C’est son premier sacre à Roland Garros. Et il semble en appeler d’autres. Le nouveau maître de Roland-Garros est espagnol. Carlos Alcaraz vient de remporter l’édition 2024 du tournoi du grand chelem sur terre battue. Il est un peu plus de 19h30 quand le jeune homme de 21 ans s’écroule de joie sur le court central.
Il l’a fait. 4h19 de jeu. Carlos Alcaraz vient de battre Alexander Zverev en 5 sets : 6-3, 2-6, 5-7, 6-1, 6-2. Renversant ! Favori de cette finale, l’Espagnol a dû réaliser un retour en force exceptionnel alors qu’il était mené 2 sets à 1. Scénario magnifique.
Les deux nouvelles stars du tennis mondial, numéro 3 mondial (Alcaraz) et numéro 4 mondial (Zverev), ont livré une prestation magistrale. Avec un Espagnol en monstre défensif, écoeurant par moments l’Allemand, doté pourtant d’une immense envergure.
Dans cette vidéo disponible ci-dessous, Carlos Alcaraz annonçait la couleur, dés l’âge de 12 ans. « Je veux gagner Roland-Garros et Wimbledon un jour ». C’est fait… La relève de Rafael Nadal du côté des serres d’Auteuil.
Il mettra fin à sa carrière de légende du BMX à la fin de l’année 2024. En attendant un possible 10e titre de champion du monde, Matthias Dandois endosse la responsabilité de représenter tous les sports nouveaux aux JO de Paris. Entretien avec « monsieur l’ambassadeur », à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
Thibaud Vézirian : Matthias, on a besoin d’y voir plus clair. Le BMX a fait son entrée aux Jeux Olympiques en 2008 à Pékin (Chine), mais ce n’est pas au programme officiel des JO de Paris…
Matthias Dandois : Le BMX, ce sont plusieurs disciplines. Si les courses de BMX, la race, sont bien entrées aux JO 2008, ça n’a rien à voir avec le freestyle par exemple. Le BMX freestyle, il y a des sauts, des rampes… C’est arrivé à Tokyo au Japon en 2021. Le BMX flat, troisième discipline, c’est mon sport ! Il entre en sport de démonstration aux JO de Paris pour finaliser son arrivée à Los Angeles en sport officiel. À Paris, place de la Concorde, le but sera de faire mon run habituel. C’est une exhibition pour faire la meilleure présentation de notre sport, avec des tricks (des figures) que je connais par cœur. Ça va être un kif de ouf, avec zéro pression. J’ai déjà tout gagné dans mon sport.
Être ambassadeur des nouveaux sports aux JO de Paris, ça consiste en quoi ?
Il s’agit de porter la parole des disciplines alternatives, d’aller réunion de consulting avec le CIO (comité international olympique), etc. L’idée, derrière cela, c’est de faire baisser la moyenne d’âge des audiences télé. Aujourd’hui, on ne va pas se mentir, c’est entre 58 et 60 ans. Il faut aller chercher les jeunes. C’est une question de business, rendre les Jeux plus cool, améliorer les droits télé. Je représente le skate, le BMX, le break, je vais participer à la cérémonie d’ouverture et je ferai donc les démonstrations de BMX flat les 30 et 31 juillet.
Le karaté a justement disparu des sports représentés aux JO de Paris, ce n’est plus un sport assez « cool » ?
C’est un lobbying de tous les instants. Tu ne peux pas faire entrer aux JO n’importe quel sport. Quand un sport d’une catégorie sort, il faut le remplacer par un sport de même catégorie. Le break est considéré comme un sport de combat. Ils ont donc dû faire sortir un équivalent. C’est tombé sur le karaté car cela faisait le moins d’audience. C’est qui est d’ailleurs assez bête (il sourit) car on avait un énorme espoir de médaille, avec Steven Da Costa. C’est un jeu de chaises musicales et ça ne fait pas que des heureux, c’est logique.
Interview en intégralité à retrouver dans le numéro d’Entrevue de mai 2024.
Le petit garçon qui rêvait d’être un champion a écrit le livre de sa vie. À 37 ans, Yann Rayepin est en pleine promotion de son premier livre, qui raconte son parcours. Celui d’un ex-champion de gymnastique. Il s’est confié à Entrevue.
