprise décroisée de la tête (2-1, 63e).

À 10 contre 11 après l’exclusion d’Aurélien Tchouaméni, pour un second carton jaune justifié, les Bleus de Didier Deschamps font le dos rond et conservent finalement leur avantage…

La France revient à un point du leader, la Squadra Azzurra, vainqueur d’Israël 4-1 à Udine (Italie). Prochaines échéances de Ligue des Nations en novembre.

Face à Israël, les Bleus font le job, la réaction de Didier Deschamps (1-4)

Fallait-it attendre plus de cette équipe de France face à Israël, ce jeudi soir, en Ligue des Nations ? Pas vraiment. Les Bleus de Didier Deschamps ont fait le job, dans un énième « match de trop » au sein d’un calendrier surchargé.

Sans Kylian Mbappé, parti se reposer en Suède, sans Antoine Griezmann, à la retraite, l’équipe de France de football est en phase de transition. Sur le terrain neutre de Budapest (Hongrie), il s’agissait donc de commencer le processus de réinvention.

Avec l’artiste Michael Olise positionné en électron libre derrière une attaque composée de Christopher Nkunku, Randal Kolo-Muani et Ousmane Dembélé, Didier Deschamps avait clairement décidé de desserrer le frein à main.

Rapidement, les plus assidus aux matchs des Bleus (les autres ont fait autre chose ce jeudi soir) ont compris que cela serait une soirée tranquille. Israël n’a rien d’une équipe de très haut niveau international. Si Eduardo Camavinga a ouvert le score sur une belle boulette du gardien adverse (6e), Israël a bien égalisé sur sa seule occasion de but (1-1, 24e) ! Décidément…

La France a alors fait le travail conscienscieusement : Christopher Nkunku s’est sorti tout seul de la tenaille défensive pour aller débloquer la situation en pleine surface (1-2, 28e). Puis en fin de match, Matteo Guendouzi et Bradley Barcola, tous deux entrés en jeu tardivement, ont donné un peu plus d’ampleur au score (1-4).

Didier Deschamps se satisfait de ce résultat : « C’est positif. Mettre quatre buts, ça fait un moment que ça ne nous est pas arrivé. Sur la seule occasion d’Israël, on prend ce but. J’ai regretté les erreurs techniques à la mi-temps. Mais on a été sérieux et appliqués. C’est le type de match où l’adversaire a tout à gagner et nous tout à perdre.« 

« Rennes m’a pris un petit peu pour un con »… Cet international français l’a mauvaise

Il aurait souhaité un peu plus de respect de la part de son club formateur. Et il le fait savoir. Ce joueur de 34 ans aux 22 sélections chez les Bleus (2010-2012) n’a pas aimé la façon de faire du Stade Rennais.

Passé par la France, la Russie, l’Italie, l’Angleterre ou la Grèce avant de revenir cet été à Caen (Ligue 2), Yann M’Vila s’est confié dans un podcast de Ouest France et Sweet FM au sujet de sa carrière.

Celui qui a passé récemment la barre des 600 matches joués chez les professionnels gardera un « goût d’inachevé » de son parcours en équipe de France.

Au détour de questions sur le Stade rennais, il déballe tout : « 𝗠𝗼𝗶, 𝗥𝗲𝗻𝗻𝗲𝘀 𝗺’𝗮 𝗽𝗿𝗶𝘀 𝘂𝗻 𝗽𝗲𝘁𝗶𝘁 𝗽𝗲𝘂 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗰𝗼𝗻. Quand je parle de Rennes, 𝗷𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗲 𝗮𝘂 𝗽𝗮𝘀𝘀𝗲́. 𝗖𝗮𝗿, 𝗹𝗼𝗿𝘀𝗾𝘂𝗲 𝗷’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘀 𝗱𝗮𝗻𝘀 𝗹𝗮 𝗴𝗮𝗹𝗲̀𝗿𝗲 𝗲𝘁 𝗾𝘂𝗲 𝗷𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗮𝗶 𝗱𝗲𝗺𝗮𝗻𝗱𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹’𝗮𝗶𝗱𝗲, 𝗹𝗲 𝗰𝗹𝘂𝗯 𝗻’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗮̀.« 