Détenteur de 14 titres nationaux, individuels et par équipe, Yann Rayepin vit désormais près de Genève (Suisse), du côté français. D’abord chargé d’affaires pour de grosses entreprises, puis ingénieur d’affaires, il s’est ensuite consacré entièrement à son projet de livre. Afin de livrer sa vérité sur son parcours et aider les nouvelles générations de sportifs.
Thibaud Vézirian. Bonjour Yann, vous avez eu l’envie d’écrire ce livre, « Déraciné », qui raconte l’histoire vraie d’un petit garçon qui voulait devenir un champion. Comme beaucoup d’ailleurs. Qu’est-ce qui vous a poussé à le faire ?
Yann Rayepin. Je suis parti très tôt de l’île de la Réunion, vers 9 ou 10 ans. Sans mes parents. Je suis d’abord arrivé en internat pour 3 ans à Avignon, ça a été un choc. Mes parents sont restés vivre à 10 000 kilomètres, à Saint-André, je suis donc devenu autonome et indépendant très tôt. Si j’ai eu une belle carrière de gymnaste, je souhaitais en raconter les péripéties, les difficultés. Et surtout parler de l’impréparation à l’après-carrière de sportif de haut niveau. Il n’y avait pas d’accompagnement pour ça. J’ai donc eu cette envie de transmettre quelque chose. À mes enfants, de 5 et 9 ans, à mes parents aussi, car à l’époque, on ne se disait pas grand chose de ce qui se passait au quotidien.
Thibaud Vézirian. Il n’y avait ni téléphone, ni visio, ni tablette. Un tout petit peu Internet dans cette fin des années 90 que vous décrivez dans votre livre. Vous vous sentiez seul ?
Yann Rayepin. J’étais seul. Sans papa, sans maman. Mais j’ai été ensuite le premier sportif de haut niveau à intégrer l’EDHEC, une école de commerce à Antibes, sans horaire aménagé pour les sportifs de haut niveau. Je bénéficie alors de la gratuité de l’école et c’est tout. Mais l’idée de ce livre n’est pas de parler de la solitude en internat. J’ai eu l’envie profonde de partager la partie immergée de l’iceberg : la reconversion professionnelle et les sport-études, dont le terme est galvaudé. Les entraineurs et fédérations ne sont pas très contents quand on veut faire des études secondaires. Ce n’est pas leur objectif du tout.
T.V. Votre reconversion professionnelle vous est rapidement apparue comme primordiale ? C’est une preuve de grande maturité quand on est adolescent ou jeune adulte.
Yann Rayepin. Préparer ma reconversion professionnelle était le plus important. Et parler de ce chemin difficile aussi. On ne parle jamais de cette zone d’ombre, ce manque d’accompagnement, on est mis sur un piédestal en tant que sportif de haut niveau mais l’accompagnement ne suit pas. Je suis allé toquer à la porte de l’EDHEC : c’était la seule école à ne pas faire d’horaires aménagées pour les sportifs de haut niveau. Ils m’ont dit d’aller d’abord passer mon concours. Je l’ai fait. Avec la deuxième meilleure note à l’oral. J’étais le premier sportif de haut niveau à intégrer l’école. J’ai été exempté d’assiduité mais pas des examens. Je devais rattraper les cours en plus de mes deux entraînements par jour.
T.V. Avec cet emploi du temps hyper chargé, on se dit qu’être sportif de haut niveau, en dehors du football et certains salaires mirobolants, peut-être, c’est un monde infernal si on veut viser une aussi belle carrière professionnelle derrière, non ?
Yann Rayepin. J’étais le patient zéro ! Le petit garçon que j’étais s’est bien vite rendu compte que la marche allait être assez élevée. Heureusement, tout s’est accéléré ensuite : après avoir eu mon diplôme d’entraîneur, vers 19-20 ans, l’EDHEC va me suivre jusqu’à l’INSEP en ouvrant un cursus de e-learning pour sportifs de haut niveau. J’étais le défricheur. Mais ça a été très difficile comme période, ce manque d’accompagnement. Il a fallu redoubler d’efforts. Aujourd’hui, être sportif de haut niveau ne vous garantit pas de carrière professionnelle par la suite. Les entreprises sont peu au fait du sport de haut niveau, on nous caricature de « bourrin ».
T.V. Écrire a été aussi un moyen de dénoncer de toutes les sombres affaires qui tournent autour de la Fédération de gymnastique ?
Y.R. Écrire, au début, je l’ai fait pour mes enfants. Comment ça se fait que la famille de papa est à la Réunion ? Comment ça se fait que papa était en équipe de France ? Ce sera intéressant pour eux de le lire un jour. Laisser une trace. Raconter tout ça à ma famille, mes parents. Ils ne savaient pas ce qui se passait à l’époque, comment étaient les entraineurs, comment c’était à l’entraînement. Il ne fallait pas communiquer. La Fédération a connu beaucoup d’histoires très limites. Ce partage d’expériences permet de faire évoluer les choses. Je n’ai pas été confronté à ces problèmes-là, même si c’était à mon époque. Ça correspondait à une façon de faire, où ce n’était pas grave s’il y avait de la casse. Le problème, c’est que ce sont toujours les mêmes qui sont là, aux commandes. C’est très compliqué pour un ancien sportif de haut niveau de rester ami avec cette Fédération. Je n’ai pas eu de rancœur en écrivant mais ce livre, c’était une main tendue pour mettre des choses en place, changer, évoluer. Et accepter les erreurs. Je ne peux pas dire que ça en prenne le chemin.
T.V. On peut tout de même dire que certaines affaires ont éclaté, notamment via des témoignages de femmes.
Y.R. Côté masculin, il y a eu beaucoup moins de courage que du côté féminin pour dévoiler des choses, dénoncer, tenir ensemble. L’omerta est plus présente chez les garçons. Mais mon combat, comme je n’ai pas été confronté à des violences physiques, c’est autre chose. Des violences morales, oui, j’en ai connu. Un manque d’accompagnement au niveau de la Fédération, oui, c’est clair. Une personne en charge de la formation me disait ne pas connaître l’EDHEC et que ça ne me servirait à rien d’intégrer cette école. Et maintenant cette personne est chargée de la reconversion professionnelle des athlètes depuis la Fédération, c’est absurde…
T.V. Avec autant de bâtons dans les roues, comment vous vous en êtes sorti ?
Y.R. J’ai eu la chance d’avoir un mental. Et on le renforce au fur et à mesure des expériences. Beaucoup de jeunes se cassent la gueule parce qu’ils ne peuvent pas suivre mentalement. On n’avait pas de téléphone à l’époque, à la fin des années 1990. Dans le froid, sans papa, sans maman. Même s’il y a pire qu’Avignon. Le choc était déjà là. C’est un livre qui s’appuie sur le fait de vouloir vivre ses rêves. Je me suis accroché, j’ai passé outre, j’ai franchi ces barrières, je suis venu pour ça. Et je vais réussir. Nous ne sommes pas tous des Teddy Riner ou des Zinedine Zidane mais on peut accéder à ses rêves. Je raconte ce parcours-là, ce déracinement-là. Quand on quitte le cocon familial.
T.V. Hormis les titres, quelle a été votre plus grande satisfaction ?
Y.R. Tout ! 14 titres nationaux, une médaille européenne, un diplôme de l’EDHEC, être élève à Sciences Po Paris, travailler avec les Nations Unis pour lutter contre le décrochage scolaire à Madagascar… Tout, tout ! Ce livre, c’est une nouvelle aventure. J’ai rencontré l’écrivain et enseignant Alain Mabanckou, au salon du livre à Genève, il m’a félicité. C’est génial. Et réussir à attirer l’attention des médias, c’est beau aussi.
Ça passe ou ça clash. Avec Redouane Bougheraba, il faut suivre le rythme. Un rythme d’humoriste actuellement numéro 1 en France. Plus de 1,4 millions d’abonnés sur Instagram, des vidéos qui totalisent plusieurs millions de vues, des salles pleines… Un engouement rare pour un artiste français. Pour Entrevue, le Marseillais revendiqué se livre, quelques minutes après être sorti de scène. À retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
Thibaud Vézirian : Redouane, tu seras le samedi 22 juin au milieu de l’Orange Vélodrome, pour une représentation unique de ton spectacle. Un rêve de gosse ?
Redouane Bougheraba : C’est exceptionnel ! À Marseille, ma ville, réunir tous ces gens… J’ai fait une réunion aujourd’hui avec la production, on a 27 000 billets vendus. On devrait être à plus de 30 000 quand le magazine va sortir. Et on table sur 40 à 50 000 spectateurs. Je pensais pouvoir faire venir tous ces gens en deux ou trois ans de spectacle mais pas en un soir.