Il poursuit : « J’aurais pu aller à la guerre avec ce club pour partir. 𝗠𝗮𝗶𝘀 𝗷’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘀 𝗯𝗶𝗲𝗻 𝗲𝘁 𝗽𝗮𝗿 𝗳𝗶𝗱𝗲́𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝗿𝗲𝘀𝘁𝗲́ (…) Lorsque j’essaie de revenir juste pour m’entraîner avec le club (2015), 𝗼𝗻 𝗺𝗲 𝗿𝗲𝗳𝘂𝘀𝗲 𝘁𝗼𝘂𝘁𝗲𝘀 𝗹𝗲𝘀 𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲𝘀. 𝗠𝗲̂𝗺𝗲 𝗺’𝗲𝗻𝘁𝗿𝗮𝗶̂𝗻𝗲𝗿 𝗶𝗻𝗱𝗶𝘃𝗶𝗱𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁, 𝗰’𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗻𝗼𝗻. J’ai eu 22 sélections en équipe de France en jouant à Rennes, 𝗷𝗲 𝗹𝗲𝘂𝗿 𝗮𝗶 𝗮𝗽𝗽𝗼𝗿𝘁𝗲́ 𝗱𝗲 𝗹𝗮 𝘃𝗶𝘀𝗶𝗯𝗶𝗹𝗶𝘁𝗲́ 𝗲𝘁 𝗽𝗼𝘂𝗿𝘁𝗮𝗻𝘁, 𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝘀𝗮𝗶𝘀 𝗺𝗲̂𝗺𝗲 𝗽𝗮𝘀 𝘀𝗶 𝗷𝗲 𝘀𝘂𝗶𝘀 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗲𝘂𝗿𝘀 𝗺𝘂𝗿𝘀.« 

Reste à savoir ce qu’en pense le club, qui ne doit certainement pas proposer la même version des faits.

« Griezmann attend que ça se passe mal pour faire un come-back à la Zidane », Romain Molina balance sur l’équipe de France

Le vide laissé par le départ à la retraite d’Antoine Griezmann fait beaucoup parler. Le journaliste d’investigation Romain Molina a consacré sa dernière vidéo YouTube aux problèmes de l’équipe de France de football. Il révèle même la stratégie de « Grizou »…

Romain Molina est catégorique, c’est le bazar en équipe de France, « il n’y a pas de patron, c’est le pilotage automatique« .

Avant les départs de Raphaël Varane ou d’Olivier Giroud, il y avait « des mecs qui faisaient consensus« , explique le journaliste basé dans le sud de l’Espagne.

« Quand t’as pas de patron, la nature a horreur du vide, c’est normal. » Il n’a jamais compris pourquoi Kylian Mbappé a été choisi comme capitaine, puis d’être exilé sur un côté. Il a pris ça comme un désaveu.

Problème d’égo ? Oui, comme dans beaucoup de vestiaires de football. Là, selon Romain Molina, Antoine Griezmann attendait « que ça se passe mal pour faire un come-back à la Zidane« .

Kylian Mbappé aurait selon lui des « passe-droits« , ce qui est normal pour un capitaine. Ce qui est normal quand on est le plus fort. Ce qui n’est plus le cas de l’attaquant depuis plusieurs mois… D’où les tensions naissantes depuis l’Euro 2024.

Le retour d’Adrien Rabiot chez les Bleus aurait pu faire grand bien, « c’est un vrai » explique Romain Molina, « quand il a quelque chose à te dire, il te le dit« . Mais il a été laissé à disposition de l’OM pour peaufiner sa préparation physique.

Le Parisien Ousmane Dembélé, bien présent, va récupérer le numéro 7 vacant d’Antoine Griezmann. Heureusement, par sa bonne humeur habituelle et sa légèreté, ce dernier « fait l’unanimité« .

Comme Eduardo Camavinga, le joueur du Real Madrid est apprécié aussi bien humainement que sportivement.

Romain Molina pointe les non-dits, « ce n’est pas super sain« . Avant Kylian Mbappé « faisait peur« , par ses buts et ses dribbles, ce n’est plus le cas.

L’autorité de Didier Deschamps semble donc remise en cause… La FFF est absente, son Président par intérim est pointée du doigt : « La cassure serait nette« . « Quand ça gagne, personne ne fait attention« , estime Romain Molina.

Les blessures diplomatiques sont légions en France et ailleurs actuellement. Éléments de réponse jeudi face à Israël puis en Belgique, lundi.