Beaucoup t’ont déjà vu en tournée, sachant qu’avant l’Orange Vélodrome, tu auras déjà rempli l’Accor Arena (Paris) deux fois et la LDLC Arena (Lyon). Marseille sera un show unique ?
Plus de 350 000 spectateurs sont déjà venus sur la tournée. Donc oui, à Marseille, ce sera un nouveau spectacle. Il va y avoir des guests (NDLR : des invités), ça va être un événement unique et historique. Pour faire un stade, tenir les gens, il faut vraiment réaliser un spectacle visuel. Avec beaucoup d’émotions. Il y aura toute ma famille et aussi toute la famille artistique. On va faire un truc de malade ! De grande envergure. À la maison, avec des invités marseillais, voire internationaux. Je ne peux pas en dire plus mais il va y avoir de la musique aussi. On va essayer de choquer les gens ! Coachella, tu connais ? Mais à Marseille !
Thibaud Vézirian : Tu as pris une ampleur énorme sur les réseaux sociaux et dans l’univers médiatique. Sur scène, ça paraît très sportif. Tu as une préparation spécifique ? Tu as embauché un staff ? Préparateur physique, mental ? Comme un footballeur…
Redouane Bougheraba : Je reviens d’Inde, pour le tournage d’un film. J’allais tous les jours à la salle de sport. Je fais attention à la nutrition. J’ai perdu 8 kilos ! J’essaie d’arriver fit pour cet événement, comme un grand match. Je me prépare comme une finale de la Champions League ou un match de la Coupe du Monde. Je te jure, je me dis qu’il faut que je sois au top physiquement et psychologiquement. Mais ça va, j’ai plein de potes coachs, je connais plein d’anciens pros, plein de gars qui me suivent et m’envoient de la force, des conseils. L’Orange Vélodrome, c’est un gros événement, on ne va pas se rater. Tu ne peux pas arriver en surpoids. C’est une finale.
Une finale, ça se gagne…
Il faut qu’on mette l’impact physique. Après, je sais que les blagues seront là, le spectacle va être rôdé, il va être exceptionnel. Mais on ne laisse rien au hasard. On ne laisse rien passer. Je dois arriver physiquement au top.
Interview à retrouver en intégralité dans le nouveau numéro d’Entrevue, actuellement en vente.
« Si je ne peux plus courir, je peux marcher. Si je ne peux plus marcher, je peux ramper… Je ne m’arrêterai jamais ». Céline Dion est une formidable combattante. La chanteuse québécoise va bientôt dévoiler un documentaire très intime, axé sur son combat contre le syndrome de la personne raide.
Si certains parlent de Céline Dion comme surprise de la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024, la chanteuse québécoise reste focalisée sur son combat quotidien : contre sa maladie neurologique, le « syndrome de la personne raide ».
Sur la chaîne NBC News, le Today Show nous offre un extrait d’interview de la diva. Céline Dion délivre un témoignage poignant. Elle décrit les effets que sa maladie peut provoquer : « C’est comme si quelqu’un vous étranglait. C’est comme si quelqu’un poussait votre larynx, pharynx et c’est comme si on parlait comme ça, et qu’on ne pouvait pas monter ou descendre la voix ».
« Si je ne peux plus courir, je peux marcher. Si je ne peux plus marcher, je peux ramper… Je ne m’arrêterai jamais », confie la star, avec difficultés dans cet extrait vidéo.
Diagnostiquée en 2022, cette maladie neurologique rare lui provoque notamment des spasmes musculaires. Dans ce documentaire Je suis Céline Dion, elle montre toute sa force de combattre.
Même pour parler, on sent que cette maladie affecte gravement sa voix. Et toutes les parties du corps. Avec parfois des crampes terribles. « J’ai l’impression que si je pointe mes pieds, ils resteront dans cette position », confie la Québécoise. Un lourd handicap à porter. « J’ai eu des côtes cassées à un moment donné, parce que parfois, quand c’est très grave, ça peut se casser ».
L’interview complète de Céline Dion est à retrouver sur les réseaux de NBA à partir du 11 juin. Le documentaire Je suis Céline Dion sera diffusé sur Prime Video à partir du 25 juin.