Suspension pour dopage réduite, Paul Pogba va rejouer… dés novembre !

Paul Pogba est de retour. Plus tôt que prévu. Sa suspension pour dopage* a été réduite de quatre ans à 18 mois. L’élégant milieu de terrain international va donc retrouver les pelouses en compétition en mars 2025. Dans quel club ? L’avenir nous le dira rapidement. En attendant, il est déjà programmé pour retrouver les terrains… à Dubaï.

La Kings Cup, un match exhibition avec d’anciennes gloires, prend place le 30 novembre à Dubaï (Emirats Arabes Unis). Paul Pogba, 31 ans, pourra alors montrer qu’il n’a rien perdu de sa technique à défaut d’étaler un niveau physique optimal.

Cette rencontre amicale verra s’affronter deux équipes inédites : le Hedge & Sachs World Royals XI et le Kings XI. Le site officiel du tourisme à Dubaï informe déjà de la présence de John Terry, Roberto Carlos, David Villa, Michael Owen, Marouane Fellaini, Edgar Davids, Paul Scholes, Theo Walcott, Blaise Matuidi, David Silva et donc… Paul Pogba !

Le retour de l’international français (91 sélections, 11 buts), conseillé par l’avocate Rafaela Pimenta, sera particulièrement suivi. Même si ce match au stade Al Maktoun n’a rien à voir avec une rencontre de football classique.

Le Daily Mail précise que Paul Pogba ne jouera que 30 minutes (15 par mi-temps) et portera un maillot spécial. Une sorte de « joker », libre de jouer sans être hors-jeu et exempté de cartons jaunes et carton rouge… Du football mais pas complètement.

Après la décision du Tribunal Arbitral du Sport (TAS), le joueur sait désormais que son retour est proche : dés le 11 ou 12 mars 2025, il pourra jouer en compétition. Histoire de se remettre dans le bain toute la fion de saison.

Si certaines rumeurs l’envoient à l’Olympique de Marseille, dont son avocate est proche depuis le transfert de Jean Onana en janvier 2024, d’autres pistes pourraient s’activer rapidement. D’autant que l’on voit mal l’OM être capable de prendre en charge son salaire XXL sans jouer de Coupe d’Europe, ni recevoir de droits TV conséquents.

À moins que d’ici là, l’officialisation de cession du club par un grand consortium d’entreprises mené par l’Arabie Saoudite (pays qui avait transmis une offre au joueur à l’été 2023) ne tombe enfin, après des années de tractations à rebondissements en coulisses.


*Contrôlé positif à la déhydroépiandrostérone (un stéroïde dont les effets sont équivalents à ceux de la testostérone) en août 2023 après un match entre la Juventus et Udinese, Paul Pogba avait initialement été suspendu pour 4 ans. Avant de voir celle-ci réduite à 18 mois. Le milieu de la Juventus Turin a toujours dit qu’il n’avait « jamais enfreint consciemment » les règles en vigueur de l’Agence mondiale antidopage. Mais il « aurait dû faire preuve d’une plus grande vigilance« .

Clash Deschamps-Griezmann ? Les images qui montrent que Grizou pourrait revenir chez les Bleus

Que s’est-il vraiment passé entre Didier Deschamps et Antoine Griezmann en si peu de temps ? Les dernières images sorties des archives des réseaux sociaux montrent un « Grizou » fortement concentré sur l’idée de jouer chez les Bleus jusqu’à la Coupe du monde 2026.

L’annonce a surpris tous les supporters de l’équipe de France de football. Et peut-être même certains cadres des Bleus. On savait Antoine Griezmann un peu moins titulaire, un peu moins taulier depuis l’Euro 2024, où la sélection de Didier Deschamps a chuté en demi-finale, sans nous faire vibrer.

D’après ces images de Telefoot de janvier 2024, Antoine Griezmann paraît sûr de lui : il veut continuer longtemps en équipe de France. Alors que s’est-il passé à l’Euro puis en septembre au rassemblement international pour lui faire à ce point radicalement changé d’avis ?

TF1 l’avait interviewé, il certifiait alors : « J’ai envie de faire cette Coupe du monde 2026 ! C’est aux USA, il faut gagner sa place, si je prouve sur le terrain et en dehors que j’ai les cannes, je pense qu’il n’y aura pas de souci.« 

« Les cannes », comme il le dit, il les a toujours, et ça se voit tous les week-ends en Liga espagnole.