Keylor Navas ne se laisse pas faire. L’ex-gardien de but du Paris-Saint Germain réagit enfin aux accusations de travail dissimulé par un ancien employé dans Le Parisien. Du travail dissimulé, l’utilisation d’une arme et des versements en liquide.
Dans un post Instagram publié vendredi soir, Keylor Navas réagit. Et annonce son intention de se défendre en justice : « Suite aux informations publiées ces derniers jours par un média français, dans lesquelles sont portées des accusations fausses, infondées et très graves qui affectent ma personne et ma famille, j’ai décidé de remettre l’affaire entre les mains de mes avocats afin d’engager toutes les actions judiciaires correspondantes ».
Le Costaricien contre-attaque. Mais pour l’instant, aucun argument à faire valoir face au témoignage saisissant de son ancien homme à tout faire.
Nicolas, l’ancien employé, décrivait dans un reportage de BFM TV ses conditions de travail précaires, 90 heures par semaine, ses paiements en liquide uniquement ou encore la présence d’armes pour assurer la sécurité du joueur. Pour l’avocat de cet homme, Yassine Yakouti, on frôlait même « l’esclavagisme moderne ».
Brigitte Bardot n’a pas sa langue dans sa poche. La chanteuse et comédienne s’est confiée avec son honnêteté habituelle au micro de RTL sur la situation familiale d’Alain Delon.
Depuis La Madrague à Saint-Tropez, Brigitte Bardot fait la promotion de sa nouvelle compilation (streaming et vinyle) de 27 morceaux choisis par ses soins, guidée par ses souvenirs. Et elle commente aussi l’actualité. Une actualité proche. Notamment celle d’Alain Delon, 88 ans, diminué par une maladie et placé sous curatelle renforcée le 4 avril dernier.
L’illustre comédien est d’ailleurs au centre d’une guerre médiatique dont Entrevue se faisait l’écho en exclusivité dans son magazine d’avril, via une interview exclusive et en longueur de son fils, Anthony.
Alain Delon est atteint d’un cancer et de problèmes cardiaques. Un quotidien difficile qui provoque l’empathie d’une amie de longue date : l’actrice et chanteuse Brigitte Bardot.
« Non seulement je pense à lui, mais je pense que malheureusement, il est très très mal entouré », explique, cash, Brigitte Bardot sur RTL, « je pense qu’il aurait besoin de beaucoup d’amour, de compréhension et de tendresse. »
L’actrice confirme qu’il lui est désormais impossible d’avoir un contact direct avec son ami et elle le déplore : « On ne parle pas à Alain, c’est interdit de parler à Alain. Mais je peux, de temps en temps, avoir de ses nouvelles. »
La distance mise par les proches d’Alain Delon n’empêche pas Brigitte Bardot de continuer à dire le plus grand bien du comédien : « On s’adore, j’adore Alain.Il est comme un frère pour moi. Ce qui lui arrive m’atteint profondément. Ça me fait mal. » Elle explique par ailleurs que sa famille qui se déchire et «sa maladie le handicapent ».
Via cette curatelle renforcée, Alain Delon dispose toujours d’une autonomie, sauf en ce qui concerne ses ressources financières.
Will Smith n’a pas fini de nous impressionner. Dans son dernier film « Bad Boys : Ride or Die », l’acteur américain a même tourné une scène tout seul, comme un grand, gérant deux angles de vue avec une caméra autour de sa taille.
Les scènes d’action ne lui font pas peur. On le savait déjà. Mais à 55 ans, Will Smith a encore fait fort. Pour le tournage de « Bad Boys : Ride or Die », le mari de Jada Pinkett-Smith portait une caméra fixée autour de la taille et il la manipulait lui-même pendant la scène d’action.
Le comédien a partagé cette séquence en exclusivité sur son profil Instagram (68 millions d’abonnés) : on le voit avec le matériel autour de la ceinture, gérer à la fois son pistolet dans la main droite et tout l’attirail de la caméra.
Avec une étonnante dextérité, il manie la caméra, la fait pivoter et continue de jouer son rôle avec une parfaite maîtrise. Une plongée dans les coulisses du film passionnante.
Les fans de la franchise peuvent retrouver ce nouvel opus depuis ce mercredi dans les salles de cinéma.