Début septembre, Antoine Griezmann assurait toujours à Téléfoot sur TF1 que quitter les Bleus ne lui avait jamais traversé l’esprit, « c’est trop important, c’est une fierté« . Avant d’ajouter : « y’a pas de question… » En un mois, la question est depuis arrivée sur la table.

Vexé à juste titre de ne pas avoir été nommé capitaine devant Kylian Mbappé, écarté parfois du onze titulaire, Antoine Griezmann marque-t-il une simple pause pour mieux revenir à quelques mois du Mondial ? Rien n’est moins sûr.

Surprise, Antoine Griezmann annonce sa retraite internationale ! 10 ans de vie en Bleus

Stupeur à 11 heures ce lundi pour les fans des Bleus. Antoine Griezmann, 33 ans, annonce quitter l’équipe de France de football. Si on commençait à sentir venir ces derniers mois la fin de l’épopée de 10 ans de Grizou en Bleus, on ne pensait pas que cela arriverait si tôt.

Antoine Griezmann commençait un peu à être remis en cause au sein du onze tricolore depuis quelques semaines. Si brillant à l’Atlético de Madrid, si élégant balle au pied, si dévoué au collectif, Antoine Griezmann ne s’acclimatait pas tout à fait aux « nouveaux Bleus », aux nouveaux choix de jeu et de joueurs de Didier Deschamps.

De là à précipiter l’annonce de sa retraite internationale ? Le joueur s’est peut être senti moins à l’aise dans ce costume endossé avec magie pendant 10 ans. Et il a senti qu’il était temps de tourner la page avant que l’aventure se termine mal ?

Antoine Griezmann, c’est bien sûr une Coupe du monde, en 2018, année où il aurait dû remporter aussi le Ballon d’or. Antoine Griezmann, c’est une finale de l’Euro 2016 à domicile, perdue face au Portugal. Et une finale de Coupe du monde 2022 perdue face à l’Argentine. Dix ans de grands rendez-vous.

Antoine Griezmann, c’est un sourire communicatif, un football pensé pour le jeu, pour les joueurs, pour que le ballon vive. L’Atlético de Madrid en profite chaque week-end. La France en a profité dix ans.

Sur son compte Instagram aux plus de 41 millions d’abonnés, sa vidéo reçoit déjà après quelques minutes des milliers de commentaires tristes de le voir partir. Grizou aura marqué l’Histoire de l’équipe de France. Pour toujours.

Raphaël Varane, c’est (déjà) la fin !

Il n’a que 31 ans et annonce déjà sa retraite. Après celle d’Enzo Zidane hier, c’est un joueur d’un tout autre palmarès qui tire sa révérence. Le défenseur central des Bleus en 2018, taulier de l’équipe de France de Didier Deschamps et du Real Madrid, ne poursuivra pas sa carrière. Gêné par des soucis au genou gauche, il raccroche les crampons.

Raphaël Varane, le boss. Un palmarès exceptionnel et un petit goût amer pour finir. Le football va lui manquer tout autant qu’il va manquer au football.

À 31 ans, ce défenseur parti à l’âge de 18 ans construire sa carrière dorée a donc décidé de résilier son contrat avec Côme (Italie) avant d’annoncer sa retraite. Son dernier match en professionnel aura donc été ce 32e de finale de Coupe d’Italie contre la Sampdoria Gênes (1-1 et 3-4 aux t.a.b.) le 11 août.

Il a laissé une vidéo sur X, un joli message à ses 23M d’abonnés sur Instagram. « Je n’ai aucun regret, je ne changerais rien, déclare-t-il sur Instagram. J’ai gagné plus que je n’aurais pu en rêver, mais au-delà des accolades et des trophées, je suis fier d’être resté fidèle à mes principes de sincérité et d’avoir essayé de laisser le monde meilleur que je ne l’avais trouvé. J’espère que je vous ai tous rendus fiers. »

Raphaël Varane, c’est 360 matchs avec le Real Madrid pendant dix ans : 4 Ligues des champions, 3 Liga espagnole. Cette fameuse Coupe du monde 2018, mais aussi 3 Supercoupes de l’UEFA, 1 Nations League, 1 Carabao Cup (Angleterre), 1 FA Cup (Angleterre), 1 Coupe du Roi (Espagne). Merci Rapha !